La Suède cesse son festival de rock emblématique à cause des viols et des agressions sexuelles

C’était devenu une institution : Bråvalla, le plus grand festival de rock en Suède voit advenir sa fin. Et ce n’est pas par manque d’argent. Mais par une recrudescence ingérable, malgré les forces de sécurité, des agressions sexuelles, viols et autres attouchements. Commis par qui ? Si les années passées, la presse avait parlé de migrants et en particulier d’Afghans, après avoir eu accès aux rapports de police, rien ne fuite cette fois-ci. Mais la décision est drastique… et les paroles des organisateurs très transparentes.

 

Des viols et crimes sexuels à gogo

Organisé traditionnellement fin juin sur une base aérienne près de Norrköping, au sud de Stockholm, le festival de Bråvalla rassemblait près de 50.000 jeunes. Au programme, des rockeurs nordiques mais aussi du métal et du rap américain, des « stars » alias Muse, Robbie Williams ou Kanye West… Mais en 2018, il n’y aura pas de nouvelle édition de ce festival qui n’aura duré que cinq ans. Les ennuis ont commencé dès le soir du 30 juin. À 21h30, tandis que le groupe de hard rock « Tenacious D » était sur scène, plusieurs filles se sont plaintes de la présence d’un homme de 24 ans qui se masturbait au milieu de la foule. Dans la nuit, les incidents se sont multipliés, avec le viol d’une jeune femme dans les toilettes, d’une autre au camping, celui d’une bénévole par un autre bénévole… Un homme de 20 ans qui tentait de s’interposer a même été tabassé. Bref, en l’espace de deux jours, la police a constaté pas moins de cinq viols et une quinzaine d’agressions sexuelles – sans compter une quarantaine de plaintes diverses et variées.

Un problème qui dépasse les festivals musicaux…

 

Le directeur et fondateur du festival, Folkert Koopmans, a dit toute son amertume : « Certains hommes, car ce sont des hommes, ne peuvent manifestement pas se comporter correctement. C’est une honte (…) Il n’y a pas de mot pour dire à quel point je suis désolé (…) C’est un énorme problème, qui touche toute notre société. Pas seulement les festivals. Il y a une centaine de viols chaque jour en Suède. C’est un défi auquel la société doit faire face ». D’aucuns ont évoqué un prétexte pour cacher de bien plus tangibles soucis d’argent. La société organisatrice « FKP Scorpio » a signalé une perte de 75 millions de couronnes (8.904.500 dollars) en 2016. Mais bien que les billets se soient moins vendus que l’année dernière à cause de cette ambiance de plus en plus délétère, il n’en est rien. « Dire que nous utilisons la violence comme prétexte pour ne pas réitérer l’expérience l’année prochaine est une spéculation tout à fait cynique », lit-on dans le communiqué de la société cité par le journal suédois Expressen. Ils reconnaissent tout simplement l’impossibilité, dorénavant, d’organiser de pareilles manifestations, à destination des jeunes. Certes, ce n’est pas la musique ad hoc pour adoucir les mœurs. Néanmoins, il est clair que certains se sentent très, très à l’aise…

On ne mentionne plus l’origine ethnique des agresseurs

Les forces de police avaient pourtant été renforcées par rapport aux années précédentes. Et pour cause. En 2014 déjà, une jeune fille de dix-sept ans avait été violée par quatre hommes dans le camping attenant au festival. En 2015 et 2016, les mêmes « accidents » se sont amplifiés. Pour 2017, le responsable de la sécurité du festival avait durci les équipes de sécurité et leur présence sur le terrain. Mais rien n’y a fait. Pourquoi ? « Demandez plutôt à ceux qui commettent les infractions » a-t-il rétorqué… Mais si aux éditions précédentes, les media avaient obtenu l’accès aux rapports de police sur les agressions et largement glosé sur l’origine ethnique et « migrante » des auteurs, de jeunes et fringants Afghans, cette fois-ci, pas de fuite. Les policiers ont dit avoir arrêté et interrogé trois suspects, mais n’ont pas divulgué d’informations sur leur origine ou leur identité, selon le radiodiffuseur suédois SVT.

La Suède : le festival du viol ?

