Pourquoi tout le monde semble-t-il avoir oublié comment fonctionne le système immunitaire ? (1)

Le « terrain », les nutriments essentiels, le Covid-19 et les vaccins

Par Dr Alan Palmer — Children’s Health Defense

Le bombardement médiatique autour de la crise du Covid-19 omet étrangement toute mention du pouvoir du système immunitaire humain. Il est essentiel pour les personnes qui ont un esprit critique de regarder au-delà du vacarme et d’apprendre pourquoi un mode de vie sain et une approche nutritionnelle ciblée — que je défends passionnément depuis plus de 30 ans dans ma pratique — constituent en réponse au Covid-19 une stratégie à ce point efficace.

Microbe ou terrain ?

Cette question reprend le grand débat entre deux hommes de science célèbres, Louis Pasteur et Antoine Béchamp. L’essentiel du débat peut se résumer à cela : Les microbes (Pasteur) provoquent-ils les maladies ? Ou est-ce un terrain pauvre (Béchamp) qui permet aux microbes de s’implanter et de se propager à un rythme rapide ? En d’autres termes, l’exposition à un microbe signifie-t-elle que vous êtes destiné à « attraper » la maladie ou à être « infecté » ? Le microbe possède-t-il le pouvoir total de contrôler votre destin ? Ou la personne exposée est-elle un hôte réceptif ? Son système immunitaire est-il une machine bien réglée, ou est-il faible et insuffisant ? En d’autres termes, son niveau de résistance à l’exposition est-il élevé ou faible ?

Nous baignons dans une mer de micro-organismes

Les scientifiques ont déterminé qu’il existe approximativement :
•  30 milliards de milliards de cellules dans un corps humain de taille moyenne ;
•  40 milliards de milliards de bactéries sur et dans le corps humain ;
•  380 milliards de milliards de virus sur et dans le corps humain ;

Ainsi, et à en juger par les chiffres, il semblerait que les virus soient de loin le plus grand nombre d’organismes présents sur et dans notre corps, quoique nous fassions pour les éviter ou les éliminer. Ils font partie de notre constitution.

Rappelons que dans l’approche matérialiste de Pasteur et de ses suiveurs, notre système immunitaire serait « niais, étourdi et sans conscience » et il faudrait inoculer à l’organisme des agents extérieurs dont il « serait » dépourvu « à l’intérieur », tout en stérilisant l’environnement extérieur constitué de micro-organismes pathogènes à l’influence « néfaste ». On ne sait jamais, des fois que certains d’entre eux nous rendent plus intelligents ou plus réceptifs à certaines idées ou convictions situées à l’opposé du mantra délivré par les autorités bien mal pensantes, basé sur la toute-puissance médicale, pourtant bien insuffisante à éclairer les chercheurs de vérité.

Cette vision limitée de la Vie est exclusive, linéaire, compétitive, iatrogène, inopérante et fait l’objet d’un culte qui prétend que la maladie est extérieur à l’organisme, et qu’elle ne peut jamais, en rien, procéder d’un équilibre intérieur.

Le Projet microbiome humain, lancé en 2007 par les National Institutes of Health (NIH), s’efforce de cartographier, de classer et de comprendre les rôles des habitants de l’Univers qui nous composent. Il nous a permis de mieux apprécier les associations et les relations incroyablement complexes qu’ils jouent dans la santé et la maladie.

Il existe des milliers d’espèces de bactéries et de virus qui se disputent l’espace et le contrôle de nos tissus, composés d’acteurs bénéfiques, d’opportunistes et d’acteurs nuisibles. Ces organismes sont fortement influencés par notre mode de vie, l’exercice physique, le sommeil, l’alimentation et la boisson, et ces facteurs liés au mode de vie ont même une incidence sur l’expression de nos gènes [ce que l’on nomme l’épigénétique – NdT]. Nous appelons symbiotiques tous ces organismes sains, parce que nous bénéficions mutuellement les uns des autres. En fait, nous ne pourrions pas survivre sans eux ! Notre environnement et notre mode de vie déterminent si nous aidons nos organismes symbiotiques à prendre le dessus et à nous doter d’une résistance aux maladies, ou si nous sabotons leurs efforts et favorisons la croissance d’organismes destructeurs et l’effondrement de notre santé.

