Les traces mystérieuses et fascinantes des pas de Dieu dans la manifestation

Extrait du livre « Les traces mystérieuses et fascinantes des pas de Dieu dans la manifestation », auteur professeur de yoga Gregorian Bivolaru, livre paru à la maison d’édition Firul Ariadnei.

À la découverte du parfum mystérieux de la présence de Dieu dans la Création

Les traces mystérieuses et fascinantes des pas de Dieu dans la manifestation sont partout où l’on regarde. Cependant, bon nombre de nous s’empêchent, traversent la vie comme des aveugles, en cherchant un sens à tout ce qu’on voit. Et lorsque la preuve apparaît et languit d’être reconnue en cette qualité, le voile de nos continue à nous séparer de la vérité. Nous formulons une fois de plus la question de Pilat avait posé à Jésus: „Qu’est -ce qu’est la vérité?” Du fait que nos encres pour la vérité ont été depuis longtemps éloignées au nom de la „science”, nous flottons en dérive dans une boue de relativisme en permanent changement.

Dans nos essais désespérés d’expliquer ce que nous voyons – mais en niant cependant la vérité, le fait que Dieu est le fondement de tout – nous inventons des théories et des spéculations sur la façon dont tout s’est passé. Pour rendre nos idées et nos suppositions plus acceptables, nous les embellissons de beaux mots, comme “un nouveau paradigme scientifique”. Ensuite nous spéculons: si on accorde suffisamment du temps, ou une infinité d’essais, on en accord avec une loi qui n’est pas encore totalement compris, on pourrait, par exemple, avoir un univers anthropique.

En accumulant suffisamment de postulats genre: il se peut d’avoir eu… peut-être que… nous les avons vêtus dans le respect de la science et nous nous félicitons pour notre intelligence. Quelle folie! Notre arrogance étudiée se trouve en fait dans la voie de notre vraie éducation. On ne doit pas être surpris par le fait que les écritures nous disent que nous et notre sagesse, nous allons périr. Dans l’Ancien Testament, Isaïe, nous sommes avertis à ce sujet. De Nefilimi 9:28, nous apprenons: „Ô, quel plan vilain du mal! Ô, vanité et faiblesse et folie des gens! En possédant quelques connaissances, ils se prennent pour des sages et ils ne considèrent pas le conseil de Dieu, ils Lui tournent le dos, en supposant qu’ils se connaissent eux-mêmes, bien que leur sagesse soit de la folie et qu’elle ne leur sert à rien. Et ils vont périr.”

Les expériences d’EMI (Expérience de Mort Imminente) – une empreinte claire

Nous parlons des empreintes de Dieu. Où pourrait-on les découvrir? Commençons par les expériences de mort imminente. À notre avis, elles représentent l’une des plus claires empreintes de Dieu. Les tentatives d’expliquer comment les phénomènes d’EMI (expérience de mort imminente) sont extrêmement nombreux. Les EMI corroboratives, c’est-à-dire les expériences qui peuvent être ultérieurement vérifiée par des témoins, où l’individu qui quitte le corps voit les choses de l’extérieur, des choses qui ne pouvaient pas être vues normalement par la personne en question, deviennent de plus en plus nombreux. Le travail de Kenneth Ring avec des personnes qui ont vécu des EMI est un exemple étonnant de recherche actuelle, où il est très difficile de trouver d’autres explications à part celle spirituelle.

Peut-être qu’un autre exemple d’expérience EMI corroborative va nous aider dans ce sens. Elane Durham a eu une expérience EMI prolongée, en 1976, comme résultat d’une tumeur cérébrale, qui a déterminé une crise cardiaque. Bien qu’inconsciente, elle s’est vue transportée en ambulance à l’hôpital Mercy de Chicago. Après être arriver à l’hôpital, Elane a été conduite dans une chambre d’urgence ; toute de suite, elle a quitté son corps physique et est partie vers un monde plus beau. Elle a été retournée de ce monde à l’aide du défibrillateur, revenant de nouveau dans le corps, de façon violente et douloureuse. Pour un certain temps, elle a été consciente de la confusion qui a pris l’équipe médicale qui lutter pour la sauver. Elle a aperçu aussi une assistante de la chambre qui priait pour elle. Ensuite, son état est devenu de mauvais, jusqu’à ce qu’elle a entendu le docteur dire: „On ne peut plus rien faire. Elle est perdue. Enlevez-la.”

