Dr Alan Sabrosky : Les militaires US savent qu’Israël est responsable du 11 septembre (2)
Lisez la première partie de cet article
Phil Tourney (survivant du USS Liberty) :
Alan, votre article, et votre cœur, et votre témoignage et ce en quoi vous croyez, est déchirant pour moi. C’est comme nos pères fondateurs, et leurs ombres, qui parlent et qui disent : « Nous devons résoudre ce problème, nous devons le faire à notre manière, et nous devons le faire maintenant, ou nous allons sombrer. »
Dr Alan Sabrosky : Exactement. Absolument, Phil. Je suis entièrement d’accord.
PT :
Votre article doit être expédié à la Bibliothèque du Congrès immédiatement.
AS : Eh bien, je peux vous dire qu’il est lu par certaines personnes au Quartier Général du corps des Marines et à l’Army War College. Je leur ai envoyé et j’ai eu de longues discussions avec les gens là-haut, et il y a certaines personnes très, très mécontentes.
Mark Glenn :
Que disent-ils, si vous pouvez parler de cela, Dr Sabrosky ? Vous savez, je suis curieux…
AS : L’étonnement. La première chose, Mark, c’est l’étonnement. Ils ne savaient pas. Ils ne savaient vraiment pas. Et ce ne sont pas des gens stupides. Ils ne savaient vraiment pas.
Et la réaction suivante est la rage. Une véritable rage. Et les sionistes jouent ceci comme un pari « tout ou rien », parce que s’ils perdent celui-ci, si le peuple américain réalise ce qui s’est passé, ils sont finis.
Et je vais vous dire franchement – je ne pense pas que l’un de vous ait des ancêtres juifs. J’en ai. Vous savez, j’ai un grand-parent qui est juif. Comme nous en parlions moi et Phil Weiss de Mondoweiss – c’est un juif qui publie beaucoup d’articles critiques sur Israël – et j’ai dit que pour le Rabbinat orthodoxe je ne suis pas un Juif. Mais pour les nazis, je suis passé par là. Et si cela explose, je vais tomber avec le reste d’entre eux. Et je le sais. Je le sais tout simplement. Mais si tel est le prix pour refaire l’Amérique à neuf…
Quand j’ai prêté serment il y a 51 ans au sein du Corps de la Marine des États-Unis, personne ne nous a promis la vie. Personne ne l’a fait. Ils nous ont promis le devoir, la fidélité et le service – et peut-être la mort. Et c’est comme ça qu’ils nous parlaient en 1959. Je ne pense pas qu’ils leur parlent encore ainsi. Mais en 1959 ils le faisaient, et si ma mort était une condition requise pour sauver l’Amérique – alors, qu’importe, j’aurais pu mourir au Vietnam. C’est mon service, mon pays, mon corps [de la Marine]. Et, Phil, c’est comme vous dans la Navy : nous avons signé pour cela et nous aimons notre service. Et aucun de nous ne veut mourir. Certes, je ne le veux pas. Je ne pense pas que l’un de vous ne le veuille. Mais si c’est le prix, alors c’est le prix que j’aurai à payer. Je le pense vraiment.
PT :
Quand vous parlez des Marines, j’ai le plus grand respect et je connais votre engagement envers votre pays. Lorsque la torpille a frappé notre bateau et que je suis entré dans la partie inondée, devinez qui j’ai tiré de là : un soldat de la Marine des États-Unis, du nom de Bryce Lockwood. Et il était accroché à un autre marin et lui sauva la vie, et il a reçu une étoile d’argent. Dieu le bénisse pour cela.
