Origines de l’hyper-sexualisation institutionnalisée actuelle

La sexualisation est une idéologie extrêmement forte, un peu comme l’a été la doctrine économique de Milton Friedman pour l’économie néolibérale, imposée de force partout malgré ses graves défaillances. La sexualisation se base sur une autre doctrine, issue d’Alfred Kinsey. Elle est à l’origine du gender, notamment. Ça est imposé, et ce depuis les plus hautes sphères onusiennes et ça vise entre autres à abaisser la majorité sexuelle et légitimer, à terme, la pédophilie. Car ceux qui promeuvent cette idéologie sont les mêmes qui vendent la « liberté à tous prix » issue des loges maçonniques. En gros, les gens seraient rétrogrades et réacs’ de freiner cette « avancée lumineuse » pour la civilisation, ce « progressisme » moderniste. C’est une question de point du vue…

Sur la révolution sexuelle et la pédophilie

Marion Sigaut revient sur les rapports d’Alfred Kinsey qui ont été à l’origine de la révolution sexuelle. Elle montre, à l’aide du documentaire « Alfred Kinsey : pédophilie et révolution sexuelle » et des ouvrages de Judith Reisman, que les rapports était truqués et qu’ils ont été rédigé par des pédophiles, notamment en ce qui concerne son auteur; Alfred Kinsey.

Autours de Marion Sigaut et de cette thématique, voir aussi Conférence de Marion Sigaut et Claire Séverac. Nantes a eu l’honneur de recevoir Marion Sigaut et Claire Séverac pour une conférence qui s’est déroulée le samedi 17 mai 2015, sur le thème Santé, famille, école, ces dangers qui viennent d’en haut.

Alfred Kinsey: Pédophilie et Révolution Sexuelle

Le but des études de Kinsey était de normaliser un lot de comportements qui avaient toujours été considérés comme socialement inacceptable, tel que, la sodomie, l’inceste, la pédophilie et la bestialité. En montrant que ces comportements étaient plus répandus que le public ne le percevait, cela les rendaient plus acceptables….


L’endoctrinement d’une société

Aldous Huxley, le 20 mars 1962 à l’université de Californie

Il serait difficile de surestimer l’impact des rapports Kinsey, sur les hommes, sur la société et sur le développement culturel américain. Le rapport de Kinsey sur les mâles fut publié en 1948 et celui sur les femmes en 1953. Ces rapports étaient basés sur l’histoire sexuelle de 18.000 personnes et ils choquèrent la nation américaine en lui révélant que les habitudes sexuelles des Américains étaient plus libérales qu’on ne l’avait imaginé à l’époque.

Les études de Kinsey furent le point de départ de toute une révolution sexuelle et ont servi de base aux récriminations du mouvement gai. Le chiffre de 10% de la population américaine étant homosexuelle tire son origine des rapports de Kinsey. En fait, il se rait plus juste de dire que les études de Kinsey ont joué un rôle majeur directement ou indirectement dans l’établissement des valeurs de la majorité des Américains d’aujourd’hui. Ils ont également joué un rôle important. Dans l’établissement des cours et des programmes d’éducation sexuelle enseignés dans les écoles et collèges et spécialement au collège d’écologie humaine de Cornell. Un exemple de cette influence est l’utilisation de l’échelle de Kinsey qui va de l’homosexualité exclusive à la bisexualité exclusive. Cette échelle était une construction de Kinsey basée sur ses données et qui a servi depuis de modèle académique. La bisexualité étant considérée comme la condition la plus saine.

Que devrait-on faire si on découvrait que ce point de repère de la culture américaine n’a aucune base scientifique ? Si les rapports de Kinsey étaient frauduleux, on devrait en toute honnêteté intellectuelle, examiner soigneusement toutes les conclusions qui en ont été tirées. Considérant à quel degré le mouvement gai s’est appuyé sur ces rapports pour nourrir son agenda, on ferait bien de regarder attentivement leurs demandes. Le président de L’American Psychological Association (A.P.A), quand il prit sa décision en 1973 de rayer l’homosexualité de la liste des désordres pathologiques était grandement influencé par Kinsey. Nous devrions réévaluer nos propres mœurs sexuelles mais surtout les collèges et les universités qui enseignent la sexualité et la sociologie d’un point de vu Kinseyien, comme le collège d’écologie humaine de Corbeille, devraient examiner méticuleusement leurs données de base scientifiques et historiques pour tous leurs enseignements.

Dans le livre phare, « Kinsey, Sex And Fraud » les auteurs, Judith A. Reisman et Edward W. Eichel expliquent l’extraordinaire degré de fraude qui caractérise chaque niveau des rapports Kinsey. L’ex-candidat présidentiel, Patrick Buchanan a qualifié ce livre de « dynamite sociale ».