Mais avant de définitivement renoncer à elle, le docteur avait fait appeler un prêtre, qui officie la dernière messe. Le prêtre est arrivé toute de suite après que l’ordre de préparer le corps d’Elane pour la morgue avait été donné.
Le prêtre a commencé a officié la messe de bénédiction, qu’elle a pu entendre mot pour mot. Pendant qu’il priait, Elane a dit qu’elle avait ressenti „une énergie incroyable, une force immense qui est allé de la tête jusqu’aux pieds, dans des vagues tièdes”. Toute de suite après, elle a à nouveau quitté son corps et, en montant au-dessus, elle a vu le prêtre.

En 1998, Elane a décrit en détail toute cette expérience, dans son livre « Je me déclare complètement éblouie » et elle y a inclus une déclaration écrite du prêtre qui avait fait le dernier service religieux il y a 22 ans ; il a confirmé ce qu’elle a raconté. Quand il est arrivé sur place, il avait appris qu’elle était morte depuis 15 à20 minutes. En vérifiant le corps, il a conclu qu’il n’y avait aucun signe de vie, et c’est ainsi qu’il a officié et qu’il est parti tout de suite après.

Lorsqu’il est retourné à l’hôpital une semaine ou deux plus tard, en regardant dans un des salons, à sa grande surprise, il a vu une Elane. Il s’est alors exclamé : « Elane Durham, que s’est-il passé pour vous? Vous étiez morte! « Elane l’a assurée qu’elle n’était pas morte, mais il a dit que oui, elle était bien morte quand il l’a vue. Il a été choqué de la voir vivante.
Bien que l’expérience d’Elane soit dramatique, la pièce de soutien(la preuve) est très intéressante, car elle comprend des déclarations de témoins, écrites de leur point de vue.
Les chercheurs continuent à découvrir de plus en plus phénomènes d’EMI de type corroboratif. D’autres chercheurs tentent désespérément d’expliquer comment les événements se sont passés, sans être obligés de faire de connexion avec Dieu.

L’univers anthropique

Univers anthropique est un autre exemple de l’empreinte de Dieu. Il y a un nombre excessif de constantes naturelles et de lois physiques qui semblent être très bien adaptées les unes aux autres, de sorte que la vie puisse exister.

Nous pouvons donner infiniment d’exemples d’un tel univers – ici sur Terre – très bien accordé. Si la Terre était un peu plus près du soleil, toute la vie aurait été brûlée, si elle était juste un peu plus loin, tout serait gelé. L’orbite de la Terre autour du Soleil est presque circulaire, contrairement à celle de Mars, qui est elliptique. La variation annuelle de la distance de la Terre au Soleil est seulement de 3% de la distance totale – d’où la stabilité de la température.

La faible variation de température, et l’inclinaison de 23 degrés de la terre lors de sa rotation, sont juste ce qu’il faut pour maintenir l’eau liquide, condition nécessaire pour toutes les formes de vie. Une grande partie du noyau de fer de la Terre est fondu du fait de la pression et de la radioactivité. Ce noyau de fer fondu produit notre champ magnétique, écartant ainsi les radiations nocives du Soleil. La chaleur interne est également très appropriée pour les éruptions périodiques des volcans, un phénomène essentiel pour la délivrance des eaux souterraines enfermées. La gravitation est très appropriée pour que l’oxygène atmosphérique et l’azote ne disparaissent dans l’espace cosmique.

Si le rapport azote-oxygène de l’atmosphère était plus faible, il se déclencherait alors une conflagration imparable de foudres extrêmement fortes. Si le rapport était plus grand alors la vie comme nous la connaissons ne serait pas possible. Si la densité de la glace était plus grande que celle de l’eau – comme c’est le cas avec tous les autres éléments, lorsque les liquides deviennent solides – alors elle n’aurait pas fondu dans l’eau et les océans seraient devenus des étendues de glace. Si des éléments lourds comme le carbone, l’oxygène, le fer et l’uranium n’étaient pas correctement distribués dans la poussière stellaire, alors … si la photosynthèse ne fonctionnait pas, alors … si le rapport entre la quantité de terre et d’eau aurait été différente, alors … si le diamètre de la terre avait été plus ou moins grand, alors … si le degré de chaleur des vapeurs d’eau avait été différent, alors …

Tout comme John Leslie le fait valoir, il est vrai que nous pouvons parler jusqu’à plus soif sur les nombreuses variétés de l’univers, où le phénomène de leur création est basé sur la probabilité. La question est, si on regarde toutes les autres empreintes de Dieu, comment pouvons-nous motiver l’apparition d’un univers anthropique ?

