Le plus grand secret (2)

Par David Icke

Lisez la première partie de cet article

Les francs-maçons ont été aux premières loges (une expression appropriée… n.d.t.) et au premier plan du transfert de pouvoir en Amérique du Nord, qui est passé du contrôle manifeste au contrôle caché. Cette transition est connue au point de vue historique comme la guerre de l’Indépendance américaine. Le Plan de la Fraternité pour l’Amérique était résumé dans l’œuvre de Francis Bacon The new Atlantis (La nouvelle Atlantide) publié en 1607. Dans ce livre, un « Collège Invisible » regroupant l’élite intellectuelle commandait les événements. Un des dirigeants maçons des colonies britanniques en Amérique a été Benjamin Franklin, qui est encore vénéré comme un père fondateur qui croyait en la liberté du peuple. Son visage peut être aperçu sur le billet américain de 100 $. Même le mouvement patriotique chrétien qui a compris plusieurs éléments de la conspiration mondiale, a accepté l’idée que Franklin était de leur côté. Je vous adjure très fortement d’être en désaccord !

Franklin était en fait un membre-clef de la British Intelligence (services secrets britanniques), un adepte du satanisme, un fidèle de la Fraternité babylonienne, et un sacrificateur d’enfants… ! Si les Américains ne veulent pas ici perdre de vue l’objectif du Plan, ils doivent jeter un nouveau coup d’œil sur les motivations de leurs pères fondateurs. A cette époque, Franklin était l’équivalent d’Henry Kissinger. Le 8 décembre 1730, c’est Franklin qui a imprimé le premier article documenté sur la franc-maçonnerie dans son journal The Pennsylvania Gazette. Il est « officiellement » devenu franc-maçon en février 1731, et a été fait Grand Maître provincial de la Pennsylvanie en 1734.

Au cours de la même année, Franklin a imprimé le premier livre maçonnique en Amérique et la première loge américaine a été fondée dans son État, à Philadelphie. Et de quel endroit a été orchestrée la guerre de l’Indépendance américaine ? De Philadelphie, et c’est là que nous retrouvons la fameuse Liberty Bell (cloche de la liberté), un symbole de Bel, le dieu solaire des Phéniciens et des Aryens. La langue des Phéniciens réfère aux sons, et non aux lettres ou à l’épellation du mot, et elle fait partie du langage secret et symbolique des Aryens-reptiliens qui est en fait centré sur le son d’un mot.

Franklin, qui était également Grand Maître rosicrucien, était au cœur des opérations de la Fraternité qui avaient pour but de prendre le contrôle de l’Amérique, et de remplacer le contrôle manifeste par un contrôle caché, la manière la plus efficace et continue de dominer les peuples. J’aimerais convaincre les gens qui croient que des hommes comme Franklin et d’autres pères fondateurs étaient des partisans de la liberté afin qu’ils ne se fassent pas tromper ici. Si je veux que vous me donniez le pouvoir et que vous me supportiez lors d’une élection, est-ce que je dois vous dire ce que vous voulez entendre ou vous dire ce que vous ne voulez pas entendre ? Plusieurs pères fondateurs, dont Franklin et Jefferson, étaient d’incontestables hypocrites qui disaient des choses, mais qui en faisaient d’autres… C’est quelque chose, bien entendu, que tout le monde peut faire de temps à autre, mais on parle ici d’un procédé habituel. 

Jefferson (Ramsès-Piso-Bush) a écrit que tous les hommes sont nés égaux, tout en ayant deux cents esclaves noirs et en écrivant à un autre endroit que le peuple noir est génétiquement et intellectuellement inférieur aux Blancs… ! Comment peut-on faire correspondre de telles déclarations ? On ne le peut pas. Franklin avait aussi des esclaves noirs pendant qu’il répétait ses discours à propos de la liberté… Franklin était le dirigeant franc-maçon à l’endroit d’où la guerre de l’Indépendance a été organisée ; il était membre des réseaux maçonniques en France, comme la loge des Neuf Sœurs et les loges San Juan qui ont œuvré à la Révolution Française en 1789 ; il était un initié de la très exclusive Loge royale des commandants du Temple occidental de Carcassonne ; il était également membre du satanique Hellfire Club avec son ami le ministre britannique des Finances, sir Francis Dashwood (qui était en relation avec plusieurs groupes ésotériques dont le Druid Universal Bond).