Et je comprends sincèrement ce qu’il y a dans votre coeur, car je l’ai dans le mien. Je n’ai pas appris cela en devenant un marin comme tel, mais je l’ai appris par la grâce de Dieu pour sauver notre navire, je l’ai appris par des savants comme vous, je l’ai appris par des bons amis comme Mark Glenn et mes compagnons de bord – et je l’ai appris à travers les actions d’Israël. Et vous m’avez frappé très, très fort il y a tout juste une seconde lorsque vous avez parlé du 11 septembre. Vous êtes tout à fait prêt à dire que, oui, ils l’ont fait, le 11 septembre. Oui, ils ont fait. Et, vous savez, mon cœur s’est brisé. Et j’ai vu cet avion – le dernier – entrer dans la tour. Et de voir cela … Je veux dire, je sais que c’est dans votre cœur, et dans celui de Mark, et celui de tous les autres : de voir vos compatriotes américains massacrés et assassinés comme ils l’ont fait au USS Liberty, Alan, c’est quelque chose qui, si nous ne parlons pas, si nous n’avertissons pas les gens à ce sujet – je crois que Dieu veut que nous le fassions – et si nous ne le faisons pas : honte à nous.
AS : Je suis amplement d’accord à ce sujet.
MG :
Juste pour le rappel, Dr Sabrosky, c’était il y a plusieurs ans – et je me souviens distinctement que j’étais à une émission de radio, c’était durant les préparatifs pour la réunion des gars du Liberty qui allait avoir lieu à [Washington] DC – et j’ai fait une prédiction en ondes à laquelle je croyais de tout mon cœur à l’époque, et j’y crois toujours de tout mon coeur, qu’un jour, d’une manière ou d’une autre – je ne sais pas exactement comment cela va se passer – j’ai mes soupçons à ce sujet – qu’un jour et d’une façon ou d’une autre, peut-être beaucoup plus tôt qu’aucun de nous s’y attend, les États-Unis vont se trouver en guerre avec Israël. Et je veux dire une vraie guerre chaude.
AS : Techniquement parlant, nous sommes en guerre avec elle parce qu’elle est en guerre avec nous. Elle veut nous détruire. Nous ne l’avons tout simplement pas réalisé pour le moment.
Ma prédiction personnelle est que, probablement, – encore une fois, plus tôt qu’aucun d’entre nous pourrait s’y attendre ou ne souhaite l’envisager – Israël va perpétrer un autre 11 septembre. Elle nous prépare un nouveau USS Liberty. De toute évidence, certaines personnes assez puissantes dans certains lieux très visibles, comme le président du Joint Chiefs of Staff, Mike Mullen, pense que c’est une possibilité, car il a coupé court à l’un de ses voyages en l’Europe il y a plusieurs années pour s’empresser d’aller en Israël y rencontrer son homologue et l’avertir en termes non équivoques combien il était important qu’il n’y ait pas un second USS Liberty.
Ainsi, concernant ce que vous disiez tous les deux, que nous avons besoin d’en parler, je vais proposer une autre théorie ici pour en discuter. Nous aurions déjà eu ce second 11 septembre, ou ce second USS Liberty – cela aurait déjà été un fait accompli si ce n’avait été du fait qu’un nombre croissant de personnes ont parlé de ce problème depuis le 11 septembre.
Je pense qu’Israël a regardé tout cela et s’est dit : « Nous devons laisser les choses se refroidir un peu pour le moment – si nous essayons une nouvelle tentative dès maintenant, alors nous sommes cuits, nous allons être exposés aux yeux de tous. »
Ce n’est pas seulement une question d’être exposés aux yeux de tous. Si jamais les Américains comprennent vraiment cela, ils sont de l’histoire ancienne. Ce sera une guerre sanglante et brutale – et ils disparaîtront. Je veux dire, ça ne sera même pas un match serré. Et ça ils le savent. Ce qu’ils comprennent, je crois, aussi, c’est que leur influence est sur les nominations politiques. Leur effet de levier n’est pas au niveau des services en uniforme [militaire].
