La « Tour Triangle », la numérologie et le nombre de Lucifer (666)
La Tour Triangle est un édifice maçonnique, non seulement, de par sa dénomination qui fait référence à un « symbole maçonnique », et de par sa forme triangulaire et pyramidale, mais encore, de par certaines de ses caractéristiques, notamment sa largeur et sa numérologie luciférienne.
La « Tour Triangle » de la porte de Versailles, initiée notamment par les élus socialistes Bertrand Delanoë, Jean-Pierre Caffet et Anne Hidalgo, rappelle une autre pyramide maçonnique érigée à Paris, à l’initiative du Président de la République François Mitterrand, la fameuse pyramide du Louvre.
Cette pyramide, inaugurée en 1989, faisait partie d’un ensemble de travaux « pharaoniques » réalisés sur ordre du Président Mitterrand, alias Toutankhamon, dont notamment l’arche de La Défense, qui avaient la particularité d’être des monuments maçonniques. Ces édifices ésotériques furent d’ailleurs l’objet de nombreuses polémiques.
La « Tour Triangle » et la pyramide du Louvre présentent de troublantes similitudes : outre leur dénomination et leur forme symboliques, elles ont des caractéristiques communes, puisqu’elles sont toutes deux des édifices en verre et ont en outre la même numérologie ésotérique (35 mètres de largeur, et le nombre luciférien 666).
La notice de présentation de l’Opération Triangle précise en effet que la tour a « environ 35 mètres de large » (Notice de présentation de l’Opération Triangle, p. 3, et Rapport d’enquête, p. 25). Comme la pyramide du Louvre…
Les deux pyramides auraient été érigées en se fondant aussi sur la numérologie maçonnique, et notamment sur le chiffre 6, celui de la création, et le nombre 666, celui de Lucifer (Satan), omniprésent dans le monde contemporain.
Dominique Setzepfandt, dans son livre « Mitterrand Grand Architecte de l’Univers » (1995), affirme que la pyramide du Louvre aurait 666 carreaux de verre. L’auteur ésotérique Dan Brown l’évoque aussi, dans son livre « Da Vinci Code » (2003), au chapitre 4.
Quant à la « Tour Triangle », sa hauteur est de 180 mètres, soit en base 10, 18 = 3 x 6, donc 6-6-6, le « nombre de la Bête » évoqué dans l’ Apocalypse de Saint-Jean.
De quoi faire fantasmer ! Ou plutôt, de quoi ouvrir les yeux ! Ouvrir les yeux, pour mieux entrevoir et concevoir ce que cette numérologie révèle des croyances et intentions maçonniques (d’ailleurs, étymologiquement, l’apocalypse signifie révélation).
Il faut savoir, cependant, que la référence à Lucifer (Satan), si elle est odieuse aux Chrétiens (et aux Musulmans) puisque Satan est l’ennemi de Dieu et du Christ, est au contraire très appréciée des adeptes de la secte maçonnique, puisque Lucifer est pour eux le « porteur de lumière ». Etymologiquement, Lucifer signifie en effet « porteur de lumière », mais dans la Bible, il est un des noms, avec Satan, de l’ennemi de Dieu. Ainsi, pour un franc-maçon, Lucifer (Satan) est un « être suprême » bon, puisque lumineux, qui doit triompher du dieu mauvais des Chrétiens (et musulmans), lequel est par opposition nécessairement obscurantiste.
On comprend dès lors tout l’acharnement fanatique des francs-maçons à vouloir détruire le Christianisme.
Et de même, sachant ainsi que Lucifer est pour les francs-maçons un « Etre suprême » lumineux, l’on comprend mieux la raison pour laquelle les adeptes de la secte maçonnique érigent des édifices de verre (lumineux) portant la marque de Lucifer (666)…
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Le « geste de la main d’Horus » (le 666)… par la juive Lady Gaga.
Le New Age et le satanisme diffusent, via des artistes médiatiques, l’idéologie maçonnarde et luciférienne du 666.
yogaesoteric
18 juillet 2017