Des agents essentiels

Les bactéries bénéfiques sont les gardiens et les défenseurs de notre système gastro-intestinal. Elles produisent des vitamines B, des molécules de signalisation cérébrale comme la sérotonine (l’hormone antidépressive du « cerveau » — environ 80 % de celle-ci est fabriquée dans l’intestin), des acides gras à chaîne courte qui nourrissent et maintiennent les cellules qui tapissent notre tractus gastro-intestinal, régulent les cytokines pro-inflammatoires et anti-inflammatoires (molécules de protéines de signalisation cellulaire) pour prévenir les maladies auto-immunes et inflammatoires et de nombreuses autres activités bénéfiques. Les bactéries saines vivent également dans notre bouche, sur notre peau et dans tous les recoins de notre corps. Elles y assurent toutes des tâches de nettoyage essentielles au maintien de la santé. La force de la santé et le nombre de nos bactéries bénéfiques constituent la première ligne de défense de tout notre système immunitaire. On estime qu’il réside pour 70 % dans le tissu lymphoïde associé à l’intestin.

Ensuite, il y a les bactéries nocives qui se disputent les territoires de notre système gastro-intestinal et de tout notre organisme. Une dégradation de la situation se produit dès lors que les facteurs environnementaux font pencher la balance en leur faveur. Notre alimentation, nos modes de vie, nos médicaments, notre utilisation de produits chimiques et notre santé émotionnelle influencent tous ensemble l’équilibre entre les organismes sains et les organismes malsains.

Les bactériophages, en vert, s’en prennent à une bactérie Escherichia coli, en jaune.

Il existe également des virus bénéfiques, sur et dans toutes les parties de notre corps. Les bactériophages [omniprésents dans la biosphère – NdT], parfois appelés phages en abrégé, sont des virus qui infectent les bactéries et finissent par les détruire. Ils peuvent aider à contrôler les populations de bactéries indésirables et nuisibles. Les scientifiques et les médecins du monde entier utilisent depuis des décennies différentes espèces de phages qui s’attaquent aux bactéries pathogènes pour traiter des infections bactériennes graves, voire mortelles, y compris celles causées par des espèces résistantes aux médicaments.

Pourquoi le Covid-19 a-t-il frappé plus durement certaines personnes ? Le terrain !

Le terrain se rapporte au corps et au système immunitaire, et représente notre résistance aux maladies. Nous sommes chaque jour exposés à des millions de micro-organismes et nous le serons pour le reste de notre vie. On estime qu’il existe environ 200 espèces de virus respiratoires ; virus de la grippe, rhinovirus, coronavirus, adénovirus, virus parainfluenza, virus respiratoire syncytial et plus encore. Nous avons toujours vécu et interagi avec ces virus ainsi qu’avec des milliers d’autres. Un grand nombre de ces catégories de virus peuvent chez certaines personnes provoquer des maladies graves et même la mort. Chez d’autres, ces infections sont très bénignes et s’arrêtent d’elles-mêmes. En fait, c’est l’exposition à ces virus, bactéries et champignons qui fait mûrir et renforce notre système immunitaire. Ainsi, l’idée que nous devrions éviter tous les microbes est absurde et s’avère en réalité préjudiciable à notre santé. Deux personnes peuvent être exposées au même virus et à la même charge virale, et l’une tomber malade et l’autre non.

Note du traducteur : Par ailleurs, la liste des symptômes du Covid-19 ne cesse de s’allonger, c’est devenu un fourre-tout bien pratique pour maintenir une peur constante et sans fin. Nul doute que la liste continuera de s’allonger, et tant pis si c’est complètement incohérent, tant pis si nous atteignons des summums de bêtise crasse et mal intentionné, pendant ce temps là, l’État fait sa tambouille, nos libertés chéries s’effritent et le monde sombre dans le chaos d’un Nouvel Ordre Mondial qui accélère tous ses programmes.

