Le Cardinal Pell, bras droit du Pape, reconnu coupable d’abus sexuels sur mineurs
Depuis combien de temps les activistes sensibilisent-ils les gens sur la maltraitance rituelle des enfants au Vatican et dans ses Églises catholiques du monde entier ? Combien de fois des fonctionnaires de ce domaine ont-ils été accusés ? Combien de fois ont-ils été condamnés ? Combien d’autres personnes de haut rang du Vatican devront être révélées pour que ce genre d’activité cesse ? Ce n’est pas qu’au Vatican, c’est un problème qui se répercute vers le bas.
Par exemple, voici l’histoire d’une affaire de l’année 2018 qui a rouvert en Floride, au sujet du milliardaire Jeffrey Epstein, et de son ami, le Prince Andrew de la Famille Royale. Hillary Clinton a été impliquée dans des crimes contre les enfants, et a également été interpellée pour son lien (et celui de Bill) avec Epstein, qui consiste à « s’engager dans des relations sexuelles avec des mineurs ».
Le cardinal George Pell
En ce qui concerne le Vatican, l’exemple le plus récent est celui du cardinal George Pell. Pell a été condamné pour cinq chefs d’accusation d’abus sexuel sur mineur. Il est le plus haut dignitaire jamais reconnu coupable, en tant que conseiller du Pape Benoît XVI, ainsi que du Pape François. C’est l’un des plus hauts responsables du Vatican.
Après que M. Pell ait été déclaré coupable, le juge a ordonné à tous les médias australiens de s’abstenir d’en parler dans les médias. Il s’agit d’un autre exemple classique de censure des médias, car ils voulaient faire prendre conscience de la reconnaissance de culpabilité de Pell.
Apparemment, les tribunaux australiens imposent ce genre d’ordonnance pour « soustraire » les défendeurs à une publicité négative, qui pourrait nuire aux futurs jurés dans d’autres procès. C’est peut-être vrai, mais cela semble étrange étant donné la couverture médiatique étendue qui a précédé le procès, alors pourquoi ne pas jeter un coup d’œil sur les résultats ?
Malgré les efforts de la Cour, Internet est tout simplement trop fort, et cette histoire s’est répandue dans le monde entier. Internet est l’une des raisons pour lesquelles les choses changent si rapidement, et de plus en plus de gens prennent conscience de choses dont ils n’avaient pas connaissance par le passé.
Conformité des médias grand public
Les médias d’autres pays que l’Australie se sont également conformés à l’ordre de dissimuler ce secret, soi-disant parce qu’ils craignaient que leurs rédacteurs ne soient passibles de poursuites pénales pour outrage à la cour. Cela n’a rien d’étonnant : les médias grand public mondiaux appartiennent au même petit groupe de personnes qui semblent paniquer devant la popularité des médias indépendants et alternatifs.
Le New York Times en est un parfait exemple. Ils n’ont fait aucune mention de la condamnation de Pell, et c’était un média qui a beaucoup couvert les allégations contre lui. Peut-être que les médias grand public ne voulaient partager les résultats que s’il était trouvé « non coupable » ? L’article le plus récent du Times à ce sujet, rapporté par le Washington Post et daté de décembre 2018, disait que le Vatican avait destitué Pell et un autre cardinal d’un ensemble de conseillers choisis par le pape François, et que Pell avait été « impliqué » dans une affaire de maltraitance sexuelle. Mais il n’a pas fait état de l’issue de cette affaire.
Ce n’est que la pointe de l’iceberg
Lorsqu’il est question de ce genre de crimes, ce dont Pell a été reconnu coupable n’est très probablement que la pointe de l’iceberg. On parle d’un homme qui a fait partie d’un conglomérat d’élites représentant publiquement le Vatican. Il n’est pas exagéré de supposer que tous les plus hauts responsables, y compris le Pape, participent à ce type d’activité. Si c’est le cas, comment cela va-t-il s’arrêter quand ceux qui sont chargés de gérer le problème seront eux-mêmes impliqués ? C’est exactement comme ça que ce genre de chose fonctionne.
En fait, en 2015, un avocat du nom d’Ulrich Weber a découvert que pendant les trente ans de règne d’un chœur de garçons dirigé par le frère aîné de Benoît XVI, environ 600 garçons « très crédibles » ont subi des violences sexuelles et physiques, ou les deux, pendant les trente ans de son règne. Le rapport identifie 500 cas d’abus physiques et 67 cas d’abus sexuels commis par un total de 49 personnes en position de pouvoir dans l’église.
