Affaire AMIDLISA: Deux enfants ont été placés chez un père membre d’un réseau pédophile par la justice (1)
pue fortement le réseau pédophile élitiste avec des ramifications dans les cercles judiciaires. On peine à croire que la souffrance de ces enfants soit reniée à ce point par la justice qui ferme les yeux sur l’évidence. Les dessins, notamment, sont éloquents, leurs témoignages également. Les enfants ont même demandé à plusieurs reprises à vivre avec leur mère…et la justice a fait tout l’inverse. Les enfants parlent de meurtres avec des détails macabres qu’ils n’auraient jamais pu inventer. Cette affaire est scandaleuse au plus haut point et l’inaction, voir la coopération, de la justice avec le réseau semble évident. La justice de ce pays est corrompue jusqu’à la moelle.
Affaire du Var : Compte-rendu de l’audience du 3 mars 2017 devant la 7 ème chambre B des appels correctionnels de la Cour d’Appel d’Aix-en-Provence
Comparaissaient Sophie et son beau-père, suite au refus opposé à leur requête en dessaisissement (pour un jugement dans un autre tribunal) et suite à l’arrêt de cassation du 30 mars 2016 qui a annulé les accusations de dénonciations calomnieuses retenues à leur encontre par cette même Cour d’Appel dans son arrêt du 2 février 2015, pour les faits pédocriminels qu’ils avaient dénoncés.
Ces faits criminels correspondent à ceux, entre autres, décrits par la gendarme AMIDLISA dans son alerte du 30 novembre 2009 sur le site de FNCV (Fédération Nationale des Combattants Volontaires) qui dénonce un réseau pédocriminel très puissant et très protégé sévissant dans le Var.
Une vingtaine de personnes étaient présentes dans la salle pour les soutenir.
Mignot n’était pas là !
14 heures : L’appel des causes a commencé par un accrochage entre l’avocate de Sophie et l’Avocat Général, celle-ci lui reprochant de ne pas lui avoir remis par écrit son réquisitoire, sachant qu’à l’audience du 8 décembre 2014 l’avocat général avait invoqué des faits qui ne faisaient pas partie de l’accusation, empêchant ainsi l’avocate d’y répondre dans ses conclusions écrites, obligatoirement déposées avant l’audience, ceci en infraction totale avec le principe du contradictoire.
15 heures : un résumé erroné de l’affaire a été lu.
Pour mémoire les 3 enfants ont été retirés à leur maman le lendemain du dépôt de sa plainte, jour de l’audition de ses enfants sous vidéo et à l’issue de ses obligations pour les besoins de l’enquête, 4 heures après qu’un carton de rendez-vous avec un pédopsychiatre pour l’enfant lui a été remis par les gendarmes pour revenir 8 jours plus tard. Et ces gendarmes ont donné comme motif qu’elle était en fuite pour lui retirer ses enfants !
– Il a été omis de dire que le pédiatre mandaté par les gendarmes pour consulter sa fille 3 jours après son retour de chez son père en état de choc, avait prescrit 8 jours d’ITT, soit 11 jours depuis les faits, reconnaissant ainsi qu’elle avait subi une agression par un tiers et qu’il n’y avait pas eu de recherche sur l’agresseur.
– Il a été omis de dire que les deux frères plus jeunes avaient bien parlé sous vidéo à la Brigade de Gendarmerie de Bandol d’un baiser forcé sur la bouche de leur sœur par un ami de leur père, qu’elle ne voulait pas et qu’elle avait pleuré, ce qui constitue déjà une agression sexuelle.
– Ont été omises aussi les révélations de viol de la fillette chez la psychologue consultée avant le dépôt de plainte et qui avait dit à la mère qu’il ne lui restait plus qu’une chose à faire c’était de porter plainte, « encore fallait-il tomber sur les bons gendarmes ! »
– Il a été omis de dire qu’aucune information judiciaire pourtant obligatoire n’a été ouverte alors qu’il s’agit de faits criminels !
– etc….
Lisez la deuxième partie de cet article
yogaesoteric
27 juillet 2017