Dashwood avait une énorme grotte qu’il avait fait creuser dans son domaine de West Wycombe (Wicca) qui servait à leurs rituels sataniques et aux cérémonies de « magie » sexuelle. Je parlerai des raisons qui se cachent derrière l’obsession des rituels sexuels dans un prochain chapitre. J’insiste encore une fois sur le fait que je ne condamne pas ici toutes les traditions druidiques et « wiccan », pas du tout. Je signale les usages malveillants de cette connaissance, laquelle peut être utilisée très positivement et avec amour par des gens qui se nomment eux-mêmes druides et ou pratiquants de la Wicca. La raison pour laquelle je mentionne que ces personnes étaient des druides, etc., est pour confirmer qu’ils comprenaient et travaillaient avec la connaissance ésotérique tout en la condamnant en public et en se cachant derrière le christianisme.

Parmi les autres membres du Hellfire Club à ce moment-là on comptait le prince de Galles Frédéric, le Premier ministre, le Ministre de la marine, et le maire de la ville de Londres… C’était là les comparses de Benjamin Franklin, l’homme qui allait diriger la « rébellion » contre cette même Couronne britannique ! En vérité, il était l’agent no. 72 des services secrets britanniques, l’organisation qui a été créée par des gens comme Francis Bacon et Dr John Dee pendant le règne d’Elisabeth Ière.

En 1998, des excavations sous une ancienne résidence de Franklin du 36 rue Craven près de Trafalgar Square à Londres ont permis de découvrir les restes des corps de dix personnes, dont six enfants, et leur datation a révélé qu’ils remontaient aux temps où Franklin vivait à cet endroit. Le récit officiel est que lui et sa camarade de chambre auraient pillé des tombeaux ou auraient acheté des corps pour des fins de recherche médicale… Convenant que Franklin était membre d’un groupe qui s’adonnait à des rituels sacrificiels du même ordre que les anciens rituels de la Fraternité babylonienne, pourrions-nous sérieusement croire à cette version officielle ?

Et un autre fait : ces deux adeptes du satanisme, Franklin et Dashwood, ont présenté un livre de messe qui est devenu la base du livre chrétien de prières… Comme Dashwood était également connu sous le nom de lord De Spencer, leur ouvrage fut diffusé sous le titre de Franklin-De Spencer Frayer Book, et aux États-Unis l’ouvrage portait le nom de Franklin Frayer Book. Franklin travaillait en Amérique et en Europe pour le Plan de la Fraternité, comme d’autres « pères fondateurs », et ce n’est pas un hasard si Franklin et Jefferson ont été nommés à des moments différents pour représenter les intérêts américains à Paris, tout comme sir Francis Bacon avait été un représentant « britannique ».

Ce sont les rapports de Franklin avec le réseau de sociétés secrètes en France qui ont poussé tant de révolutionnaires et de francs-maçons français, comme Lafayette, à s’impliquer dans la guerre d’Indépendance américaine. Ses contacts clandestins ont également permis d’obtenir les services du maçon allemand, le baron von Streuben, qui a servi dans l’armée de Frédéric de Prusse. Streuben a joué un rôle prépondérant dans la guerre d’Indépendance, tout comme le grand initié maçon George Washington, dirigeant des forces américaines et premier président des Etats-Unis. La plupart de ses officiers étaient francs-maçons, tout comme les dirigeants et plusieurs troupes de l’armée britannique. Lord Geoffrey Amherst était le commandant en chef des forces britanniques pendant la guerre de l’Indépendance américaine, et l’homme qui a payé pour se faire nommer officier a été Lionel Sackville, le premier duc de Dorset, un associé du duc de Wharton.

