La main est une antenne vivante qui module et modifie les fréquences
Les chercheurs ont conclu que nous sommes des hommes électromagnétiques. De récentes études permettent de dire que la Lumière est en relation constante avec chaque particule et qu’elle joue le rôle de messager du champ magnétique. En se déplaçant continuellement en nous, dans nos cellules et notre ADN, ce flot de lumière harmonise et corrige l’ADN. Nous sommes chargés d’énergie par ce flot de Lumière (la lumière comme l’ADN sont de nature informationnelle).
On a décelé dans les mains diverses formes d’énergie : magnétique, électrostatique, infra sonique (moins de 20 Hz), micro-ondulatoire, infrarouge, ultraviolette et magnétique pulsatile… tous ces champs pouvant être décelés au moyen d’instruments conventionnels. Il y a des types hyper-champs émis par les mains qui sont hors de portée des instruments conventionnels, tels que la polarité en vortex, les champs pivotants en spirale. Bien qu’inobservés ces hyper-champs sont à l’origine du phénomène électromagnétique.
Le système de polarité en vortex concerne les mouvements de particules ou de forces qui se déplacent en forme de spirale. Ce mouvement spiralé s’effectue dans le sens des aiguilles d’une montre et de manière positive, centripète (qui tend à rapprocher du centre, en latin) et compressive ou encore dans le sens contraire des aiguilles d’une montre et de manière négative. La paume de la main gauche serait positive avec vortex à droite et la paume droite négative avec vortex inverse !
La zone située au centre d’un aimant droit s’appelle le mur de Bloch ou encore zone de magnétisme zéro, l’énergie faisant demi-tour en formant une boucle en 8. Le phénomène du mur de Bloch est associé à l’observation de forces « d’impesanteur ».
C’est en 1936 qu’Albert Roy Davis a fondé la science du biomagnétisme. Davis, associé à Rawls, a conclu que la paume de la main droite favorisait la force et la gauche réduisait la sensation de douleur. Ils remarquèrent que l’imposition des deux mains sur un sujet envoyait de l’énergie à travers et sur la surface de son corps et qu’il y avait un retour d’énergie supérieure à celle fournie. Ceci a scientifiquement été prouvé.
Les mains émettent des ondes sonores de 8 à 12 Hz correspondant à la fréquence de l’onde alpha du réseau neural du cerveau, fréquence qui correspond à celle de résonance de la Terre (fréquence de Schumann). Certains sujets (à ce jour) peuvent présenter des fréquences de 16 et même 18 Hertz.
La fréquence de résonance de la Terre peut être modulée par une multitude de signaux de fréquences supérieure. Le complexe composé du cerveau humain et du système nerveux se syntonise sur les émissions d’onde scalaire de la Terre.
HF (haute fréquence) = cette fréquence de transmission serait celle émise par l’hémisphère gauche de notre cerveau, à savoir 888 Hertz alors que la fréquence de l’hémisphère droit est de 877 Hertz et celle du cervelet de 4.999 Hertz.
Ondes scalaires
Elles sont également appelées ondes Tesla, ondes gravitationnelles, ondes sonores électromagnétiques et ondes électro-gravitationnelles. Selon Bearden ces ondes scalaires sont la réunion de l’électromagnétisme et de la gravité. Se déplaçant à la vitesse de la lumière elles sont supraluminales et hyperspatiales. L’onde scalaire peut être produite à partir ‘un inducteur en forme de caducée (conducteurs entremaillés et enroulés en spirale, comme la structure de l’ADN).
La Terre, en tant que translateur scalaire recueille les diverses formes d’énergie cosmique et les diffuse sur une fréquence que toute vie terrestre peut reconnaître. Toutes vies terrestres et la planète Terre sont donc en symbiose.
L’Allemand Fritz-Albert Popp découvre en 1976 le rôle de la lumière dans les processus biologiques. Il observe que toute cellule vivante émet un rayonnement lumineux appelé biophotons. L’on sait, depuis, qu’ils sont emmagasinés et libérés dans la double hélice de la molécule d’ADN, hélice émettrice et réceptrice de lumière. L’ADN est un supraconducteur (sans aucune résistance) de l’énergie photonique.
Les cellules communiquent entre elles au moyen d’émissions photoniques de diverses fréquences spécifiques. La molécule de l’ADN n’est pas la seule à être photoactive. Les molécules d’hème, à partir desquelles est formée l’hémoglobine, ainsi que la mélanine, le carotène et nombre de métalloenzymes sont toutes photoactives.
Les émissions biophotoniques qui émanent des mains renferment le spectre complet des couleurs. Il faut savoir que ce sont des émissions de couleur qui procèdent à l’encodage de configurations complètes et détaillées de l’information dans l’organisme !
Selon Jacques Benveniste tout signal moléculaire peut être représenté par un spectre allant de 20 à 20.000 hertz (celui de la voix humaine).
Nous sommes composés de 80% d’eau
Elle amplifierait et transmettrait les signaux émis. Elle possède une mémoire et peut emmagasiner de l’information. S’il s’agit d’ondes scalaires, elle peut retenir leur empreinte pour une période plus longue.
Voir ci-dessous les travaux du Dr Masaru Emoto sur la mémoire de l’eau ainsi que les découvertes effectuées sur les « pouvoirs secrets» de l’eau :
Selon Bearden il existerait deux types de photon dont l’un serait conventionnel et l’autre de nature scalaire, ce dernier fournirait de l’information active constituant un stimulus syntropique (le contraire de l’entropie, soit en opposition à une organisation fondée sur la théorie du chaos) de réorganisation et de restructuration cellulaire.
L’énergie scalaire absorbée par la cellule entraîne la charge et l’organisation de biopotentiels. Seul le biophoton scalaire est structuré et comprend une configuration complète de la cellule. Bearden prétend que la médecine de demain sera certainement de nature vibratoire basée sur des ondes scalaires permettant d’envoyer des informations au niveau cellulaire. Aux Etats-Unis, plus de 50% des médecins – anesthésistes ne procèdent plus sans la présence d’un énergéticien. En France il y a un énergéticien pour environ 12.000 habitants et la psychologie énergétique y est de plus en plus reconnue. Les travaux de Royal Raymond Rife et Antoine Priore ont déjà permis de faire l’expérience et la technologie existe déjà.
Le physicien Andrija Puharich avance que les champs scalaires qui dérivent des mains sont issus des liens d’hydrogène rattachant entre eux les brins d’ADN. La main est un détecteur d’ondes scalaires sophistiqué grâce au complexe cerveau-système nerveux. Il est difficile de les considérer séparément tant ils sont étroitement liés. La main est une antenne vivante. En tant qu’êtres de lumière constitués d’électricité et de carbone, nous sommes doués de la capacité de modifier ou de moduler les fréquences, c’est ici que se trouve le secret des guérisseurs : ils influencent directement l’ADN et le ré-harmonisent.
yogaesoteric
15 octobre 2017