Coronavirus : Nostradamus a-t-il prédit le virus mortel de la Chine ? La prophétie de la « grande peste »
Le célèbre prophète Nostradamus a-t-il prédit l’épidémie de coronavirus lorsqu’il a mis en garde contre une « grande peste » il y a près de 500 ans ?
Le nouveau coronavirus (2019-nCoV) se répand en Chine et dans le monde entier à un rythme alarmant, dépassant la pandémie de SRAS de 2002 à 2003. Le coronavirus, qui peut se propager entre l’homme et l’animal, a été détecté pour la première fois dans la ville de Wuhan, dans la province de Hubei, l’année dernière.
Mais l’infection s’est maintenant étendue à prèsque 120 pays en dehors de la Chine, alimentant les craintes pour la sécurité de l’humanité.
L’épidémie virale chinoise a commencé en décembre de l’année dernière lorsqu’une nouvelle souche de coronavirus, le Nouveau Coronavirus (2019-nCoV), a été découverte à Wuhan. Le virus a d’abord été attribué à un marché de fruits de mer très fréquenté et le nombre de personnes infectées a grimpé en flèche la semaine dernière.
Les théoriciens de la conspiration en ligne ont maintenant suggéré que le Michele de Nostradame, ou Nostradamus, avait prédit l’épidémie au XVème siècle.
Les partisans de Nostradamus considèrent l’homme comme un puissant prophète et voyant qui a prédit le Grand Incendie de Londres en 1666 et l’ascension d’Adolphe Hitler en 1933.
L’essentiel des quatrains de Nostradamus a été publié en 1555 dans son opus magnum ‘Les Prophéties’.
L’un de ces quatrains, Centurie 2:53, pourrait être une référence au coronavirus, selon des affirmations en ligne.
Le passage se lit comme suit : « La grande peste de cité maritime ne cessera que mort ne soit vengée, du sang juste par pris damné sans crime, de la grande dame par feinte n’outragée. »
La province du Hubei est une partie enclavée de la Chine orientale, il est donc peu probable que Wuhan soit la « ville maritime » mentionnée par Nostradamus. La maladie a toutefois été attribuée à un marché de fruits de mer, qui pourrait être un lien lâche avec le quatrain.
Nostradamus a mentionné un autre fléau dans le Centurie 2:56.
Le passage se lit comme suit : « Celui que ni la peste ni l’acier n’ont su achever, la mort au sommet des collines frappées du ciel : L’abbé mourra quand il verra ruinés, ceux de l’épave souhaitant s’emparer du rocher. »
yogaesoteric
25 mars 2020