En 1741, Sackville et Wharton sont devenus des chevaliers de l’Ordre de la Jarretière, l’ordre élitiste et chevaleresque de la monarchie britannique qui était amalgamé aux autres groupes de chevalerie comme les Chevaliers de St-Jean de Jérusalem (les Chevaliers de Malte). L’emblème des Chevaliers de l’Ordre de la Jarretière est une croix rouge sur un bouclier blanc. Sackville a donc fondé le réseau de la franc-maçonnerie du Grand-Orient en Italie, lequel coopérait avec la société très secrète des Carbonari ainsi qu’avec la loge Alta Vendita. Ses fils, George et Charles le comte de Middlesex étaient tous deux des maçons très actifs.

En 1733, Charles Sackville a créé une loge à Florence, le bastion de la Noblesse Occulte, et il a co-fondé avec sir Francis Dashwood la société Dilettanti. Charles Sackville et Dashwood étaient membres d’un groupe élite de francs-maçons gravitant autour de Frédéric le prince de Galles, qui était un membre du Hellfire Club, comme je l’ai dit précédemment. Le frère cadet de Charles, George, est devenu colonel du 201ème régiment d’infanterie (qui est devenu plus tard les Fusiliers du Lancashire) ainsi que Maître de leur loge maçonnique. Un des directeurs de cette loge était le lieutenant-colonel Edward Cornwallis, un autre commandant supérieur de l’armée britannique pendant la guerre avec les colonies américaines.

Cornwallis, dont le frère jumeau était l’archevêque de Canterbury, a été fait gouverneur de la Nouvelle-Ecosse (Canada) en 1750, et a fondé une loge maçonnique là-bas. Le capitaine James Wolf a servi sous les ordres de Cornwallis. Cet homme a été une autre figure de proue qui allait jouer un rôle important pour les Britanniques au cours de la guerre d’Indépendance. En 1751, George Sackville est devenu Grand Maître de la Grande Loge irlandaise, à laquelle les loges de terrain de l’armée britannique étaient affiliées. En 1775, alors que la guerre battait son plein aux États-Unis, ce même George Sackville, qui était intime avec le roi de la Noblesse Occulte George III (Ramsès-Piso-Bush), a été nommé Ministre en charge des colonies américaines ! C’était le même réseau auquel Benjamin Franklin était relié.

En résumé, la Fraternité babylonienne, par le biais des francs-maçons, a contrôlé et manipulé les deux opposants de la guerre de l’Indépendance américaine, comme elle l’a fait dans toutes les autres guerres… Comme les historiens l’ont relaté, les opérations militaires et navales britanniques pendant cette guerre étaient incroyablement ridicules. Les colonies n’ont pas gagné la guerre, ce sont les Britanniques qui ont choisi de la perdre ! Maintenant, nous allons constater comment et par quels moyens cela est devenu possible. Les régiments britanniques étaient inondés de loges maçonniques qui étaient reliées à leurs filiales de l’armée américaine.

Pendant la période cruciale, Benjamin Franklin s’est installé à Paris, et de là il pouvait communiquer facilement avec les loges françaises et britanniques. Paris était et est encore un centre principal du réseau d’espionnage britannique. Le Ministre britannique des postes et des communications avait traditionnellement un rôle d’espionnage, et pas le moindre, car il détenait le pouvoir de tous les moyens de communication. La Grande-Bretagne a partagé le rôle en deux personnes : Francis Dashwood (disciple satanique de Franklin) et le comte de Sandwich. Ils avaient précédemment créé une société secrète, l’Ordre de St-François. C’était l’équivalent du Hellfire Club.

Le comte de Sandwich a été nommé Ministre de la marine en charge de la guerre navale contre les colonies américaines, et l’encyclopédie Britannica dit que, côté corruption et incapacité, l’administration du comte de Sandwich a été unique dans l’histoire de la marine britannique ! Le commandant des opérations navales, l’amiral Richard Howe (qui a été inepte, volontairement), a été amené avec Franklin en 1774 par la sœur de ce dernier qui vivait en Angleterre et qui était membre de son réseau d’espionnage. Richard Howe a par la suite admis en public qu’il n’avait pas parlé à ses supérieurs de ses rencontres avec Franklin. Au cours des trois ou quatre années qui ont mené à la Déclaration d’Indépendance américaine de 1776, Franklin a passé ses étés dans le domaine de Dashwood dans le West Wycombe au nord de Londres, où il prenait part à des « rituels » dans les grottes spécialement créées et creusées sur les ordres de Dashwood, dégageant des endroits propices à leur culte satanique.

