Atelier David Wilcock « Dimensions of Disclosure » (2)

Lisez la première partie de cet article

L’univers a été créé à partir d’amour et de lumière, de sorte que sa forme représente l’amour pur. Cela a été déformé, mais c’était l’intention initiale.

Donc, c’est une pensée trippante, aussi, car que se passe-t-il avec les Tibétains ? S’ils passent 13 ans à n’avoir que des pensées aimantes, s’ils peuvent conserver assez longtemps cette forme de Merkaba dans leur cerveau, ils ne peuvent pas seulement monter, ils ne vont pas seulement en 4D ; ils retournent directement à l’Unité.

Maintenant, vous pouvez commencer à comprendre que c’est la validation scientifique que nous n’avons jamais eue.

Bien sûr, les ET le savaient depuis le début. Nous ne pouvons maintenant que valider scientifiquement la raison pour laquelle la méditation est importante et comment la méditation transforme fondamentalement l’énergie de votre corps en une énergie pure à partir de laquelle le cosmos est fabriqué. C’est une chose très excitante !

Nous savons que la géométrie affecte la matière, et c’est là que Robert Moon entre en jeu. C’est l’un des types qui a été le père fondateur de la bombe nucléaire. Donc, si quelqu’un avait suffisamment étudié la matière pour savoir comment faire une explosion nucléaire, vous feriez bien de croire qu’il est qualifié pour résoudre le mystère de ce qu’EST la matière.

À quoi cela ressemble-t-il ? Ce qu’il a découvert, c’est que c’est ce qui se passe dans chaque noyau atomique (il montre un graphique). C’est tellement incroyable et j’en ai parlé longuement.

Si vous regardez le cube (au centre de l’atome dans le graphique), que regardons-nous ? Chacun de ces coins du cube, dans son modèle, représente un proton.

Dans le modèle de Robert Moon, vous n’avez pas besoin de neutrons. Les neutrons ne sont là que pour tout maintenir ensemble, pour garder l’équilibre, et ils ne sont pas nécessaires. Il suffit de se débarrasser des neutrons.

C’est simplement une question de mathématique qu’ils ont été ajoutés parce que sinon, ils tomberaient en morceaux. Ils ne comprenaient pas la vibration, ils ne comprenaient pas cette structure cachée du cube qui tient les côtés ensemble, de sorte que chacune de ces lignes (l’octaèdre entourant le cube dans l’image) représente fondamentalement un neutron, si vous voulez. Vous n’avez pas vraiment besoin de vous soucier des lignes. Tout ce que vous avez à faire est de regarder la vibration.

Il y a beaucoup d’atomes différents dans le tableau périodique. Ce que vous faites est que vous comptiez le nombre de protons. Donc, l’hydrogène a un proton, alors vous avez 2, 3, 4, 5, 6 et 7 protons (ceux-ci sont très instables, ils vont immédiatement avoir une réaction chimique, ils vont se transformer en autre chose ; ils vont se lier à un autre atome.)

Mais alors, vous arrivez à huit protons et tout d’un coup cela devient totalement stable. Vous pouvez le jeter dans d’autres choses et il n’a jamais de réaction. Ça reste intact. C’est parce que le cube a cette unité vibratoire.

Au fur et à mesure que nous sortons de cette hiérarchie, lorsque nous commençons à ajouter de l’énergie à l’atome, la forme suivante que vous obtenez est l’octaèdre, qui devient du silicium.

Le silicium a un certain nombre de protons, ce qui, je pense, est de 14, puis vous avez une autre coquille stable.

Lorsque vous regardez le silicium, vous pouvez regarder à l’intérieur du noyau de l’atome et y voir un octaèdre et un cube (il modifie la diapositive pour afficher une meilleure image : il s’agit d’un diagramme de « l’atome géométrique »). (Cela ressemble à une rose en origami avec un cube à l’intérieur).

Cela devient du fer, et le fer est le seul métal magnétique. Ce que nous apprenons maintenant, c’est que les noyaux à l’intérieur du noyau de fer, le noyau de chaque noyau, parce qu’ils prennent cette belle forme de ballon de football, qu’ils peuvent glisser et c’est pourquoi vous pouvez magnétiser le fer. Vous passez l’aimant sur un clou de fer et il commencera à devenir magnétique, car vous prenez tous ces petits gars (pointe vers des parties de la forme dans l’image) et les faites rouler dans le clou ; vous les alignez tous dans une direction et maintenant cela devient magnétique.

Enfin, à l’extérieur de l’atome (dans le diagramme,) nous avons le dodécaèdre et c’est ainsi que vous obtenez le palladium. Le palladium est très étrange, car si vous le laissez tomber dans de l’hydrogène lourd, il vibre très vite et crée de la chaleur, ce qu’ils appellent la fusion froide.

Personne ne sait pourquoi la fusion froide fonctionne, mais la solution réside dans la résolution du mystère de l’atome. Je savais que nous étions sur quelque chose avec les électrons, parce que, même dans le diagramme conventionnel de la façon dont ils pensent que les électrons fonctionnent, (tout est une abstraction mathématique basée sur des modèles théoriques), vous pouvez y voir une certaine géométrie.

Le Dr. John Baez, un type en ligne, a découvert qu’il y avait cette forme dans les nuages d’électrons que personne n’avait encore vue. Tout ce que vous avez à faire est de faire une hypothèse de base.

