La Russie a breveté le premier vaccin au monde contre le Covid-19 faisant un pied de nez à Bill Gates, à Gavi et à l’alliance ID2020 (1)

 

Par Guy Boulianne,
l’auteur et éditeur Québécois

L’article qui suit ne constitue pas un débat entre les pro-vaccins et les anti-vaccins. Il ne signifie pas non plus que je sois un défenseur et un adepte du vaccin. Il faut savoir que c’est à peine si j’avale un Tylenol® à tous les 5 ans. Vous voyez un peu ?! Non, cet article concerne plutôt le fait que nos gouvernements et les médias nous bassinent depuis des mois que seul le vaccin pourra sauver l’humanité de l’infection à coronavirus causée par le virus SARS-CoV-2.

Le Collège des médecins — sans aucune raison valable — est allé jusqu’à interdire aux professionnels de la santé (médecins et pharmaciens) l’émission d’ordonnances de la chloroquine et de l’hydroxychloroquine au Québec. En effet, le 21 mars 2020, le Collège des médecins, l’Ordre des pharmaciens du Québec et le ministère de la Santé et des Services « ont été avisés qu’à la lumière de l’état de la situation au Québec et des données scientifiques actuellement disponibles, les ordonnances de chloroquine ou d’hydroxychloroquine sont jugées INAPPROPRIÉES et NON INDIQUÉES. » (…) « Par conséquent, les médecins sont priés DE CESSER dès maintenant l’émission de telles ordonnances. Quant aux pharmaciens, ils doivent les REFUSER à moins d’obtenir la confirmation que ces substances ont été prescrites pour un problème de santé chronique. » (Communiqué official)

Or, le 11 août dernier, le président russe Vladimir Poutine a annoncé que la Russie avait développé le premier vaccin vectoriel contre le nouveau coronavirus, basé sur l’adénovirus humain, assurant qu’il donnait une « immunité durable ». Le gouvernement russe fait ainsi un pied de nez au projet criminel de vaccination globale de Bill Gates, par l’intermédiaire de l’alliance ID2020, une organisation non gouvernementale qui fournirait une identité numérique à tous. Si on laisse le champs libre à ce psychopathe, un capteur sera implémenté dans le corps de chaque individu afin de détecter l’activité corporelle de l’utilisateur. Il ne s’agit pas ici d’une lubie de l’esprit puisque le brevet de ce dispositif a bel et bien été enregistré le 26 mars dernier par Microsoft sous le numéro WO/2020/060606 (World Order | 2020 | 666).

Benjamin Fulford écrivait le 6 juillet dernier : « Un indice que les Khazariens pensent encore pouvoir réussir à asservir l’humanité est apparu lors d’un “sommet sur les vaccins” le 4 juillet dernier, où 8,8 milliards de dollars ont été récoltés pour tenter de vacciner chaque habitant de la Terre. La NSA et d’autres sources confirment que ces prétendus vaccins contiendront des micropuces conçues pour contrôler les populations en tandem avec des mécanismes de contrôle électromagnétique 5G. » [1]

Pour sa part, le Dr Stoian Alexov, président de l’Association bulgare de pathologie, disait dans une entrevue vidéo résumant le consensus des participants à un webinaire de la Société européenne de pathologie qui se déroulait le 8 mai 2020 au sujet du COVID-19 : « Les anticorps spécifiques aux nouveaux coronavirus sont censés être à la base des coûteux kits de test sérologique utilisés dans de nombreux pays (dont certains se sont révélés inacceptables). Et ils sont censés être la clé des certificats d’immunité convoités par Bill Gates qui sont sur le point d’être largement utilisés – sous la forme du COVI-PASS – dans 15 pays, dont le Royaume-Uni, les États-Unis et le Canada. » [2]

Les gouvernements « nationaux » n’ont donc plus aucune raison de ne pas agir CONCRÈTEMENT et IMMÉDIATEMENT pour le bien de leurs populations, d’autant que le vaccin « Gam-COVID-Vac », développé et enregistré par le gouvernement russe, SERA VENDU AU PRIX COÛTANT !

