Dr Alan Sabrosky : Les militaires US savent qu’Israël est responsable du 11 septembre (1)

En entrevue, le Dr Alan Sabrosky, ancien directeur des études du US Army War College, a identifié le vrai responsable et bénéficiaire du 11 septembre : Israël.


Écouter l’entrevue complète ici.

Cette vidéo sous-titrée en français en contient l’essentiel :


[Voir ici la V.O.A. de cette vidéo, sur la chaîne Youtube de exposedeceivers]

RETRANSCRIPTION DE l’ENTRETIEN :

Mark Glenn :
Dr Sabrosky, bienvenue à l’émission.

Dr Alan Sabrosky : Merci beaucoup, Mark. C’est un plaisir d’être ici avec vous.

MG :
Eh bien, croyez-moi, tout le plaisir est pour nous. Comme je l’ai dit, cet article que vous avez écrit cette semaine – il y a très peu d’articles qui captent vraiment mon attention ces temps-ci, comme vous pouvez le comprendre, Dr Sabrosky, parce qu’il y a tellement d’informations et tant de gens qui s’expriment. Mais celui-ci a particulièrement capté mon intérêt et maintenu mon intérêt pendant toute la lecture de cet article – que je vais vous lire ici dans une minute. Mais avant d’entrer là-dedans, je vais juste aller de l’avant et vous donner la parole ici, et vous laisser dire des choses que je crois nécessaire de dire.

AS : Mark, nous nous sommes parlés plus tôt et, vous le savez, mes sentiments sont que je suis tout à fait disposé à débattre de problèmes avec n’importe qui sur n’importe quel sujet. La plupart d’entre nous ont des vues différentes sur les choses, et aucun d’entre nous, je pense, ne croit détenir toute la vérité pour lui-même. Ceux qui le croient sont des imbéciles.

Mais… le sujet sur lequel j’ai écrit cette fois a attiré mon attention aussi parce que s’il y a quelque chose qui est plus important c’est la loyauté : la loyauté envers le pays, la loyauté envers le peuple, la loyauté à la Constitution. Et à mon grand mécontentement et j’ai honte – parce que j’ai de la parenté juive, dont aucune n’est sioniste – la grande majorité des juifs américains donnent leur allégeance à un pays étranger. Ils peuvent avoir la citoyenneté américaine, mais leur allégeance va à Israël. Et comme je l’ai dit dans l’article, c’est une forme de bigamie politique qui est tout aussi malhonnête que la bigamie matrimoniale. Je ne suis pas marié en ce moment, mais quand je l’étais, la loyauté envers ma conjointe était absolue. Elle doit être là. Je pouvais regarder et dire : « Ah! voici Farrah Fawcett, » et je pouvais admirer quelqu’un là-bas, mais je n’ai pas offert à cette personne mon allégeance. Il y a une différence entre admirer de loin et donner allégeance à cette chose. Et c’est la même chose avec un pays.

Certains de mes parents [américains] sont allemands, certains sont irlandais, et ils ont tous une certaine mesure d’allégeance à ces cultures, mais ce n’est pas une allégeance politique. Il s’agit d’une appartenance sociale. C’est comme dire : «On va se tenir debout le jour de la St-Patrick », ou «On va se tenir debout à l’Oktoberfest », ou « Nous allons fêter ça », et nous sommes fiers d’être allemands ou irlandais, ou quoi que ce soit d’autre. Mais aucun d’entre nous ne donne son allégeance à l’Irlande ou à l’Allemagne. Les Juifs le font. Et si nous ne le disons pas – peu m’importe d’être taxé d’antisémite – si nous ne nous levons pas pour dire : « La vérité est la vérité, leur allégeance à un pays étranger, ils sont des traîtres », alors nous sommes malhonnêtes avec nous-mêmes.

MG :
Ce serait une chose s’ils avaient cette allégeance à ce pays étranger, et que les intérêts nationaux de ce pays étranger imitaient les nôtres – or ce n’est pas le cas. La troisième personne avec nous aujourd’hui est un homme ayant vécu de première main le fait que les intérêts nationaux de cet autre pays ne sont pas les mêmes que les intérêts nationaux de ce pays-ci.