Si les deux personnes sont exposées au même organisme, alors pourquoi le résultat est-il différent ? Même microbe, terrain différent. C’est pourquoi le Covid-19 frappe certains groupes beaucoup plus sévèrement que d’autres. Il s’agit notamment des personnes âgées, des obèses, des personnes souffrant de maladies pré-existantes telles que le diabète, les maladies cardiaques, l’hypertension et les maladies vasculaires, les troubles immunitaires, le cancer, les maladies respiratoires, les maladies auto-immunes, les personnes qui prennent certains médicaments, les personnes mal nourries qui consomment en grande quantité (malbouffe) des aliments à faible densité nutritionnelle, carencés en vitamines et minéraux et qui ne prennent pas de suppléments pour compenser ces carences, et même certains groupes minoritaires qui courent tous un risque beaucoup plus élevé de complications graves et de décès. Cela n’est pas surprenant et n’est pas spécifique à cette version de coronavirus ou à tout autre virus ou bactérie pathogène d’ailleurs.

Le Sras-CoV-2 n’est pas unique

Tout au long de l’histoire, les maladies infectieuses ont ravagé les mêmes groupes, les niveaux de mortalité étant beaucoup plus élevés dans les zones densément peuplées, chez les personnes âgées, les obèses, les malades, les zones où les conditions sanitaires sont mauvaises, l’élimination des déchets inadéquate et les réserves d’eau contaminée, les pauvres et les personnes mal ou sous-alimentées (p. 483-492) [Le Dr Alan Palmer fait référence avec ces numéros de pages (il en existe d’autres dans l’article) à son livre en anglais « La vérité triomphera — 1.200 études qui réfutent les allégations sur les vaccins »]. Toutes ces conditions affaiblissent le terrain. Les maladies pré-existantes énumérées ci-dessus présentent toutes des glissements physiologiques et biochimiques qui font que le fonctionnement des organes et des tissus sains est abandonné au profit d’un état de stress oxydatif, d’inflammation et de résistance immunitaire réduite, ce qui fournit un bon hôte pour que le Sras-CoV-2 — le virus qui provoque le Covid-19 — prenne le dessus et se reproduise.

Note du traducteur : Cela peut sembler contre-intuitif, mais nuire à nos bactéries peut être nocif pour notre santé. Par exemple, lorsque nos communautés bactériennes saines sont perturbées par l’utilisation d’antibiotiques, d’autres méchants microbes, également appelés pathogènes, profitent de l’occasion pour envahir notre corps et nous rendre malades. Ainsi, dans un certain nombre de conditions humaines, nos bactéries saines jouent un rôle important dans la prévention de l’intrusion d’agents pathogènes. C’est là que les virus entrent en jeu. Ils ont déjà trouvé comment tuer les bactéries.

Il a récemment été signalé que les populations afro-américaines souffrent de manière disproportionnée d’une plus grande proportion de complications graves et de décès dus au Covid-19. Les raisons probables en sont les revenus plus faibles, les zones urbaines plus densément peuplées et le fait que les Afro-Américains vivent souvent dans des foyers multi-générationnels. Les statistiques montrent que pour les personnes d’origine afro-américaine vivant dans ces conditions, la nutrition est généralement médiocre et que les maladies pré-existantes mentionnées précédemment sont élevées. En outre, les Afro-Américains ont tendance à souffrir de niveaux de vitamine D inférieurs à ceux des groupes caucasiens. Cela est dû à la pigmentation de leur peau, qui bloque la production de vitamine D provenant du soleil, comme l’explique cet article « La Vitamine D et les Afro-Américains » publié en 2006 par Journal of Nutrition — si vous voulez voir l’extraordinaire science qui se cache derrière les bienfaits protecteurs de la vitamine D contre les infections respiratoires, consultez mon article « Statut de la vitamine D en ce qui concerne les complications et les décès liés au Covid-19 ».