En Russie, les vaccinations des citoyens se feront absolument gratuitement et sur une base exclusivement volontaire. Lors de la rencontre avec des membres du gouvernement le 11 août dernier, le ministre de la Santé Murashko Mikhail Albertovich a mentionné qu’« une énorme contribution a été apportée à la victoire de l’humanité sur la nouvelle infection à coronavirus », ce qu’a corroboré Valdimir Poutine lorsqu’il dit : « Nous devons être reconnaissants à ceux qui ont fait ce premier pas, très important : très important pour notre pays, en général pour le monde entier. »

Si les gouvernements « nationaux » n’agissent pas IMMÉDIATEMENT dans l’intérêt de leurs populations respectives, ils devront faire face au tribunaux internationaux et nous pourrons alors invoquer le Code de Nuremberg qui identifie le consentement éclairé comme préalable absolu à la conduite de recherche mettant en jeu des sujets humains. Le Code de Nuremberg n’est nullement le point de départ de la réflexion éthique et juridique sur l’expérimentation humaine : il récapitule des principes connus et acceptés très antérieurement au jugement, depuis au moins le début du XXe siècle. Toutefois, il constitue bien le premier texte à prétention universelle (internationale) sur le sujet. Ainsi, le tribunal n’a pas jugé sur des règles qui auraient été inventées spécialement pour le procès (ce qui aurait été contraire à tous les principes du droit pénal), mais selon les règles coutumières communément acceptées « dans les nations civilisées ».

Le but de cet article n’est donc pas de plaider en faveur ou à l’encontre du vaccin, puisque les vaccins existent depuis plus de 140 ans avec des résultats bénéfiques pour certains, et désastreux pour d’autres. En effet, la seconde génération de vaccins (après le procédé de Edward Jenner à la fin du XVIIIe siècle) a été introduite dans les années 1880 par Louis Pasteur qui a développé des vaccins contre le choléra et contre l’anthrax du poulet. À partir de la fin du XIXe siècle, les vaccins étaient considérés comme une question de prestige national et des lois sur la vaccination obligatoire ont été adoptées.

Le XXe siècle a vu l’introduction de plusieurs vaccins efficaces, notamment ceux contre la diphtérie, la rougeole, les oreillons, le tétanos et la rubéole. Les principales réalisations comprennent le développement du vaccin contre la poliomyélite dans les années 1950. Grâce au vaccin l’éradication mondiale de la variole humaine a été obtenue dans les années 1970. Maurice Hilleman a été le plus prolifique des développeurs de vaccins au XXe siècle. Comme les vaccins sont devenus plus courants, de nombreuses personnes ont commencé à les tenir pour acquis. Cependant, les vaccins restent insaisissables pour de nombreuses maladies importantes, notamment l’herpès simplex, le paludisme, la gonorrhée et le VIH. Au demeurant, la légitimité de l’obligation vaccinale suscite des controverses sur le plan juridique. Elle est officiellement considérée comme une limite raisonnable et justifiée dans les sociétés démocratiques qui l’implémentent, mais elle est parfois aussi décrite ou perçue comme un affront aux libertés fondamentales.

Cet article a pour objectif principal d’informer la population sans aucun filtre, puisque ce qui suit a été pris à la source, c’est-à-dire du Kremlin, du Ministère de la Santé et des médias russes. Il a aussi pour but d’avertir les gouvernements « nationaux » qu’ils doivent IMPÉRATIVEMENT cesser de vouloir soumettre leurs populations au diktat mondialiste, et qu’ils doivent agir IMMÉDIATEMENT pour le bien commun. Dans le cas contraire, ils seront — à courte échéance — accusés de négligence criminelle ayant causé la mort et de CRIME CONTRE L’HUMANITÉ.