Une statue d’Harpocrates, le dieu grec du secret et du silence, a été trouvée dans les locaux du Hellfire Club. Il était représenté avec un doigt tenu sur sa bouche. Les statues d’Harpocrates sont fréquemment retrouvées à l’entrée des temples, des grottes et autres endroits où les mystères étaient communiqués et accomplis. C’était Dashwood et Franklin (qui était Ministre des Postes et des Communications pour les colonies) qui coordonnaient la guerre dans les deux camps afin de s’assurer du dénouement c’est-à-dire du contrôle occulte des États-Unis par la Fraternité babylonienne à Londres.

La guerre de l’Indépendance américaine a officiellement éclaté en 1775, provoquée par une augmentation des impôts dans les colonies, initiée par la Couronne britannique. Cette augmentation était justifiée pour pouvoir rembourser les frais exorbitants engendrés par la guerre de Sept-Ans qui avait eu lieu entre la Grande-Bretagne et la Prusse d’une part, et la France, l’Autriche et leurs alliés d’autre part, un autre conflit généré par la Fraternité.

La guerre de Sept-Ans a commencé après que George Washington (Ramsès-Piso-Bush), alors un jeune dirigeant militaire dans l’armée coloniale britannique, aurait ordonné que soient tuées les troupes françaises en Ohio. Les assises de la révolution américaine ont été établies lorsque la Fraternité à Londres s’est assurée que de nouvelles taxes seraient imposées, et que leurs représentants dans les colonies aient commencé à stimuler l’esprit de rébellion. C’est une technique classique utilisée depuis des lustres ! Le peuple qui se trouvait au beau milieu de tout cela n’avait aucune idée de ce qui se passait, prenant tout au pied de la lettre.

Parmi les rebelles américains, il y avait les francs-maçons Patrick Henry et Richard Henry Lee qui ont dirigé une rébellion près de l’Assemblée de Virginie en 1769. La situation avait atteint son point critique avec l’adoption du Tea Act qui permettait à la compagnie de la Fraternité, la British East India Company de décharger son surplus de thé dans les colonies sans payer les taxes. Cela détruisait manifestement le marché pour tous les autres. L’histoire officielle raconte que des amérindiens Mohawk seraient montés à bord d’un navire nommé le Darmouth dans le port de Boston et qu’ils auraient jeté à l’eau la cargaison de thé. L’événement a été surnommé le « Boston Tea Party ».

En fait, les « rebelles » n’étaient pas des Amérindiens mais plutôt des francs-maçons de la loge de St. Andrew à Boston habillés en Amérindiens… Ils étaient dirigés par leur nouveau directeur, Paul Révère. Cet événement ne peut s’être produit sans le support de la milice coloniale contrôlée par la Grande-Bretagne qui avait été postée à la garde du Darmouth. Le capitaine d’un détachement, Edward Proctor, était membre de… la loge de St. Andrew ! Cette loge était la première au monde à conférer un nouveau grade maçonnique, le degré des Chevaliers Templiers. Le Grand Maître Joseph Warren a été nommé Grand Maître de toute l’Amérique du Nord par la Grande Loge d’Ecosse. Parmi les membres de la loge de St. Andrew, on retrouvait John Hancock. C’est lui qui est devenu la tête dirigeante du soi-disant Continental Congress (Congrès continental), qui a signé la Déclaration d’Indépendance américaine. Au moins trois membres de la loge St. Andrew, dont Paul Révère, étaient membres des « loyal nine » (les neuf loyaux), une élite interne d’un important groupe révolutionnaire appelé Sons of Liberty (Fils de la liberté). C’est ce groupe qui a organisé le Boston Tea Party.  

Lisez la troisième partie de cet article

 

yogaesoteric

28 octobre 2019

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