Il dit : « En mécanique quantique, la position d’une particule n’est pas une chose définie (nous l’appelons une fonction d’onde). Cela dit à quel point il est probable de trouver une particule à un endroit. Mais il contient également d’autres informations, telles que la probabilité de trouver une particule se déplaçant à n’importe quelle vitesse. La particule n’a pas d’emplacement fixe. Prenez l’atome d’hydrogène et regardez la fonction d’onde de l’électron. »

Question n°1 : Peut-on attribuer à la fonction d’onde d’électrons toute la symétrie de rotation d’un dodécaèdre ?

(Le merveilleux solide platonique qui ressemble à un ballon de football avec 12 pentagones sur les espaces). Pouvons-nous réellement le faire ? Peut-on créer une fonction d’onde où l’électron aurait une symétrie de dodécaèdre ?

Il dit : « Oui, en fait, c’est trop facile. »

Vous pouvez configurer votre fonction onde pour qu’elle ressemble à tout ce que vous voulez. Rendons l’équation plus difficile. Comme tout le reste en mécanique quantique, nous ne connaissons pas la vitesse, cela peut être incertain (le moment cinétique signifie la vitesse).

Vous ne pouvez jamais faire en sorte que les trois composantes de la vitesse et du moment cinétique aient une valeur définie en même temps. Cependant, il existe de nombreuses fonctions d’onde où la force de la vitesse des électrons, la magnitude, est parfaitement définie.

Cela nous amène naturellement à la question suivante, posée tout d’abord par Gerald Westinthorpe. Donc à la question : « Pouvez-vous prendre la fonction d’onde de l’électron, lui donner une valeur précise pour sa vitesse, tout en ayant toute la symétrie de rotation d’un dodécaèdre ? » La réponse est oui.

Donc, gardez à l’esprit, ces gars-là renversent fondamentalement toutes les hypothèses de ce stupide modèle de « Bohr » (où l’atome ressemble à un petit système solaire atomique). Peut-on le faire ressembler à un dodécaèdre ? Oui, en fixant les valeurs de la vitesse ; régler la fonction d’onde de cette façon.

La question n°2 est une vraie solution qu’il est trop stupide pour se déranger à chercher. C’est une fonction d’onde à symétrie sphérique, et si vous la définissez de cette manière, elle ne change pas peu importe le type de rotation (parce que ces autres scientifiques pensaient auparavant que les électrons étaient des particules se déplaçant en orbite ; ils y voyaient le même modèle que le système solaire, et ils ont imposé cette hypothèse aux calculs.)

Ils ont dit essentiellement :

« Nous examinons les électrons ; ils ont leur propre orbite dans leur propre petite cellule orbitale. Nous allons seulement faire des fonctions d’onde ce qui le forcent à ressembler à ça. Nous essayons de “ forcer ” l’atome ; nous n’écoutons pas la nature, nous n’écoutons pas ce qu’elle fait vraiment, nous essayons de la forcer à faire ce que NOUS voulons en utilisant les mathématiques. »

Supprimons simplement l’idée que l’électron doit avoir une orbite ; disons simplement que tous ces soi-disant électrons sont des sphères parfaites.

Définissons cela mathématiquement. Disons simplement que nous ne savons pas si ce sont vraiment des électrons ou non, rendons-le simplement symétrique sphérique. Pourquoi personne n’a-t-il pas fait cela en tout premier lieu ? Ça devrait être comme ça ; c’est évident.

Lorsque nous faisons cela, nous devons trouver la solution la plus simple non compliquée. Greg Egan l’a compris et voici à quoi cela ressemble.

Tout ce que vous avez à faire est de faire autour du noyau, où se trouvent les électrons, le calcul en rapport à une sphère. C’est si simple. Les électrons dans l’atome ressemblent à un dodécaèdre (il le montre dans une diapositive).

Jusqu’à ce jour, nous avons tous subi un lavage de cerveau. Nous pensions que l’atome ressemblait à un petit système solaire. C’est faux. C’est la solution qui correspond à notre modèle. Rappelez-vous que cette géométrie a pour origine une vibration. Nous avons donc maintenant, non seulement le noyau de l’atome ressemblant à une vibration, nous avons les électrons ressemblant à une vibration.

Nous pouvons obtenir la solution en utilisant les six lignes reliant les bases opposées du dodécaèdre, créant ainsi l’image d’une fonction d’onde oscillant entre deux possibilités.

Si vous avez déjà eu une fièvre (élevée) vous avez probablement déjà vu quelque chose comme ceci (il pointe l’image). Vous ne saviez pas que vous voyiez la structure intrinsèque de l’univers. C’est tellement incroyable, parce que c’est ce qui se passe réellement, c’est à ça que les atomes ressemblent.

Si les gens veulent pouvoir manipuler la matière, comme Jésus, comment vont-ils le faire ? Comme il est dit dans Matrix, il n’y a pas de « cuillère verte », il n’y a que vous-même. Vous devenez la cuillère et la cuillère se plie à votre volonté. Si vous voyez la géométrie, si vous sentez la géométrie et que vous pouvez réussir à la visualiser, vous pouvez contrôler la matière. C’est vraiment très excitant !

yogaesoteric
6 novembre 2019