La création spontanée de la vie

C’est l’un des plus claires des empreintes de Dieu. Si nous voulons montrer comment la vie peut naître du hasard, nous n’avons pas le choix et nous devns utiliser les mathématiques probabilistes. Et quand cet instrument est utilisé en conformité avec les lois de la science, nous constatons que les chances de la création spontanée sont extrêmement faibles – tellement plus faible que les mathématiciens considèrent que ce serait impossible. De même, le temps disponible pour n’importe quelle combinaison aléatoire de substances chimiques dans la soupe pré-biotique, nécessaire à l’apparition de la plus simple forme de vie, dépasse même l’âge de l’univers, sans parler de l’âge bien plus réduite de la vie sur Terre.

Cela crée un dilemme très difficile pour ceux qui ne reconnaissent pas les empreintes de Dieu. Les instruments de la science sont applicables partout, ou nulle part. Nous ne pouvons pas dire qu’il peut être appliqué dans une situation et pas à une autre. Lorsque Morowitz a calculé la probabilité qu’une liaison chimique détruite à partir d’une bactérie unicellulaire soit restaurée dans des conditions chimiques idéales, il a dit ce qui suit au sujet des résultats très petits :
« … aucun argument et aucune théorie sur l’âge de l’univers ou la taille du système ne parvient à rendre plausible l’hypothèse qu’une telle fluctuation ait pu apparaître dans un système en équilibre. On peut dire à tout moment, à propos de tout événement unique qu’il s’est tout simplement produit. Cela dépasse la sphère des considérations probabilistes et va même au-delà de la portée de la science. Toutefois, nous pouvons déjà affirmer que, basée seulement sur les données probabilistes de l’énergie, la possibilité de l’apparition d’une cellule vivante dans un système en équilibre est extrêmement faible. »

L’origine du Big-Bang

Il s’agit d’une théorie intéressante qui est beaucoup discutée. La question es t: qu’est-ce ou qui a provoqué le Big Bang ? Avant le début du Big Bang, la situation est décrite par les physiciens comme une singularité – où les lois de la physique ne s’appliquent pas. En d’autres termes, ils n’ont aucune idée ce qui s’est passé.

Stephen Hawkins a reconnu le dilemme quant à Dieu, soulevé par le modèle du Big Bang, ce qui suppose un début déterminé par quelqu’un. Dans cette singularité, le temps n’a pas de sens et la logique nous empêche de dire que la singularité a été le début. Tout ce qu’on peut dire, c’est que, au moment de Planck, tout à coup, le Big Bang s’est produit et les lois physiques ont été appliquées. Après que le temps ait pris un autre sens. Mais si ce n’est pas Dieu celui qui a commencé ce phénomène, alors que c’était qui ou quoi ?

Pour éviter l’attribution de la cause première ou du début de Big Bang à Dieu, Hawkins a postulé l’existence d’un univers espace-temps, sans limitation. Dans ce postulat, il a utilisé les mathématiques des nombres imaginaires suggérant que le temps peut se déplacer en avant et en arrière. Un tel univers pourrait avoir une phase d’expansion où la vie existe – comme celle où nous sommes – suivie d’une phase de contraction, où la vie ne pourrait pas exister. Dans un univers illimité, la singularité ne pourrait pas exister.
Le postulat de Hawkins quant à un univers sans limites implique que, par des cycles répétés d’expansion et de contraction, l’univers pourrait exister pour un temps infini. Il n’y aurait pas de commencement ni de fin et donc n’implique pas la nécessite pas d’une cause initiale – ou Dieu.

Hawkins n’a jamais prétendu que son idée était une théorie, juste une idée que d’autres physiciens pourraient considérer ou faire fonctionner. Il n’est pas approprié de discuter de tous les arguments pour et contre un système illimité. Le principal problème de ce postulat découle de la seconde loi de la thermodynamique. En termes simples, la seconde loi dit que tout ce qui se passe dans un univers doit se produire d’un état d’ordre à un état de désordre de plus en plus élevé.
Ainsi, par exemple, lorsqu’on gonfle un ballon, en soufflant de plus fort en lui, et en dépensant ainsi de l’énergie, et qu’un gamin le fait exploser, ensuite il peut pleurer autant qu’il veut, mais il ne sera plus capable de retrouver le gaz qui avait été enfermé dans le ballon. L’énergie est perdue à jamais dans un état d’entropie plus élevée et de désordre plus grand. Même si vous avez un autre ballon vide, vous devez dépenser une autre énergie, en soufflant du fond des poumons, pour satisfaire le gamin.

