Ingo Swann – Penetration – D’ÉTRANGES CHOSES À PROPOS DE LA LUNE (I)

Ingo Swann a été pendant dix ans le
formateur des voyants de la CIA et des services de renseignements de la Défense
américaine. Il a entraîné pour le projet Stargate des équipes
militaires à « voir » à distance des installations
soviétiques et des organisations terroristes.

En 1975, il est contacté par une
organisation ultra clandestine qui lui demande de faire des « visions à
distance » sur des cordonnées précises de notre satellite naturel, la
Lune. Il y voit des structures artificielles qu’il du mal à expliquer et
qui ne sont manifestement pas humaines. Cette organisation le contactera à
d’autres occasions pour utiliser des dons psychiques dans la surveillance des
Extra-terrestres …

Ingo Swann a essayé de comprendre ce qui lui
était arrivé. Il pense que la Lune est un astre beaucoup moins mort
qu’on voudrait nous le faire croire et que la conquête lunaire a
été arrêtée avec Apollo 17 car « On » nous a fait
savoir que nous n’y étions pas bienvenus… Il pense aussi que les
dons télépathiques humains, que tout le monde peut développer, sont
systématiquement réprimés car ils sont un mode d’accès et
de pénétration des secrets terrestres et non terrestres les plus
inavouables.

Au bilan, nous autres Humains sommes
assiégés, manipulés, trahis.

Le peintre new-yorkais Ingo Swann est
l’auteur du protocole de Remote-viewing, d’abord expérimenté
au SRI (Stanford Research Institute), avec les chercheurs Russel Targ & Harold
Puthoff, avant de servir de base au Programme Stargate sur lequel la CIA avait
engagé 20 millions de dollars entre les années 1970 et 1995 :
« Le projet Stargate a créé un
ensemble de protocoles conçus pour faire des recherches plus scientifiques sur
la clairvoyance et le voyage astral afin de minimiser autant que possible les bruits
et les inexactitudes. Le terme “vision à distance” est apparu comme raccourci
pour décrire cette approche plus structurée de la clairvoyance.
»

Dans le domaine des agents PSI, la
réputation du major Ed Dames n’est plus à faire mais peu de gens
connaissent son mentor Ingo Swann. Personnage hors norme, Ingo Swann est
probablement le voyant PSI le plus doué de sa génération. Ce pionnier
de la visualisation à distance (remote viewing) a collaboré avec
la CIA et d’autres agences gouvernementales américaines dans les
années 70, en particulier dans le cadre du programme Stargate, un ensemble de
protocoles conçus pour faire des recherches plus scientifiques sur la
clairvoyance et le voyage astral afin de minimiser autant que possible les bruits et
les inexactitudes. Toute la méthodologie de la visualisation à distance
est le fruit de ce programme.

L’ensemble de la démarche a
été relatée par le journaliste Jim Schnabel dans une enquête
publiée en français sous le titre « Espions Psi
».

Hollywood a également abordé le sujet
avec un film parodique intitulé « Les chèvres du Pentagone
». Les mauvaises langues affirment qu’en réalité, le but
était de tourner en dérision ce sujet qui, vu le nombre de catastrophes
que l’on constate ces derniers temps, a le vent en poupe.

Après avoir réussi avec succès un
remote viewing de la planète Jupiter avant que la sonde Voyager
n’y parvienne, Ingo Swann est approché par un mystérieux personnage
M. Axelrod, qui va lui proposer de tenter une exploration psychique de la Lune.
À sa grande surprise, il y découvre des choses qui n’auraient pas
dû s’y trouver.

Ingo Swann relate cette expérience dans un
livre intitulé « Pénétration » qui fut
édité en 1998. Étrangement, il eu les plus grandes peines du monde
à trouver un éditeur alors que ses précédents livres avaient
étés publiés sans problème. Fait encore plus étrange, ce
livre resta longtemps un des plus chers à acquérir et certains le
proposent encore pour une une somme de plusieurs centaines de dollars.

