Quand l’Etat totalitaire impose ses vaccins aux familles
Dr Russel Blaylock, MD, Neurochirurgien,
5 mars 2012 (extraits)
« Nous devrions tous être terrifiés par le caractère totalitaire de ceux qui se veulent les promoteurs de vaccinations obligatoires. » – Dr Russel Blaylock
Un article paru dans le « Journal of Ethics de l’Association Médicale Américaine » devrait alerter les Américains par rapport à la mise en place d’un dangereux précédent par les « autorités » de santé. En fait, le concept d’obligation par l’état pour « le plus grand bien de tous » n’est pas neuf du tout et correspond à une philosophie collectiviste. Mais que représente le collectivisme ?
Fondamentalement, le collectivisme ne reconnaît pas l’importance de l’individu face à la société ; en fait, ses philosophes pensent que l’individu, spécialement l’intellectuel, est l’ennemi du « bien public ».
Les pères fondateurs des Etats-Unis ne pensaient pas de la sorte. Ils ont plutôt réalisé que l’individu devait être protégé du collectivisme à tous les degrés. C’est la raison pour laquelle ils ont créé la Constitution, de même que la Déclaration des Droits individuels. Le système judiciaire a, dès le début, été conçu pour protéger les droits de l’individu. La famille occupe la place centrale dans la conception philosophique des pères fondateurs. Ce qui veut dire que ce sont le père et/ou la mère qui représentent la plus importante structure protectrice des enfants innocents et non l’état. L’état ne devant intervenir que dans des cas de véritables abus. Ce chapitre a été parfaitement étudié pour précisément empêcher les abus possibles de l’état.
Depuis la Guerre Civile, les américains ont été témoins d’une tendance régulière et progressive vers une philosophie collectiviste, où l’état se permet de prendre la place de la famille, alors que les individus sont sacrifiés au nom du « bien public ». Ce processus s’est rapidement étendu sur plusieurs fronts, mais l’un des plus inquiétants est précisément le domaine de la santé publique.
En 1961, Ronald Reagan avait déjà prévenu : « L’une des méthodes traditionnelles pour imposer l’étatisme ou le socialisme au peuple a été la médecine. Il est très facile de camoufler un programme médical en projet humanitaire. » Ceux qui ont étudié l’évolution du collectivisme comprendront facilement que la volonté d’accroître le pouvoir de l’Etat sur le peuple a toujours été formulé en termes de « bien public », et de « protection du peuple ». Quand apparaissent des « crises », elles semblent toujours exiger des solutions collectivistes. Ces solutions doivent être acceptées sans débats ou analyses critiques d’individus réfléchis et prudents. Un exemple parfait est le débat actuel sur la sécurité et l’efficacité des vaccins.
Dans l’article précité de « Journal of Ethics », les auteurs (S. Sheely et J. Meyer) commencent par se lamenter du fait que le recrutement de volontaires pour tester des vaccins expérimentaux devient de plus en plus difficile. Le fait est que les volontaires se font de plus en plus rares. Les auteurs de l’article n’hésitent pas à noter que les « volontaires » sont parfaitement informés des complications possibles des vaccins ; ils rappellent que ces volontaires ont consenti à être utilisés pour ces expériences. On pourrait même ajouter : un peu comme des cobayes. Les assurances données ci-dessus ne sont pas exactes. Plusieurs études ont montré que de graves complications souvent signalées sont cachées aux volontaires.
