Armes Bactériologiques – Le SIDA a-t-il été créé en laboratoire ?

par Donald W. Scott

Des agents pathogènes appelés mycoplasmes sont le produit de laboratoires de recherche dans le domaine de la guerre bactériologique et biologique. Plusieurs souches de mycoplasmes ont été développées dans l’optique de les rendre plus dangereuses. Elles sont aujourd’hui accusées d’être à l’origine du SIDA, du cancer, du syndrome de fatigue chronique, de la sclérose en plaques, de la maladie de Kroesfeld-Jacob et d’autres maladies du système nerveux.

I. Le mycoplasme

Un banal agent pathogène transformé en arme biologique

Il existe 200 espèces différentes de mycoplasmes. La plupart sont inoffensives; seules quatre ou cinq d’entre elles sont pathogènes. Le Mycoplasme Fermentans (variété inconnue) provient probablement de la bactérie de la brucellose. Cet agent n’est ni une bactérie, ni un virus; c’est une forme mutante de la bactérie de la brucellose, combinée avec le virus visna du mouton.

L’agent pathogène qui constitue le mycoplasme était auparavant anodin, mais les recherches dans le domaine de la guerre bactériologique conduites depuis 1942 ont abouti à la création de formes plus infectieuses et plus mortelles. Les chercheurs ont extrait ce mycoplasme de la bactérie de la brucellose et ont en fait réduit la maladie à une forme cristalline. Ils l’ont armée et l’ont testée sur le public candide d’Amérique du Nord.

Le docteur Maurice Hilleman, virologiste en chef pour les laboratoires pharmaceutiques Merck Sharp & Dohme, a affirmé que cet agent pathogène est maintenant présent chez tout le monde en Amérique du Nord et vraisemblablement dans la majeure partie de la population mondiale. À l’inverse de ce qui est rapporté, la fréquence de toutes les maladies neuro-dégénérescentes s’est accrue depuis la seconde guerre mondiale et spécialement depuis les années soixante-dix avec l’apparition de maladies inconnues jusqu’alors comme le syndrome de fatigue chronique et le SIDA.

Le docteur Shyh-Ching Lo est diplômé de grade supérieur à l’Institut de pathologie des forces armées et est un chercheur de pointe dans le domaine des mycoplasmes en Amérique. Selon lui, cet agent pathogène provoque de nombreuses maladies dont le SIDA, le cancer, le syndrome de fatigue chronique, la maladie de Crohn, le diabète de type 1, la sclérose en plaques, la maladie de Parkinson, la maladie de Wegener, et les maladies vasculaires liées au collagène comme l’arthrite rhumatoïde et la maladie d’Alzheimer.

Le docteur Charles Engel, qui travaille pour les National Institutes of Health américains (Instituts nationaux de la santé) à Bethesda dans le Maryland, lors d’un de leurs congrès le 7 février 2000, a affirmé: « Je suis en possession de tous les documents qui prouvent que le mycoplasme est l’agent pathogène du syndrome de fatigue chronique, de la fibromalgie ainsi que du SIDA, de la sclérose en plaques, et de nombreuses autres affections. Parmi ceux-ci, 80 % sont des pièces émanant des gouvernements américains et canadiens, 20 % issues d’articles de revues spécialisées telles que le Journal of the American Medical Association, le New England Journal of Medecine ou le Canadian Medical Association Journal. Les articles de presse et les documents gouvernementaux se complètent les uns et les autres ».
 

Comment fonctionne le mycoplasme ?

Le mycoplasme agit en pénétrant dans les cellules du corps, son activité varie en fonction des prédispositions génétiques du sujet. Il se peut que vous développiez une maladie neurologique si l’agent détruit certaines cellules de votre cerveau, ou bien une maladie de Crohn s’il envahissait et détruisait des cellules du gros intestin. Le mycoplasme, une fois dans la cellule, peut y séjourner de façon inactive pendant parfois 10, 20 ou 30 ans, jusqu’à ce qu’un traumatisme ait lieu, comme un accident ou une vaccination qui ne prend pas, déclenchant alors la phase active.