En ce qui concerne l’univers illimité de Hawkins, cela signifie que, même si l’univers se dilate ou se contracte, dans tout système réel (non imaginaire), les choses progressent d’un état organisé à un état de plus en plus désorganisé. Nous ne pouvons pas avancer indéfiniment, dans une alternance d’expansion et de contraction, si les choses parviennent, à terme, dans un état de désordre infini. À un certain moment, l’univers aboutit à une fin. Pour admettre qu’il a atteint la fin, cela signifie implicitement qu’il y a eu un commencement. L’entropie croissante de tout système thermodynamique implique inévitablement un début, moment quand l’entropie était la plus faible.
Donc, nous nous tournons à nouveau vers l’empreinte originale. Certes, c’était un début. Et si c’était un début, qui ou quoi a créé l’univers (l’état de l’ordre ou de basse entropie) et qui ou quoi a causé le Big Bang ?
 
La Matière et l’Anti-matière, la Gravitation et la Lumière

La théorie actuelle soutient que lors du Big Bang, matière et antimatière existaient en quantités égales, et que quand elles interagissaient l’une avec l’autre, elles se sont détruites. Pourquoi la matière a survécu et l’antimatière non – en fait, pourquoi notre univers n’a pas été détruit au cours de cette période, est une question qui demeure… De nombreuses théories ont été avancées pour tenter d’expliquer l’excès de matière à l’antimatière, mais il n’y a pas de réponse définitive. Gerald Schroeder a écrit dans son livre La Science de Dieu: « Pour une raison quelconque, exotique et quelque peu incertaine, un peu plus de matière que d’antimatière a été produite. Nous et l’Univers entier nous sommes la preuve de cette inégalité primaire. La différence est infime, de 1 à 10 milliards. C’est-à-dire, pour chaque 10.000.000.000 d’antiparticules, 10.000.000.001 de particules ont été formées. Comment les particules et les antiparticules se sont anéanties, la particule en plus de 10 milliards d’antiparticules est restée. Chaque galaxie, étoile et être humain est composé de ces rares particules “extra”. »

Pensons un instant à la gravitation. Les scientifiques peuvent décrire l’effet de la gravitation, en détail, avec une précision mathématique. Il est clair que les objets sont attirés les uns par les autres en rapport avec leur masse. Par exemple, le poids des individus est moindre sur la Lune que sur la Terre. Mais pourquoi en est-il ainsi, quelle est la cause de cette attraction ? Demandez à un scientifique de vous expliquer ce qu’est la gravité et bientôt il sera capable de la décrire, mais il admettra qu’il ne sait pas pourquoi il en est ainsi. Peut-être va-t-il balbutier quelque chose sur le fait que l’espace, le temps et la gravitation sont reliés entre eux, mais il ne sera pas à même de vous donner une réponse définitive quant à la nature ou la cause de celle-ci.

La même chose arrive avec la lumière. Les scientifiques décrivent la lumière comme une forme de rayonnement électromagnétique, mais à partir de là, leur explication est source de confusion. Ils seront en mesure de vous démontrer – à nouveau, avec une précision mathématique – comment, sous certaines conditions, la lumière se comporte comme une particule et comment, dans d’autres conditions, elle se comporte comme une onde. Mais demandez-leur d’expliquer pourquoi elle manifeste ce comportement différent, ou ce qu’est exactement la lumière, et ils vont avouer leur ignorance.

Ce ne sont que quelques exemples de comment la nature fonctionne bien pour le bénéfice de toute forme de vie. Bien que ces empreintes ne soient pas facilement identifiables comme étant de Dieu, cependant, elles semblent certainement regarder dans Sa direction.

Le continuum espace-temps et la vitesse de propagation – une empreinte importante

Les scientifiques sont en mesure de déterminer si le temps se dilate et se contracte réellement – selon le statut de l’observateur – à l’approche de la vitesse de la lumière. Le problème se pose lorsque surgissent des preuves, à la suite d’autres découvertes scientifiques récentes, et qui déterminent qu’il existe une autre dimension où le temps, l’espace et la vitesse de propagation sont différentes de celles de notre univers à quatre dimensions. Ceux qui connaissent des EMI fréquentes disent que là où ils vont, l’espace n’a pas de sens et qu’ils peuvent voyager entre les étoiles avec une immense vitesse – beaucoup plus élevée que la vitesse de la lumière. Je pense que quelques exemples seraient les bienvenus ici.