Des injections vaccinales qui ne vaccinent pas

Est-il possible que le vaccin anti-grippal soit l’une des variables favorisant la sensibilité des personnes âgées à l’infection par le coronavirus ? Les personnes âgées ont longtemps été [et sont toujours – NdT] un groupe particulièrement ciblé pour la commercialisation du vaccin anti-grippal. Pourtant, une étude récemment commandée par le ministère américain de la Défense, et publiée en octobre 2019 dans la revue Vaccine, « Vaccination anti-grippale et interférence des virus respiratoires parmi le personnel du ministère de la Défense pendant la saison grippale 2017-2018 », a révélé que le personnel ayant reçu le vaccin anti-grippal avait 36 % plus de chances de contracter une infection à coronavirus que celui qui n’était pas vacciné. On sait depuis longtemps que le fait de se faire vacciner contre la grippe peut augmenter le risque de contracter d’autres virus respiratoires, un phénomène connu sous le nom d’« interférence virale ». Pourtant, les CMS (Centers for Medicare & Medicaid Services) [Agence fédérale du département américain de la Santé et des Services sociaux – NdT] exigent que les personnes âgées vivant dans des maisons de retraite et des établissements de soins de longue durée se fassent vacciner contre la grippe. Cette même obligation de les vacciner contre la grippe a probablement rendu ces personnes dont le système immunitaire était déjà affaibli plus vulnérables au Covid-19.

Une note parue en octobre 2005 et intitulé « Les CMS exigeront des maisons de retraite qu’elles vaccinent leurs résidents contre la grippe » indiquait ce qui suit :
« Les maisons de retraite accueillant des patients de Medicare et Medicaid devront vacciner tous les résidents contre la grippe et les maladies à pneumocoques s’ils veulent continuer à participer aux programmes [en d’autres termes, bénéficier des subventions – NdT], selon une règle définitive publiée aujourd’hui par les CMS dans le Registre fédéral. »

Les CMS et le CDC prétendent que 90 % de tous les décès liés à la grippe chaque année concernent des personnes âgées de 65 ans et plus, et ce raisonnement constitue leur justification.

Si le vaccin anti-grippal était très efficace et n’avait que peu ou pas d’effets secondaires, la vaccination de toutes les personnes âgées pourrait être une excellente idée. Le problème avec ce raisonnement soi-disant justifié, c’est que le vaccin anti-grippal n’est ni sûr ni efficace. La très respectée et prestigieuse Cochrane Collaboration, célèbre pour sa Base de données des revues systématiques Cochrane, a publié en 2018 une analyse intitulée « Des vaccins pour la prévention de la grippe chez les personnes âgées ». En examinant les études publiées entre 1965 et 2000, l’analyse a constaté un taux d’efficacité d’environ 3 % pour la prévention de la grippe et de 2 % pour la prévention des maladies de type grippal. Ce sont là de misérables statistiques sur l’efficacité !

La pandémie de Covid-19 et ce que l’histoire nous apprend

Avec l’actuelle pandémie de Covid-19, nous assistons au caractère très concret du débat historique. Je ne dis pas que le virus — le microbe — n’est pas réel ni qu’il ne doit pas être pris en compte, MAIS la résistance de l’hôte est plus importante que l’agent pathogène. Certaines personnes contractent le Covid-19 et ne développent aucun symptôme — selon certaines estimations, jusqu’à 50 % ou plus — ou présentent des symptômes légers. Par ailleurs, certaines personnes sont vaincues par le virus. Il n’est pas étonnant que les grandes villes dont la population présente un taux plus élevé de ces maladies pré-disposantes et une forte densité de population soient plus durement touchées. L’histoire se répète, bien que dans une moindre mesure. Aucune de nos villes modernes ne présente le niveau environnemental particulièrement mauvais de celles qui prévalaient au début du siècle dernier, mais elles présentent certaines caractéristiques similaires.