Livre : PÉNÉTRATION
d’Ingo Swann aux éditions de « l’Œil du Sphinx
»

Extrait du chapitre 4 : atterrissage
psychique sur la Lune. 

« Bon, fis-je, dites-moi quelle
est la cible alors. » Après une assez longue pause, Axel demanda :
« Ingo, que savez-vous de la Lune ? » La Lune ! Il veut que
j’aille sur la Lune. « Eh bien, je sais qu’elle est là et
que c’est un satellite mort, avec des cratères et des montagnes, si
c’est ce que vous voulez dire. »

« Est-ce que vous vous êtes
déjà intéressé à la Lune, ou y êtes déjà
allé psychiquement ? » « Non. On ne s’est jamais
intéressé à la Lune parce qu’on en sait trop sur elle. Et donc,
ça ne serait pas une bonne expérience. Les gens penseraient que je me suis
renseigné sur la Lune ou que je l’ai observée dans un
télescope, ou ce genre de chose. »
« Et pourquoi pas la face cachée de
la Lune ! Cette partie est toujours opposée à la Terre. Personne ne
pourrait vous accuser d’y voir des choses déjà connues.
»
« Oui, mais quand même, la Nasa a
envoyé des missions autour et il y a plein de photos et de données.
»

Axel se mit à rire. « Nous voulons
que vous alliez sur la Lune et que vous nous décriviez ce que vous voyez.
J’ai préparé des coordonnées lunaires, une dizaine au total,
est-ce que c’est trop ? »

« Non, pas nécessairement, cela
dépend du stress. Mais je n’aime pas en faire trop d’un coup car je
risque de surimposer mes impressions. » « Bon, on n’aura
peut-être pas besoin de les faire toutes », dit Axel de façon
mystérieuse.
« Savez-vous qui est George Leonard, ou
avez vous déjà entendu parler de lui ? » 
« Non. »
« Vous êtes bien sûr ?
» 
« J’ai rencontré des
centaines de personnes, mais je ne me souviens d’aucun George Leonard. Il y a
un Leonard au SRI, mais je ne me rappelle pas bien les noms. Je me rappelle mieux
les visages. »

Axel se mit à fouiller dans un dossier
d’où il sortit cinq photos.
« Connaissez-vous une de ces personnes
? »
« L’une est le Dr Karlis Osis et
cette autre travaille au SRI, mais je ne sais plus son nom. Je ne connais pas les
trois autres. Il doit y avoir dedans votre M. Leonard, j’imagine.
»…
(…)

Nous nous mîmes au travail tôt le matin
suivant. Je baptisai cela « Mission Lunaire ». Comme nous
l’avions fait dans le projet Jupiter, je demandais à Axel de
déterminer où était la Lune dans son cycle mensuel, c’est-
à-dire dans sa relation présente à la Terre et au Soleil.

« La Lune est pleine »,
commença-t-il, « elle est à l’opposé du Soleil et elle
se couche juste à l’ouest. Cela ira-t-il ? »
« Je l’espère, dis-je, la
Terre est entre le Soleil et la Lune donc ; ce que je dois essayer de faire est de
me diriger directement vers elle en m’éloignant du Soleil, en
espérant un alunissage psychique (je souriais en disant cela) sur la surface.
»
« OK, faites votre truc », dit
Axel en souriant et il appuya sur le bouton « enregistrer » de son
magnétophone.

Peu avant, dans la matinée, nous avions
discuté du protocole expérimental et de la façon de mener la
séance. Hormis l’énonciation à haute voix des coordonnées
lunaires quand je les lui demanderais, Axel ne devait pas dire un mot. Je parle
à haute voix, quand je « fais mon truc », me posant à moi-
même une série de questions.

Mais ce sont des questions qui aident mon
intellect à comprendre ce que je ressens. Ce ne sont pas des questions
auxquelles les autres doivent répondre quand je suis « au travail ».
Je n’aime pas fermer les yeux quand je « fais mon truc ». Je
m’installai et essayai de ressentir la Terre entre le Soleil et la Lune ; je
commençai lentement à recevoir des images de mon élévation de la
Terre jusqu’à voir sa courbure.