Tout d’abord, nous avons inclus quelques commentaires au sujet du temps de certaines EMI :
« Je ne sais pas. Je n’avais aucune notion du temps. »
« On pourrait dire que l’EMI a duré une seconde ou a duré 10.000 ans, il n’y aurait pas de différence. »
« Il y avait une dimension différente … celle dans laquelle la notion de temps n’a pas de sens. »
« Pour un instant, qui semblait hors du temps … »
« J’étais dans un espace, à une époque à laquelle je pourrais dire que l’espace et le temps ont été rejetées. »

Voici quelques exemples où certains ont indiqué comment ils avaient parcouru de longues distances à une vitesse folle:
« J’ai quitté la chambre d’hôpital, je me suis élevé vers le haut, à travers le plafond et j’ai été soulevé de la surface de la planète, avec une grande vitesse. »
« Ma vitesse était incroyable – indescriptible. Personne sur terre n’a voyagé aussi vite, personne ne l’aurait pu. »
« Je me sentais comme projeté vers l’avant à la vitesse de la lumière ou même plus rapidement. »
« Nous avons commencé notre voyage dans l’espace, en ayant l’air de nous déplacer à la vitesse de la lumière (car je ne peux prendre une autre comparaison). »
« Peu à peu, vous vous rendez compte… que vous aller au moins à la vitesse de la lumière. Ce peut être la vitesse de la lumière, mais peut-être encore plus élevé. Vous vous rendez compte que vous allez tellement vite et que vous couvrez de grandes distances, énormes, en seulement quelques centièmes de seconde … »

Les phénomènes EMI montrent que les individus sont dans une autre dimension, ou sous une autre forme (ou les deux), où le temps n’est pas le même que celui d’ici et où les vitesses énormes sont possibles. En supposant que EMI sont réelles, ce serait la preuve que de telles choses sont possibles et que c’est Dieu qui les produit, mais à ce moment, l’empreinte n’est pas claire.

Mais si l’on compare l’EMI avec quelques enseignements de la Bible ? Voici une citation de « L’Apocalypse » quant au temps: « Et ainsi de suite, jusqu’à ce que le dernier ange se mette à sonner de sa trompette ; et il s’élèvera au-dessus de la terre et au-dessus de l’eau et il va jurer au nom de celui qui est assis sur le trône, que le temps n’existera plus ; et que Satan sera enchaîné, ce serpent ancien, appelé le diable, et qu’il ne sera plus laissé libre dans l’espace pendant mille ans. »

Des doutes sur le domaine quantique

La téléportation quantique est un état très net où une particule atomique peut transmettre de l’information instantanément à une autre particule, à des distances immenses. Un autre cas d’« action étrange », comme l’appelait Einstein, est montré dans des expériences qui démontrent la double nature de la lumière – celle de particule (photon) et d’onde.

Il est connu depuis longtemps que cette caractéristique d’onde de la lumière peut être démontrée en plaçant la lumière derrière une barrière, ce qui est observé sur l’écran d’une image consiste en une série d’une alternance de fentes verticales foncées et claires. C’est la fameuse expérience menée dans les années 1800 par l’Anglais Thomas Young, qui a prouvé l’interférence des ondes lumineuses après passage à travers les fentes. Les lignes sombres correspondent aux zones où les vagues de deux fentes interférent (et s’annulent), et les lignes claires sont en corrélation avec les zones où les ondes se renforcent mutuellement. Ceci est analogue à lancer deux pierres dans un lac, où l’on voit l’interférence des ondes provoquées par les deux pierres.

Une seule fente ne produit pas cet effet, mais illustre plutôt que si les photons passent par une seule fente, on obtient projetée sur l’écran une seule ligne lumineuse verticale. La question est de savoir pourquoi, dans un cas la lumière agit comme une onde, sous la forme caractéristique des ondes qui interfèrent les unes avec les autres, et dans l’autre se manifeste sous forme de particules – qui peuvent être influencées par la gravitation. Mais les doutes réels se posent lorsque les physiciens quantiques ont étendu la recherche commencée par Young.

Imaginons l’expérience de deux fentes, mais au lieu d’utiliser un rayon comme source de lumière, nous utilisons une particule émettrice, qui peut émettre un seul photon à la fois. -Vous le croirez ou non, mais si nous émettons les photons un par un par l’une des deux fentes, ils frappent l’écran, mais ils vont scrupuleusement éviter les zones où pourraient apparaître normalement les lignes sombres dans le cas de l’interférence d’ondes. Au fur et à mesure que de plus en plus de photons sont émis par la même fente, le modèle déjà familier des lignes sombres et claires commencera à apparaître. Comment cela peut-il arriver, car on n’émet pas de photons par l’autre fente dans le même temps ? Il ne devrait exister aucune interférence d’ondes, étant donné qu’il n’y a pas d’ondes qui proviennent de la deuxième fente et pour interférer avec celles de la première fente.

