Les juifs assassins et le génocide ukrainien l’Holodomor : Yagoda responsable de 10 millions de morts
Pour le Parlement européen, l’Holodomor est une famine artificielle, qu’il qualifie de « crime contre le peuple ukrainien et contre l’humanité ».
Le Génocide en Ukraine
Le rôle des juifs dans la révolution bolchevique et les débuts du régime soviétique
Un article du journaliste politique Sever Plocker, paru fin décembre 2006 a fait couler beaucoup d’encre. Il figure ci-après, en traduction.
Sever Plocker, qui travaille pour le journal hébreu Yediot Ahronot, a déchaîné à la suite de son article un torrent de commentaires qui valent le détour. A 95%, environ, il se fait couvrir, bien que juif lui-même, d’un tombereau d’insultes diverses et variées, qui s’étendent également au site, menacé de représailles, allant jusqu’au retrait de toute publicité ! Pour les 5 % restants, environ, il est félicité d’avoir courageusement brisé le silence. En tout cas, il n’a pas laissé indifférent !
A vous de juger, à présent :
On ne doit pas oublier que quelques-uns des pires meurtriers des temps modernes étaient Juifs. Il s’agit d’un événement historique particulièrement souvent passé sous silence : il y a environ 90 ans, entre le 19 et le 20 décembre 1917, au cour de la révolution bolchevique et de la guerre civile, Lénine signa un décret créant la Commission Panrusse pour la Répression de la Contre-révolution et du Sabotage, plus connue sous le nom de Tchéka.
En peu de temps, la Tchéka devint l’organisation de sécurité d’Etat la plus importante et la plus répressive. Son organisation et sa structure évoluèrent régulièrement, tout comme son nom : de Tchéka à GPU, puis à NKVD, et plus tard à KGB.
Il est impossible de connaître avec certitude le nombre de morts dont la Tchéka fut responsable d’une manière ou d’une autre, mais il s’évalue probablement autour de 20 millions, incluant les victimes de la collectivisation forcée, des famines, des purges, des expulsions, des déportations, des exécutions et des tueries de masses dans les goulags.
Des pans entiers de la population furent éliminés : fermiers indépendants, minorités ethniques, membres de la bourgeoisie, officiers supérieurs, intellectuels, artistes, militants syndicalistes, « membres de l’opposition » à la définition très aléatoire, et un nombre incalculable de membres du parti communiste lui-même.
Dans son livre, qui recueille beaucoup de suffrages, The War of the World, l’historien Niall Ferguson écrit qu’aucune autre révolution dans l’histoire de l’humanité n’a dévoré ses enfants avec le même appétit insatiable que la révolution soviétique. De même, le Dr. Igal Halfin, de l’université de Tel Aviv, indique dans son livre sur les purges staliniennes que la violence y fut unique en ce qu’elle fut dirigée vers l’intérieur.
Mais Lénine, Staline, et leurs successeurs n’auraient pas pu mener à bien leurs objectifs sans une large coopération de la part d’officiers de la terreur disciplinés : enquêteurs cruels, mouchards, bourreaux, gardiens, juges, pervers, et de beaucoup d’idéalistes membres de l’aile gauche progressiste, abusés par le régime soviétique de terreur au point de lui décerner un certificat casher.
Tous ces faits sont bien connus, à des degrés différents, même si les archives de l’ancienne Union soviétique n’ont pas été entièrement ouvertes au public. Mais qui est au courant de ce qui suit ? Au sein de la Russie, très peu de personnes ont été portées devant la justice pour leurs crimes commis sous les ordres du NKVD ou du KGB. Aujourd’hui, le discours public russe ignore totalement la question du « Comment cela a-t-il pu nous arriver, à nous ? ». Contrairement aux nations d’Europe de l’Est, les Russes n’ont pas réglé leurs comptes avec leur passé stalinien.
Et les Juifs ?
Un étudiant israélien termine le lycée sans avoir jamais entendu prononcer le nom de Genrikh Yagoda, le plus grand meurtrier juif du XXe siècle, chef adjoint de la GPU et fondateur-dirigeant du NKVD. Yagoda a consciencieusement exécuté les ordres de Staline pendant la collectivisation, et est responsable de la mort d’environ 10 millions de personnes. Ses employés juifs ont mis en place et géré le système des goulags. Après être tombé en disgrâce auprès de Staline, Yagoda fut dégradé et exécuté, puis remplacé en tant que chef des bourreaux, en 1936, par Yezhov, le « nain sanguinaire ».
Yezhov n’était pas juif, mais était marié à une femme juive très active. Dans son livre Staline : la cour de l’étoile rouge, l’historien juif Sebag Montefiore écrit que pendant les périodes les plus noires de la terreur, quand la machine communiste à tuer fonctionnait à plein régime, Staline était entouré de belles et jeunes femmes juives.
Parmi les fidèles et proches associés de Staline, on compte Lazar Kaganovich, membre du Comité Central et du Politburo. Montefiore le décrit comme le premier stalinien, et ajoute que les victimes de la famine en Ukraine, une tragédie humaine sans équivalent dans l’histoire de l’humanité exception faite des horreurs nazies ou de la terreur maoïste en Chine, ne le touchaient nullement.
Beaucoup de juifs ont vendu leur âme au diable de la révolution communiste et ont du sang sur les mains pour l’éternité. On n’en mentionnera qu’un de plus : Leonid Reichman, dirigeant du département spécial du NKVD et interrogateur en chef de l’organisation, qui était un sadique particulièrement cruel.
En 1934, selon des statistiques publiées, 38,5% des officiels détenant les postes les plus élevés dans l’appareil de sécurité soviétique étaient d’origine juive. Eux aussi, naturellement, furent graduellement éliminés dans les purges successives. Lors d’un cours fascinant à une convention de l’université de Tel Aviv, le Dr Halfin décrivait les étapes de la terreur soviétique comme un carnaval de meurtres de masse, un feu d’artifice de purges et l’adoration du mal. Il apparaît que les juifs aussi, quand ils sont fascinés par une idéologie messianique, peuvent devenir de grands meurtriers, parmi les plus grands de l’histoire moderne.
Les juifs actifs dans l’appareil officiel de la terreur communiste (en Union soviétique et ailleurs), et qui l’ont parfois dirigé, ne l’ont évidemment pas fait en tant que juifs, mais plutôt en tant que staliniens, communistes, et « camarades soviétiques ». En conséquence, il est facile d’ignorer leur origine et de jouer les innocents : qu’a-t-on à voir avec eux ? Si ce n’est de les oublier. Il y de différents opinions. On pense qu’il est inacceptable qu’une personne puisse être considérée comme un membre de la communauté juive quand elle réalise de grandes choses, mais en être exclue quand elle commet des actes particulièrement méprisables.
Même si on le nie, on ne peut pas échapper au judaïsme des « bourreaux » qui ont servi la Terreur rouge avec application et loyauté envers ses dirigeants. De toutes façons, d’autres rappelleront toujours leur origine aux gens.
yogaesoteric
2 juillet 2019
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