L’Univers électrique « hérétique » — Un nouveau paradigme (6)

par Wallace Thornhill — The Watchers

Dans cet article novateur, Wallace Thornhill présente une nouvelle théorie du tout : l’Univers électrique. Mettez de côté tout ce que vous croyez savoir sur toutes les choses, grandes et petites, car les idées présentées ici bouleversent la donne. Y a-t-il eu un big bang ? Peu probable. La relativité d’Einstein ? Ne tient pas la route. Le Soleil est-il un réacteur à fusion thermonucléaire qui finira par manquer de combustible et par brûler ? Non. Y a-t-il des trous noirs ? Rien de tel. Qu’en est-il de la matière noire et de l’énergie noire ? Oubliez ces absurdités et commencez à vous intéresser à la science du 21e siècle. « […] l’Univers électrique est la seule cosmologie cohérente ayant correctement prédit et expliqué les découvertes de l’ère spatiale. » 

Lisez la cinquième partie de cet article 

La cohérence en temps réel de l’Univers électrique

Qu’en est-il du temps ? Toute la matière de l’Univers étant connectée en temps réel par la force électrique de la gravité, le temps est universel. Il ne peut y avoir de distorsion du temps ou de voyage dans le temps, ce que le bon sens nous a toujours rappelé. Cependant, les horloges atomiques — nos montres les plus précises — sont sujettes à des changements d’état de résonance en fonction de leur énergie. Et avec une véritable définition de l’énergie, nous pouvons voir que les horloges atomiques en orbite au-dessus de la Terre « fonctionnent » à un rythme différent de celles qui sont au sol. Oubliez Einstein ! Pour les géo-positionnements par satellite, ou GPS, les ingénieurs ne font que régler leurs horloges au sol pour qu’elles comptent un nombre différent de « tics » en orbite afin de maintenir des heures identiques à celles du sol.

Biologie électrique

Si les informations sur la matière normale peuvent être transférées en temps réel, pourquoi ne pas disposer d’informations plus subtiles nécessaires à la cohérence des systèmes vivants complexes ? La biologie moderne n’a aucune idée de la façon dont les systèmes vivants maintiennent un contrôle cohérent au sein d’un corps. Nous entrons ici dans le domaine occupé par des scientifiques comme le biologiste Rupert Sheldrake, avec sa théorie de la résonance morphique, et le biologiste cellulaire Bruce Lipton, avec son « intelligence » de la cellule vivante résidant dans les récepteurs de la paroi cellulaire externe. Nous disposons d’un véritable modèle scientifique pour étudier la connexion corps-esprit, « l’énergie subtile » des systèmes vivants, de la mémoire et de la conscience. Les nombreux sujets tabous pour les micro-spécialistes d’aujourd’hui pourraient enfin être ouverts à l’investigation. Ce modèle plaide en faveur d’un Univers cohérent, interconnecté et conscient.

Note du traducteur : Pour Rupert Sheldrake, voir ses ouvrages Une nouvelle science de la vie et Réenchanter la science. Pour ce qui est de Bruce Lipton, biologiste cellulaire, nous renvoyons le lecteur à son ouvrage Biologie des croyances. Ses recherches révolutionnaires sur la membrane cellulaire ont eu un rôle précurseur dans le développement de la nouvelle science connue sous le nom d’épigénétique et ont fait de lui l’un des noms les plus célèbres dans le domaine de la nouvelle biologie.