Pour que l’effet soit encore plus prononcé, refermons la deuxième fente. Cette fois-ci, les photons qui sont émis par la première fente se comportent comme des particules normales qui frappent l’écran et forment une ligne lumineuse continue. Si nous ouvrons maintenant la deuxième fente, mais que nous continuons à émettre uniquement par la première fente, d’un coup les photons semblent « savoir » que la deuxième fente a été ouverte aussi. Ils vont commencer à se comporter à nouveau comme des ondes interférentes. Ils évitent les espaces où les lignes sombres auraient du apparaître et ils se concentreront dans les espaces qui auraient été éclairés, s’il existait des ondes provenues des deux fentes. Brian Silver, a dit dans son livre The Rise of Science:

« Les photons émis par une fente semblent « savoir » qu’ils ne devraient pas aller vers les stries sombres. Quelque chose d’étrange se passe ici. Imaginez que vous soyez un photon qui passe à travers une fente. Comment pourriez-vous savoir aller vers les lignes sombres? …
Si un photon « sait » qu’il ne peut pas aller vers une ligne sombre, cas où il allait interagir avec la fente qu’il traverse, cela signifie qu’il ne devrait pas être importance que nous fermions la deuxième fente. Comment un photon peut-il « savoir » si l’autre fente est ouverte ou fermée ? »

Ces « doutes quantiques » en ce qui concerne les particules se trouvant séparées par des années-lumière, qui semblent sentir immédiatement ce que leur partenaire fait et en ce qui concerne les photons de la lumière que savent ce qu’ils ne devraient pas savoir – personne ne leur a dit que l’autre fente est ouverte ou fermée – sont tout simplement inexplicables. Les physiciens connaissent l’étrangeté de ces effets quantiques, mais ils ne peuvent qu’hausser les épaules lorsqu’on leur demande de donner une explication.

Bien que ce ne soit pas une empreinte claire de Dieu, elle semble être quelque chose comme ça. Il semble que Ses lois ont quelque chose d’incompréhensible pour la science d’aujourd’hui.

Une réponse angélique sur la Bible

Avant d’avoir cette EMI, Howard était un athée, il a donc douté de la vérité de la Bible. Au cours d’une EMI, Howard a demandé à ses « amis » angéliques de la Bible :

« Quand la revue de la vie a pris fin, ils ont demandé: « Veux-tu poser une question ? » J’avais un million de questions. Par exemple, j’ai demandé: « Que pouvez-vous me dire de la Bible? » Ils ont dit: « Qu’est-ce tu veux savoir à son sujet ? » J’ai demande si elle est vraie et ils ont dit oui. Alors j’ai demandé comment se fait-il que j’ai trouvé tant de contradictions, lors de sa lecture. Ils m’ont ramené à nouveau à revoir la vie que j’avais vécue et ils m’ont montré quelque chose qu’il paraît que j’avais omis. Ensuite, ils m’ont montré que chaque fois que j’ai ouvert ma Bible, j’ai lu avec l’idée de trouver des contradictions et des problèmes. J’essayais de me prouver qu’elle ne méritait pas d’être lue.

Je leur ai dit que je ne comprends pas très clairement ce qui est écrit dans la Bible. Que cela n’avait pas vraiment de sens. Ils m’ont dit que la Bible contient des vérités spirituelles et que je devais l’assimiler spirituellement pour la comprendre. Vous devez la lire dans un état de prière. Mes amis m’ont dit qu’elle n’est pas comme tous les autres livres. Ils m’ont dit, chose que j’ai découvert plus tard, que lorsque vous la lisez dans un état de prière, la Bible vous parle, se révèle à vous et vous ne devez plus faire d’effort solitaire. »

Liberté de choix et le principe de l’incertitude d’Heisenberg

Pour l’évolution des êtres humains il est essentiel que les individus disposent d’une brève période dans ce monde de la mortalité, où ils apprennent les conséquences de leurs actions. Cette liberté est limitée seulement par les limites physiques de l’existence et le contexte politique et social dans lequel ils vivent et, en fonction de ces contraintes, ils sont responsables devant Dieu de leurs choix.

Les expériences de mort clinique soutiennent cette position théologique. Et on pourrait donner bien d’autres exemples du même genre.

Mais que peut dire la science au sujet de cette liberté du choix ? Même avant l’avènement de la mécanique quantique dans la fin des années 1900, les scientifiques et les philosophes ont eu du mal avec l’idée du libre arbitre. La science newtonienne a montré une prévisibilité miraculeuse de la cause et de l’effet. En utilisant les lois élaborées par Newton, il a été possible, par exemple, de calculer la trajectoire précise d’un projectile d’artillerie. Sous la gouvernance de ces lois, il semble que la nature réponde toujours de façon déterministe et prévisible.

