A un jeune garçon juif âgé de 15 ans lui a été révélé le terrible futur d’Israël et du monde pendant qu’il était en mort clinique (I)
Natan, un garçon juif de 15 ans, a vécu le 27 septembre 2015 une expérience de mort imminente (EMI). Il a été en mort clinique pendant environ 15 minutes, période durant laquelle, soutient-il, il est allé au Shamayim (le Paradis en hébreu) où lui ont été révélés certains aspects sur le futur du monde, sur Israël et du possible déclenchement de la Troisième Guerre Mondiale, qui incluent des références précises aux Etats Unis et au Moyen Orient, plus précisément à la Syrie.
Comme une synchronicité, les Juifs ont fêté à cette date la première nuit de Sucot (une des trois grandes fêtes juives). En outre, il faut mentionner aussi un événement astronomique particulier qui a eu lieu dans cette nuit-là. Il s’agit de la Super Pleine Lune de sang (dénomination due à l’aspect rougeâtre que la lune reçoit pendant ces moments d’éclipse). La Super Pleine Lune ou la Nouvelle Lune, lorsque le satellite naturel de la Terre se trouve au point le plus proche de la Terre, point nommé périgée. Une Super Lune apparaît de 12 à 14% plus grande que sa contrepartie, la Micro Lune.
La communauté juive affirme que la synchronicité de ces événements soutient la validité divine de ces prophéties et qu’il s’agit d’un des sept signes bibliques indiqués dans la tradition judaïque sur l’Apocalypse.
Bien que Natan n’ait jamais étudié dans une yeshiva (institution juive traditionnelle d’enseignement supérieur religieux où les enfants, les adolescents et les jeunes de sexe masculin étudient la Tora dans le sens large du mot, c’est-à-dire les écritures saintes de la religion judaïque), il mentionne en détail dans ses prophétiques des citations des textes sacrés sur la fin des temps. Le garçon affirme que le seul refuge contre les événements catastrophiques qui suivront la représente la repentance, l’humilité, le don de soi sincère envers Dieu et l’abandon de la croyance formelle. Dieu sait déjà ce qui se trouve dans l’âme de chacun de nous et c’est d’après cette croyance sincère que nous serons sauvés ou non.
Nous présentons en ce qui suit quelques fragments significatifs de l’interview dans laquelle Natan fait ces révélations :
Rabbi Rami Lévy : Le jeune qui se trouve à côté de moi s’appelle Natan. Il n’habite pas à Jérusalem. Je vais faire une brève introduction et je mentionne qu’il vient de traverser une expérience très difficile et il nous racontera ce qu’il a vu durant celle-ci et quel est le message qui nous a été transmis. Il est difficile pour le public de comprendre, par rapport à ce qu’il va relater, qu’en réalité il n’a que 15 ans. Lorsque l’âme quitte le corps, elle peut assimiler en quelques minutes un volume considérable d’informations. Autrement dit, dans le monde de l’au-delà il est possible d’apprendre très rapidement ce qui prendrait des années à une personne dans ce monde. Cet adolescent a beaucoup à nous dire et il lui est difficile d’exprimer tout. En plus, il ne trouve pas les mots adéquats pour décrire ce qu’il a vu, car il s’agit d’aspects qui n’appartiennent pas à ce monde. Mais hier, j’ai passé longtemps avec lui, je l’ai encouragé et petit à petit il a commencé à raconter beaucoup d’aspects. Le premier jour de Sucot, ensemble avec sa mère, il a été invité chez son oncle dans la ville de Modiine. Dans l’après midi, il a commencé à trembler et ses mains et ses pieds ont commencé à se refroidir. Il croyait avoir besoin de se reposer. Il est allé s’allonger sur un lit et ce qui s’est passé alors est étonnant. Il a senti comment il est sortit du corps par les narines. Au début, il a flotté au-dessus de son corps sans savoir ce qui lui arrivait : qui était-il, la personne allongée sur le lit ou celle qui flottait au-dessus ? Natan, c’est correct ce que je dis ?
