Conseils inspirateurs pour les femmes qui aspirent à avoir plus d’amour, de compréhension, de satisfaction et d’accomplissement dans leur vie … (I)


… amoureuse de couple

Des plus anciens temps, la femme a représenté l’idéal de beauté, de douceur, de pureté, de sensibilité et de raffinement. C’est pourquoi elle est aussi le symbole de la sensualité et, à la fois, des plus élevées vertus de la mystérieuse Nature Féminine : la capacité de manifesté un éros sublime qui spiritualise l’être, incarnant la partie la plus élevée de l’âme humaine et combinant dans une parfaite harmonie la force créatrice de la vie et le pouvoir d’origine divine du don inconditionnel.

Dans ce sens, absolument toutes les cultures de l’humanité gardent – au moins certaines doctrines philosophiques ou les créations du folklore – l’image de la Grande Déesse Mère, vénérée pour sa force et sa féminité dans diverses hypostases, une des plus fréquentes étant celle de gardienne des valeurs morales et spirituelles, et, implicitement, celle d’initiatrice.

A nos jours, la féminité est comprise comme un set d’attributs, de comportements et de rôles associés aux femmes, autrement dit, comme une totalité des traites qui constituent le spécifique du caractère féminin. Le mot « féminité » est défini dans le dictionnaire comme étant un cumul de dotations qui gouvernent le comportement et l’aspect extérieur des femmes, un set de qualités qui entremêlent l’existence féminine avec une attitude de soin pour les autres, avec le sacrifice de soi pour le mari et les enfants et la polarisation amoureuse créatrice avec un modèle de masculinité correspondant.

Au long de l’histoire de l’humanité, le milieu social est celui qui a formé ou déformé ce modèle de féminité, en agissant profondément sur lui et sur le rôle de la femme dans la société, changeant la dynamique des rapports entre la féminité et la masculinité. La société patriarcale où on se trouve encore à l’heure actuelle est parvenue à promouvoir toute sorte de stéréotypes et de clichés de comportements et restreignent le rôle de la femme et le pervertissent. Tout détour de ces modèles rigides est promptement sanctionné. C’est qui est dangereux est que même les gens qui se prennent pour des intelligents et des cultes ont tendance à assimiler ces clichés, qui sont si bien inscrits au niveau du subconscient collectif, les propageant ensuite avec plus de force et souvent sans se rendre compte.

Les stéréotypes sociaux néfastes, comme la persistance de la mentalité en ce qui concerne l’infériorité du genre féminin face à celui masculin, sont encore présents dans le comportement de beaucoup d’hommes et de femmes. La femme a été et est encore regardée comme étant une hypostase de l’altérité et est formée et apprise à occuper toujours la position de « l’autre ». Dans une société dominée par les hommes, la femme est mise de côté et son image oscille au bon gré des fantasmes et des buts masculins. Mais, sans doute, nous avons à faire à l’image de la femme-objet, bien que le XXème siècle propose en théorie l’égalité entre les deux sexes.

Le modèle moderne qui a été accepté à présent suppose une tendance générale à effacer les différences comportementales entre les hommes et les femmes, ce qui a comme conséquence, un état d’ambiguïté et de malaise à assumer les rôles caractéristiques de chaque genre en partie. Ainsi sont promues les tendances metrosexuelles chez les hommes (épilation, soin des sourcils etc.) et les tendances masculines chez les femmes (les coups courtes, les pantalons etc.). On ne peut pas ignorer le fait que la situation sociale et économico-financière actuelle a conduit à un changement drastique du statut de la femme. Ceci se reflète aussi dans l’attribution et même l’assimilation de certaines qualités masculines, ce qui détermine l’apparition d’un clivage dans la construction de l’image féminine. L’émancipation féminine n’est plus représentée par les traits de la beauté, on remarque même une promotion du manque de ceux-ci.