Le vaccin vectoriel combiné Gam-COVID-Vac

Le 11 août dernier, le ministère de la Santé de la Fédération de Russie a émis un certificat d’enregistrement portant le numéro LP-006395 pour un vaccin pour la prévention d’une nouvelle infection à coronavirus COVID-19, développé par le Centre national de recherche en épidémiologie et microbiologie du nom de l’académicien N.F. Gamalei du ministère de la Santé de Russie. Le certificat d’enregistrement indique spécifiquement que l’utilisation du médicament n’est possible que « dans les conditions des organisations médicales qui ont le droit d’effectuer une prophylaxie vaccinale de la population de la manière prescrite par la loi ». [3]

« Selon les résultats, le vaccin a montré une efficacité et une sécurité élevées. Tous les volontaires ont développé des titres élevés d’anticorps anti-COVID-19, alors qu’aucun d’entre eux n’a eu de graves complications de la vaccination. Selon les résultats de l’examen, les données des études cliniques, des experts du ministère de la Santé ont publié une conclusion, et aujourd’hui une décision a été prise sur l’homologation par l’État d’un vaccin pour la prévention d’une nouvelle infection à coronavirus, développé par le Centre Gamaleya », a déclaré le ministre russe de la Santé Mikhail Murashko lors d’une réunion du président de la Fédération de Russie avec des membres du gouvernement.

Gam-COVID-Vac est un vaccin vectoriel à deux composants basé sur l’adénovirus humain. Dans le cas du covid, l’adénovirus a agi comme un vecteur. Le vaccin agira comme ceci : un virus inoffensif délivrera des gènes de coronavirus dans les cellules humaines, activant ainsi le système immunitaire pour combattre l’« agresseur ». Par conséquent, si un vrai virus COVID-19 pénètre dans le corps, les forces de protection le rencontreront entièrement armé. Le vaccin a passé tous les tests d’innocuité et d’efficacité nécessaires sur plusieurs espèces d’animaux (rongeurs et primates), plus tard le vaccin a été testé sur deux groupes de volontaires (38 personnes chacun). Le vaccin ne contient pas les composants du virus COVID-19. Un schéma d’injection en deux temps permet la formation d’une immunité à long terme. L’expérience de l’utilisation de vaccins vecteurs (avec un schéma d’administration en deux volets) montre que l’immunité dure jusqu’à 2 ans.

Le chef du département a également ajouté que la Russie est prête pour la coopération internationale dans le développement et l’introduction d’un vaccin. [4]

« Ce matin, pour la première fois au monde, un vaccin contre le nouveau coronavirus a été enregistré », a dit Vladimir Poutine lors d’une réunion ministérielle retransmise par la télévision d’État, en ajoutant : « Je sais qu’il est assez efficace, qu’il donne une immunité durable ». Le président Poutine a même affirmé qu’une de ses filles s’était fait inoculer le vaccin qui a été développé par le Centre de recherches en épidémiologie et microbiologie Nikolaï Gamaleïa, avec le ministère russe de la Défense. « Elle a participé à l’expérience », a-t-il indiqué, selon les agences russes affirmant qu’elle avait eu un peu de température après les deux inoculations, « et c’est tout ».

Le ministre de la Santé Mikhaïl Mourachko a indiqué que des essais cliniques sur plusieurs milliers de personnes allaient continuer. Les résultats de ces essais, dits de « phase 3 », sont habituellement indispensables pour soumettre une demande d’autorisation de mise sur le marché. Sur la centaine de vaccins actuellement en cours de développement à travers le monde, au moins quatre en sont au dernier stade des essais de phase 3 chez l’homme, selon des données de l’OMS.

Selon Kirill Dmitriev, le président du fonds souverain, qui a été impliqué dans le développement du vaccin, « plus d’un milliard de doses » ont été précommandées par 20 pays étrangers, précisant que la phase 3 des essais commençait le 12 août. [5]

Le vaccin sera mis en circulation le 1er janvier 2021 dans la population, selon le registre national des médicaments du ministère de la Santé, consulté par les agences de presse russes. Les vaccinations des citoyens du pays se feront absolument gratuitement. Cependant, la vaccination sera pratiquée chez les adultes, elle n’est pas encore conçue pour les enfants. [6]