Parce qu’il n’est constitué que de l’ADN de la bactérie, il ne peut traiter ses propres nutriments et croît donc en les prélevant à la cellule hôte, ce qui la tue littéralement; elle se rompt et les déchets sont rejetés dans le flux sanguin.

II. La création du
mycoplasme 

Un agent pathogène fabriqué en laboratoire

Beaucoup de médecins ne connaissent pas l’agent mycoplasme parce qu’il fut créé de toutes pièces par l’armée américaine lors d’expériences dans le domaine de l’armement biologique, restant ainsi ignoré du public. Il fut mis au point pour l’armée par le docteur Shyh-Ching Lo. Je possède une copie du brevet provenant du bureau américain des brevets (US patents Office).

Tous les pays impliqués dans la seconde guerre mondiale menaient des expérimentations sur des armes biologiques. En 1942, les gouvernements des USA, du Canada et de la Grande-Bretagne, signèrent un accord secret pour produire deux armes biologiques (une arme mortelle, et une autre mettant hors d’état de nuire) destinées à être utilisées contre les allemands et les Japonais, qui eux aussi mettaient au point leurs armes biologiques. Alors qu’ils travaillaient sur divers agents pathogènes, ils focalisèrent leur attention sur la bactérie de la brucellose et commencèrent à la rendre dangereuse.
Depuis le début, le programme de guerre biologique était classifié top secret et caractérisé par un examen approfondi assuré par la participation des plus éminents scientifiques, de consultants médicaux, d’experts de l’industrie et de membres officiels du gouvernement.
 
Les services américains de la santé publique suivaient également de près les progrès de cette recherche depuis son tout début; les centres de dépistages américains (Centers for Disease Control – CDC) et les instituts de santé publique (National Institutes of Health – NIH) travaillaient de concert avec les militaires pour armer ces agents. Ces agents existaient depuis des milliers d’années, mais ils ont été améliorés pour devenir plus contagieux et plus efficaces. Et aujourd’hui, ils progressent et s’étendent.
 
Le programme Special Virus Cancer mis en œuvre par la CIA et le NIH pour créer des agents pathogènes pour lesquels l’humanité ne possède pas de défense immunitaire (SIDA), fut déguisé en une lutte contre le cancer, mais faisait en fait partie du MKNAOMI.
 
Beaucoup de membres du Parlement américain ne savent rien de ce qu’il s’est alors passé. Par exemple, la Commission sur la réforme gouvernementale du Sénat a recherché dans les archives de Washington et ailleurs le document intitulé The Special Virus Cancer Program : Progress report N°8 et ne pu le trouver. D’une façon ou d’une autre, ils apprirent que j’en détenais une copie, m’appelèrent et me demandèrent de leur envoyer. Imaginez un peu : un professeur d’école à la retraite, contacté par le Sénat américain qui lui demande un de leurs documents secrets ! Le Sénat, par l’entremise de sa Commission sur la réforme gouvernementale, essaie d’empêcher ce type de recherche.
 

Brucellose crystalline

La première page d’une étude authentique du Sénat, déclassifiée le 24 février 1977, montre que George Merck, des laboratoires pharmaceutiques Merck Sharp & Dohme (qui commercialisent aujourd’hui les moyens de soigner les maladies qu’ils ont auparavant créées), stipulait dans un rapport adressé au Ministre américain de la guerre que ses chercheurs avaient pour la première fois réussi à isoler l’agent pathogène sous une forme cristalline.

Ils avaient extrait une toxine bactériologique de la bactérie de la brucellose. La toxine pouvait être transformée en une forme cristalline et être stockée, transportée et relâchée sans détérioration. Elle pouvait être véhiculée par divers vecteurs comme des insectes, des aérosols ou des maillons de la chaîne alimentaire (dans la nature c’est la bactérie qui assurait cette fonction). Mais le facteur actif œuvrant dans la brucellose était le mycoplasme.