A partir de ces observations scientifiques, les philosophies ont naturellement conclu que l’avenir serait prédéterminé. Puisque toutes les mesures dans le ciel ou sur la terre sont régies par des lois déterministes de la physique et de la chimie, la conclusion serait qu’il ne peut y avoir de libre arbitre.

La mécanique quantique et le principe de l’incertitude développé par Max Planck, Werner Heisenberg et Niels Bohr ont changé cette vision déterministe du monde et de l’univers. Geral Schroeder a expliqué ce qui s’est passé: « En 1927, un concept révolutionnaire a renversé la logique du déterminisme. Cette année-là, Werner Karl Heisenberg a publié son principe de l’indétermination, le principe d’incertitude. Il définit une limite de précision avec laquelle peuvent être mesurées la position et l’impulsion d’une particule. Plus on peut déterminer avec précision l’impulsion d’un objet, d’autant moins précise sera sa position. La dimension exacte des deux ne peut jamais être mesurée à la fois…

Pour la première fois, la communauté scientifique a admis qu’il y a une limite à la connaissance scientifique. Sans être en mesure de connaître avec précision le présent, il est clair que nous ne pouvons pas dire grand-chose quant à l’avenir. »

Les conclusions de base suite à l’identification de certaines empreintes

Sur la base des empreintes de Dieu décrites jusqu’ici, nous sommes arrivés à des conclusions avérées. La première conclusion est que la preuve que c’est Dieu qui a créé l’univers et le monde vivant est écrasant. En se demandant simplement ce qu’est la singularité? ou: Qu’est ce qui produit l’étrangeté quantique ?, on arrive en fait à Dieu. Même si certains peuvent espérer à une chance que l’univers anthropique soit créé à partir d’un nombre infini de mondes non-anthropiques, cependant, si l’on tient compte des éléments de preuve présentés dans ce livre, nous voyons que toute réponse qui ne conduit pas à l’idée de Dieu le créateur, disparaît.

Une deuxième conclusion que nous pouvons formuler est que l’évolution par la sélection naturelle est une réalité, mais cela ne peut pas être extrapolé pour expliquer la complexité de nombreuses formes de vie. De toute façon nous ne pouvons pas répondre à la question: Comment la vie sur terre est-elle apparue ? Même en se basant uniquement sur la probabilité, il n’y a qu’une seule réponse rationnelle à la façon dont la vie a commencé – Dieu.

Une autre conclusion est que les EMI ne peuvent pas être expliquées de toute autre manière que comme la preuve de notre existence dans un autre plan spirituel, une dimension subtile régie par la vérité, la lumière, l’amour et la connaissance – le royaume de Dieu.

Quelques conclusions relatives

L’approche scientifique de la création, même si elle se sert de termes tels que: univers anthropique, constantes très bien harmonisées, oméga égal à l’unité et improbabilité de la formation spontanée de la vie, a inclus de plus en plus l’idée d’un Créateur, comme postulat scientifique acceptée. Frank J. Tipler, par exemple, est un professeur de physique mathématique à l’Université de Tulane. Dans son livre “The Physics of Immortality” (La physique de l’Immortalité), il développe une théorie de la résurrection universelle qui repose sur des principes de la physique. Ses conclusions sont suffisamment pertinentes pour mener à la transformation du point de vue de nombreux scientifiques. Il écrit :

« La physique a aujourd’hui absorbé la théologie : le divorce entre science et religion, entre raison et émotion, a pris fin… La science peut maintenant offrir des apaisements quand nous sommes face à face avec la mort, soulagements autrefois seulement offerts par la religion. La religion est désormais une partie de la science. »

Tout aussi important est l’étude scientifique du phénomène de la mort clinique et de la découverte que les EMI corroboratives ne peuvent être expliquées de façon logique que comme une preuve de la double nature de l’homme. Au moment de la mort, la conscience se sépare et entre dans une autre dimension ou un autre monde – dont l’un est régi par la Lumière. Le Dr. Michael Sabom a étudié la mort clinique et les expériences qui y sont associées et décrit certains de ses travaux dans le livre Lumière et mort. Il commente ainsi certaines de ses découvertes :

« Les scientifiques ont toujours évité d’être concernés par le monde non-matériel et préfèrent opérer avec l’aspect physique dans lequel ils sont beaucoup plus à l’aise, et qui peut être soumis à l’examen et aux mesures. Cependant, toute étude du phénomène EMI met face à face ces deux mondes (le monde non-matériel, de l’esprit et le monde physique, matériel) et empêche leur distinction aisée. Donc, nous nous sommes engagés aujourd’hui sur une nouvelle voie et je cherche à marcher avec précaution dans cette région, où se croisent la science et la théologie. »

Puisque la recherche sur les EMI a également besoin des outils de la science moderne pour être expliquée – outils de la physique et de la cosmologie – elle agit comme un pont entre la science et la spiritualité.

