Les psychopathes qui gouvernent les gens (7)

Lisez la sixième partie de cet article

L’école maternelle Mc Martin, ou le « syndrome des faux souvenirs »

Cette affaire débute en août 1983, quand une mère de famille d’un enfant de trois ans de l’école maternelle « la McMartin preschool » située à Manhattan Beach dans la banlieue de Los Angeles appelle la police, pensant que son fils y a été violé. L’enquête officielle va déboucher sur l’absence de tout élément à charge, relayée par les médias, alors même que 90% de la population locale était convaincue de la réalité des abus sexuels sur les enfants de cette maternelle (et d’autres).

Qui plus est, elle veut que la mère soit mentalement dérangée, alcoolique et suicidaire (ses proches ne lui ont pourtant jamais connu de problème d’alcool ni de trouble mental avant d’apprendre ce qui était arrivé à son fils). Celle-ci va d’ailleurs décéder prématurément, à cause de l’alcool auquel elle était allergique, alors que le procès était toujours en cours. Pourtant les examens médico légaux effectués par des spécialistes du Children’s Institute International (CII) à l’université de Californie ont confirmé les dires de l’enfant, qui déclarait avoir été abusé dans des tunnels situés sous l’école, notamment par le fils de la directrice et petit-fils de la fondatrice de l’école, qui travaillait là à mi-temps en tant qu’aide scolaire. Et c’est parce qu’il était rentré de l’école avec l’anus enflammé que sa mère avait réagi, la thèse officielle disant que, devenue obsédée par l’anus de son fils, elle l’a poussé à parler de choses qu’il n’avait pas vécues…

C’est à se demander pourquoi une enquête a été ouverte à ce sujet, pourquoi la police a réuni les parents d’élèves pour leur demander de voir si leurs enfants auraient pu être victimes, et pourquoi une dizaine d’écoles du coin ont été perquisitionnées dans la foulée, et quatre fermées. Mais pour les médias, c’est à ce moment que les parents ont commencé à parler de ces viols qui n’existaient pas, ce qui s’est transformé en délire collectif et en « chasse aux sorcières ». Quant aux spécialistes de l’université de Californie, ils ont été accusés d’avoir induit les réponses. Sur les 400 gamins auditionnés, 80% d’entre eux avaient déclaré avoir subi des abus sexuels. Mais sur ces 360 enfants, seulement 11 ont été entendus lors du procès. Il se termina avec l’intervention d’éminent spécialistes, tels que Richard Gardner de l’université de Columbia, chantre du Syndrome des Faux Souvenirs et du Syndrome d’Aliénation Parentale, disant que les psys qui avaient interrogé les enfants leur avaient induits des souvenirs… Comme pour l’affaire d’Outreau en France, cette affaire est devenue un cas d’école de la dérive qui survient quand on cautionne la parole des enfants. Sauf que de nombreux éléments laissent penser que les enfants ne racontaient pas des histoires, même s’ils pouvaient en avoir l’air…

Si on aimerait croire à la version officielle récusant le crédit de la parole des enfants sans se poser de questions, de nombreux éléments amènent cependant à relativiser la « vérité judiciaire ». Car la McMartin preschool, tout comme d’autres écoles maternelles aux États-Unis, apparaît bel et bien comme un pivot de très grands réseaux de prostitution comme de pornographie enfantine, dont les activités semblent protégées et couvertes par un certain nombre de fonctionnaires locaux, provinciaux et fédéraux. Il en serait de même selon les témoignages d’enfants recueillis depuis cette affaire d’églises, de morgues, diverses habitations, de fermes, de bureaux médicaux, de crèches et autres endroits comme des entreprises. Certains disent avoir été forcés de participer au sacrifice d’animaux mais aussi de bébés et d’autres enfants, d’avoir été obligés de boire leur sang, de poignarder des bébés ou d’assister à leur décapitation, de manger la chair de cadavres. Certains ont été mis dans des cercueils avec les cadavres mutilés. On les a soumis à des pratiques nécrophiles, scatologiques, zoophiles. Ils parlent de viols et sodomies avec des bâtons, avec parfois des adultes habillés de robes noires et chantant en cercle autour d’eux.