La brucellose est un agent pathogène qui ne tue pas; il met les malades hors d’état de nuire. Mais selon le docteur Donald Mc Arthur du Pentagone, lors d’une allocution devant une commission du Congrès américain en 1969, les chercheurs ont découvert que s’ils disposaient d’un mycoplasme d’une certaine puissance, en fait de 10 à la puissance 10 (1010), il se transformerait en SIDA dont le malade mourrait dans un intervalle de temps raisonnable car ses défenses immunitaires seraient court-circuitées. Si la puissance était de 108, le malade manifesterait un syndrome de fatigue chronique ou une fibromalgie.

À 107, la personne s’affaiblirait ; elle ne mourrait pas et pourrait continuer de vivre, mais elle ne serait plus stimulée par la vie ; elle dépérirait. La majeure partie d’entre nous n’a jamais entendu parler de la brucellose parce qu’elle a disparu depuis que l’on pasteurise largement le lait qui en est le porteur. Une salière qui contiendrait l’agent pur de la brucellose sous sa forme cristalline pourrait à elle seule contaminer toue la population du Canada.

Celui-ci est radicalement mortel, non en tuant le corps directement mais en le mettant hors d’état de fonctionner. Dans la mesure où l’agent se solutionne dans le sang, les examens sanguins ordinaires ou de tissus ne peuvent mettre en évidence sa présence. Le mycoplasme se cristallise seulement au-dessus d’un PH de 8,1 alors que le sang a un PH de 7,4. Le médecin vous dira alors au sujet des maux dont vous vous plaigniez : C’est dans votre tête.

La brucellose cristalline et la sclérose en plaques

En 1998 à Rochester dans l’Etat de New York, j’ai rencontré un ancien militaire nommé PFX Donald Bentley, qui, en me remettant un document, m’a dit : J’ai été entraîné à la guerre biologique. Nous possédions une bombe chargée de la brucellose; seulement c’était de la brucellose sans en être ; Il s’agissait d’une toxine de la brucellose sous sa forme cristalline. Nous la répandions sur la Chine et sur la Corée du Nord.

Il me montra son certificat de service décrivant sa formation aux conflits chimiques, biologiques et radiologiques et un document de 16 pages que lui donnèrent les services de l’armée américaine lorsqu’il fut libéré de ses fonctions. Il établissait le lien entre la brucellose et la sclérose en plaques, et une partie précisait : Les vétérans de l’armée atteints de sclérose en plaques, une sorte paralysie rampante se développant à un stade de 10 %, ou plus d’incapacité physique dans les deux ans qui suivent la fin de leur service actif, pourraient faire prévaloir leur droit à une pension d’invalidité. Celle-ci est payable aux vétérans admissibles dont les incapacités sont dues à leurs états de service. En d’autres termes : Si vous tombez malade de la sclérose en plaques, c’est parce que vous manipuliez cette brucellose, et nous vous donnerons une pension. Ne vous avisez pas de faire de l’agitation à ce sujet. Dans ces documents, le gouvernement américain révélait la cause réelle de la sclérose en plaques, mais il ne le fit pas publiquement, ni auprès de votre docteur.

Dans un rapport de 1949, les docteurs Kyger et Haden suggéraient la possibilité que la sclérose en plaques soit la manifestation de la brucellose chronique au niveau cérébral. Ayant testé 113 malades, ils découvrirent que 95 % étaient porteurs de la brucellose. Nous disposons d’un article de journal de l’époque qui concluait qu’un cas sur 500 développerait une neuro-brucellose, en d’autres termes la brucellose, dans le cerveau, dans les ventricules latéraux, précisément là où se localise la sclérose en plaques.
 

La contamination des travailleurs du laboratoire de Camp Detrick

En 1948, un article du New England Journal of Medecine intitulé Sérieuse contamination de la brucellose parmi le personnel des laboratoires nous montre à quel point cet agent était dangereux.

Il s’agissait des travailleurs du laboratoire de Camp Detrick à Frederick dans le Maryland, ou l’on mettait au point des armes biologiques. Ceux-ci avaient même été vaccinés, portaient des combinaisons étanches et des masques et travaillaient à travers les trous pratiqués dans des caissons isolés, et malgré cela, ils contractèrent la terrible maladie, tellement celle-ci est infectieuse.

