HAARP est-il responsable des changements climatiques ? (2)

Lisez la première partie de cet article

Manipuler l’ionosphère

Perturber davantage, voire, percer des trous dans l’ionosphère surchauffée peut provoquer des bouleversements météorologiques catastrophiques. Il y a un risque potentiel que ceux-ci soient déclenchés par les militaires, sous le couvert de la SDI, pour déstabiliser des régions entières par des perturbations climatiques sans même avoir recours à la guerre conventionnelle. Mettre en oeuvre cette arme dans des buts économiques et stratégiques pourrait provoquer l’effondrement des systèmes écologiques et perturber gravement la production agricole. Bien entendu, le Département de la Défense a déjà mis en place le renseignement et des dispositifs de surveillance météorologique relatifs à ce programme.

Des spéculations ont aussi tenté de faire le rapprochement entre les mystérieuses chemtrails [traînées de condensation apparemment chargées de produits chimiques et/ou toxiques ; cf. Nexus France n° 4] et le développement de la technologie HAARP. Certains pensent que le pouvoir réfléchissant de ces nuages (chemtrails) pourrait influencer le réchauffement de l’atmosphère et la météo. Il semble que les analyses des « cheveux d’anges » récoltés dans l’atmosphère après une journée de diffusion contiennent certaines toxines. On a identifié des bactéries virales, des moisissures toxiques, du noir de carbone et du dibromure d’éthylène. Les questions posées au sujet de ces diffusions concernent aussi un accroissement du pouvoir réfléchissant de certaines couches de l’atmosphère. Ces épandages sont la cause d’une réduction massive de la production d’ions négatifs par les forêts, ce qui pourrait être fatal à toute vie biologique.

En outre, la grande sécheresse qui a affecté de vastes régions est soupçonnée avoir un rapport avec le sel de baryum, (hautement toxique et absorbant d’humidité jusqu’à sept fois son propre poids), qui a été détectée en grandes quantités dans l’atmosphère tout de suite après les chemtrails. Celles-ci pourraient donc être liées à HAARP et ses applications potentielles au contrôle climatique.

C’est ARCO Petroleum qui détient les brevets de cette technologie de Tesla. Il semble que le projet HAARP, il y a quelques années, était financé par ARCO. De nombreux groupes de recherche rapportent que nous sommes constamment inondés d’ELF (très basses fréquences), comme d’un « brouillard » électronique. Les ELF peuvent s’avérer mortelles pour toute vie biologique car elles modifient les fréquences vibratoires naturelles des êtres vivants, provoquant de graves disfonctionnements, comme une pensée irrationnelle, l’incapacité de se concentrer, la fatigue chronique et/ou la mort.

Intervenir sur ce système dynamique à l’équilibre délicat pourrait induire un effondrement catastrophique, comparable à une avalanche. Les potentialités des « réchauffeurs d’ionosphère » sont vraiment effrayantes. Nous n’avons pas idée ce qui peut résulter d’interventions à long terme sur cet équilibre sensible de l’ionosphère et de la température globale, tout cela étant lié au thermosiphon océanique mondial dont la source est au large du Groenland. Le climat n’est donc-t-il a déjà suffisamment perturbé par l’activité humaine, faut-il encore aggraver le problème en jouant avec ces faisceaux d’énergie ? Les Nations Unies organisent la poursuite de débats sur les changements climatiques, les gaz à effets de serre et les « armes non mortelles » qu’au moins les Américains et les Russes pourraient mettre en œuvre. La « guerre météorologique » implique le déclenchement de perturbations atmosphériques à l’aide d’ondes radar ELF. Par le biais de l’armement électronique, les US veulent « posséder le temps » et les stations spatiales dans un souci d’établir leur domination militaire, cela en remodelant les schémas naturels et en maîtrisant les communications mondiales.

De informations scientifiques ont déterminé que HAARP est entièrement opérationnel et possède la potentialité de déclencher des inondations, des sécheresses, des ouragans et des tremblements de terre. D’un point de vue militaire, HAARP est une arme de destruction massive. Potentiellement, c’est un instrument de conquête capable de déstabiliser sélectivement l’agriculture et les systèmes écologiques de régions entières. Même s’il n’est pas prouvé que cette redoutable technologie ait déjà été utilisée, néanmoins faudrait-il que les Nations Unies considèrent les conséquences d’une « guerre de l’environnement » parallèlement au débat sur les séquelles climatiques des gaz à effets de serre… La Dr Rosalie Bertell confirme que « les scientifiques militaires américains… travaillent sur des systèmes météo en tant qu’armes potentielles. La méthode consiste en une potentialisation des tempêtes et le détournement des courants de vapeur dans l’atmosphère afin de provoquer des sécheresses ou des inondations ciblées… » Un ancien officier militaire français, Marc Filterman, esquisse divers types d’armes « non conventionnelles » utilisant des radiofréquences. Il fait allusion à une « guerre du temps », indiquant que les US et l’Union Soviétique avaient déjà « maîtrisé le savoir-faire nécessaire pour déclencher de brusques variations climatiques (ouragans, sécheresse) au début des années 1980 ». (Chossudovsky, 2000).

Il existe des dispositifs plus modestes à Arecibo au Puerto Rico, à Fairbanks en Alaska, à Tromso en Norvège, et dans les villes de Moscou, Nizhny Novgorod et à Apatity en Russie, ainsi qu’à Kharkov en Ukraine, et Dushhanbe au Tadzhikstan, et peut-être en Israël (en un lieu inconnu).