Si vous consultez l’Army Times, le Navy Times, ou n’importe lequel des journaux de n’importe quel service, vous avez une vision très différente de celle que l’on a lorsqu’on regarde le Congrès et la Maison Blanche. Et l’armée n’a pas été achetée. L’armée est fidèle mais elle n’a pas été achetée. Et si jamais elle comprend cela – qu’elle le comprend vraiment, vraiment profondément – et c’est ce que j’ai constaté lorsque j’ai remis certaines de ces informations à l’Army War College et au Quartier Général du Corps des Marines – et j’ai mentionné à l’un de mes contacts au Quartier Général du Corps des Marines, j’ai dit : «Tu sais, ils ont fait le 11 septembre …, » et il a répondu : « Vous n’y pensez pas ? » J’ai dit : « Absolument ».
Et si jamais ils comprennent cela, ces gens-là sont de l’histoire ancienne.
MG :
Eh bien, maintenant laissez-moi vous demander quelque chose, docteur, et évidemment je comprends que nous avons besoin de protéger les noms des innocents ici…
AS : Il n’y a pas d’innocents ! [Rires]
PT :
Je suis d’accord.
MG :
Je voudrais en savoir un peu plus à ce sujet. Je veux dire, ces conversations que vous avez avec vos collègues qui sont encore en service en uniforme… Quelle est leur réaction lorsque vous leur dites de telles choses ?
AS : La première est l’incrédulité, et ce que je leur montre immédiatement après, c’est une entrevue avec un expert en démolition danois nommé Danny Jowenko, et ça montre le troisième bâtiment du World Trade Center en train de tomber – le WTC 7. Et ils regardent ça, et je leur ai dit : « Maintenant, vous comprenez que si l’un des bâtiments a été câblé pour être démoli, ils ont tous été câblés pour être démolis. » Et c’est tout. C’est le point de bascule.
Je veux dire, entrer dans les arguments au sujet de qui était aux commandes de quel avion, et où ils étaient, et s’il y avait de la nano-thermite – ces choses sont vraies, mais elles sont accidentelles. La chose qui est nécessaire est de dire aux gens : trois bâtiments sont tombés ; le troisième n’a pas été touché par un avion, il a été câblé pour une démolition contrôlée, par conséquent, tous ont été câblés pour une démolition contrôlée. Et à partir de cet instant, la réaction est la rage. L’incrédulité d’abord et puis ensuite la rage.
MG :
Eh bien, je dois vous dire, que je trouve cela très encourageant, car sur la base des conversations superficielles que j’ai eu avec certains militaires – et je fais très attention à ce que je dis parce qu’on ne sait jamais dans quoi on s’engage lorsqu’on entame une discussion de ce type avec l’un d’entre eux – en me fiant à ces conversations rapides que j’ai eues avec certains d’entre eux, ils n’ont aucune idée et ne veulent pas en entendre parler. Ils sont fidèles au drapeau qui est sur l’écusson de leur manche gauche, et l’idée que le gouvernement puisse être impliqué d’une manière ou d’une autre dans toutes sortes de hauts crimes et de trahisons contre les États-Unis et le peuple américain est impensable pour eux, ainsi je suis heureux d’entendre qu’il reste encore quelque matière grise et quelque patriotisme – au moins dans les milieux auxquels vous avez accès, Dr Sabrosky.
AS : Eh bien, ce n’est pas qu’ils ne veulent pas l’entendre, c’est qu’ils ne le savent pas. Ce que j’ai fait quand je l’ai présenté à ces gens et que je leur ai dit, « Examinez seulement ce point-là – il suffit de regarder cette image. Je ne vais pas vous donner d’arguments – il suffit de regarder. » Et ils regardent le film et, sans exception, ils reviennent en disant : «Ils l’ont fait, n’est-ce pas. » Je leur ai dit, « Ouais – ils l’ont fait. »
PT :
Puis-je vous interrompre ici une seconde – je voulais juste mentionner, vous parlez des militaires, certains des militaires les plus distingués que j’aie eu le plaisir de rencontrer … L’amiral Thomas Moore, l’ancien chef d’état-major qui nous a soutenu du début à la fin dans l’enquête sur le USS Liberty, et ainsi de suite et ainsi de suite.