AS
: Mais c’est encore plus que cela, Mark. J’ai eu une discussion amère avec un de mes cousins juifs qui a émigré en Israël et conservé la nationalité américaine. Si quelqu’un aime un autre pays assez pour y déménager : tant mieux pour lui. Ils y vont, et c’est tout – ils sont partis. Mais ils gardent la nationalité américaine afin de pouvoir continuer à participer à nos élections, à siéger dans nos bureaux – regardez Rahm Emanuel : il a servi dans les forces armées israéliennes, et non dans les forces armées américaines, et il est de loin la deuxième personne la plus puissante de ce pays – facilement.

C’est une trahison. Je vais vous dire maintenant : si les Palestiniens avaient la même influence en Amérique, je m’y opposerais de la même manière. Je me fous de quel pays il s’agit, quelle est l’allégeance, ce qui compte pour moi, c’est que si vous êtes américain, vous aimez ce pays en premier lieu et en dernier lieu, et ça s’arrête là. Et je ne m’inquiète pas que vous soyez de la Navy, de la Marine, peu importe ce que vous êtes. Phil, vous et moi serons sans doute d’accord sur ce point – et sans doute l’une des rares choses sur lesquelles un gars de la Navy et un gars de la Marine soient d’accord – mais je pense que chacun de nous serait d’accord que la loyauté envers l’Amérique est la seule partie non-négociable de la citoyenneté américaine.

Phil Tourney (survivant du USS Liberty) : Absolument, Alan, et je vais vous dire, vous être un Marine des États-Unis, cela vous est consubstantiel, et d’être un Marine – Semper Fidelis, toujours fidèle – vous êtes fidèle à votre pays ; et je suis désolé que vous ayez eu cette prise de bec avec votre cousin, mais vous êtes toujours fidèle à votre pays et je comprends exactement d’où vous venez.

 

Phil Tourney (survivant du USS Liberty) : […] Mark, je ne pense pas que tu aies lu au début de l’émission les références du docteur. Je souhaiterais que tu le fasses, parce que ça signifie beaucoup, et cela signifie beaucoup pour moi de les entendre.

Mark Glenn :
Absolument, et je vais le faire dès maintenant car je suis sur le point d’entamer la lecture de cet excellent article.

Alan Sabrosky (Ph.D, Université du Michigan) est un Américain qui a oeuvré pendant dix ans dans le corps des Marines et un ancien diplômé de l’US Army War College.

Maintenant, non seulement cela – Dr. Sabrosky me corrigera si je me trompe ici – non seulement vous êtes diplômé de l’US Army War College, mais vous y étiez le directeur des études pendant un certain temps – est-ce exact ?

AS : C’est exact. Pendant cinq ans et demi.

MG :
Cinq ans et demi comme directeur d’études à l’US Army War College. Vous savez, de tous les titres que j’aimerais avoir à la suite de mon nom, Dr Sabrosky, celui de directeur des études au US Army War College serait certainement l’un d’entre eux.

AS : Merci beaucoup, j’apprécie.

MG :
Très bien, Mesdames et Messieurs, même si j’ai l’air de la mère d’un écolier ici en lisant cet article pour vous, néanmoins, je vais le faire. Non pas comme un geste d’insulte à votre intelligence – parce que je sais que vous êtes tous bien lettrés – mais j’ai été tellement impressionné par cet article qu’il soit dûment conservé ici dans le contexte de cette conversation, et c’est la raison pour laquelle je vais le lire :

En date du 12 mars 2010, par le Dr Alan Sabrosky

La face obscure du nationalisme juif

« Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou a dit un jour à une réunion du Likoud qu’“ Israël n’est pas comme les autres pays. ” Fait curieux de sa part, cette fois il disait la vérité, et ça n’est nulle part plus évident que dans l’exemple du nationalisme juif – peu importe qu’on lui colle ou non l’étiquette de sioniste. Le nationalisme dans la plupart des pays et des cultures peut avoir des aspects positifs et négatifs, unifiant un peuple et, quelquefois, le retournant contre son voisin. L’extrémisme peut émerger, et il l’a souvent fait au moins en partie, dans presque tous les mouvements nationalistes/indépendantistes dont je dont je puis me souvenir (par exemple, le mouvement nationaliste français avait La Terreur, le Kenya avait les Mau-Mau, etc.)

Mais tandis que l’extrémisme au sein des autres mouvements nationalistes est une aberration, l’extrémisme dans le nationalisme juif est la norme, montant les juifs sionistes (laïques ou pratiquants) contre les Goyim (le reste du monde), qui sont potentiellement ou bien des prédateurs ou bien des proies certaines, sinon les deux successivement. D’aucune façon cela ne signifie que tous les Juifs ou tous les Israéliens ressentent et agissent ainsi. Mais cela signifie néanmoins qu’Israël est aujourd’hui ce qu’il ne peut éviter d’être, et ce qu’il serait sous n’importe quel gouvernement élu (un point que je vais développer dans un autre article).