Natan : Oui. Voilà ce qu’il s’est passé : ce jour-là je me suis senti très mal. Un jour avant je me suis senti étourdi et je me suis même évanouit. Le lendemain il s’est passé la même chose, je ne me sentais pas bien et je tremblais beaucoup. Je me suis allongé sur le lit et je me suis couvert avec une couverture car j’avais très froid. D’un coup, j’ai senti que je sortais du corps et je me suis regardé de l’extérieur, d’environ deux mètres au-dessus du lit. Je ne comprenais pas qui je suis : celui qui était allongé sur le lit ou celui qui flottait au-dessus ? Je ne pouvais pas comprendre cela. Ensuite j’ai commencé à m’élever comme si je montais dans un ascenseur invisible. J’ai continué à monter de plus en plus dans l’air jusqu’à ce que j’ai quitté la chambre et je suis arrivé à voir la planète de l’extérieur. Ensuite, j’ai continué à monter jusqu’à ce que je sois arrivé dans une sorte de tunnel immense au bout duquel je pouvais voir une lumière. Il est très difficile de décrire ce tunnel. Il avait une forme spiralée et je pouvais voir là de nombreuses âmes. J’ai commencé à marcher vers la petite lumière, elle devenait de plus en plus grande, et j’y suis arrivé. Je ne sais pas comment décrire cette lumière, mais je peux dire que je me sentais mieux et elle émanait de la sécurité et de l’amour.
RRL : Pouvez-vous la comparer à quelque chose de ce monde ?
N : Non, c’est impossible, je ne sais pas comment. C’était comme si cette lumière me parlait, mais par télépathie. Elle m’a parlé, m’a posé des questions, parmi lesquelles si je veux mourir. J’ai compris que si j’allais franchir la limite où se trouvait la lumière je n’aurais plus été en mesure de retourner sur terre. J’ai répondu que je ne sais pas et que je n’avais aucune idée de ce que je devais faire. Ensuite je suis parti de là-bas. Soudainement, je me suis retrouvé dans une salle très grande, gigantesque. Là il y avait beaucoup de gens. Tous portaient des vêtements très beaux, je me suis vu porter des vêtements sales, tâchés de sang. J’ai eu très honte. Tous ces gens étaient là pour moi, ils étaient heureux et m’applaudissaient. Je suis entré dans la salle où j’ai rencontré Rabbi Ovadia Yosef qui m’a serré la main. J’ai rencontré beaucoup de gens connus qui sont morts, mais aussi beaucoup d’inconnus. Il y avait là une scène très haute. Sur cette scène il y avait trois lumières : une très haut au centre, et deux autres lumières petites à gauche et à droite.
RRL : Qu’étaient ces lumières ?
N : Elles sont comme des témoins qui énumèrent tes faits : celle à droite les mauvaises actions et celle à gauche les bonnes actions.
RRL : Est-ce qu’il y avait là des juges, comme dans un tribunal ?
N : Oui.
RRL : Qui en faisait partie ? Il y avait aussi Rabbi Ovadia Yosef ?
N : Oui, il était celui qui le présidait, il avait le rôle d’av beit din (n.r.: président de la Cour).
RRL : Qui d’autre il y avait là ? Il y avait encore d’autres rabbi à côté de lui ?
N : Je crois que Rabbi Eliyachiv.
RRL : Et le troisième ?
N : Je ne me souviens pas. Je fais des efforts pour me souvenir, mais je n’y arrive pas.
RRL : Existe-il yetzer hara (la tendance vers le mal) et yetzer hatov (la tendance vers le bien) ?
N : Oui. C’était les deux lumières. A droite il y a yetzer hara et à gauche il y a yetzer hatov. Je ne voyais pas quelque chose de concret, mais seulement ces deux lumières dont je savais tout simplement ce qu’elles représentent.
RRL : Tu le savais sans que quelqu’un te l’explique avant ?
N : Oui. Je savais tout simplement ce qu’elles représentaient. Et ensuite, d’un coup, silence. D’un coup toute la rumeur de la salle s’est arrêtée, toutes ces centaines de gens se sont tus. Il y avait un silence total. En ce moment-là, la lumière à droite a commencé à énumérer tout ce que j’ai fait de mal de cette vie. Absolument toutes les mauvaises choses. Ils sont très stricts avec chaque détail. On te montre chaque chose fait dans la vie. Absolument chacun et elle me demandait „Pourquoi as-tu fait cela ?”
RRL : Les péchés ?