Et puis Ray Davis – il était un commandant du corps de Marine des États-Unis. Il a dit directement – cela ne concerne évidemment pas le 11 septembre – que le USS Liberty n’était pas une erreur d’identité, c’était un meurtre de sang-froid, prémédité. Donc, il y a des gens dans l’armée [qui savent].
Ces gars étaient retraités à l’époque, mais quand vous éduquez les gens, comme vous faites, Alan, les gens qui servent dans l’armée présentement, vous avez parfaitement raison : ils ne savent tout simplement pas, car personne ne sait. Cela a été caché. Tout a été caché. Cela a été si bien camouflé que ça prendrait presque un messie pour nous sortir de là.
MG :
Dr Sabrosky, je voulais vous demander – puisque nous sommes dans une certaine mesure en train de pronostiquer aujourd’hui, et de faire des prédictions – que pensez-vous qui va se passer ?
Au sens où, j’avais une conversation avec quelqu’un l’autre jour à propos de la situation avec l’Iran, et le fait est que, indépendamment de savoir si l’Iran s’affaire activement ou pas à fabriquer une arme nucléaire, le fait est qu’Israël ne peut se permettre que cette guerre n’ait pas lieu. Il faut que quelque chose se produise, même si c’est juste quelques bombardements en Iran, et puis ensuite, rendre ça vraiment spectaculaire grâce au contrôle des médias. Ils doivent faire quelque chose pour réhabiliter un peu leur image publique, alors seriez-vous d’accord avec moi sur ce point, et en supposant que vous êtes d’accord avec moi à ce sujet, que pensez-vous qu’Israël fera dans un proche avenir ?
AS : Nous allons avoir la guerre contre l’Iran. Et on hypothèse est que la « rue arabe » [le monde arabe] va exploser.
PT :
Je suis d’accord.
AS : Et les forces américaines, les unités américaines, comme le siège de la 5e Flotte à Bahreïn et tout le reste – il va y avoir une liste de victimes desquelles nous n’allons même pas nous préoccuper.
PT :
Alan, je pense que cette chose était prédestinée dès le début. Ça a commencé en Afghanistan. Ils vont ensuite en Irak, et l’Iran était le gros morceau de résistance prévu depuis le début. Qu’en pensez-vous ?
AS : Oui. Pas de doute là-dessus. Et en fait, si la résistance irakienne n’avait été si forte cela aurait déjà eu lieu dans la seconde administration Bush.
PT :
Absolument. Je suis d’accord à 100 %.
MG :
Donc, toute cette réticence, la réticence – peu importe comment vous voulez l’appeler – ce qui semble être de la réticence de la part de l’administration Obama … que pensez-vous qu’il se passe ? Je veux dire, regardez, juste la semaine dernière (par rapport à la date dont l’entrevue a eu lieu, ndlr) nous avons eu quelques choses que je considère assez dramatiques qui ont été dites par l’administration Obama en ce qui concerne Israël et les colonies de peuplement et quoi d’autre. Qu’en est-il ? Est-ce là rien de plus que de la gesticulation de la part de l’administration Obama ou sont-ils vraiment en train de se replier ?
AS : L’administration Obama n’a pas refusé [à Israël] un seul dollar, un seul avion – rien. Les mots ne valent pas grand-chose.
Les Israéliens ont commis une erreur tactique en insultant Biden, et Biden n’est pas un de mes favoris, mais il est un gars débrouillard et il n’aime pas être humilié. Cela fait partie de la donne. Mais rien ne s’est produit de façon à affecter concrètement quoi que ce soit que nous donnons à Israël. Rien. Et tant que rien ne se passe qui puisse affecte concrètement ce que nous leur donnons, rien d’autre n’aura d’importance.
MG :
Pourquoi ne sommes-nous pas déjà en guerre avec l’Iran alors ?
AS : En partie parce que nous ne pouvons pas trouver une excuse suffisante pour justifier cela et pour nous permettre de nous soustraire à ce que nous faisons en Afghanistan et, dans une moindre mesure, en Irak. C’est qu’il y a juste un petit trop à gérer.
