Dans les hôpitaux des Etats-Unis, les vieux sont mis sous sédatifs avec de la morphine jusqu’au décès pour financer la politique des réfugiés

 

D’après l’analyse du New York Times, les Hispaniques, minorité souhaitée par les deux partis politiques des élections présidentielles de l’Amérique cette année, représentent presque un tiers des adultes des Etats-Unis qui ont des assurances  santé.

Une leçon de base de comptabilité dit que pour chaque crédit, il doit exister quelque part un débit. Ainsi, si vous sanctifiez, béatifiez, louez les „émigrants pauvres et minoritaires” qui ont „rapidement gagné” suite aux assurances de santé imposées par Obama, alors d’autres groupements doivent avoir perdu rapidement pour payer les assurances de santé „gratuites” offertes à ce prolétariat désordonné de votants démocratiques. Mais ne vous attendez pas à ce que les misères de Sulzberger (le magnat de presse qui possède le New York Times) révèlent aux lecteurs l’identité des débiteurs-perdants, en grande partie mal „éduqués”. Laissez cette tâche à l’Anti-New York Times.

Les quatre catégories principales de débiteurs perdants sont :
– Les contribuables qui payent, par des taxes plus grandes ou par l’inflation, au compte des déficits porteurs de taux d’intérêt ajoutés aux impôts existants ;
– Les fournisseurs de services de santé et les médecins qui voient les remboursements offerts par des programmes gouvernementaux coupés, dans certains cas jusqu’à la perte ;
– Les travailleurs avec des assurances santé qui sont maintenant forcés de payer des taux obligatoires plus grands et qui paient de leur poche pour couvrir les pertes des assureurs privés ;
– Les patients âgés qui pourraient être sauvés, mais qui, au lieu d’être soignés de manière adéquate, sont délibérément mis sous sédatifs avec morphine ou la morphine leur est tout simplement massivement injectée, en arrivant jusqu’au décès, alors que les membres de leur familles ne savent pas ce qu’il se passe.

Dans une économie saine, les débits doivent être en égalité avec les crédits. Pourtant, le pourcentage du budget fédéral alloué aux assurances de santé imposées par Obama a presque été doublé pendant ses mandats (il était de 5% en 2008, et maintenant il est arrivé à 9%). Du moment que les gouvernants des Etats-Unis ne coupent pas le budget artificiellement augmenté du Département de la Défense (que beaucoup d’Américains appellent à présent le Département de l’Offensive), la seule modalité de payer pour les assurances de santé est par des taux, d’imprimer de l’argent/inflation et en coupant les rembourssements des programmes de santé destinés aux docteurs et aux hôpitaux.

La dynamique financière qui affecte les premiers trois groupes mentionnés est évidente, et s’explique par elle-même pour toute personne qui a dépassé les mathématiques de la quatrième classe. La quatrième catégorie est celle qui, à cause de ses horribles implications, est gardée „cachée (mais visible)” au public américain âgé.

Pourtant quelques-uns finissent par se convaincre, mais lorsqu’il est trop tard, après avoir subi personnellement l’expérience douloureuse de la perte inexplicable, avant qu’il soit temps, d’un membre âgé de la famille.

Pour être honnête, les meurtres en masse n’ont pas commencé avec le système de santé d’Obama, mais ils ont dramatiquement augmenté depuis que celui-ci est au pouvoir. Des millions de jeunes du tiers monde, qui sont maintenant „titularisés” dans les assurances de santé causent la déviation des ressources du gouvernement destinées aux personnes âgées.

A partir de 2015, le système de santé imposé par Obama a motivé les hôpitaux et les docteurs à offrir des consultations genre „fin de vie” (sessions négatives) et „soins palliatifs” (mort par injection de morphine) pour les patients qui ne sont pas en stade terminal.
Ceci est la récompense – ou, comme le disent les Américains, la „carotte” –, mais il existe aussi un moyen de contrainte – , la „baguette”.