N : Oui, absolument tous.
RRL : Qu’est-ce que tu ressentais pendant ces moments ?
N : Une honte énorme, une honte que je ne peux pas exprimer dans des mots. Tout le monde te regarde pendant qu’on te montre les péchés commis le long de la vie. C’est très embarrassant. A mesure qu’ils me les montraient, on m’a demandé „Pourquoi as-tu fait cela ?”.
RRL : Jusqu’où on te montre les actions ?
N : Jusqu’à la sortie du corps.
RRL : De toute ta vie ?
N : Oui.
RRL : Même Netilat yadaïm (ablution des mains) ? Tout ?
N : Oui. Et non seulement mitzvot (les bonnes actions) mais aussi les péchés. On te montre chaque seconde de ta vie. Une fois que la voix à droite a présenté tous mes péchés, la voix à gauche a commencé à énumérer les bonnes actions. Après toute la honte supportée pour mes mauvaises actions, chaque petite bonne action faite ici bas, était considérée comme énorme là-haut. Je ressentais un bonheur indescriptible pour chaque bonne chose que j’ai fait. Là-haut, la moindre chose renverse des mondes. Je ne sais pas comment expliquer, c’est comme…
RRL : Comme une récompense ? D’où sais-tu que tu es récompensé pour tes actions ?
N : Au moment où on est récompensé tous crient „Tzadik, Tzadik!” (celui vertueux) envers toi. Plus on a de mérites, plus la lumière à gauche est grande.
RRL : Et dans le cas des péchés qu’est-ce qu’il se passe ?
N : Je dois dire avant tout que là bas, il existe des êtres nommés „anges de la destruction”. Ils sont petits de taille, ils ont des barbes et des flammes aux yeux. Ils te montrent les péchés commis et à chaque fois un feu apparaît et tout le monde crie „Rasha, rasha!” (ce terme désigne l’être qui cède devant les instincts animales). Tout comme ils crient Tzadik lorsque tu as fait quelque chose de bon, ils crient Rasha lorsque tu as fait quelque chose de mal. C’est un mélange d’état de bien et de mal. C’est très embarrassant. Je ne sais pas comment vous expliquer. Ensuite, j’ai été emporté par deux êtres avec des ailes. Ils m’ont emporté tout simplement. Ils n’avaient pas des bras. J’ai tout vu. J’ai vu quelque chose devant et derrière.
RRL : Tu pouvais voir derrière, devant et de côté ?
N : Oui, de tous les côtés. Je sentais tout ce qui se passait dans mon corps pendant ces moments et ce qui se passait ici, dans le plan physique. Je savais tout, mais je n’y étais pas intéressé, ce n’était pas intéressant ce qu’il se passait sur terre. Ces êtres m’ont emporté dans un plan secondaire, dans un paradis inférieur. Ensuite, soudainement, est apparue une porte qui s’est ouvert et j’ai pu voir des êtres qui étudiaient la Tora. Là j’ai vu de la lumière, c’était un sentiment accablant. C’était si beau. La lumière que j’ai vue au début était petite en comparaison avec celle-ci. Elle émanait beaucoup de bien. Imaginez-vous comment se passent les choses dans les régions supérieures du Paradis si ici, dans une région inférieure, c’était ainsi.
RRL : Peux-tu décrire un peu plus ?
N : Non, c’est impossible. Il y a un sentiment de bien, de beau, on a envie d’y rester et d’étudier la Tora. On veut y rester pour toujours.
RRL : Qu’est-ce que tu as vu ? As tu entendu quelque chose ? As tu senti quelque chose ?
N : Il y a un parfum très beau. Il ne peut pas être décrit dans ce monde, il n’y a pas de terme de comparaison. Tout simplement on veut y rester pour toujours. Là, il n’y pas des choses matérielles, tout est spirituel. On vit un sentiment merveilleux !
RRL : Sais-tu que ce n’est que l’entrée au Paradis ?
N : Oui, j’ai senti que ce n’est que l’entrée. A l’intérieur il y a des niveaux encore plus raffinés. Là où je me trouvais, c’était l’endroit le plus bas nommé le „Paradis d’en bas”.
RRL : On t’a montré aussi l’autre côté ?