Évidemment, c’est dans le but de ne pas stigmatiser une délinquance sexuelle étrangère et agiter une opinion déjà bien atteinte par ces multiples et récurrentes attaques qui entourent dorénavant toutes les manifestations en Suède. Selon le New York Times, lors d’un festival l’année dernière à Karlstad, six des sept suspects dans des affaires d’agressions sexuelles ont été identifiés comme des étrangers. En 2016, les autorités ont estimé que le nombre d’attaques sexuelles dans les festivals de musique en plein air avait augmenté de 1.000%… Les agresseurs sont régulièrement décrits par leurs victimes comme étant d’origine étrangère, des victimes pour beaucoup mineures. Il ne devrait y avoir personne pour s’étonner d’un comportement qui correspond à une autre culture et surtout à une autre religion, où la femme étrangère est avant tout objet. Mais chut. Il faut s’en tenir, comme le premier ministre, à dénoncer des « actes répugnants », en se pliant aux injonctions patriarcales de ces nouveaux mâles, en faisant cesser les occasions où elles pourraient se manifester. Dhimmitude absolue. Et dire que les élues féministes de la mairie de Norrköping distribuaient des tracts aux festivaliers sur le thème « dix astuces pour éviter les viols »…

Les nouveaux chiffres provenant de Suède sont un avertissement pour les femmes à l’encontre d’un vote favorable à l’accueil d’encore plus de réfugiés issus des pays musulmans. 92 pour cent de tous les viols graves (viols violents) sont commis par des migrants et des réfugiés. 100 pour cent des attaques de viols (où la victime et l’attaquant n’avaient pas de contact préalable) sont le fait de ce même groupe. En d’autres termes, des milliers de femmes suédoises n’auraient pas été violées et ainsi traumatisées à vie s’il n’y avait pas eu ce flux migratoire en provenance des pays musulmans.

La liste des 10 premiers pays responsables des viols au niveau national ne montre qu’un seul pays non islamique (Chili). La plupart des violeurs sont issus d’Irak, suivis des réfugiés et des migrants d’Afghanistan, de Somalie, d’Érythrée, de Syrie, de Gambie, d’Iran, de Palestine, du Chili et du Kosovo.

En tenant compte du nombre de personnes des différentes nationalités en Suède, les Afghans sont 79 fois plus susceptibles de commettre un crime sexuel que les personnes nées en tant que citoyens suédois.

 

L’année dernière, Peter Springare, un policier suédois, a brisé le silence du politiquement correct au sujet de l’épidémie de viol, dans ce pays dirigé par le libéral-féminisme.

« J’en ai assez. La violence tue l’esprit du festival, l’amour de la musique, et par-dessus tout, des gens sont blessés. C’est une fois de trop », a déclaré Folkert Koopmans, le fondateur du Bråvalla Festival, plus grand festival de musique de Suède. Et pour éviter de pointer du doigt les coupables, principalement des migrants d’origine africaine, il a décidé de ne plus reconduire le festival.

En 2016, 12 cas d’agressions sexuelles avaient été signalés. Un débat national avait pris forme quand il apparut que, selon les rapports de police, les suspects étaient principalement Afghans et Marocains. Cette année, une jeune fille de 15 ans a été violée pendant un des concerts. Selon le rapport de la police, la jeune fille a été violée au milieu de la foule, devant la scène, et personne n’a réagi, personne n’est intervenu. « C’est terrible que quelqu’un doive vivre une telle chose avec autant de personnes autour, » a déclaré un porte-parole de la police, Thomas Agnevik, à Aftonbladet.

Pendant le Festival de Västerås, deux plaintes pour viols ont été déposées, dont un sur une jeune fille de 16 ans. Une jeune femme de 26 ans a également rapporté avoir été violée après le festival.