Une vue d’ensemble

La cosmologie de l’Univers électrique représente une révolution scientifique ET culturelle sans précédent. Les arts, l’histoire et les sciences sont combinés dans un panorama phénoménal et impressionnant de l’histoire récente de la Terre et de l’humanité. Seuls les quelques humains qui ont vu la Terre depuis l’espace ont peut-être ressenti l’inspiration qu’offre une telle perspective. La veille de Noël 1968, le vaisseau spatial Apollo 8, avec les astronautes Frank Borman, Jim Lovell et Bill Anders, est entré en orbite lunaire. Au début de la quatrième orbite, leur vaisseau spatial émergeait de l’autre côté de la Lune lorsque « Lever de Terre », l’une des images les plus influentes de l’histoire, a été prise. L’image a affecté Anders qui a plus tard déclaré : « C’est la seule maison que nous ayons et pourtant nous sommes occupés à nous tirer dessus, à menacer de guerre nucléaire et à porter des ceintures explosives. Cela me stupéfie. »

Ce commentaire d’Anders souligne qu’avant de pouvoir comprendre l’Univers, nous devons d’abord nous comprendre nous-mêmes. Et pour notre survie à long terme, nous devons comprendre l’origine de notre peur existentielle, qui est au cœur de notre comportement irrationnel et destructeur envers les autres et la planète. Un besoin désespéré d’ordre semble animer la cosmologie moderne du Big Bang, qui est revenue au mysticisme pythagoricien et platonicien. Il semble significatif que la vraie science [28], la recherche de la vérité, ait été perturbée dans la catharsis qui a suivi la fin de la folle Première Guerre mondiale. Le monde était désireux d’échapper à la réalité d’une nouvelle apocalypse. Dernièrement, j’ai découvert que les grands scientifiques européens du XIXe siècle, qui expérimentaient l’électricité et le magnétisme, étaient proches d’une compréhension réelle et cohérente de la gravité, du magnétisme, de la lumière, de l’atome et de l’Univers électrique. Malheureusement, nous avons perdu un siècle ou plus.

Le Big Bang trouve son origine dans le mythe de la création selon lequel un « œuf cosmique » primordial s’est divisé à son ouverture. Historiquement, nous avons les exploits inexpliqués des dieux planétaires brandissant leur arme apocalyptique — le « coup de foudre des dieux ». Pourquoi existe-t-il un accord mondial sur les dieux planétaires ? Vénus est toujours une femme ; la belle princesse aux longs cheveux flottants, ou son alter-ego, le terrible monstre Méduse aux cheveux serpentins et venimeux. Mars est toujours masculin ; l’archétype du héros guerrier qui sauve la belle princesse des monstres du chaos. Il est balafré au combat. Les Indiens d’Amérique du Nord appelaient Mars « Scarface ». Comment ces histoires dramatiques sur de minuscules taches de lumière en mouvement dans le ciel nocturne ont-elles pu se produire ? De telles questions fondamentales ne viennent jamais à l’esprit des spécialistes d’aujourd’hui, qui ont été amenés à croire au Système solaire de Newton, au sein duquel les « funestes catastrophes » n’ont pu se produire que dans un passé insondable et lointain.

De façon paradoxale, les religions sont l’élément le plus divisible de l’existence humaine. Elles n’apportent pas de réponses scientifiques mais posent plutôt des questions fondamentales auxquelles l’humanité est confrontée. Quelle est l’origine de la fascination de Chicken Little pour la fin des temps, pour l’apocalypse ? Au cours de ma vie, j’ai été témoin de la peur d’un hiver nucléaire, de celle d’un impact de comète ou d’une ère glaciaire, et maintenant c’est la peur du réchauffement climatique et d’une pandémie. Quelle est l’origine de l’obsession des humains pour les dieux célestes, les anciens dieux planétaires en guerre et leur arme apocalyptique — la foudre ? J’étais au lycée quand j’ai trouvé une réponse. En 1950, l’éditeur de manuels scolaires, The Macmillan Company, a publié un best-seller d’Emmanuel Velikovsky intitulé Mondes en collision. Ce livre m’a inspiré une enquête médico-légale multidisciplinaire bien documentée sur les références globales aux dieux planétaires et à leurs interactions. Les archétypes et les exploits de chaque planète sont les mêmes partout dans le monde. Ils ont dû être observés lorsque la Terre tournoyait sous un spectacle céleste. Mais il semble que nous n’apprenions jamais des erreurs du passé. Mondes en collision a subi l’équivalent moderne d’un manuscrit médiéval infernal qu’il faut détruire selon des prêtres astronomes qui ont menacé de boycotter le commerce des manuels scolaires édités par Macmillan. La société fut contrainte de transférer les droits de son best-seller à Doubleday.