A la suite de ce manque de volontaires, les auteurs disent : « Se baser exclusivement sur l’altruisme pour rendre les essais cliniques possibles est en fait intenable et critiquable sur le plan éthique. » Mais alors, que présentent-ils donc comme solution à leur problème ? L’enrôlement obligatoire pour des études est une solution alternative qui n’est pas aussi bizarre qu’elle puisse paraître à première vue. – L’enrôlement obligatoire pour des essais cliniques sur les vaccins s’apparente de fait un peu à la conscription militaire. Tant dans la conscription militaire que dans la participation à des essais cliniques, il ne reste aux individus que peu ou pas de choix quant à leur implication et aux risques inhérents à la situation dans laquelle ils se trouvent et sur laquelle ils n’ont aucun contrôle. Tout cela pour le plus grand bien de la société. (Souligné par le Dr Blaylock)
Cette dernière ligne n’est pas sans nous rappeler ce qu’a déclaré Julian Huxley, premier directeur général de l’UNESCO concernant la réalisation d’un programme radical d’eugénisme – « C’est important que l’Unesco s’assure que le problème de l’eugénisme sera examiné avec le plus grand soin et que le public soit informé des enjeux, de sorte que de nombreuses choses qui aujourd’hui sont impensables puissent au moins devenir pensables. » (le Dr Blaylock souligne)
Comme les collectivistes de l’extrême gauche se hérissent d’être comparés aux Nationaux socialistes, je vais examiner l’origine de la pensée eugénique de Hitler, cette autre idée « impensable » rendue « pensable » grâce à une manipulation en règle des créateurs d’opinion sur le plan social Américain dans les années 1900. Veuillez garder à l’esprit que ces programmes d’eugénisme ont finalement eu recours à la contrainte parce que le public n’aurait pu être convaincu d’accepter ces ordonnances meurtrières proposées par l’état, ainsi que par des protecteurs du bien public auto proclamés.
Le mouvement eugéniste s’est tout d’abord appuyé sur les idées du Biologiste Britannique Sir Francis Galton qui proposait l’amélioration de la race humaine au moyen d’une procréation sélective dès l’année 1882.
Au début du 20ème siècle (1904-1920) la nécessité de mise en application des programmes d’eugénisme devint une question de « santé publique ».
Le mouvement eugéniste à, dès le tout début, été largement financé par les fondations Rockefeller et Carnegie et a continué à l’être bien après l’époque du National-Socialisme.
Il est aussi important de réaliser que ce mouvement de santé publique a été appuyé par les hommes les plus importants de la société… dont Winston Churchill, Léonard Darwin (Fils de Charles Darwin) Théodore Roosevelt et Linus Pauling…
Des ouvrages ont été adoptés et des cours sur l’eugénisme ont été dispensés dans les universités les plus prestigieuses comme Harvard, Princeton, Yale, New York, Berkley, California…
Le Journal de l’Association Médicale Américaine (JAMA) a, en termes élogieux, fièrement couvert le colloque international de Londres sur l’eugénisme.
Le but des promoteurs eugénistes était de finalement stériliser 14 millions de personnes aux Etats-Unis, comme des millions d’autres dans le monde. Avant que des idées plus claires aient pu prévaloir, 60.000 Américains, au bas mot, furent stérilisés de force.
Ce monstrueux programme avait comme base une pseudo science, ainsi qu’une puissante propagande soutenue par l’état, comparable à cette folie vaccinale à laquelle nous assistons.
Chaque génération se croit toujours beaucoup plus intelligente que les précédentes. De ce fait, il n’est guère possible de faire des comparaisons avec les précédents abus de science ou de politique. Ceci étant, on est bien obligé de constater que la stérilisation obligatoire, comme les camps d’internement pour les « inaptes » ont été fortement encouragés par des hommes que l’on considérait comme des géants de la biologie et de la médecine, par des gouvernants très influents, de même que par des fondations privées. La folie eugéniste s’est répandue parmi la classe des hommes les plus intelligents du monde entier.
Les opposants ont été étiquetés « ennemis du bien public » et en tant qu’individus, disqualifiés pour discuter du problème, exactement comme nous le voyons à propos de la sécurité des vaccins. Les partisans de la vaccination obligatoire déclarent que les opposants à leur programme ne sont pas informés, ni non plus qualifiés pour parler du sujet et ce, même quand ils sont eux-mêmes des experts plus qualifiés que leurs opposants en matière de sécurité vaccinale ou en physiopathologie.