À la fin des années 1800 et au début des années 1900, les maladies infectieuses ont ravagé les grandes villes d’Europe. La petite vérole, la dysenterie, le choléra, la diphtérie, la grippe espagnole et même la rougeole ont été très meurtrières. Pendant cette période, le bétail, les chevaux, les chiens et d’autres animaux parcouraient les rues en y faisant leurs besoins. Les villes étaient très surpeuplées. Il n’existait pas de moyen efficace d’éliminer les déchets humains et animaux, l’air était putride, l’eau sale, l’approvisionnement en nourriture ne satisfaisant que les besoins de base et la plupart des gens fumaient et mâchaient du tabac. Les corps des gens constituaient des boîtes de pétri vivantes, grouillant d’organismes pathogènes (nocifs), de bactéries, de parasites, de virus et de champignons causant des maladies. Leur « terrain » était un sol fertile, mûr pour les infections car leur système immunitaire était affaibli et submergé. Il est intéressant de noter que de nombreux pays du tiers monde dont les habitants vivent dans des conditions similaires ont encore un taux de mortalité élevé dû aux mêmes maladies infectieuses. C’est la raison pour laquelle une maladie comme la rougeole serait bénigne et passagère dans l’Amérique d’aujourd’hui mais pourrait dans ces pays s’avérer mortelle.

Note du traducteur :

« Entre 1900 et 1920, d’énormes efforts ont été déployés dans le monde industrialisé pour construire une société meilleure. J’utiliserai l’exemple de New York pour parler de trois changements majeurs de la société qui s’y sont produits à cette époque et de leur impact sur la mortalité due aux maladies infectieuses.

1. Eau propre et assainissement

De la fin du XIXe siècle au début du XXe siècle, New York a construit un système extraordinaire pour amener de l’eau propre à la ville depuis les Catskills, un système encore utilisé aujourd’hui. La ville de New York a également construit près de dix mille kilomètres d’égouts pour évacuer et traiter les déchets, ce qui protège l’eau potable. L’Organisation mondiale de la santé reconnaît l’importance de l’eau propre et de l’assainissement dans la lutte contre les maladies infectieuses. (2)

2. Électricité

De la fin du XIXe siècle au début du XXe siècle, New York a construit un réseau électrique et câblé la ville pour que l’électricité soit disponible dans chaque foyer. L’électricité permet la réfrigération. La réfrigération est un héros méconnu en tant que bienfait pour la santé publique. Lorsque les aliments sont réfrigérés de la ferme à la table, le public est protégé contre les maladies infectieuses potentielles. L’énergie renouvelable bon marché est importante pour de nombreuses raisons, notamment pour lutter contre les maladies infectieuses.

3. L’industrie pharmaceutique de Rockefeller

De la fin du XIXe siècle au début du XXe siècle, New York est devenue le siège de l’Institut Rockefeller pour le Medical Research (aujourd’hui l’Université Rockefeller). L’Institut est le lieu où l’industrie pharmaceutique moderne est née et il fut le pionnier de nombreuses approches utilisées aujourd’hui par l’industrie pharmaceutique, y compris la préparation de sérums vaccinaux, pour le meilleur ou pour le pire. Le vaccin utilisé sur les soldats dans l’expérience de Fort Riley a été cultivé sur les chevaux.

Les données sur les taux de mortalité aux États-Unis du début du XXe siècle à 1965 indiquent clairement que l’eau propre, les toilettes à chasse d’eau, les systèmes d’égouts efficaces et les aliments réfrigérés se sont tous combinés pour réduire efficacement la mortalité due aux maladies infectieuses AVANT que les vaccins contre ces maladies ne soient disponibles. »

Source : Le psychopathe Rockefeller est-il à l’origine de la pandémie de « grippe espagnole » de 1918 ? 

Lisez la deuxième partie de cet article

yogaesoteric

11 janvier 2021

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