Dommages cérébraux après vaccination et maman accusée à tort de maltraitance !

 


L’équipe VAXXED a interviewé une maman du New Jersey qui vit à présent en Floride, au sujet de son enfant dont la santé a été endommagée par des vaccins. Comme son fils présentait des lésions cérébrales, la maman fut accusée du Syndrome du Bébé Secoué (SBS). Alors que son autre enfant lui était enlevé, on essaya de lui faire avouer un crime qu’elle n’avait jamais commis. Alors que l’enfant était presque mort, on encouragea la maman et son mari pour qu’ils acceptent de donner les organes de leur enfant. Finalement, l’enfant a survécu grâce au recours à des thérapies alternatives : l’oxygénothérapie hyperbare et le cannabis médical (CBD oil). L’enfant a finalement connu une amélioration significative.

 

Voici l’histoire de cette famille :

Naissance tout à fait normale avant l’administration des vaccins

La maman raconte que la naissance de son bébé avait été tout à fait normale et qu’il était en parfaite santé. Comme presque tous les bébés nés dans les hôpitaux aux Etats-Unis, il a reçu le vaccin contre l’hépatite B le jour de sa naissance. Le deuxième vaccin contre l’hépatite B lui a été administré quand il eut un mois. La maman explique qu’après avoir reçu ce second vaccin, l’enfant commença à cambrer son dos, à rouler sur la côté avec les yeux révulsés.

Quand la maman emmena son petit chez le médecin, elle lui exprima son inquiétude au sujet des effets secondaires apparents des vaccins. Mais celui-ci ne tint aucun compte de ses inquiétudes et administra à l’enfant la série complète des vaccins prévus pour l’âge de 2 mois. Cette série de vaccins comprenait le vaccin antipolio oral, vaccin qui n’est plus utilisé aux Etats-Unis à la suite des graves effets secondaires qu’il avait produits. Après la série des vaccins de deux mois, le petit a commencé à vomir. Appelée par le babysitter, la maman prit l’enfant dans ses bras. Il était complètement léthargique et déshydraté et tout pâle. Après lui avoir donné à boire, elle appela le pédiatre.

Le médecin déclara qu’il s’agissait probablement de la grippe et qu’il n’était pas nécessaire d’amener l’enfant chez lui. 15 minutes après avoir raccroché le téléphone, l’enfant commença à présenter les signes d’une crise épileptique. La maman appela immédiatement son mari parce qu’elle devait aussi s’occuper de son autre enfant de 4 ans. Elle rappela aussi le médecin qui ne put lui donner un rendez-vous que tard le lendemain. Quand le mari se rendit compte de l’état de son fils, il décida de l’emmener dans le centre de soins intensifs le plus proche.

Comme l’enfant refit une crise aux urgences, un médecin suspecta qu’il pouvait souffrir de méningite. Le médecin et deux infirmières appelèrent une ambulance pour emmener l’enfant dans le centre de traumatologie de l’Université Robert Wood Johnson.

Dommage cérébral grave. La maman mise en cause

Comme l’enfant avait arrêté de respirer, l’ambulance l’amena à l’hôpital Saint Peter’s University Hospital qui était plus proche. Après que l’état de l’enfant fut stabilisé, les parents virent apparaitre le pédiatre qui leur avait dit qu’il n’était pas nécessaire de lui amener l’enfant. Il demanda aux parents ce qui s’était passé. La maman lui répondit que la seule chose qui s’était passée c’est que son enfant avait, 10 jours plus tôt, reçu dans son bureau la série de vaccins prévus pour son âge. Le médecin répondit : « Jamais les vaccins ne pourraient causer pareille chose ».