Emmanuel Velikovsky (1895-1979)

Emmanuel Velikovsky est célèbre pour la controverse qui fut connue sous le nom de l’affaire Velikovsky. Ce fut un moment embarrassant pour les scientifiques du courant dominant, qui se sont révélés être des partisans émotionnels d’une secte plutôt que les penseurs rationnels et objectifs qu’ils avaient prétendu être. En fait, leur comportement était si indigne, que le scientifique populiste de l’époque, Carl Sagan, a présenté des excuses, exprimant son regret que les scientifiques et les universitaires aient perdu tout comportement rationnel et toute dignité dans leurs attaques vicieuses contre Velikovsky. Son livre Mondes en collision constitue une incroyable étude pluridisciplinaire qui examine une montagne de preuves indiquant un déplacement planétaire à grande échelle au sein de notre Système solaire avec des conséquences catastrophiques sur Terre au cours de la mémoire historique, et qui sont consignées dans les contes bibliques et les mythes du monde entier.
 

Note du traducteur : Ces sociétés antédiluviennes ont de façon extrême vécu des cataclysmes mondiaux d’une ampleur dévastatrice. Ils ont compris leur gravité et ont transmis cette compréhension sous forme de légendes, de mythes et de symboles — un avertissement pour le futur, à savoir nous. 

~  Planète X, comètes et changements terrestres par James M. McCanney – Ce qui se profile à l’horizon  :
« Aujourd’hui, nous retrouvons les vestiges d’anciennes sociétés. D’immenses villes s’élevaient dans ce que nous appelons aujourd’hui l’Amérique du Sud bien avant l’époque dite glaciaire ou la prétendue traversée du détroit de Béring par les premières tribus de chasseurs. À la lumière de ces découvertes, nous ne pouvons que constater l’aspect complètement erroné de l’histoire enseignée en tant que « savoirs standards ». De nombreux secteurs de la société moderne déploient des efforts considérables pour faire obstacle à toute révélation sur la nature réelle et authentique de notre passé. Les socles du savoir que sont nos universités, certains centres religieux et les gouvernements de la société occidentale ne ménagent pas leur peine pour empêcher cette information d’atteindre le grand public. Ils craignent que cette connaissance ne libère les gens de la domination qu’ils subissent actuellement. » ~ James Canney

Le célèbre astronome Sir Fred Hoyle a écrit :
« Le livre [Mondes en collision] a fait sensation à la fois auprès du public et des astronomes, ces derniers étant poussés à des manifestations d’indignation quasi violentes. Des personnalités aussi éminentes que Harlow Shapley ont été fortement impliquées. On peut dire que Shapley s’est mis en colère jusqu’à l’incohérence. »

À propos de Velikovsky, Hoyle a écrit :
« Il croyait à la primauté des preuves documentaires, alors que nous croyions à la primauté des règles mathématiques, des règles qui nous permettaient de prévoir, avec un haut degré de précision, où et quand allait se produire la prochaine éclipse totale du Soleil. »

Cette croyance en un Système solaire primordial au mécanisme d’horlogerie newtonien et le rejet des preuves contraires sont non scientifiques mais caractéristiques des théoriciens des mathématiques. Elle permet un rétro-calcul sans contrainte. Mais les lois de la physique sont créées par l’homme et sujettes à révision, en particulier dans le cas de la force de gravité, qui, en ce 21e siècle, n’a toujours pas d’explication physique. La loi donne une description purement mathématique des orbites des planètes. Pourtant, la force de gravité déséquilibrée ne possède pas de mécanisme de rétroaction propre à maintenir un certain agencement pour trois corps en orbite ou plus. Ce fait troublant est ignoré [29]. Néanmoins, Hoyle était ému lorsqu’il posa la question : « se pourrait-il que Velikovsky ait révélé, sous une forme certes scientifiquement inacceptable, une situation que les astronomes sont tenus de cacher par un impératif culturel ? Se pourrait-il que, quelque part dans l’ombre, il y ait une histoire passée dont il est inadmissible de discuter ? » [30]