« Le vaccin est une grande avancée dans la problématique du traitement des coronavirus dans le monde. Nous allons regarder les résultats, mais en général, pour libérer l’humanité maintenant, un vaccin est nécessaire, sinon nous vivrons longtemps dans des conditions de risque d’infection », a déclaré le transplantologue en chef du ministère russe de la Santé, académicien RAS Sergei Gautier. Le premier vice-recteur de l’Université de Sechenov, Andrei Svistunov, a noté que lors des essais précliniques et cliniques, la sécurité et l’efficacité du vaccin contre le coronavirus ont été confirmées. [7]

« A l’avenir, nous pourrons vaincre ce virus sévère. Il vaut la peine de dire que la création d’un vaccin est le résultat du travail systématique du ministère, qui développe un vaccin depuis de nombreuses années, y compris le vaccin contre Ebola. le vaccin sera efficace et sûr » — Yevgeny Shlyakhto, académicien de l’Académie russe des sciences.

Information du ministère de la Santé de la Fédération de Russie du 11 août 2020

« LE MINISTÈRE DE LA SANTÉ DE RUSSIE ENREGISTRE LE PREMIER VACCIN CONTRE LE COVID-19 AU MONDE »

Le 11 août, le ministère de la Santé de la Fédération de Russie a émis un certificat d’enregistrement portant le numéro LP-006395 pour un vaccin pour la prévention d’une nouvelle infection à coronavirus COVID-19, développé par le Centre national de recherche en épidémiologie et microbiologie du nom de l’académicien N.F. Gamalei du ministère de la Santé de Russie.

« Selon les résultats, le vaccin a montré une efficacité élevée et sécuritaire. Tous les volontaires ont développé des titres élevés d’anticorps contre le COVID-19, alors qu’aucun d’entre eux n’a eu de graves complications de l’immunisation. Selon les résultats de l’examen, les données des essais cliniques, les experts du ministère de la Santé ont émis une conclusion, et aujourd’hui une décision a été prise sur l’enregistrement par l’État d’un vaccin pour la prévention d’une nouvelle infection à coronavirus développé par le Centre Gamaleya », a déclaré le ministre russe de la Santé Mikhail Murashko lors d’une réunion du président de la Fédération de Russie avec des membres du gouvernement.

Gam-COVID-Vac est un vaccin vectoriel à deux composants basé sur l’adénovirus humain. Le vaccin a passé tous les tests d’innocuité et d’efficacité nécessaires sur plusieurs espèces d’animaux (rongeurs et primates), plus tard, le vaccin a été testé sur deux groupes de volontaires (38 personnes chacun). Le vaccin ne contient pas les composants du virus COVID-19. Un schéma d’injection en deux temps permet la formation d’une immunité à long terme. L’expérience de l’utilisation de vaccins vecteurs (avec un schéma d’administration en deux volets) montre que l’immunité dure jusqu’à 2 ans.

Le chef du département a également ajouté que la Russie est prête pour la coopération internationale dans le développement et l’introduction d’un vaccin.

Lisez la deuxième partie de cet article 

Notes :
1. Benjamin Fulford : Bilderberg Founder Ex-Queen Beatrix Offers Vladimir Putin Huge Bribe to Steal Global Wealth. July 6, 2020.
2. Rosemary Frei; Patrick Corbett : “No one has died from the coronavirus”. OffGuardian, July 2, 2020.
3. Евгений Калюков, Анна Левинская, Егор Губернаторов : Российская вакцина от COVID-19 поступит в гражданский оборот с 1 января. РБК, 11 авг 2020.
4. Министерство здравоохранения Российской Федерации (Ministère de la Santé de la Fédération de Russie) : Минздрав России зарегистрировал первую в мире вакцину от COVID-19. Материал опубликован 11 августа 2020.
5. Agence France-Presse et Reuters : Poutine affirme que la Russie a inventé un vaccin contre la COVID-19. Radio-Canada, 11 août 2020.
6. Dans le monde : Минздрав РФ показал, как выглядит первая в мире вакцина от COVID-19 — фото. Sputnik, 11.08.2020.
7. Actualités RIA : Медики назвали большим прорывом создание вакцины от COVID-19 в России. РИА Новости (МОСКВА), 14.08.2020.

 

yogaesoteric
3 octobre 2020


 

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