Ces éléments ressemblent beaucoup à ce qu’ont décrit d’autres enfants en Europe comme en France. Le complot des psys qui insufflent les faux souvenirs doit être au moins mondial… D’ailleurs, dès février 1985, nombre de policiers savaient que les abus rituels étaient une réalité, l’un d’entre eux, l’officier Sandi Gallant de la police de San Francisco, ayant réalisé un rapport sur le sujet en recensant de nombreux cas à travers les États-Unis et au Canada, où le phénomène semblait se développer aussi. Mais ce rapport destiné à l’Attorney general (procureur) de Californie n’a jamais été transmis au FBI, et le ministère de la Justice a également refusé de l’examiner… 

La « gravité spirituelle » des traumas 

Dans la mesure où le corps humain détient une constellation de modules ou mécanismes de mémoires-programmes (ces « petits-moi » seraient au nombre de 987 selon l’historien russe Boris Mouravieff dans son ouvrage Gnôsis tome 2) qui déterminent la perception, la forme physique et la personnalité, ceux-ci déterminent tout naturellement le « monde » et par-là même la destinée. C’est pourquoi cette dissociation psychologique que constitue un trauma, autrement dit une disharmonie (blessure), est constitutive par la répercussion psychique de l’onde de choc d’alter, soit la création d’un vide dans la mémoire occupé par l’esprit du trauma, celui-ci attirant les entités du corpus prédateur en raison du principe de sympathie, et qui peuvent ainsi résonner avec vos problèmes sous forme de dépression ou d’angoisses. Renforçant le monde subjectif afin de se nourrir, elles amplifient votre propension apparemment innée à vous illusionner vous-même, ces influences mutuelles s’inscrivant ainsi dans un espace-temps se confondant alors qu’il est différent (3-D pour les humains, 4-D pour les entités involutives). De ce fait, les traumas figent une dimension de temps dans le Temps du Rêve (le temps fractal du « kairos ») qui n’est pas linéaire. Cette vulnérabilité aux esprits/entités prédatrices et à leurs forces psychiques découle de l’affaiblissement de la barrière éthérique protectrice. C’est ainsi qu’un être blessé ouvre une porte, comme par exemple la culpabilité d’un animal tué voyant l’esprit de ce dernier venir se loger en compensation de la perte de son corps… A l’inverse, il ne peut y avoir d’intrusion si l’Unité originelle n’est pas brisée. 

Comme certaines fonctions sont liées à ces fragments dissociés, chaque fragment perdu voit la fonction effacée (capacité à faire confiance, à aimer, à s’amuser…). Seule la réintégration de ces fragments fait réapparaître les capacités qui leur sont associées, tout en éliminant les symptômes pathologiques tels que le symptôme de stress post-traumatique. Nul ne s’étonnera alors que la répétition de traumas fragmente littéralement la personnalité et par-là même la réalité perçue, l’individu alternant entre différents mécanismes d’adaptation à la réalité. Elle est constitutive du trouble de personnalité multiple, tout commençant par une première scission de la volonté (la dissociation). 

Programmation de la psyché par le Trouble Dissociatif de l’identité 

Le processus dissociatif est la clé de voûte pour la programmation de la psyché. Cet état modifié de conscience est provoqué par une violente ouverture psychique et spirituelle, l’enfant qui en est victime étant incité à échapper à la douleur ressentie en se dissociant, comme s’il traversait un miroir lui permettant de s’échapper d’une situation insupportable en accédant à d’autres dimensions d’être. La dissociation face à un traumatisme extrême comme une menace de mort évidente se manifeste paradoxalement par un calme soudain et surprenant avec une absence de peur et de douleur, et ce quelle que soit la gravité de la violence. C’est le résultat neurochimique du processus dissociatif. Dans cet état, la victime devient alors intensément concentrée, développant une hyper acuité sensorielle, une rapidité mentale et une sorte d’expansion de la notion du temps. Dans un tel état dissocié et hypnotique, l’enfant devient alors hyper réceptif à l’apprentissage et à la programmation. C’est cet « alter » qui fait l’objet de la programmation. Quant au trauma refoulé dans l’inconscient, il nourrit par sa souffrance le système prédateur vorace. 

C’est pourquoi par le traumatisme qu’ils provoquent les rituels dits sataniques jouent un rôle très important dans la fragmentation de l’esprit et dans la création de ces « alter » ou personnalité multiple. Le rituel satanique est de ce fait associé aux programmes de contrôle mental.

Plus une victime de contrôle mental est traumatisée jeune, mieux son esprit sera programmable. Cela explique que dans ces familles « sataniques » que d’aucuns qualifient d’« illuminatis », les enfants sont soumis à des sévices physiques et sexuels dès leur plus jeune âge, leur esprit étant fragmenté en des centaines de personnalité ou alter programmés par l’invocation d’entités du bas astral qui vont posséder la victime, et/ou par l’utilisation de drogues et d’hypnose. 