J’ai personnellement écrit huit articles et de nombreux chapitres sur les mécanismes neuropathologiques, ainsi que sur les troubles neurologiques faisant suite aux vaccinations. J’ai proposé un mécanisme convainquant pour expliquer le lien entre vaccin et autisme. La seule personne qui a été citée sur cette question dans les médias nationaux est Paul Offit qui a, non seulement profité grassement de la création de son propre vaccin, mais qui a aussi admis dans une interview qu’il ne connaissait rien en neurologie ou en fonctionnement du cerveau.
Etant donné le fait que le public bénéficie des essais cliniques sur les vaccins, Sheehy et Meyer (Journal of Ethics) estiment que l’on doit contraindre ce public à participer contre sa volonté. Nous pourrions alors demander si les gens devraient être forcés de subir une opération chirurgicale ; car si elle réussit, elle pourrait aussi être profitable à beaucoup d’autres ? Les gens devraient-ils être forcés de prendre des médicaments ?
Le principe des procédures médicales obligatoires pourrait également s’appliquer à la chirurgie expérimentale du cerveau comme l’infâme lobotomie frontale. Après tout, à une époque, on a pensé que cette opération pourrait être grandement utile à des milliers de personnes.
On l’utilisait pour traiter la tristesse, la dépression, l’anxiété et le comportement indiscipliné des enfants. Mais voilà… les effets étaient irréversibles, exactement comme les dégâts neurologiques provoqués par les réactions aux vaccinations.
L’histoire de la médecine aurait dû nous apprendre que l’exaltation au sujet d’un traitement ou d’une procédure peut souvent mener au désastre.
On a aussi considéré que la thalidomide était un tranquillisant sans aucun danger – personne ne savait à l’époque que si on l’administrait à des femmes enceintes, l’enfant risquait de naître avec des membres difformes. Qu’en aurait-il été si la thalidomide avait, à l’époque été rendue obligatoire ? Cela aurait engendré des millions d’estropiés.
Nous avons appris beaucoup sur le problème de la sécurité des vaccins, mais cette recherche minutieuse reste encore malheureusement ignorée.
Tomljenovic et Shaw, Strunecka et autres ont publié d’importantes études dans ce domaine et personnellement j’ai présenté des arguments convaincants concernant le mécanisme, « l’immunoexcitotoxicité » en vue d’expliquer l’effet des vaccins combinés sur le développement du cerveau, y compris sur les crises épileptiques associées aux vaccins.
Nous devrions tous être terrifiés par le caractère totalitaire de ceux qui se veulent les promoteurs de vaccinations obligatoires. Nombreux sont ceux qui, non seulement réclament la vaccination obligatoire mais qui cachent aussi au public les données concernant la sécurité pour pouvoir donner au public l’impression que les vaccins sont sans danger.
Les programmes eugéniques obligatoires ont pris fin quand le public a commencé à réaliser les véritables conséquences de pareils projets. Ces histoires ne sont que rarement évoquées, alors que les politiques vaccinales sont juste aussi effrayantes parce qu’elles ont le potentiel de détruire irréversiblement la vie de millions d’enfants.
Je voudrais faire une proposition à ceux qui soutiennent l’idée de vaccinations obligatoires, comme la participation obligatoire à des essais cliniques. Les premiers qui devraient participer à ces essais devraient être les directeurs des firmes productrices de vaccins, les membres de leur conseil d’administration, leurs familles, leurs employés et leurs familles. Tous ceux qui ont écrit ou proposé des règlements, des législations pour rendre les vaccins obligatoires devraient aussi être soumis aux tests, y compris Sheehy et Meyers, ainsi que leurs familles. Paul Offit devrait figurer en tête de liste. Je puis vous assurer que si pareille politique était appliquée, on entendrait beaucoup moins parler de vaccinations obligatoires.
yogaesoteric
16 février 2019