A tout moment, pour un patient âgé contribuable du système d’assurances nationales de santé des Etats-Unis (MediCare) qui dépasse le temps alloué pour être hospitalisé (celui-ci est continûment réduit par les autorités), l’hôpital perd de l’argent (car les dépenses pour les jours supplémentaires ne sont plus décomptées par les assurances). Ainsi, les hôpitaux sont soumis à une pression de plus en plus grande pour mettre dehors les grands-pères et les grands-mères. Ainsi, si toute personne agée revient au cours d’une certaine période de temps qui a été établie par le système d’assurance maladie, l’hôpital est à nouveau sanctionné pour „réhospitalisation”, fait qui est observé dans les demandes des hôpitaux de rembourssement des dépenses. Non seulement l’hôpital perd de l’argent parce qu’il réinterne un individu, mais si le taux de réinternements est trop haut, la réduction des rembourssement est appliquée à toutes les demandes de rembourssement de l’hôpital. En bref, les personnes âgées sont indésirables pour le budget de l’hôpital.

Obama et ses manipulateurs s’amusent en tuant prématurément spécialement les personnes blanches âgées et en déviant les taux payés par ceux-ci pour les assurances médicales vers les hordes sans fin d’envahisseurs étrangers qui ont des prétentions de nouveaux „citoyens”.

Oui, cela est vrai. Les coûts élevés nécessaires pour financer les immigrants sont obtenus en déviant des fonds de la Santé, des personnes âgées. Pour le bilan financier des administrateurs stressés et pressés des hôpitaux, les personnes âgées valent plus mortes que vivantes.

Il s’agit tout simplement d’un triage sur le champ de bataille économique. Tuer les personnes âgées suppose de faire entrer le patient dans un „coma” induit, pendant que les têtes des membres de la famille sont remplies d’une excessive négativité qui se réfère à la „qualité de la vie” et aux „probabilités diminuées” de récupération. Au moment où les corbeaux médicaux ont obtenus une autorisation de „ne pas ressusciter” de la part de la famille, le fœtus ou la personne agée seront délibérément aidés à mourir – et la cause de la mort sera décrite comme „arrêt de la respiration”.

En ce qui suit vous pouvez lire un bref fragment d’un reportage récent d’une chaîne de télévision du Nord du Texas, affiliée à NBC, pour vous faire une idée de ce qu’il se passe à présent dans toute l’Amérique :

FBI : Le propriétaire du sanatorium Frisco indiquait aux assistantes de surdoser des patients

Le directeur exécutif est cité quand il affirme : « Il faut faire partir ce patient dans l’autre monde »

Le possesseur d’une compagnie médicale du Nord du Texas indiquait régulièrement à ses assistants de donner aux patients des surdoses de médicaments comme la morphine, pour précipiter leur décès et pour augmenter les profits financiers, a écrit un agent du FBI dans une déclaration sous serment pour un mandat de perquisition obtenu par la chaîne de télévision NBC 5.

Les enquêteurs du FBI ont dit que Harris, comptable de métier, a instruit une assistante comment administrer une surdose à trois patients et a sollicité à un employé d’augmenter la médication d’un autre patient en multipliant par quatre la dose maximale admise. Il parait que le propriétaire du sanatorium envoyait des messages genre « Il faut faire partir ce patient dans l’autre monde ».”

Le cas de Frisco, au Texas, n’est pas isolé ! Il existe plusieurs autres plaintes similaires, probablement pas aussi connues du public et facile à démontrer, qui se passent dans toute l’Amérique et en Europe.

Les preuves sont claires – les citoyens âgés partagent maintenant le destin des fœtus qui sont tués de sang froid dans les procédures d’avortement ! Du point de vue des partis de gauche, gaspiller l’argent pour assurer le votes en faveur des démocrates des immigrants semblent être de loin bien plus utile comme investissement politique que de prolonger la vie de personnes âgées qui ne se trouvent pas en phase terminale, de quelques années très précieuses. C’est très simple et cela ne devrait pas être une surprise.
 


 „Mourez, seigneurs, mourez!
Dans une Amérique et une Europe sans Dieu, il se passe maintenant toute sorte de pêchés et d’obscénités.”

yogaesoteric
2016

Also available in: Română

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