La féminité traditionnelle est construite autour du pôle caractérisé par soumission, passivité, réceptivité sexuelle dans le cas des jeunes femmes et attitude protectrice dans le cas des femmes mûres. Par contre, à l’autre pôle se trouve la féminité non-traditionnelle qui se construit de plus en plus en tant qu’autonomie et résistance à la culture dominante. En outre, dernièrement est promue l’idée de fin de l’ère masculine et d’ascension de celle féminine, ceci étant l’idée suggérée par le titre d’un livre récemment lancé en Amérique, avec le titre The End of Men and the Rise of Women, un livre agressif, écrit par la journaliste Hanna Rosin, qui souligne très clairement ce que l’auteur considère comme étant l’ascension du pouvoir féminin, par contraste avec l’apparent déclin de la souveraineté masculine. Le livre n’est pas basé sur des spéculations théoriques et il n’est non plus un manifeste féministe, mais il est fondé sur des données économiques.

Ainsi, en 1950, un homme sur 20 n’avait pas de place de travail, à présent le pourcentage est de un sur cinq. L’auteur parle de « mancession » (la récession masculine) et dit avec ironie : « L’économie post industrielle n’a qu’à faire des muscles. » Mais qui en bénéficie ? La réponse: aux Etats Unis, trois femmes obtiennent une diplôme pour études supérieures, en rapport avec les hommes qui seulement deux en obtiennent. En 2009, pour la première fois dans l’histoire du pays, la balance des places de travail dans le secteur tertiaire et pour les « cols blancs » s’est penchée en faveur du sexe « faible ». Effet immédiat : les salaires des femmes représentent à présent 42,2% des revenus moyens des familles aux Etats Unis, par rapport à seulement 6% en 1970.

En tant que femmes, il est très bien d’aspirer à plus de liberté et d’autonomie, mais non pas en heurtant l’autre sexe. La situation pathétique à laquelle on est arrivée est évidente. Jamais jusqu’à présent, les hommes et les femmes n’ont pas tellement du réinventer le couple et l’amour. Malheureusement, la société a permis, le plus souvent inconsciemment, le changement des rôles. Et ce n’est pas toujours facile de trouver notre place. En tant que femmes, il faut se connecter profondément à notre propre féminité, non pas la nier, en cherchant à être masculine pour faire face à un monde masculinisé, et il ne faut plus se comparer aux autres femmes. Nous pouvons trouver la voie seulement en permettant à notre cœur d’éclairer et de briller librement. Ici c’est l’espace sacre de la communication et de la guérison, un espace plein de profondeur et d’affection.

Par sa nature, la femme a sa façon spécifique d’être, sa façon d’exister, son don spécifique d’ourdir son être en liaison avec tout, tant avec Dieu, qu’avec les autres et avec soi-même. Elle sauve toujours, dans les tréfonds de son cœur, le mystère de son être et de ses qualités, que le saint Paul avait par le symbole du « voile ». Et ce mystère doit être « dévoilé », déchiffré, pour que la femme comprenne son destin « conjugal » en étroite liaison avec celui de l’homme.

Par conséquent, il est important pour nous en tant que femmes de se permettre de s’épanouir à l’image de notre cœur, étant de vraies messagères de la Beauté et de l’Amour et être en même temps conscientes du fait que l’amour féminin est l’énigme la plus profonde dont l’homme ne cessera jamais à s’émerveiller.

Voilà maintenant quelques suggestions liées à la façon dont on peut aimer de plus en plus les hommes et nous rendre aimées par eux, pour avoir part de plus d’amour, de compréhension et d’accomplissement dans la vie de couple :

Accorder une place privilégiée aux hommes virils, affectueux, intelligents et puissants de notre vie

Problème : Parfois les femmes (surtout celles avec une composante masculine puissante) choisissent la variante d’une vie « célibataire ». Elles considèrent avoir tout ce qu’il leur faut pour une vie accomplie et heureuse. D’un certain point de vue il est vrai: elles ont des amis et des amies, elles possèdent une très bonnes situation familiale, elles suivent des cours de développement personnel et spirituel, font du sport etc. autrement dit, leur vie est accomplie même si elles ne sont pas intégrées dans une relation de couple.