L’enfant fut ensuite transféré à l’hôpital Robert Wood Johnson où il passa un scanner. Cet examen fit apparaître d’importantes hémorragies au cerveau. Le médecin de l’unité pédiatrique ICU expliqua à la maman qu’il souhaitait parler à son mari. Les médecins finirent par expliquer au couple que « quelqu’un devait avoir fait cela à l’enfant », c’était un peu comme si quelqu’un l’avait frappé avec une batte de baseball. La maman expliqua que cela ne s’était évidemment pas produit du tout. Alors que son fils était conduit aux soins intensifs, les services sociaux, la Police, ainsi que le bureau du Procureur furent appelés.

Le lendemain, deux détectives et deux travailleurs sociaux sont venus escorter la maman qui était restée toute la nuit à veiller son enfant qui était entre la vie et la mort. La maman n’avait pas mangé de toute la journée. C’est dans le froid d’un jour de janvier qu’ils descendirent les rues enneigées jusqu’à un endroit où ils questionnèrent la maman pendant 5 heures, essayant de lui faire avouer qu’elle avait endommagé la santé de son fils. Ces personnes prétendaient qu’elle devait avoir secoué son bébé pour qu’il présente pareilles atteintes.

Charges criminelles et enfant kidnappé – « Ils ont dit que j’avais secoué mon bébé »

La famille a dû avoir recours à un avocat pour leur défense, alors que leur autre enfant de 4 ans avait été emmené par les services sociaux. La maman était très perturbée par le diagnostic de « Bébé Secoué » qu’avaient prononcé les médecins. Elle savait qu’elle n’avait absolument pas secoué son enfant et ne croyait pas que quiconque aurait pu le secouer. Il n’y avait d’ailleurs aucun signe extérieur d’abus (qui seraient par exemple visibles sur la tête si quelqu’un avait frappé l’enfant avec une batte de baseball, comme l’avait d’ailleurs suggéré un médecin.)

Comme les parents se montraient coopérants, les médecins leur ont fait savoir deux semaines plus tard qu’ils voulaient effectuer une analyse de sang comme pour tester quelque chose de très rare qu’ils n’avaient jamais vu auparavant. Dans la suite, la maman s’est tournée vers d’autres médecins pour demander de l’aide et a commencé à effectuer des recherches. Elle a ensuite contacté quelques neurochirurgiens pour obtenir des conseils.

Un neurochirurgien de Dallas s’intéressa vraiment à leur cas et a demandé aux parents de lui faire parvenir les résultats des scanners, car en l’absence de quelque preuve extérieure comme des fractures, des œdèmes etc., le médecin voulait manifestement en savoir plus. Après avoir examiné les résultats des scanners, ce médecin convoqua la maman ainsi que son avocat pour leur signifier qu’il ne trouvait aucune preuve d’abus ou aucune preuve du Syndrome du Bébé Secoué. Il conseilla ensuite de retirer leur enfant de l’hôpital Robert Wood Johnson afin qu’il puisse recevoir de meilleurs soins à l’hôpital de Newark, NJ.

Les médecins de l’hôpital Robert Wood Johnson s’y opposèrent en confirmant leur diagnostic du Bébé Secoué et programmèrent une intervention chirurgicale pour le lendemain matin. La maman a refusé net. Et quand les médecins lui ont demandé ce qu’elle comptait faire, elle a répondu qu’elle allait venir elle-même reprendre son petit pour le conduire à l’autre hôpital. Les médecins finirent par accepter le transfert parce que les lois du New Jersey lui permettaient d’opérer ce transfert.

Dommages vaccinaux et accusation de « Bébé Secoué »

Le petit fut finalement conduit en thérapie de réadaptation en raison de l’importance de sa lésion cérébrale. Il n’y eut pas d’autre diagnostic que « Syndrome du Bébé Secoué ». Le lien avec les vaccins ne fut établi que quelques années plus tard. Dans la suite, la maman a été très impliquée dans la recherche sur le Syndrome du Bébé Secoué. Elle a rapidement pu découvrir  des preuves que ces symptômes et dommages pouvaient bel et bien apparaître après des vaccinations.

 

yogaesoteric
24 septembre 2017

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