Et, je l’avais appris lors de nos essais
pour parvenir psychiquement jusqu’à Jupiter, le Soleil semble bien plus
petit aux sens psychiques que ce que l’on voit avec ses yeux sur Terre. Vu
psychiquement, et bien que semblant plus petit, au moins trois sortes
d’enveloppes sont clairement visibles autour de l’étoile
Soleil.

Puis j’essayai de m’éloigner
psychiquement du Soleil et me dirigeai vers la Lune. Celle-ci semblait plus grande
que quand on la regarde avec ses yeux. Je n’eus aucune difficulté pour y
parvenir.

Lentement d’abord, elle grandit de plus en
plus, rapidement emplit mon champ de vision psychique : une chose blanche avec des
couleurs grises, sombres et, étonnamment, beaucoup de jaunes. Soudain, je fus
comme aspiré de plus en plus vite vers elle, comme en chute libre. Puis,
j’eus la sensation de me « trouver » près d’un rocher
ressemblant à de la pierre ponce. « OK, murmurai-je à Axel,
Je peux voir ces rochers, et de la poussière, je pense que j’y suis.
Donnez moi votre première coordonnée en la faisant précéder par
le mot “Lune”. »

Je notai sur un papier le mot « Lune »
et les coordonnées, mais rien ne se produisit. J’étais toujours
à l’endroit où je m’étais posé. « Donnez-
les-moi à nouveau, plus lentement », demandai-je. Il le fit et
j’eus une espèce de vision brouillée, l’impression de zoomer
à travers une plaine, des montagnes, puis d’arriver enfin dans
l’obscurité, ce qui me surprit. « C’est sombre ici,
dis-je, qu’est-ce que c’est ? Question de principe, Axel, ne
répondez pas. » L’obscurité !

Puis, lentement comme si je m’ajustais
à une sorte de vision nocturne, je pus percevoir des formations. Et je compris
ce qui s’était passé.
« Ces coordonnées, demandai-
je, c’est sur la face cachée de la Lune ? Oui, ça doit être
ça. »

J’essayai d’interpréter les
impressions que je recevais. « Il me semble que je suis près
d’une sorte de falaise. Elle se dresse assez haut et est faite d’une
sorte de roche sombre. Il y a du sable blanchâtre, une sorte de sable
granuleux. Au-delà de la falaise, il y a une sorte de vaste étendue. Il y
a des motifs dans le sable, ou quoi que ce soit — ce n’est pas vraiment
du sable. »
« À quoi ressemblent les motifs ?
», interrompit Axel.

Il n’était pas supposé
interrompre la description. Mais il l’avait fait, j’y allai donc.
« Eh bien (maintenant je fermais
les yeux), des sortes de petites touffes ou des dunes, comme si le vent avait
tracé ces motifs. »

Après avoir considéré un moment
ces petites dunes, j’ajoutai : « Mais il ne peut y avoir du vent sur
la Lune, n’est-ce pas ? Il n’y a pas d’atmosphère ! …
Et pourtant, je ressens une sorte d’atmosphère. Je suis un peu perplexe.
Faisons une pause. » M’étais-je trompé ?

Axel me regardait, il me semble, d’une
façon assez étrange, comme s’il réfrénait un désir de
parler. « Eh bien, continuai-je, ce à quoi ça ressemble en fait,
c’est à de larges traces faites par un tracteur. Mais je ne comprends pas
comment c’est possible, donc il doit y avoir quelque chose qui
m’échappe. Ce sont juste des sortes de marques. Plutôt
étrange. »

Je restai silencieux un moment. « Axel,
est-ce que vous voulez…ou est-ce que je suis supposé voir des choses
métalliques ou dans ce genre, ou quoi ? Je suis tout près de cette falaise
qui est là, elle a une sorte de brillance, un peu comme de
l’obsidienne… »