Velikovsky « sous une forme scientifiquement inacceptable » avait confirmé les soupçons de Hoyle [31]. C’était un polymathe et un psychanalyste — un scientifique classique largement éduqué, contrairement aux experts du siècle dernier. Selon lui, l’humanité démontre un désir évident de ne pas savoir que le Système solaire a récemment connu une histoire catastrophique. Toutes les catastrophes sont repoussées dans un passé incroyablement lointain, de sorte que l’histoire uniformitariste de la Terre se lit comme une rassurante histoire « Il était une fois, il y a longtemps, très longtemps… ». Entre-temps, nous avons mis au point des armes capables de reproduire la destruction du ciel provoquée par les foudres interplanétaires et nous avons placé ces armes entre les mains d’amnésiques, ignorants du besoin inconscient post-traumatique de répéter le passé. Velikovsky a souligné que tant que nous ne nous souviendrons pas de notre passé, nous ne pourrons pas en guérir et nous sommes condamnés à répéter nos modèles irrationnels de comportement non durable les uns envers les autres et envers la planète. Nous sommes notre propre pire ennemi.

De toute évidence, le titre trop dramatique du livre de Velikovsky, Mondes en collision, était trompeur car ce que lui et les mytho-historiens qui l’ont suivi [32] ont décrit était des rencontres électriques rapprochées de la Terre avec d’autres planètes. Bien sûr, nous lisons maintenant que la Lune s’est formée dans des temps lointains par la collision de la Terre primitive avec un corps de la taille d’une planète de Mars. De telles histoires sont le résultat de la boîte à outils vide des astrophysiciens. Ils n’ont pour travailler que des explosions et des collisions. Aucun spécialiste sur Terre ne comprend la cosmologie comme étant la « Reine des sciences » pour la simple raison qu’elle exige une cohérence entre toutes les disciplines. Aucune université sur Terre, qui se concentre sur la micro-spécialisation, ne fournit cela. La philosophie naturelle a été déclarée morte par Stephen Hawking. Cependant, « c’est la science inductive de la philosophie qui enseigne au scientifique dur comment être scientifique » [33]. Et comme l’a écrit Jacques Barzun, « s’il s’éloigne de sa propension à l’auto-annihilation, l’homme philosophe trouvera des voix ancestrales pour le guider. » [34].

Au début des années 60, à l’université, je crois que j’étais le seul étudiant en sciences à hanter la section d’anthropologie de la bibliothèque universitaire. La lecture des mythes de la création inclus au sein de nombreuses cultures différentes m’a convaincu que Velikovsky avait présenté un plaidoyer qui devait trouver une réponse. La cosmologie de l’Univers électrique est le résultat d’une vie de recherche indépendante partagée avec des chercheurs d’inspiration similaire dans les domaines des arts, de l’ingénierie et des sciences. Parce qu’elle inclut des témoignages humains du firmament qui remontent à la préhistoire, elle fournit une image étonnamment détaillée de l’histoire récente du Système solaire et d’une série d’événements interplanétaires dramatiques expérimenté par l’humanité. En conséquence, l’Univers électrique est la seule cosmologie cohérente qui a correctement prédit et expliqué les découvertes de l’ère spatiale. Et en 2019, une expérience indépendante de plusieurs millions de dollars visant à vérifier la nature électrique des étoiles a été menée à bien [35]. L’Univers électrique constitue un saut de paradigme scientifique et culturel qui doit se produire si nous voulons construire un avenir sur ce joyau bleu qu’est notre planète.