L’article est signé par le lieutenant Calderone Howell, du corps des Marines, Emilie Kelly, réserviste de la Marine américaine, et le capitaine Henry Bookman, tous trois militaires impliqués dans la transformation du virus de la brucellose en une arme biologique plus efficace.

III – Les tests clandestins du mycoplasme

Des tests de dissémination

Les documents prouvent que cette arme biologique fut testée sur le public de diverses communautés à son insu et sans son consentement. Le gouvernement savait que la brucellose cristalline rendait les humains malades mais il avait besoin de savoir dans quelle mesure l’affection s’étendrait et comment la disséminer. Il testa ces méthodes de dispersion pour la brucellose suis et la brucellose melitensis à Dugway Proving Ground dans l’Utah en juin et en septembre 1952, si bien que probablement 100 % d’entre nous sommes aujourd’hui infectés par ces deux souches.

Un autre document gouvernemental recommandait la mise en œuvre de tests de vulnérabilité en terrain découvert, de programmes de recherche et de développement clandestins menés par l’armée avec le concours de la CIA. À cette époque, le gouvernement américain demanda au gouvernement canadien de coopérer aux tests, ce que ce dernier fit totalement.

Les Américains cherchaient à déterminer si les moustiques pouvaient servir de vecteur à l’agent pathogène et aussi si c’était le cas de l’air. À ce sujet, un rapport du gouvernement statuait que les tests sur les agents infectieux en plein air sont considérés comme essentiels à la compréhension ultime des potentialités de l’armement biologique à cause de la multitude des facteurs entrant en jeu lors de la dégradation des micro-organismes dans l’atmosphère.

Tests sur les moustiques en tant que vecteur à Punta Gorda en Floride

Un article du New England Journal of Medecine révèle que l’une des premières éruptions du syndrome de fatigue chronique eut lieu à Punta Gorda en octobre 1957. Et par une étrange coïncidence, il y avait un très important afflux de moustiques la semaine précédant l’apparition de la maladie.

L’Institut National de Santé affirma que l’arrivée des moustiques était due à un feu de forêt à 50 kms de là. La vérité, c’est l’infection de ces moustiques au Canada par les soins du docteur Guilford B. Reed à la Queen’s University. On les fit se multiplier à Belleville, dans l’Ontario, puis ils furent transportés à Punta Gorda pour y être lâchés.

En moins d’une semaine, Les premiers cas de fatigue chroniques furent observés par la Clinique locale. La maladie progressa jusqu’à un total de 450 personnes qui la contractèrent.
 

Tests sur les moustiques en Ontario

Le gouvernement canadien avait établi un laboratoire (le Dominion Parasite Laboratory) à Belleville, dans l’Etat de l’Ontario, où étaient élevés 100 millions de moustiques par mois. Ils étaient ensuite conduits à la Queen’s University, et dans d’autres installations, pour y êtres infectés par l’agent pathogène sous sa forme cristalline. Les moustiques étaient alors relâchés au sein de certaines communautés en pleine nuit, pour que les chercheurs puissent mesurer le taux de contamination de la population à partir du nombre de cas de syndromes de fatigue chronique et de fibromalgies, qui étaient les deux premières affections à se déclarer.

Une des communautés qu’ils testèrent fut celle de la vallée de St Lawrence Seaway Valley, entre Kingston et Cornwall, en 1984. Des centaines de millions de moustiques y furent lâchés. Plus de 700 personnes développèrent des myalgies encéphalomyelitiques ou des syndromes de fatigue chronique.

IV – Tests clandestins avec d’autres maladies

Maladie de la vache folle Kuru – maladie de Kreutzfeldt-Jacob

Avant et au cours de la seconde guerre mondiale, les militaires japonais contaminèrent les prisonniers de guerre du Camp 731, en Mandchourie, avec plusieurs souches de maladie. Ils démarrèrent d’autres recherches, en 1942, dans un camp en Nouvelle-Guinée où ils prirent pour cobayes les membres de la tribu des Anciens Indiens en leur inoculant une solution tirée de cervelles de moutons contaminés par le virus visna qui cause la maladie de la vache folle et son équivalent chez l’homme, celle de Kreuztfeldt-Jacob.

