La chute de l’empire romain : l’homosexualité en cause !
On fait fausse route, ainsi que tous les historiens, sur les véritables causes de la chute de l’empire romain. On va aborder un point d’histoire qui est un peu trop laissé de côté dans la manière de la société d’aborder le passé. La chute de l’empire romain. Cet empire si énorme en occident qu’il est et demeure pour tout le monde l’idée-même de la puissance et de l’unité permettant toutes les victoires, toute la grandeur humaine. Alors, comment se fait-il que cet empire parti de Rome pour conquérir tout le bassin méditerranéen ait pu finir par disparaître ?
A cela les historiens répondent « les invasions barbares », unanimement. Que ce soit par cause ou effet de d’autres facteurs, les invasions barbares sont le principal agent visible de la chute de l’empire. Cependant, il convient de revenir sur un point mis en avant par de nombreux historiens mais qui se retrouve, dans le contexte politique moderne, mis au rebut. Certains nomment cela « le fléau de l’empire romain », d’autres parlent par euphémisme de décadence et de déliquescence, d’aucun parleront de manière plus franche et osée, d’homosexualité.
Illustration de la décadence de Rome. On perçoit ici l’efféminement des deux « hommes ». L’homosexualisation de l’oeuvre illustre clairement la persistance de l’homosexualité dans la société actuelle.
Car oui, le principal agent de la chute de l’empire romain est bel et bien l’homosexualité qui a provoqué un démembrement social. En élargissant le cercle de l’homme romain, c’est le fondement même de la société qui se laisse prendre aux affres d’une sexualité corrompue et pernicieuse qui n’hésite pas à s’immiscer en chacun. Plusieurs points sont mis en avant et tous méritent qu’on s’y attardent.
Décadence, perversion des mœurs au cœur de la chute de Rome
Le premier point de l’histoire repose sur la sexualité de l’antiquité (en lien une étude complète sur le domaine) et notamment sur l’idée d’une perversion des mœurs qui aurait provoqué une décadence de la population romaine. Cette idée repose sur de faits simples et avérés aisément observables.
L’histoire de l’empire romain se scinde en deux phases majeures, indépendamment des périodes politiques : grandeur et expansion, décadence et délitement.
Durant la première phase, l’empire romain, en pleine expansion observe des valeurs fondamentales et strictes qui lui permettent de l’emporter sur ses adversaires par une grande rigueur morale. C’est la vertu en somme et la droiture d’esprit comme de corps qui permet à l’homme romain de tenir la barre haute en montrant à la face du monde une virilité énorme, sans pareil. Il s’agit là d’une manière de montrer que l’homme romain en a, si l’on peut dire, et qu’il n’hésitera pas à s’en servir.
C’est durant cette phase de dure expansion que l’empire pénètre en Grèce sans trop d’effort. La Grèce est alors un pays somme toute assez ouvert et Rome l’intègre à son empire sans trop de difficultés. Cependant, si la Grèce a été prise si facilement, sans résistance, sans vraiment la forcer, c’est parce que la Grèce est déjà rongée par les affres de l’homosexualité qui effémine sa population, qui ôte le goût du combat pour celui, plus doux, plus suave, de la débauche de corps et d’esprit. Là où un esprit normal ne voit que les possibilités hétérosexuelles, l’esprit perverti par le germe homosexuel ne peut plus raisonner comme il se doit. Mu par une frénésie sexuelle par une possibilité accrue des rapports (puisqu’il ne se contente plus du sexe opposé), l’homme est tout entier tourné vers la satisfaction de ses bas instincts et se vautre dans la luxure. En intégrant la Grèce, l’empire intègre donc ses mœurs qui vont se diffuser au sein de la population, initiant ainsi la période de décadence.
L’empire souffrant de la maladie de l’homosexualité : une nouvelle étude scientifique
Un autre fait scientifique : la sexualité a pour but la reproduction. Pour cela, il faut un ovule et un spermatozoïde. Deux spermatozoïdes ne passeront jamais la fracture de la Nature.
Une étude a permis de mettre ce rapport en valeur en mettant en cause une anomalie hormonale due à la progestérone. Selon cette étude, il semble bien qu’un dérèglement hormonal soit la cause de l’homosexualité. En effet, cette étude met en parallèle la dimension psychologique d’une personne – afin de voir si elle tend ou non vers une potentielle homosexualité – et le taux hormonal. Il s’avère que chez les individus à tendance homosexuelle, la progestérone était en quantité supérieure dans le corps de l’individu.
« La progestérone est une hormone stéroïdienne principalement sécrétée par les cellules du corps jaune des ovaires et impliquée dans la grossesse (progestogène : progestatif, supporte la gestation) et l’embryogenèse de nombreuses espèces de mammifères, ainsi que dans le cycle menstruel. »
La concentration anormale et bien supérieure à la normale de progestérone dans le corps d’un individu, a fortiori dans le corps d’un individu mâle constitue bien une anomalie, une maladie. Si la progestérone en excès est une maladie et que cela provoque l’homosexualité, alors l’homosexualité est bien une maladie, quoi que certains en disent, au sens clinique du terme.