Les différences entre le nationalisme juif (le sionisme) et celui d’autres pays et cultures, sont selon moi quadruples :

1. Le sionisme est une véritable bouillie de sorcière [où se mélangent] xénophobie, racisme, ultra-nationalisme, militarisme, ce qui le place en dehors d’un simple “ contexte nationaliste ” – par exemple, quand j’étais en Irlande (dans les deux parties), je n’ai vu aucune indication selon quoi Armée républicaine irlandaise provisoire ou qui que ce soit qui ait exercé des pressions pour une Irlande unie songe à envoyer les protestants dans des camps ou à l’extérieur du pays, malgré qu’il puisse bien y en avoir une poignée qui pense ainsi – et dépasse de loin les misères infligées par les nazis ;

2. Le sionisme sape la loyauté civique de ses adhérents vivant dans d’autres pays comme aucun autre mouvement nationaliste (incluant même des mouvements ultra-nationalistes comme le nazisme) ne l’a jamais fait – par exemple, une grande majorité de Juifs américains, y compris ceux qui n’ont pas de double citoyenneté affichée, épousent une forme de la bigamie politique appelée “ double loyauté ” (à Israël et aux États-Unis) qui est tout aussi malhonnête que la bigamie matrimoniale – tentent de cacher la préséance qu’ils accordent à Israël par rapport aux États-Unis (il y a beaucoup de petits Rahm Emanuel là-bas qui ont servi dans l’armée israélienne mais PAS dans les forces armées américaines), et n’a absolument aucun parallèle en ce qui a trait à une identité nationale ou culturelle épousée par quelque autre groupe ethnique ou racial définissable aux États-Unis – même le Bund nazi aux États-Unis a disparu une fois que l’Allemagne et les États-Unis sont entrés en guerre, avec la quasi-totalité de ses membres se portant volontaires dans les forces armées américaines ;

3. L’“ ennemi ” des mouvements nationalistes normaux est la puissance occupante et peut-être ses alliés, et une fois l’indépendance atteinte, des relations normales avec la puissance occupante sont véritablement la norme, mais pour le sionisme presque tout le monde extérieur est un ennemi réel ou potentiel, ne différant qu’en terme de proximité géographique et de position sur sa très longue liste d’ennemis (qui est maintenant la liste des cibles des États-Unis) ; et

4. Presque tous les mouvements nationalistes (y compris les variantes irrédentistes et sécessionnistes) cherchent à créer un État indépendant à partir d’une population en place ou pour réunir un peuple séparé (comme les Allemands des Sudètes dans les années 1930) – il est très rare qu’il comprenne le déplacement massif d’une autre population indigène, qui est beaucoup plus commun dans les mouvements colonialistes qui ont réussi comme c’est le cas aux États-Unis – et peut-être qu’une raison expliquant le fait que la plupart des Américains ne se sentiraient pas concernés par ce que les Israéliens font subir aux Palestiniens, et ce même s’ils étaient au courant, est que cela ne diffère guère de ce que les Européens ont fait aux Amérindiens ici même en Amérique du Nord sur une plus longue période de temps et avec une technologie très rudimentaire.

 

Les implications de ceci pour les perspectives de paix au Moyen-Orient, et pour d’autres pays sous l’emprise (ou pas) de leurs lobbies juifs domestiques, donnent le frisson. Le fait que le livre du Deutéronome prenne vie dans un État doté d’un arsenal nucléaire serait suffisant pour donner à réfléchir à quiconque n’est pas soumis par l’argent ou la corruption – soumission qui de nos jours caractérise tout à fait le gouvernement des États-Unis, étant donné la propension d’Israël à lancer de la boue au visage de l’administration Obama et compte tenu du penchant manifeste de ce dernier à accepter cela avec le sourire, au point où l’on en vient à se dire que Bibi Netanyahou a son propre “ Oncle Tom ” en poste à Washington.