Axel répondit : « Non. Nous pouvons
aller aux coordonnées suivantes maintenant. » 
« Un petit instant, s’il vous
plaît, demandai-je, à mon signal, donnez-les-moi.
»

Je notai les coordonnées suivantes. La
vision de la falaise s’estompa et, en quelques instants je fus clairement en
un autre endroit ; je ne pouvais pas croire que c’était sur la Lune.
« Je suis désolé Axel, je crois que je suis revenu sur Terre,
maintenant… »
« Pourquoi croyez-vous cela ?
» demanda-t-il. « Eh bien, il y a… des… » Je
m’arrêtai. Je regardai Axel.
« Nous devrions faire une pause, prendre
un café, et on réessaye. »
« D’accord, mais vous avez vu quoi
? »
« Aucune idée. Mais quoi que ce
soit, ça ne pouvait pas être sur la Lune. » (J’eus la
triste vision des 1.000 dollars par jour prenant fin.)

Nous prîmes du café et discutâmes
de choses et d’autres. Pour la première fois, je sentis qu’Axel
était un peu nerveux. En quinze minutes nous étions de retour sur le lieu.
Je refis la même procédure de m’éloigner du Soleil pour venir
sur la Lune.

« OK, redonnez-moi ces
coordonnées. »
Ce qu’il fit. Je les notai lentement, en
m’assurant de ne pas faire d’erreur. J’eus conscience de me
trouver dans une brume verdâtre : c’était ce que j’avais vu
avant. Cette fois je décidai d’y aller, pour le meilleur et pour le
pire.

« Eh bien je suis dans un lieu qui est
une sorte de dépression, comme dans un cratère j’imagine. Il y a une
étrange brume verte, une sorte de luminosité. Au-delà, tout semble
sombre autour. Je me demande d’où vient la lumière.
»

Je m’arrêtai à nouveau. Au bout
d’un moment, Axel me relança : « Oui, quoi d’autre ?
»
« Eh bien, j’imagine que vous
n’allez pas aimer ça : je vois, ou il me semble que je vois la
présence d’éclairages. Ils donnent une lumière verte…
J’en vois deux rangées… oui, ces sortes d’éclairages
qu’on voit dans les stades de football, très hauts, en batterie. En haut
de sortes de tours… »
J’arrêtai là. « Bon,
Axel, je ne peux pas être sur la Lune. Je vous dois des excuses, j’ai
dû aller quelque part sur Terre. » Axel me fixa pendant un moment. Il
ne souriait pas, et n’avait pas l’air compréhensif ou
tolérant. Je crus que c’en était fini.
« Vous êtes sûr que vous voyez
des éclairages ? De vrais éclairages ? » demanda-t-il
finalement.
« Je vois des éclairages, certes !
Mais comment peuvent-ils être sur la Lune ? »

Axel avait un crayon dans les mains qu’il
tripotait en tous sens. Son absence de sourire se transforma en grimace.
« Merde », dit-il finalement,
en cassant le crayon en deux. J’étais très étonné et je
m’attendais pleinement à ce qu’il quitte la pièce,
consterné par le ratage de ma vision à distance. Mais il ne s’en
alla pas.

« Des éclairages, hein ? Vous avez
vu des éclairages ? »
« Eh bien oui. Mais pas sur la Lune,
sûrement. Comment pourraient-ils être sur la Lune ? » Axel me
fixait, sans rien dire.

(…)

Une base extraterrestre…sur la
Lune

D’anciennes installations
extraterrestres sur la Lune :

Nous n’étions pas préparés
à une telle éventualité. Nous en étions encore à chercher
dans nos écrits la réponse à cette éternelle question : sommes-
nous seuls dans l’Univers ? Et pendant ce temps on détectait tout
près de chez nous, sur la Lune, les manifestations d’une intelligence
extraterrestre.

D’après le journal russe Vecherny
Volgograd, cette incroyable découverte, dont on redoutait qu’elle
bouleverse notre structure sociale toute entière, fut immédiatement
classée secrète.

(à suivre)

yogaesoteric

22 février 2020

 

Also available in: Română

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