Par ailleurs, la progestérone est l’hormone de la féminité comme le confirme le passage précédent mis en exergue. L’idée selon laquelle l’empire romain s’est effondré du fait d’une trop grande féminité des hommes, par manque de soldats véritables se trouve ainsi vérifiée par la trop grande présence de progestérone chez les homosexuels.
L’homosexualité directement mise en cause par un auteur contemporain de la chute de Rome
Partant de ces faits précis, on analyse plus particulièrement la période de la chute de l’empire, soit le V° siècle après J.C. A cette époque, un moine gaulois écrit un livre présentant la chute de l’empire romain mettant directement en cause l’homosexualité. Contemporain de la chute, il est ainsi le témoin des réelles causes du démembrement de l’empire, il les a vécues.
« Au milieu du Ve siècle, un moine gaulois nommé Salvien écrivit un livre, Le gouvernement de Dieu, où il se proposait de donner la signification religieuse de l’effroyable événement. […] Son explication […] : Dieu avait permis ces terribles événements pour punir les contemporains de leurs péchés, et surtout de leurs péchés sexuels. »
Selon Salvien :
« Depuis longtemps, les Romains se formaient une telle idée de ces mœurs qu’ils les regardaient comme une “ vertu ” plutôt que comme un vice, et qu’ils croyaient faire preuve d’un courage viril plus grand lorsqu’ils avaient dompté des hommes par l’infamie de rapports contre nature. »
Où l’on voit alors que le vice homosexuel est très répandu. Toutefois, il manque encore un lien direct entre les invasions barbares et l’homosexualité des romains. Salvien vient à la rescousse et couvre les évènements.
« Un tragique événement avait beaucoup frappé les contemporains : un des peuples barbares les plus féroces et les plus résolus, les Vandales, avait envahi l’une des régions les plus riches et prospères de l’Empire, l’Afrique du Nord, et la capitale, Carthage, seconde ville d’Occident, était tombée en 439. Bien entendu, Salvien avait une explication toute prête : Dieu punissait les Africains à cause de leur corruption sexuelle. L’Afrique, à l’entendre, n’était qu’une “ maison de vices ”, un gigantesque lupanar, surpassant de loin sur ce plan tous les autres pays. […] Toutefois, la vraie cause de la colère divine n’était pas là, mais dans le goût prononcé des Africains pour l’homosexualité. Salvien semblait bien renseigné, probablement par des moines carthaginois réfugiés en Provence. Il note avec indignation que les autorités officielles toléraient parfaitement ces pratiques, ce qui montre que la loi de Théodose punissant du bûcher la prostitution masculine était fort mal appliquée. De fait, gouverneurs et magistrats fermaient les yeux, non seulement sur des pratiques homosexuelles discrètes, mais sur leur étalage publie et sans vergogne. […] Si Salvien se déchaîne avec une fureur délirante contre ses concitoyens Romains, Gaulois, Africains, tous pourris et corrompus, il déborde d’admiration et d’indulgence envers les barbares ; pour lui, ces farouches Germains sont de […] bons époux, bons pères, d’une rectitude morale à toute épreuve. Ils sont donc prédestinés pour être les instruments de la justice divine contre l’Empire. Leur victoire est la récompense providentielle de leur vertu. Le roi des Vandales, Genséric, a même édicté une loi obligeant les prostituées africaines à se marier et à devenir vertueuses. Quant aux viri molles, aux hommes efféminés, “ il les a fait disparaître de toute l’Afrique ” ».
Le message divin est clair. Le point de vu de Salvien est intéressant à plusieurs niveaux :
1. Il présente le caractère efféminé d’une population souffrant de l’homosexualité (ce qui est corrélé par l’étude sur la progestérone, hormone féminine)
2. Il présente la différence entre deux peuples, l’un sombrant dans la débauche et n’ayant plus les capacités mentales et physiques de combattre (et donc de constituer une armée en nombre conséquent), l’autre étant un peuple droit moralement et fort physiquement arrivant du centre de l’Europe et parvenant jusqu’en Afrique.
3. Il présente un retour aux vraies valeurs et une « purge » qui a permis une transition vers un nouvel âge. On est donc bien dans le cadre de la fin d’une ère, celui de l’empire romain.
4. Il conforte le parallèle avec la chute de la Grèce.
On observe donc que le véritable fléau de l’empire romain n’est pas les invasions barbares telles qu’on peut le prétendre actuellement. Elles ne sont que la conséquence d’une déliquescence sociale permise par l’homosexualité qui a rongé l’empire de l’intérieur. Si ce fait est peu présenté dans l’Histoire, c’est qu’il s’avère assez dur à mettre en lien avec la chute de l’empire romain. Les sources présenté ici permettent la mise en relation de ces deux phénomènes et éclairent considérablement l’histoire de la décadence à travers les époques. Nul doute que certains sauront faire le parallèle entre l’empire romain et d’autres époques plus contemporaines.
yogaesoteric
25 octobre 2018
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