N : Oui. Hashem (Dieu) a créé aussi l’opposé. Ces anges de la destruction dont je vous ai parlé sont habillés en noir et ils ont des barbes très, très longues et leurs yeux sont de feu. Ces êtres avec des ailes sont venus m’emporter dans le Paradis d’en bas, mais les deux anges de la destruction ne leur ont pas permis cela, leur disant qu’ils voulaient m’emporter ailleurs. Ainsi ils m’ont emmené dans un endroit où il y avait une balance avec des plateaux énormes où étaient posées les bonnes et les mauvaises actions. Absolument chaque chose. Comme je l’ai déjà dit, là, la moindre chose peut renverser des mondes. On reçoit des récompenses énormes. Lorsqu’on fait une bénédiction, ce fait est considéré comme une chose énorme. Mais il est de même dans le cas des péchés. La moindre faute est considérée très grave, il ne faut pas faire des péchés, même pas la moindre mauvaise action. Sur les plateaux de la balance ont été posées les mauvaises et les bonnes actions. Au début, il semblait y avoir plus de mauvaises actions, mais en fin de compte, les bonnes actions furent plus nombreuses. J’ai été très heureux.
RRL : Tu as de la chance car tu as moins de 20 ans.
N : Oui. Ensuite, ils m’ont dit que si je reste là plus de trois heures, je ne pouvais plus retourner ici. J’avais l’impression d’y avoir passé des années, mais ils m’ont dit que seulement quelques minutes étaient passées. Et c’était vrai. En revenant dans le plan physique, seulement 15 minutes étaient passées.
RRL : Parle-nous un peu de Gehenom (Enfer). Seulement quelques aspects.
N : D’accord. Au début je suis monté de plus en plus haut et j’ai vu de nombreuses choses merveilleuses que je ne peux pas décrire. Mais j’ai entendu et vu des choses épouvantables. J’ai entendu des cris terribles, vous ne pouvez pas vous imaginer. Tous les péchés sur terre nous font arriver là, mais il ne faut pas les commettre. Croyez-moi, cela ne vaut rien de traverser ces peines. Vous ne pouvez pas vous imaginer ce que j’ai vu là-bas. On entendait les gens crier. De ce que j’ai compris, dans Gehenom (Enfer) il existe plusieurs niveaux. Plus on descend, plus c’est pire. Je sentais comment vivent les êtres à ces niveaux. C’est effrayant !
RRL : Sais-tu comment s’appellent ces endroits ?
N : Oui, je me souviens de certains d’entre eux.
RRL : Peux-tu nous le dire ?
N : L’un s’appelait „Tzalmavet”. Ce n’est pas du tout un bon endroit. Un autre s’appelait „Bor” (nom précisé aussi dans les Ecritures). J’ai vu des salles de classe d’où sortaient des flammes. Je ne sais pas comment expliquer. C’était épouvantable !
RRL : Ces noms, tu les as appris là-bas ?
N : Oui, je les ai appris là où j’ai été. Je sais aussi quel genre d’êtres humains était là, depuis combien de temps et comment ils se sentaient là. Ce n’était pas du tout agréable.
RRL : Qu’est-ce qu’il y avait encore ?
N : J’ai tout simplement vu l’univers. Et beaucoup, beaucoup d’êtres errant dans l’univers.
Une personne du public : Qu’est-ce qu’une âme ? Comment as-tu pu la voir ? De quoi parles-tu en disant que tu as vu une âme ?
N : Je ne sais pas comment expliquer. Une âme est tout comme une brise de vent. Elle n’a pas de mains ou de pieds, de yeux ou de bouche. Même si on ne voit pas de corps, de visage, on sait tout simplement de qui il s’agit et on peut parler avec cet être. On entend sa voix et on connaît tout sur lui.
Une personne du public : As-tu demandé pourquoi tu es arrivé là ?
N : Oui. Ils m’ont tout dit. Ils m’ont tout dit sur le monde, sur le Paradis, car je devais y aller.
RRL : Revenons au voyage. Après qu’on t’ai montré le Paradis et l’Enfer, la récompense pour les bonnes et pour les mauvaises actions, qu’est-ce qu’il s’est passé ? Ils t’ont renvoyé ici ? T’ont-ils appris quelque chose dans le genre comment choisir ?