Note du traducteur : Le 25 juillet 2020, Thunderbolts Project publiait cette vidéo intitulée « L’Univers magnétique… est électrique ! » :
« Aujourd’hui, dans la littérature astronomique dominante, on entend de plus en plus parler de l’Univers magnétique. Grâce aux grands bonds technologiques, les scientifiques ont appris que de vastes champs magnétiques envahissent le cosmos, et les cosmologistes considèrent de plus en plus le magnétisme comme important dans la formation et l’évolution des structures à toutes les échelles cosmiques. Cependant, la cosmologie centrée sur la gravité n’a PAS prévu un rôle aussi critique du magnétisme. Dans cet épisode, nous explorons pourquoi le soi-disant Univers magnétique est en fait l’affirmation la plus claire possible que l’Univers est en réalité électrique. »

Voir aussi l’interview de Sott effectuée en décembre 2013 avec Wallace Thornhill comme invité (audio et transcription en anglais) :

Extrait :

« Joe :[…] ces anciennes histoires de choses qui se passent dans le ciel, et de dieux et autres peuvent être expliquées par la théorie de l’Univers électrique, mais qu’est-ce qu’elles expliqueraient à propos de ces mythes ? Comment auraient-elles été rendus apparentes pour nous et qu’en apprendrions-nous ?

Wallace : Eh bien l’imagerie utilisée, par exemple l’éclair que Jupiter tenait [dans sa main], a été sculptée par des peuples anciens et elle ne ressemble en rien à ce que nous considérons aujourd’hui comme la foudre, le vieil éclair déchiqueté. L’éclair des dieux a une forme qui est connue sous le nom de plasmoïde. C’est une forme très alambiquée. C’est un peu comme un ballon de football avec un pincement au milieu et parfois avec des flammes ou quelque chose qui sort des extrémités. Cela n’a rien à voir avec la foudre terrestre, mais c’est la forme que prend une décharge, un plasma très mince, le plasma fin de l’espace. Maintenant, nous pouvons en fait remonter jusqu’aux archives historiques et regarder les pétroglyphes, c’est-à-dire les gravures rupestres du monde entier, et il y a une figure particulière qui se distingue et qui se répète par centaines de milliers, voire par millions dans le monde entier et qui s’appelle la figure de l’homme accroupi. Il ressemble à quelqu’un qui accroupit ses jambes à angle droit de son corps, puis ses mollets descendent au sol si vous voulez, puis ses bras sont levés à angle droit de son corps, mais sous les coudes et les genoux de ces personnages se trouvent deux cercles lumineux et la question était : que cela représente-t-il ?

© Images réunies par Anthony Peratt

En haut à gauche, représentation d’un plasma en laboratoire ; expériences menées par Anthony Peratt, une autorité de premier plan sur les phénomènes du plasma

En haut à droite (à gauche Australie et à droite inconnu) et en bas, différentes représentations de l’Homme accroupi

En général, on pensait que c’était juste une sorte de figure humaine stylisée et donc l’homme accroupi. Mais un des grands physiciens des plasmas, une de ses prétentions à la célébrité est que les instabilités dites des plasmas portent son nom car il les a étudiées dans des décharges électriques très élevées. Et elles prennent une série de formes bien distinctes ; l’une d’elles, quand on la regarde de côté, ressemble à l’homme accroupi avec les deux anneaux ou les deux cercles entre les coudes et les genoux. C’est si clair et ça marche si bien avec les gravures rupestres et les autres formes de gravures rupestres ; parce qu’il a identifié les autres formes d’instabilités plasmiques, ce que cela signifie, c’est que les peuples anciens voyaient dans le ciel quelque chose d’assez phénoménal et qu’il s’agissait d’une décharge électrique entre les planètes au sein du Système solaire. Et bien sûr, selon les astronomes, c’est impossible.

Joe :
Cela suggère que ces peuples primitifs et anciens des cavernes en savaient plus sur la nature de notre Univers que la NASA.

Wallace : Oui. C’est pourquoi nous devrions leur prêter attention de façon plus attentive et ne pas simplement rejeter ce qu’ils ont à nous dire comme étant un simple mythe et une légende qui n’aurait rien à voir avec la réalité.