Les Suédois se sont infligé un tel lavage de cerveau pour s’interdire de désigner le mal, de désigner les coupables, de voir que l’immigration africaine ne leur apporte que le désastre et la violence, qu’ils en arrivent à s’accuser eux-mêmes des maux qu’ils ont importés. Ainsi, apprenant que des viols se sont produits pendant le concert qu’il donnait, Sonny Fahlberg, du duo Norlie & KKV, a déclaré « j’ai honte d’être un homme dans une telle situation. »

Faut-il lui dire que contrairement à certains pays musulmans où un homme accusé de viol peut s’en tirer sans la moindre condamnation s’il épouse sa victime, où l’absence de témoins permet de retourner l’accusation contre la femme violée qui dépose plainte, la culture de l’agression sexuelle est sévèrement punie dans les pays occidentaux évolués ? Mais l’annulation du plus important festival de musique de Suède afin de ne pas désigner les vrais coupables ne va pas assez loin. En réponse aux derniers viols qui se sont produits dans les festivals, dont Bråvalla, une comédienne, Emma Knyckare, a décidé d’organiser un festival… sans hommes. Pas sans migrants, ce serait raciste, même si cela permettait d’éviter les viols, mais sans aucun homme. Dans un tweet, l’artiste a expliqué « que diriez-vous d’organiser un festival vraiment cool, où seulement les personnes non masculines seront admises, et qui se poursuivra jusqu’à ce que TOUS les hommes aient appris à bien se conduire ? »

TOUS les hommes écrit en majuscule peut être interprété comme dirigé contre les migrants, mais ce n’est même pas certain, car le politiquement correct est allé si loin, qu’il a envahi les esprits et détruit toute pensée cohérente. Rapidement, un élan s’est créé et il semble bien qu’un festival sans homme se tienne en 2018. Il faut dire que les Suédoises sont marquées par la violence sexuelle qui s’est abattue sur elles. En 2015, le festival de Stockholm avait battu le triste record de 38 viols et agressions sexuelles, commises par une cinquantaine d’Afghans, et la police avait été accusée de cacher les informations pour protéger l’idée d’immigration heureuse.

La Suède n’a pas mis fin à sa politique d’immigration portes ouvertes. Elle n’est pas en mesure d’intégrer ses immigrants dans une culture profondément différente. Les Suédois sont voués à disparaître, absorbés par le taux de natalité élevé des Africains. Les autorités suédoises doivent faire face à un nouveau défi : l’arrivée de réfugiées. Jusqu’à présent, les migrants sont des hommes. Les centres d’accueil qui ont été créés sont organisés pour ne recevoir que des hommes, et les lieux pour accueillir des femmes n’existent pas. De plus, de plus en plus de jeunes filles réfugiées qui frappent aux portes grandes ouvertes de la Suède sont déjà mères de plusieurs enfants. Enfin, les réfugiés « mineurs » font maintenant venir femmes et enfants, et posent de nouveaux problèmes sociétaux que la Suède n’avait pas envisagés.

La Suède estime à 2.000 le nombre d’islamistes radicalisés sur son sol


 


Quelque 2.000 islamistes radicalisés se trouvent actuellement sur le sol suédois, dix fois plus qu’en 2010, mais seule une poignée d’entre eux est susceptible de commettre un acte violent, a indiqué lundi le chef du renseignement. Sur les 3.000 extrémistes partisans de l’action violente recensés par la Police de sécurité (Säpo) du pays scandinave, 2.000 appartiennent à la mouvance islamiste. Environ 300 autres sont partis en Syrie ou en Irak depuis 2012 – dont 140 sont revenus – et les 600 ou 700 restants évoluent dans la nébuleuse d’extrême droite ou les milieux de la gauche radicale.

En 2010, la Säpo estimait le nombre d’islamistes radicalisés en Suède à 200. « Il est important que nous tous, en Suède, prenions nos responsabilités pour endiguer cette évolution (…) avant que ne se produise un attentat ou un acte violent que nous redoutions », s’est alarmé le patron de l’agence, Anders Thornberg, dans un entretien à l’agence TT. Selon M. Thornberg, la forte augmentation de ce chiffre est principalement due à la propagande de l’organisation État islamique (EI), qui a uni différents groupes d’extrémistes islamistes.

yogaesoteric

5 novembre 2017

Also available in: English

Leave A Reply

Your email address will not be published.

This site uses Akismet to reduce spam. Learn how your comment data is processed.

This website uses cookies to improve your experience. We'll assume you're ok with this, but you can opt-out if you wish. Accept Read More