En même temps, il se peut qu’il existe aussi une autre raison de ce choix qui doit être attentivement analysé: la peur qu’un homme « déstabilise » l’ordre et l’harmonie de la vie actuelle, l’équilibre profondément émotionnel auquel elles pensent être arrivées. Il se peut qu’un déséquilibre émotionnel aille été passé à un moment donné et qu’il existe encore une blessure ouverte, mais très bien couverte. Il faut qu’il nous soit très claire que le choix de ne plus nous engrener dans des relations d’amour de polarité opposée n’est pas une solution ! Ce n’est qu’une grande tromperie qui « protège » cette blessure du fait d’être… guérie, en empêchant en même temps une transformation spirituelle réelle, authentique !

Solution : Il est nécessaire de rester ouvertes envers la vie, de vraiment souhaiter à avoir des relations d’amour de polarité opposée et, surtout, nous offrir le luxe de bien choisir. Notre recherche doit être pleine de confiance et dépourvu d’acharnement. Monique, 37 ans, avoue : « Plus j’étais acharnée dans ma recherche, moins je trouvais ce que je cherchais. » Si, pleines du courage de se dépasser et de sortir de notre « carapace » confortable, nous réalisons le premier pas, celui de nous ouvrir envers les opportunités qui nous sont offertes, notre effort sera récompensé.

Il faut se souvenir toujours que la vie à deux, à côté d’un homme qu’on aime et qui nous aime, reçoit de nouvelles nuances qui nous enchantent et enrichissent notre âme, nous aidant à découvrir qui sommes-nous en réalité.

Comprendre de façon juste la notion d’indépendance personnelle

Problème : Nous savons que le long du temps, au niveau social, il a fallu toute une lutte pour que les femmes gagner la liberté ou l’indépendance sociale (les droits sociaux) et financière. Nos prédécesseurs ont du attendre l’année 1965 afin de pouvoir ouvrir un compte bancaire et l’année 1983 pour l’apparition d’une loi qui défende l’égalité salariale avec les hommes. Même à présent les femmes gagnent moins que les hommes, bien que, statistiquement parlant, elles ont plus de diplômes. Et ainsi de suite…

Solution : La notion d’indépendance personnelle dont on parle ici se réfère, premièrement, à une indépendance affective. Plus les femmes vont se connaître elles-mêmes et utiliseront en sens bénéfique, de plus en plus conscient, la force et les qualités qu’elles possèdent, plus nombreuses seront les transformations majeures qui apparaîtront sur cette planète. Et celles-ci sont déjà de plus en plus visibles à l’heure actuelle…

Par sa nature, la femme lutte pour tout ce qui est bon, harmonieux et parfaitement intégré dans l’ordre divin. Elle doit lutter avec persévérance premièrement avec ses propres limites et tendances inférieures, cherchant à acquérir un contrôle parfait sur ses émotions et la vie intérieure. Tant dans la vie de couple, que dans les autres domaines de sa vie, la femme doit être vigilante pour ne jamais faire des compromis. Voilà quelques exemples : ne jamais accepter à avoir des relations intimes si on n’aime pas ou on ne se sent pas aimée et s’engrener dans des relations amoureuses réalisées sans continence sexuelle et transfiguration; respecter toutes les étapes du jeu amoureux (surtout le prélude et la période d’avalanche!), faire attention à ce que la dépolarisation en couple n’apparaisse pas, ne pas accepter des relations qui ne sont pas basées sur respect réciproque et appréciation etc.

En plan social, la femme soit soutenir les valeurs spirituelles authentiques (et même lutter pour elles s’il est nécessaire !), les rendant connues à de plus en plus de gens, premièrement par exemple personnel.

Montrer presque toujours à l’être aimé combien il est important pour nous qu’il existe dans notre vie

Problème : Du point de vue financier nous sommes indépendantes et nous nous offrons tout ce qui est meilleur. Nous avons la possibilité de nous offrir seules des petites satisfactions ou des soi dites gâteries sans attendre un jour anniversaire. Il se peut que notre amoureux comprenne mal cette conduite et se sente obligé de couvrir financièrement ces dépenses, qu’il se peut qu’il ne se permette pas facilement. Les hommes manifestent le plus souvent leur amour par les dons et les services qu’ils nous font. Il faut faire attention à ce que notre indépendance financière ne le place pas dans une position d’infériorité.