Joe :
Et pensez-vous que certaines des choses qui ont été décrites dans ces mythes et légendes et gravées sur les parois de ces grottes, etc., étaient révélatrices d’une sorte de rencontre rapprochée avec une comète ou quelque chose qui a eu un impact direct sur la vie de ces gens plutôt qu’une simple chose ?

Wallace : Quand les pyramides ont été construites, les histoires étaient déjà des souvenirs, donc c’est quelque chose qui s’est passé dans la préhistoire, mais qui a été commémoré par les anciennes civilisations, qui bien sûr, comme nous le savons, semblent surgir de nulle part. Eh bien, elles sont nées des ruines de ce qui existait avant cela. Cela signifie que l’histoire de la race humaine, de la Terre et du Système solaire a connu un chapitre récent très dramatique, que nous pouvons en fait reconstituer dans une certaine mesure et qui correspond à ce que les astronomes pensent aujourd’hui être l’endroit le plus probable pour trouver de la vie dans l’Univers. Il s’agit de planètes associées à des naines brunes, de petites étoiles qui brillent faiblement mais dont l’énergie est suffisante pour donner la vie, si vous voyez ce que je veux dire.

Il semble que l’histoire de la Terre ait été impliquée dans un de ces types de systèmes. Cela ressemble à de la science-fiction, mais nous avons réussi à rassembler les preuves et il semble que ce soit le cas. Ce que les anciens voyaient et consignaient sur des rochers, c’était les dernières pages de ce dernier chapitre de l’histoire du Système solaire où la Terre était défigurée par des planètes comme Mars et Vénus, de près et de façon directe. Et lorsque les planètes s’approchent suffisamment pour que leurs environnements électriques s’entrechoquent, alors vous obtiendrez ces phénomènes colossaux de décharge de plasma. Et c’est ce que les anciens représentaient sur les rochers. Ils pensaient que c’était si important, si étonnant et si terrifiant que c’était la chose la plus importante qu’ils pouvaient faire parce que je sais que le physicien du plasma qui a fait la connexion a dit qu’il avait essayé de graver sur un morceau de roche ce que ces gens avaient fait et il a dit que c’était un sacré travail. Il ne savait pas comment ils y étaient parvenus. »
~ Behind the Headlines: The Electric Universe – An interview with Wallace Thornhill  

Notes :

28. Bruce G. Charlton, Not Even Trying… The Corruption of Real Science, University of Buckingham Press. « …la recherche moderne est incohérente, et par conséquent, tout ce qui se déguise en vérification et test n’est pas simplement hors de propos mais activement trompeur – simplement une excuse pour financer sans fin une recherche indéfiniment non concluante. »
29. Sussman GJ, Wisdom J., Chaotic Evolution of the Solar System, Science 257(3): 56-62, 1992. « l’évolution du système solaire dans son ensemble est chaotique, avec une échelle de temps de divergence exponentielle d’environ 4 millions d’années. »
30. Fred Hoyle, Home is where the wind blows, pp. 285-6.
31. Immanuel Velikovsky, Mankind in Amnesia
32. David Talbott, Thunderbolts of the Gods, (2002), Dwardu Cardona, Newborn Star, (2016), Ev Cochrane, Fossil Gods and Forgotten Worlds, (2010).
33. David Harriman, The Logical Leap: Induction in Physics, 2010, p. 243.
34. Jacques Barzun, Science: the glorious entertainment, p. 306.
35. See safireproject.com  

À propos de l’auteur

Wallace William Thornhill est titulaire d’une licence en physique et électronique de l’université de Melbourne. Il a quitté ses études de troisième cycle pour travailler chez IBM Australie pendant 11 ans. En 1967, il a été l’ingénieur système d’IBM pour les écoles de recherche de l’Université nationale australienne, ce qui lui a donné un excellent accès aux bibliothèques et aux scientifiques de cette université pendant les missions Apollo sur la Lune.

yogaesoteric

14 décembre 2020

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