Il y a quelques mois à peine, Carlo Maria Vigano, ancien nonce apostolique aux États-Unis et Secrétaire général du Gouverneur de la Cité du Vatican, a impliqué de multiples responsables religieux, dont le pape François, dans des abus sexuels. Pour en savoir plus à ce sujet, cliquez ici.
Alors, où sont les forces de l’ordre dans tout ça ? Le fait est que les organismes d’application de la loi font ce qu’on leur dit, et ne détiennent pas de véritable pouvoir dans le monde.
Comment cela est-il possible ?
Ceux qui se livrent à de telles activités ont souvent subi le même sort. Dans bien des cas, c’est quelque chose dans lequel les agresseurs eux-mêmes sont nés, et c’est pourquoi ce groupe au sommet de la pyramide est si uni, comme une famille. Pour beaucoup d’entre eux, leurs actions ne sont ni immorales ni erronées. Pour eux, quand ils étaient enfants, c’est devenu normal. Ceux qui remettent en question leurs actions doivent craindre de se manifester parce qu’ils ne comprennent pas bien le problème, qu’ils ne comprennent pas sa gravité, et qu’ils risquent d’être victimes de persécutions et de jugements excessifs.
Existe aussi la problématique du satanisme pratiqué au Vatican, une institution qui se consacre à « Dieu » uniquement en apparence. Le satanisme et l’abus rituel perpétrés sur des enfants vont de pair. Ce qui est exposé en public est rarement le pire ; cela va bien au-delà de la pédophilie et des abus sexuels, il est plus question de torture et de meurtre. La magie cérémonielle, la sorcellerie et bien d’autres choses encore sont toutes pratiquées et sont une source de pouvoir et d’énergie chez certaines personnes très puissantes.
Malachi Martin, prêtre catholique irlandais et écrivain au sujet de l’Église catholique, a été ordonné prêtre jésuite et est devenu professeur de paléographie à l’Institut biblique pontifical du Vatican. Il a fait part de ces idées dans son livre The Keys of This Blood :
« Le plus effrayant pour [le Pape] Jean Paul [II], c’est qu’il s’était heurté à la présence inamovible d’une force maléfique dans son propre Vatican et dans certaines chancelleries épiscopales. C’est ce que les hommes d’Eglise bien informés appelaient la ‘superforce’. Des rumeurs, toujours difficiles à vérifier, lient son installation au début du règne du pape Paul VI en 1963. En effet, Paul avait fait allusion sombrement à “ la fumée de Satan qui est entrée dans le Sanctuaire ”… Une référence oblique à une cérémonie d’intronisation par les satanistes du Vatican. Par ailleurs, l’incidence de la pédophilie satanique – rites et pratiques – était déjà documentée chez certains évêques et prêtres dans des endroits aussi distants que Turin, en Italie, et en Caroline du Sud, aux États-Unis. Les actes cultuels de la pédophilie satanique sont considérés par les professionnels comme l’aboutissement des rites de l’Archange déchu. »
A plusieurs reprises, il a parlé du satanisme comme étant la pratique prédominante au Vatican. Il n’était pas la seule personne en interne à parler de cette pratique au Vatican.
Ce qu’il faut retenir
Les abus pédosexuels sont exposés dans tous les domaines, de la politique à la finance, en passant par la famille royale jusqu’au Vatican. Les gens sont faits pour idolâtrer et vénérer les papes, les présidents, les politiciens et les célébrités qui se livrent secrètement à de telles activités, mais avec des événements aussi révolutionnaires que la condamnation du cardinal George Pell, il semble que les gens s’éveillent à ce qui se passe vraiment.
C’est une étape importante dans l’éveil de notre conscience. Ça s’appelle briser l’illusion.
Cette inculpation est sans précédent. George Pell était publiquement connu pour son rôle au Vatican, mais il était également en secret contrôleur de la plupart des chefs d’Etat. En effet, lorsqu’un chef d’Etat entre en fonction, un émissaire du Vatican lui rend visite, pour lui proposer (comme dans le film Le Parrain) une offre qu’il ne peut pas refuser (jusqu’à 1 milliard de dollars). Et s’il la refuse, comme c’est le cas dans Le Parrain, vous connaissez la suite…
La mise hors d’état de nuire du Cardinal Pell est donc un pas de plus vers un nouveau système financier quantique, basé sur la loi GESARA. Ceux qui demandent des preuves qu’un changement majeur est en cours commencent en disposent à présent.
yogaesoteric
10 février 2019