Les auteurs montrent que le but des études de Kinsey était de normaliser un lot de comportements qui avaient toujours été considérés comme socialement inacceptable, tel que, la sodomie, l’inceste, la pédophilie et la bestialité. En montrant que ces comportements étaient plus répandus que le public ne le percevait, cela les rendaient plus acceptables. Comme les psychologues Zimbardo, Ebbeson et Maslach l’écrivent, en 1977 dans leurs livres « Influencing Attitudes and Changing Behaviour », « The results of the Kinsey Surveys on Sexual Behaviour of the American male and female established to some degrees social standards of what was acceptable common practice. » (P89) (1)

Par exemple, Kinsey montrait que l’homosexualité était beaucoup plus fréquente qu’on ne l’avait alors pensé : Il écrivit : « 37% de la population mâle (des États-Unis) possède au moins quelques évidences d’homosexualité reliées à l’orgasme entre l’adolescence et la vieillesse. » Il ajoutait que chaque 4ième mâle a eu « une expérience homosexuelle distincte et continue. » pendant au moins trois années entre 16 et 55 ans, qu’un homme sur huit a « plus d’homosexualité que d’hétérosexualité » alors que 10% sont plus au moins exclusivement homosexuels pendant la même période ; et, que quatre pour-cent des mâles blancs sont exclusivement homosexuel pendant toute leur vie après l’assaut de l’adolescence) ne provenaient que de Kinsey. De ces études, Kinsey tira son échelle, et la théorie maintenant dominant que la bisexualité est la norme et le style de vie le plus « sain » pour les individus. Le sexologue bien connu John Money, de l’université John Hopkins a même suggérer que l’hétérosexualité exclusive soit presque pathologique, une relique culturelle d’une société répressive. Quelques livres encouragent même les jeunes enfants à avoir des expériences homosexuelles.

Kinsey avait « découvert » que les enfants étaient des êtres sexués avec un appétit sexuel (qui devait supposément être satisfait) à partir des premiers instants de la petite enfance. Ceci a eu un effet important sur l’éducation sexuelle, et plusieurs enseignent maintenant que la pédophilie est un comportement légitime pointe. Il y a même des scientifiques qui suggèrent que la pédophilie puisse être une orientation comme l’homosexualité et que les pédophiles auraient des droits spéciaux.

Les études de Kinsey ont également servi à banaliser l’inceste et la bestialité. Plusieurs livres modernes, tels que « Wardle Pomeroy’s Boys and Sex and Girls and Sex, (Pomeroy était un co-chercheur de Kinsey) » prétendent que les contacts sexuels avec un parent ou un semblable ou un animal familier seraient un bénéfice pour les deux individus en autant que les impressions de culpabilité imposés par la culture aient disparues et que les orifices utilisés soient propres. Il a aussi démontré que la promiscuité, l’adultère et la masturbation était de pratique beaucoup plus courante qu’on ne le croyait. Ceci amenait à croire que de tels comportements étaient « normaux » et servaient à réduire la culpabilité de ceux qui seraient tentés d’en faire autant. C’était là les semences de la révolution sexuelles.

Reisman et Eichel ont découvert des preuves que : la plus importante découverte est que le quart des échantillons de Kinsey étaient des anciens prisonniers. « Present and former prison inmates made up as much as 25% of the group of men Kinsey used to find out what «normal» male sexual behavior was ! » (p.9) (2). Il apparaît que Kinsey avait délibérément choisi une part importante de détenus pour biaiser son échantillonnage. Qui plus est, plus de 60% de ces détenus l’était pour des offenses d’ordre sexuel. Kinsey savait que ces hommes avaient eu des expériences sexuelles en prison. Il était évident que cet échantillonnage résulta en une information biaisée et non représentative des comportements sexuels. En plus des détenus 5% pourraient avoir été des prostitués mâles et les auteurs ont également découvert qu’il y a eu une contribution de 350 étudiants du collège Woodruff de Peoria, Illinois, dont le taux d’homosexualité était de 50%.


Ce qui est encore plus incroyable, c’est que les données de Kinsey sur la sexualité infantile provenaient de ce qui paraît être des activités criminelles déguisées en recherches. Reisman and Eichel expliquent : « Kinsey appears to have directed experimental sex research on several hundred children aged 2 months to almost 15 years. The children were orally and manually stimulated to orgasm by a group of nine sex offenders, some of whom were technically trained (if they were not child sex offenders before, they were after the experiments). » (3) L’équipe de Kinsey masturbait des bébés de deux mois jusqu’à l’orgasme et les chronométraient.

Kinsey ignorait également tout expert qui tentait de démontrer l’erreur de ses méthodes « When confronted with evidence from an expert that there was bias toward unconventional sexual behavior among his subjects who volunteered for his sex researches, Kinsey ended his professional relationship with this individual [noted psychologist Abraham Maslow] and, in a clear breache of scientific ethics, deliberately ignored and concealed the information. » (p.9) (4) Jonathan H.H. Bloedow

1. Les résultats des études de Kinsey sur les comportements sexuels des mâles et femelles américains ont établi jusqu’à un certain point les standards sociaux de ce qui est acceptables comme pratique normale.
2. Des détenus ou ex-détenus formaient pratiquement 25% des hommes utilisés par Kinsey pour établir ce qu’était un comportement sexuel mâle « normal »
3. Il semble, que Kinsey ait dirigé des expériences sexuels sur plusieurs centaines d’enfants âgés entre 2 mois et 15 ans. Ces enfants furent stimulés oralement ou manuellement jusqu’à l’orgasme par un groupe de 9 criminels du sexe, dont quelques-uns uns avaient reçu un entraînement technique. (S’ils n’étaient pas des criminels avant, ils l’étaient après).
4. Quand il était confronté par un expert à l’évidence que ses résultats étaient biaisés par les comportements sexuels non conventionnels des sujets qui s’étaient portés volontaires pour ses recherches, Kinsey mettait un point final à sa relation professionnelle avec cet individu [note le psychologue Abraham Mazelot], et dans un manque total d’éthique scientifique, il ignorait et cachait délibérément l’information.

yogaesoteric
25 janvier 2018

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