Je suis pas mal sûr que le schéma était le suivant : l’Afghanistan en 2001, l’Irak en 2003, l’Iran en 2005, la Syrie en 2007. Le problème est que la résistance irakienne n’a pas laissé cela se produire. Alors maintenant, l’échéancier est un peu différent, et je ne suis pas sûr de savoir comment cela va se jouer, mais je pense que de la manière dont nous sommes partis, c’est d’essayer de créer un prétexte pour une guerre.
Et une fois que la guerre a lieu, les gens peuvent poser des questions, mais cela ne change rien au fait de la guerre.
MG :
Vous avez raison là-dessus. S’il y a quelque chose que nous avons appris du Vietnam c’est qu’une fois que les troupes se sont engagées, que la raison soit bonne ou mauvaise, vous soutenez les troupes. C’est une des choses que j’ai remarqué avec la première guerre du Golfe, et c’était bien avant que je connaisse quoi que ce soit à tout ça.
J’ai pensé, étant jeune, en regardant le genre de protestations qui ont eu lieu – et j’étais au collège au moment de la première guerre du Golfe -, quand on regarde le genre de protestations qui ont eu lieu durant le Vietnam – et bien sûr dans les collèges vous aviez quelques personnes grommelant et disant ceci ou cela, mais, en général, les néo-conservateurs ont vraiment joué magnifiquement la guerre du Vietnam – si un tel mot peut être utilisé pour quelque chose d’aussi tragique. Et ne vous méprenez pas, Dr Sabrosky : je sais que vous êtes un vétéran du Vietnam et je tiens ces gars-là en plus haute estime aussi, et quand je dis qu’ils ont joué cette chose magnifiquement, c’est qu’ils ont réussi à faire passer les manifestants pour des êtres grotesques, laids, des gens antipatriotiques, au point où, lorsque la grande guerre suivante a commencé, personne n’oserait élever la voix contre les troupes de la façon qu’ils l’ont fait pour le Vietnam.
AS : Oui, absolument. Mark, je vais devoir quitter dans une minute. Si je pouvais faire une sorte de déclaration finale … Et je pense que vous me seconderez à ce sujet.
Rien pour moi n’est plus important que la loyauté ou l’allégeance à mon pays. Rien. Mais cela nécessite que mon pays et mon gouvernement se comportent d’une manière honorable. Notre gouvernement ne se comporte pas de façon honorable. Et il y a quelque chose dans la Déclaration d’Indépendance qui dit que chaque fois qu’une forme de gouvernement devient oppressante, il est du droit et du devoir du peuple de la modifier ou de l’abolir, et je pense que nous sommes rendus au point où nous devons la modifier ou la supprimer. Et je dis cela en tant qu’homme qui est toute sa vie resté fidèle aux États-Unis.
PT :
Je vous comprends. Que Dieu vous bénisse pour cela. Que Dieu vous bénisse.
MG :
Mesdames et messieurs : « La face obscure du nationalisme juif ». A consulter sur Internet – je ne pense pas que vous ayez du mal à le trouver. Rédigé par notre très bon ami et invité spécial de ce soir : Dr Alan Sabrosky.
Docteur, j’espère que nous aurons la chance de vous recevoir à l’émission dans un proche avenir, et d’ici là s’il vous plaît continuez votre excellent travail. Honnêtement, autant que cela va sonner prétentieux pour vous, il y a très peu de gens, comme je l’ai dit, qui disent quoi que ce soit qui fasse en sorte que je vais m’asseoir et porter une attention particulière, et vous êtes certainement l’un d’entre eux.
AS : Je comprends cela, Mark. Prenez soin de vous.
Phil, salutations les plus chaleureuses. Semper Fi à vous, mon ami.
PT :
Semper Fi. Que Dieu vous bénisse, monsieur, et nous allons nous reparler.
yogaesoteric
8 septembre 2019