Les Japonais partis, cinq ou six ans plus tard, les membres de la communauté indigène développèrent une maladie qu’ils nommaient Kuru, ce qui signifie dans leur langue dépérissement, ils finirent par trembler, perdre leur appétit et mourir. Les autopsies révélèrent que leur cerveau était littéralement en bouillie.

Lorsque s’acheva cette même guerre, le docteur Ishii-Shiro, Médecin Général dans l’armée japonaise, et donc susceptible de diriger le développement de l’armement biologique, était prisonnier des Américains. On lui donna le choix entre la possibilité de travailler pour l’armée américaine ou celle d’être exécuté comme criminel de guerre. Bien entendu, il choisit la seconde, et aida les Américains à établir comment les Japonais avaient inoculé la maladie de Kreuztfeldt-Jacob à cette tribu.

En 1957, alors que le virus était en pleine expansion, le docteur Carleton Gadjusek, du NHI américain se rendit en Nouvelle-Guinée pour déterminer comment les cerveaux des moutons malades avaient pu les contaminer. Il y passa deux années, étudiant le peuple indigène, et écrivit un rapport détaillé. Il reçut un Prix Nobel pour avoir découvert la maladie kuru au sein de cette population.

Tests d’agent cancérigènes à Winnipeg dans le Manitoba – Canada

En 1953, le gouvernement américain demanda au Canada de tester les effets d’un produit chimique sur la ville de Winnipeg, possédant 500 000 habitants et isolée du monde. Les militaires américains répandirent ce produit cancérigène sous une forme atténuée un millier de fois, si diluée, d’après eux, que personne ne tomberait très malade ;, mais les gens consulteraient à l’hôpital pour un simple rhume ou de petites lésions, ce qui leur permettrait de déterminer le pourcentage de la population qui aurait développé un cancer si le produit avait été dosé normalement.

Nous possédons la preuve que les Américains ont effectivement effectué ce test sur Winnipeg en 1953 en répandant du sulfure de zinc-cadmium. Nous avons écrit au gouvernement canadien pour l’en informer et lui demander d’où, dans les sphères de l’Etat, était partie l’autorisation pour ce test.

Nous n’avons reçu aucune réponse. Peu après, le 14 mai 1997, le Pentagone donna une conférence de presse au cours de laquelle il reconnut la réalité de ce test. Robert Russo, correspondant à Washington pour le Toronto Star11, rapporta que le Pentagone admettait qu’il avait reçu du gouvernement canadien en 1953 l’autorisation de survoler Winnipeg afin de répandre un produit chimique, – qui retomba sur les enfants qui allaient à l’école, les femmes qui étendaient leur linge et les gens se rendant au travail. Les avions et les camions de l’armée américaine répandirent ce produit 36 fois de juillet à août 1953. Les statistiques recueillies par le Pentagone indiquèrent qu’environ un tiers de la population aurait développé un cancer dans les cinq années suivantes si le produit avait été employé à son plein potentiel.

Le professeur Hugh Fudenberg, titulaire de deux prix Nobel, affirma dans les colonnes d’un magazine que le Pentagone avait réussi à sortir blanchi de cette histoire grâce à deux chercheurs, Don Scott et son fils Bill Scott qui avaient révélé ces chiffres au public. Cependant les vraies études sur les tests avaient été faites par d’autres chercheurs ! Les Américains menèrent en fait une série de tests de simulation d’armement bactériologique sur Winnipeg.

Le Pentagone avaient menti au maire, lui disant qu’ils testaient un brouillard chimique censé protéger sa ville en cas d’attaque nucléaire. Le rapport d’une commission du Congrès américain, présidée par le docteur Rogene Henderson, établit une liste de 32 villes américaines qui furent également utilisées pour des expérimentations de ce type.

Retrouvez l’intégralité de ce dossier dans NEXUS N°17
 

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