N : Oui, c’est toi celui qui choisi. Mais évidemment tu choisiras le bien et non pas le mal. Mais il y a des situations où tu ne peux pas choisir, si tu as trop de péchés. Alors ils te disent de rester là-bas…
RRL : Mais tous les gens dans ce monde peuvent choisir, ils ont du libre arbitre. Si on fait de bonnes actions, on reçoit une récompense, si on commet des péchés, on reçoit une punition. Tout se passe-t-il en conformité avec les choix faits pendant la vie ?
N : Oui. Mais là, on ne peut plus choisir. Une fois qu’on est mort, on ne peut plus faire de bonnes actions. Ce qu’on a fait ne peut plus être corrigé.
Une personne du public : Tu as traversé une expérience merveilleuse.
N : Oui, agréable et désagréable à la fois.
RRL : Il ne veut pas se souvenir des choses désagréables. Il a choisi de se repentir. Et après qu’il aura vécu 120 ans, il retournera au Paradis.
N : Ensuite, ils m’ont demandé si je veux rester là ou non, car si je reste plus de trois heures, je ne peux plus retourner ici. Au début, au moment où j’ai vu le Paradis j’ai dit que je veux rester là. Mais, après m’avoir montrer l’autre côté aussi, ils m’ont demandé si je veux toujours rester, cette fois-ci j’ai répondu que je préfère retourner pour pouvoir faire de bonnes actions et accumuler plus de récompenses afin de pouvoir monter dans un Paradis plus élevé. Après leur avoir dit que je veux retourner ici, ils m’ont renvoyé ici.
Une personne du public : Ils t’ont dit pourquoi tu es allé là ? As-tu eu un mérite quelconque ? Quel est ce mérite ?
N : Oui, ils m’ont que j’ai un certain mérite. Ils m’ont dit que je n’y suis pas arrivé par hasard. Je veux aussi ajouter que lorsque je suis revenu, j’ai vu quelque chose d’encore plus épouvantable que toutes les choses jusqu’alors. Ils m’ont dit que ce n’est pas un problème, que je peux partir de là.
RRL : Raconte-nous comment c’est déroulé le processus. On n’était pas là.
N : D’accord. Au début je n’ai pas compris de quoi s’agissait-il. J’ai vu un homme normal, il avait des mains et des jambes, mais il était très grand, gigantesque, il semblait ne pas avoir de fin. Je ne pouvais pas voir où se terminait son corps.
RRL : Comment était-il ?
N : Il avait des yeux partout sur son corps desquels sortaient des flammes. Il était très effrayant ! Je sentais que je ne pouvais pas fuir de lui. On ne peut pas lui échapper quoi qu’il arrive. Il est avec toi partout, il ne te quitte jamais.
RRL : Qui était cet être ?
N : Il est l’ange de la mort (la description est semblable à ce qui se trouve dans Chazal – la sagesse rabbinique). C’est ce que j’ai compris de ce que j’ai vu.
RRL : Tu as compris qu’il était l’ange de la mort ?
N : Oui.
RRL : Il t’a parlé ?
N : Oui. Il m’a saisi. Il portait une sorte de fourche dans sa main et il me tenait comme ça.
RRL : Combien de dents avait la fourche ?
N : Elle avait trois dents. Puis il est venu vers moi et il m’a pris la poitrine avec sa fourche. Il était si effrayant, si terrible que je ne peux pas le décrire ! En conformité avec ce que j’ai déjà raconté, ce qui compte c’est la partie du corps qu’il a saisi – la poitrine.
RRL : Qu’est-ce qu’il t’a dit ?
N : Il m’a dit de faire beaucoup de bonnes actions car je serais récompensé en conformité. Il m’a dit que même si je ne vais rien faire, je vais recevoir ce que je mérite. Il a ajouté d’une voix effrayante que ce que j’ai vu jusque là n’était pas grande chose.
RRL : Comment était sa voix ? Agréable ? Douce ?
N : Non, pas du tout agréable. Très puissante, je ne blague pas, très effrayante.
Une personne du public: Combien de temps y es-tu resté ? Combien de jours ? De nuits ?
N : 15 minutes.
Une personne du public : Seulement 15 minutes et tu as tant à raconter?
N : Oui.
Lisez ici la deuxième partie de l’article
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2016
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