Didier Raoult fustige l’étude de The Lancet et dénonce des suppressions de données favorables à l’hydroxychloroquine


Les médias vous bombardent en permanence d’informations que l’hydroxychloroquine (HCQ) est mauvaise.

Comme vous le savez probablement The Lancet a dénoncé l’HCQ comme provoquant plus de complications.

Vous pouvez visionner la vidéo de Didier Raoult pour mieux comprendre la situation :

L’IHU de Marseille s’est insurgé dans un article en mettant en cause les « Big Data » :

« A propos de l’efficacité des dérivés de la chloroquine dans la prise en charge des infections à COVID19, nous avons été interpellés par les discordances majeures entre les résultats des différentes études publiées et notre expérience à l’IHU où 7800 ECG ont été réalisés chez 4000 malades. Afin de comprendre quels éléments pouvaient conduire à des résultats contradictoires, nous avons comparé les résultats des études réalisées par des cliniciens (monde réel) et celles réalisées par des analystes de base de données (monde virtuel du « Big data » – Figure 1, Supp Table). Les études cliniques utilisaient un protocole standardisé de traitement mentionnant dans les méthodes l’évaluation des contre-indications, la posologie quotidienne, les mesures adjuvantes et la durée du traitement avec au moins 48 h de traitement avant de pouvoir évaluer l’objectif. Par exemple, l’évaluation de la kaliémie et de l’électrocardiogramme est capitale avant la mise sous traitement, notamment quand le dérivé de la chloroquine est associée à l’azithromycine (Million, 2020). Dans le même temps, nous avons observé que les études virtuelles de « big data » ne mentionnaient pas ces éléments et considéraient de façon binaire la présence dans les dossiers électroniques de la prescription de chloroquine. Evidemment, le nombre de patients inclus dans les analyses de bases de données était très largement supérieur à celui inclus dans les études cliniques, car ces bases sont constituées à partir de milliers d’« electronic medical file » (EMF). Comme nous l’avons déjà mentionné par le passé (Million, 2019), ce type d’étude a une puissance statistique colossale mais elles sont limitées par une inexactitude clinique qui rend leurs conclusions difficiles à croire. Dans la figure jointe, nous avons été surpris de constater que 5/5 études de big data concluaient à une inefficacité de la chloroquine et de ses dérivés. Utiliser le big data était significativement associé à des résultats concluant à une absence d’efficacité des dérivés de la chloroquine (p < .05). »

Et maintenant, la cerise sur le gâteau :

La guerre contre l’HCQ ne fait que commencer.

yogaesoteric
23 juin 2020

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