C’est ce qui explique au demeurant que la psychiatrie comme la psychologie cognitive faisant appel à l’hypnose peuvent, derrière leur apparence, être liées à des manipulations prédatrices de leurs praticiens plus ou moins conscients. Les hospitalisations en milieu psychiatrique constituent ainsi une manière habile de (re)mettre sous contrôle tel ou tel individu présentant un intérêt ou un risque pour le système … Tous les médicaments psychiatriques – anxiolytiques et autre antidépresseurs – sont non seulement inefficaces mais dangereux, leur seul but étant de programmer les êtres humains et de détruire le lien entre leur âme et le champ de l’Esprit universel qu’exprime leur aura. Grâce à l’utilisation de technologies satellitaires, d’antidépresseurs, de l’internet et de la télévision, on peut dire que 100% des êtres humains sont plus ou moins sous contrôle mental selon leur compréhension du fonctionnement de la Matrice, 10% étant sous contrôle mental total, leur esprit étant totalement fragmenté (ce qui est le cas de la plupart des hommes politiques, des stars de cinéma et du divertissement musical, et des gourous enseignants du New Age). 

Aux États-Unis, de nombreux « survivants » des abus sexuels rituels se sont exprimés. Ils ont créé des blogs, des sites web, témoigné à la télé, dans les journaux, lors de conférences, mis en place des associations d’aide aux victimes de ces abus qui souffrent souvent de divers problèmes tels que les personnalités multiples. Et souvent, ces victimes parlent des mêmes choses : des expérimentations « médicales » (certaines victimes en France parlent de cela aussi), des manipulations mentales, notamment via des chocs psychiques, d’actes de torture, de meurtres rituels. Des personnalités politiques et locales sont mentionnées également. Beaucoup de ces victimes disent avoir voyagé en avion pour se rendre dans les partouzes, y compris dans de hauts lieux du pouvoir, beaucoup étant entrées dans le système parce que leur famille y était et les a fait grandir dedans. Les témoignages ne cessent de s’accumuler. Pourtant, les grands médias – à de rares exceptions – et la Justice continuent à l’ignorer. 

S’il est impossible d’accéder à la vérité par le canal officiel, la pensée unique dispensée par les autorités et le « mainstream » médiatique consistent à pointer du doigt l’« hystérie satanique », s’attachant à maintenir la chape de plomb sur cette sordide réalité. La règle dans ces enterrements judiciaires est de ne pas prendre en compte ce que disent les victimes, qui sont aussi les seuls témoins, parce qu’elles ont l’énorme désavantage de n’être que des enfants. Et si des psys cautionnent leur parole, d’autres spécialistes se chargent de décrédibiliser les experts et les victimes. Après, on met de côté les preuves médico légales – quand elles existent –, et l’affaire est bouclée, à l’image de l’Ouroboros, symbole de la Matrice dévoyée.

Pédocriminalité en France: l’accablant rapport de l’ONU 

Le Rapporteur spécial sur la vente d’enfants, la prostitution des enfants et la pornographie impliquant des enfants, Juan Miguel Petit, a remis le 14 octobre 2003 un rapport portant sur son enquête réalisée en 2002 en France. Particulièrement salé, il révèle l’existence de liens très étroits entre des individus impliqués dans la pornographie et, dans certains cas, des membres du corps judiciaire ou des individus occupant de hautes fonctions dans l’administration publique… Nombre d’adultes concernés avaient des relations sociales très influentes. Le rapporteur insiste en particulier sur la manière dont sont réalisées les procédures judiciaires visant à protéger les enfants des auteurs présumés des abus, sur la négation de ce phénomène par ces autorités en charge, sur les allégations selon lesquelles les personnes qui tentent de mettre les victimes à l’abri de nouveaux sévices sexuels se trouvent parfois en butte à des sanctions disciplinaires, civiles ou pénales, et sur la nature jugée incomplète et partiale des enquêtes menées à l’encontre des auteurs présumés de sévices. 

Ce rapport passé quasiment sous silence par l’establishment médiatique mainstream éclaire sous un autre angle le travail des activistes Stan Maillaud et Janett Seemann dans leur lutte contre la pédocriminalité, et présentés comme des hors-la-loi sinon comme de dangereux complotistes…

Lisez la huitième partie de cet article



yogaesoteric

7 mai 2019

 

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