Ainsi, les créationnistes du domaine de l’astronomie, des mathématiques, de la cosmologie, de la physique, de la géophysique, de la chimie, de l’anthropologie, de la biologie et de la microbiologie peuvent parler aux chercheurs sur les EMI dans le domaine de la physiologie, de la psychologie, de la chimie, de la biologie, de la microbiologie, de la sociologie et de la pharmacologique de leurs découvertes communes, toutes indiquant l’existence d’un Créateur. En outre, la rencontre des deux domaines, la science et la religion, peut conduire à une meilleure compréhension entre les religieux et les scientifiques.

Implications

Quelles sont les implications de ces conclusions? Elles sont énormes. Au lieu que l’humanité soit avalée par des choses qui comptent moins, en fait on arrive à la conclusion que l’humanité est ce qui importe le plus. Cela signifie qu’il y a un Dieu et que la vie continue après la mort. Au lieu de croire que la vie est apparue comme un événement fortuit et peut disparaître à tout moment suite à des explosions futures des étoiles, nous croyons que la vie est le but qui existe derrière les éruptions cosmiques. Au lieu d’un glissement insensé vers la mort, caractérisé par des absurdités tragi-comiques – et se terminant avec le plus absurde de tous, l’extinction – la mort devient une mission pour découvrir la Vérité et la Lumière: Dieu.

Nous, en tant que fils et filles de Dieu, nous sommes engagés dans un voyage continu de transformation. Nous avons toujours vécu et nous continuerons de vivre éternellement. Tous nous sommes assurés, par le sacrifice de Jésus-Christ, que nous vivrons dans un corps spirituel parfait, et qu’ensuite nous ne mourrons jamais. Avant d’arriver à ce stade, immédiatement après la mort, nous abandonnons le corps physique et nous continuons à vivre dans l’esprit. En fin de compte, selon la façon dont nous avons vécu cette vie-épreuve, nous pouvons devenir comme Dieu, jouissant avec Lui de Sa gloire.

Ce point de vue sur le futur a toujours un impact sur notre présent. De même que ceux qui expérimentent des EMI reviennent à la vie en éprouvant le sentiment qu’ils ont une mission et un désir irrésistible de changer leur vie afin qu’elle puisse être plus spirituelle et avec plus d’amour, c’est ainsi que nous devons changer nos vies si nous croyons vraiment dans l’existence de Dieu et des preuves qui nous sont présentées. Nous avons quitté notre maison dans le ciel pendant une courte période d’essai dans cette école éphémère. Quand nous sommes partis, nous avons crié de joie parce que nos Parents célestes nous ont offert cette occasion. Quand nous allons y retourner, si nous avons exploité notre potentiel céleste, notre joie sera complète.

Si vous demandez à ceux qui ont vécu la mort clinique de décrire leur expérience avec un seul mot, presque tous vont dire avec certitude que ce mot est «amour». Lorsque les pharisiens demandèrent à Jésus « Quel est le plus grand commandement ? », il répondit: « Aimez Dieu de tout votre cœur, de toute votre âme et de toute votre pensée. C’est le premier et suprême commandement. Et le second est aussi important, aimer son prochain comme soi-même. De ces deux commandements dépendent toute la loi et prend en charge tous les prophètes. »

Les personnes privilégiées qui ont pu jeter un coup d’œil dans le royaume de Dieu sont remplis de l’amour qu’elles ont pu ressentir. Cet amour envahit leur être et ils reviennent, en voulant partager avec d’autres ce qu’ils ont découvert. Une autre conclusion est que si nous pénétrons plus profondément en nous-mêmes, nous pouvons découvrir l’amour de Dieu et nous pouvons transformer le monde par sa puissance.

Qui sommes-nous ?

Nous sommes tous fils et filles de Dieu, envoyés par Lui sur Terre pour poursuivre notre croissance et notre développement, nous sommes des êtres spirituels qui jouissent d’une scolarité physique temporaire, mais extrêmement importante. Nos corps physiques sont faits de poussière d’étoile, mais nos corps spirituels sont forgés à partir de l’éternité de Dieu. Notre mission, que nous devrons toujours accomplir, est de devenir “un” avec la Lumière et de partager la gloire et la puissance de Dieu. Et si maintenant nous regardons à travers des lunettes noires, nous arriverons à voir et à savoir, à être vus et connus, dans la lumière et la gloire éternelle et qui a été et est notre maison naturelle.

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2011

 

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