Feu le général Moshe Dayan, qui – sionistes ou pas – fait partie de mon propre Panthéon honorifique des héros militaires, aurait apparemment fait remarquer que la sécurité d’Israël dépendait du fait qu’elle soit perçue par autrui comme un chien enragé. Il avait peut-être raison. Mais il a négligé de remarquer que la réponse préférée par tous les autres est de tuer ce chien enragé avant qu’il puisse décider de devenir fou furieux et de mordre. Il s’agit d’une option à considérer. »


MG :
C’est ce qu’écrit Alan Sabrosky PhD, ancien directeur des études à l’US Army War College.

Dr. Sabrosky, je ne peux penser à aucun autre article que j’aie lu, de mémoire récente, qui résume essentiellement le problème auquel nous avons affaire en ce moment de manière plus précise et aussi succincte que cet essai que vous avez écrit. Vous avez, pour toutes fins pratiques, enfoncé le clou de cette affaire. Je suppose que la raison pour laquelle je suis tellement enthousiasmé par cet article, Dr Sabrosky, est que l’une des choses que j’ai noté au sujet de ce problème auquel nous faisons face – en termes de sionisme, de la puissance du lobby juif, et tout le reste – c’est que tout est enveloppé dans un brouillard de confusion ou de mystère, et cela, je crois, de façon délibérée. Je pense que c’est l’un des principaux éléments expliquant le fait que ce puissant intérêt étranger soit en mesure d’obtenir ce qu’il veut. Je veux dire, regardons les choses en face: il s’en est tiré avec l’attaque d’un navire américain durant près de deux heures et tuant 34 hommes – c’était un acte de guerre, et ils s’en sont tirés. Non seulement ils s’en sont tirés, ils ont même été récompensés par trois milliards de dollars par année minimum. Quand on regarde les deux guerres dans lesquelles les États-Unis se retrouvent, et sur le seuil d’au moins deux autres, et tout cela au profit d’un certain pays étranger assis sur la rive orientale de la mer Méditerranée – ils ont eu un franc succès à mettre tout cela en place et je pense que l’une des principales composantes de cela est le fait que très peu de gens comprennent réellement la nature du problème – et je pense que votre article révèle essentiellement le problème, qui est que lorsque vous avez des gens qui essaient de dire qu’ils sont fidèles aux États-Unis et, en même temps, fidèles à un gouvernement étranger, c’est un mensonge.

AS : Ça l’est, et c’est plus que cela, Mark. Ce que nous devons proclamer bien haut, c’est que non seulement ils ont attaqué le USS Liberty, ils ont fait le 11 septembre. Ils l’ont fait.

J’ai eu de longues conversations au cours des deux dernières semaines avec des contacts à l’Army War College, au Quartier Général du corps de la Marine, et j’ai dit très clairement dans les deux cas qu’il est à 100% certain que le 11 septembre était une opération du Mossad [services secrets israéliens]. Point final.

Vous savez, Phil, je ne dénigre pas ce qui est arrivé au USS Liberty, pas le moins du monde – vous comprenez cela – mais pour la plupart des Américains ce qui est arrivé au USS Liberty, ou au Vietnam, c’est de l’histoire ancienne. Maintenant, c’est de l’histoire ancienne. Vous savez, ils peuvent être préoccupés à ce sujet, mais ils ne vont pas se mettre en colère à propos de cela.

Le 11 septembre a directement causé plus de 60.000 Américains morts et blessés, Dieu sait combien de centaines de milliers de personnes dans d’autres pays nous avons tués ou blessés ou rendus sans-abri, et c’est une plaie qui perdure. Ce n’est pas votre blessure du USS Liberty, ce n’est pas ma blessure du Vietnam. Nous en avons tous les deux, chacun de nous s’en préoccupe. Mais c’est une plaie ouverte. Et ce que les Américains ont besoin de comprendre, c’est que c’est eux qui l’ont fait. Ils l’ont fait. Et s’ils comprennent cela, Israël va disparaître. Israël va tout simplement disparaître de cette Terre.

J’ai envoyé un film à l’un de mes collègues et cela montrait essentiellement des Américains endeuillés alors que leurs morts sont rapatriés. Et j’ai montré l’un d’eux : c’était une femme, complètement déchirée par le deuil en train de pleurer son soldat mort. Et j’ai dit, vous le savez, si jamais les Américains savent qu’Israël a fait cela, ils vont les rayer de la surface de la Terre, et ils n’auront rien à foutre – pardonnez mon langage – de ce que cela va coûter. Ils ne s’en feront pas. Ils vont le faire. Et ils le devraient. Et ils le devraient.

Lisez la deuxième partie de cet article
 
 
 

yogaesoteric

30 juillet 2019

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