HAARP a été présenté à l’opinion publique comme un programme de recherche scientifique et académique. Cependant des documents militaires américains semblent bien suggérer que son principal objectif soit « d’exploiter l’ionosphère pour le compte du Ministère de la Défense ». Sans pour autant citer nommément le programme HAARP, une étude de l’US Air Force signale l’utilisation de « modifications ionosphériques induites » en tant que moyen de modifier les mécanismes climatiques et de brouiller les radars et communications de l’ennemi. (Chossudovsky, 2000).

HAARP et le programme « Joint Vision 2020 »

Cela fait une dizaine d’années qu’au niveau international on se préoccupe de HAARP et de projets connexes mettant en œuvre des faisceaux d’énergies similaires. Les propositions et développements les plus récents ne sont pas encourageants. La presse étrangère et les alliés occidentaux des US ont dénoncé le plan de défense antimissiles et de lasers orbitaux « Joint Vision 2020 » comme un pas extrêmement dangereux vers la domination mondiale des USA. Le Représentant des USA, Dennis Kucinich, déclara lors de l’émission Columbia Alive que Joint Vision2020 était déjà un programme actif d’expériences sur les énergies dirigées. Le 9 novembre 2002, Carol R. Schuster, Directeur de Defense Capabilities and Management au General Accounting Office (GAO), informa les membres de la Democratic Minority du House Armed Services Commitee au sujet de Joint Vision 2020. Schuster expliqua que ce plan mettait aussi l’accent sur l’importance de l’expérimentation destinée à cerner les innovations en matière de conflit armé.

Un détachement spécial des commandement US interarmées du DoD (ministère de la défense) et les Chefs d’Etat-major poursuivent leurs investigations et recherchent les moyens de déployer un armement électronique capable de détruire n’importe quelle opposition dans le monde, d’ici 2020. Schuster confirma les commentaires de Kucinich : en 1998, le commandement interarmées US entreprit un programme conjoint d’expérimentation de nouveaux concepts de guerre en soutien du plan Joint Vision 2020.

HAARP est géré conjointement par l’US Navy et l’US Air Force et constitue un élément clef de la stratégie de Joint Vision 2020. Un plan de programmation, le HAARP Joint Service élaboré en février 1990 par le laboratoire de géophysique de l’Air Force et le Navy’s Office of Naval Research expose les applications militaires du plan. Ce document indique, entre autres choses, que HAARP est utilisé pour générer des ondes de très basses fréquences pour la communication avec les sous-marins en plongée et d’éventuelles applications de guerre météorologique, ainsi que dans des tentatives de tirer parti des processus ionosphériques naturels en utilisant l’ionosphère comme réflecteur d’un flux énergétique destiné à la surface terrestre.

Expériences de rebond lunaire avec HAARP

Les Russes et certains alliés européens s’inquiètent de ce que les expériences militaires US, qui consistent à concentrer de fortes doses d’énergie à haute fréquence dans des buts militaires, pourraient déclencher des séismes. En avril 1992, « Defense News » rapporta que les US avaient utilisé une arme à pulsion électro-magnétique durant l’opération Tempête du Désert. (Fitrakis. 2002).

Le chercheur Guy Cramer fit entendre que le dispositif HAARP pourrait être utilisé pour réfléchir des signaux mortels à partir de l’ionosphère et aussi de la Lune vers des cibles à terre, provoquant des explosions assez fortes pour rendre inutiles les armes nucléaires tactiques. Le signal de 3.000.000.000 watts émis depuis l’Alaska peut rebondir sur la Lune pour revenir sur pratiquement n’importe quel point de la planète, en surface ou sous le sol, avec irradiation calorifique. Comme cela n’entraîne aucune contamination, on peut ainsi détruire des cibles secrètement, en attribuant les effets à des causes conventionnelles ou à l’action des Forces Spéciales. Le dispositif peut aussi être utilisé pour détecter les installations souterraines par pénétration photographique ou radar de profondeur, autant que pour l’usage conventionnel de radar transhorizon. Pour neutraliser ou pénétrer une cible, la haute atmosphère est chauffée de manière à créer un réflecteur virtuel pour le signal. Cramer suspecte que des expériences de rebond lunaire ont été menées depuis 1998, en utilisant une technique pratiquée depuis 1950 par les radioamateurs. Un dispositif similaire installé au centre de l’Australie permettrait d’atteindre des cibles inaccessibles depuis l’Alaska, aussi bien dans les hautes que dans les basses fréquences.

Vers la fin de 1998 et au début de 1999, le groupe ELFRAD a détecté une fréquence quotidienne de 9 à 95 hertz (pulsations/sec.). La longueur d’onde de cette fréquence était d’environ 319877 km. La distance de la Lune est assez proche de ce chiffre. Le signal semblait être cohérent, émis à partir d’une source inconnue environ à la même heure tous les jours, sauf les week-ends. Le signal était assez puissant pour générer sa troisième harmonique de 2,81235 Hz…

Un signal d’ultra basse fréquence (ULF), fin 1998 à début 1999, d’une source inconnue, ne se produisant que les jours ouvrés, assez puissant pour engendrer une onde de troisième harmonique, à montée rapide et désintégration lente, plus facilement repérable par les magnétomètres situés dans le nord et d’une longueur d’onde correspondant à peu près à la distance de la Lune ? Quelle peut bien en être la cause, sinon HAARP ou un dispositif similaire, situé au nord et envoyant des signaux se réfléchir sur la Lune pour revenir sur Terre ? (Cramer 2001).
 

Lisez la troisième partie de cet article
 
 



yogaesoteric

10 février 2018 

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