Solution : Le laisser payer le dîner auquel il nous a invité. Aussi, lui remercier à chaque fois pour le don qu’il nous a fait. Nous pouvons partager avec lui combien nous aimons recevoir des fleurs et manifester notre enchantement à chaque fois qu’il fait ce geste face à nous. Même si peut être, du point de vue matériel, il ne nous manque rien, nous devons le faire comprendre d’une façon très féminine que les enlacements tendres ou les mots d’amour qu’il nous offre après un jour sollicitant signifient beaucoup pour nous et que notre extrait de compte ou la carte bleue ne peuvent pas remplir notre cœur de joie comme lorsqu’il se passe quand nous recevons de lui un message où il nous dit : « Je t’aime ».

Montrons notre enchantement à chaque fois qu’il s’offre à nous aider en quoi ce que ce soit, même si nous pouvons faire seules une certaine action. Par exemple, s’il nous propose d’ouvrir une bouteille avec le tire-bouchon, ou bien monter sur une échelle à une hauteur considérable à notre place, nous n’allons pas lui dire : « Non, je me débrouille », mais « Oui, cela me ferait plaisir ».

Mireille, 28 ans, s’est confessé : « J’aime lancer à mon amoureux des questions du genre : “ Comment pouvais-je…? ” Et je le laisser trouver des solutions, même si j’ai aussi quelques ides, et je n’oublie jamais lui remercier pour son aide. D’habitude les hommes ont un sens pratique plus développé et sont très efficaces à trouver toute sorte de modalités ingénieuse pour résoudre les problèmes. »

Rester fidèles à l’amour que Dieu offre à notre âme

Problème : Dans nos jours, la fidélité est devenue une vraie provocation. La société de consomption où nous vivons a imprimé la même tendance aux relations interhumaines. Les relations de couple habituelles apparaissent et disparaissent dans un temps record, une fois que l’euphorie du début s’est épuisée.

Solution : Premièrement, il faut être pleinement conscientes de la valeur inestimable de la période de début d’une relation. Ensuite il faut prolonger autant que possible ce début magique plein de Grâce par son évocation constante. Il est aussi nécessaire de célébrer en permanence l’amour que nous recevons de Dieu dans nos âmes, en faisant tout ce que nous savons pour éliminer promptement les fausses croyances (limitées) que nous avons sur les relations d’amour et toutes tensions intérieures, traumas que nous avons expérimentées dans d’autres relations et qui maintenant peuvent nous éloigner de l’amour et implicitement de notre amoureux. Il faut suivre en permanence que la relation basée sur l’état d’être amoureux se transforme dans une relation d’amour conscient où les deux amoureux envisagent à dépasser toutes les testes qui apparaissent, qu’ils soient individuels, ou de la relation en elle-même. Les anciennes habitudes relationnelles qui nous ont apportées seulement de la souffrance doivent disparaître de notre vie à mesure que nous les conscientisons. Elles seront remplacée par la perspective divine sur l’amour et sur les relations d’amour : lorsque l’amour est infini, totalement inconditionnel, la transformation spirituelle réelle apparaît et même l’impossible devient facilement possible.

Marie, 34 ans, s’est confessée : « auparavant j’avais l’habitude de “ sauter d’une fleur à l’autre ”. Mes relations d’amour ne duraient pas plus de 3-6 mois, maximum un an. J’avais mal compris le principe qui dit que la vie est trop courte pour manquer une occasion. Je n’avais pas de la confiance ni dans les hommes, ni en moi. Ceci se passait avant que je rencontre Alex. Avec lui j’ai découverte qu’est-ce que le don de l’amour et de la confiance réciproque. Maintenant nous pouvons être fidèles à l’amour que nous ressentons l’un pour l’autre quoi que riche soit notre vie sociale ! »


Lisez la deuxième partie de l’article

Article extrait du Programme du camp yogi de vacances de Costinești 2013, publié par la Maison d’Edition Shambala , imprimé par Ganesha Publishig House .

 

yogaesoteric
18 juin 2018

Also available in: Română

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