L’arme bio-électromagnétique, l’arme ultime
« Une arme qui fonctionne à la vitesse de la lumière, elle peut tuer, torturer et réduire en esclavage. » Harlan Girard
Les armes électromagnétiques fonctionnent à la vitesse de la lumière; elles peuvent tuer, torturer et réduire en esclavage ; mais le public est en grande partie inconscient de leur existence, parce que ces armes fonctionnent dans le plus grand secret et ne laissent pas de preuves physiques. Les armes électromagnétiques ont été testées chez des êtres humains dès 1976. Grâce à une très grande dispersion des sujets non-consentants et à de véhémentes attaques de leur crédibilité, il a été possible pour les États-Unis de poursuivre ces expériences humaines, sans être jamais inquiétés par des discussions, des critiques et des points de vue opposés.
Ce système d’arme ultime a été déployé en Iraq. Les Forces Aériennes des États-Unis et l’Infanterie de la Marine s’y réfèrent sous l’expression « Active Denial System » ou ADS (Système de Dénégation Active), comme si cette arme était purement utilisée dans un but défensif, mais il n’en est rien.
La vérité sur
« la Technologie de Dénégation Active
»
Il n’existe qu’un seul spectre électromagnétique. Les armes nucléaires libèrent une grande quantité de radiations ionisantes dans la gamme à haute fréquence placée au-dessus de la lumière visible, où l’énergie de la radiation est capable de rompre des liens chimiques. Il est généralement admis que les radiations ionisantes provoquent le cancer.
Les militaires américains ont utilisé, à des fins militaires, les radiations non-ionisantes, au-dessous de la gamme de lumière visible, ainsi que les micro-ondes et les ondes radio utilisées dans les téléphones mobiles et les télécommunications. Le gouvernement américain a nié les possibilités de risques pour la santé avec les radiations électromagnétiques non-ionisées, à la fois comme projet de recherche sur un être humain involontaire et comme moyen de défense, qu’ils ont appliqué pendant de nombreuses années, sans toutefois le reconnaitre, tout en décourageant les autres pays de développer ce type d’armes.
Le seul effet biologique des radiations non ionisantes que le gouvernement américain ait reconnu depuis de nombreuses années est l’effet calorifique émis par la radiation et, par voie de conséquence, il est nécessaire de voir dans « l’Active Denial Technology » l’arme qui produit la douleur soudaine du réchauffement de la peau, mais ce n’est pas tout à fait de cette façon que les radiations agissent.
La lecture des ondes cérébrales et le contrôle de l’esprit
En 1959, Saul B. Sells, professeur de psychologie sociale dans une petite université américaine, a présenté une proposition à la CIA pour leur construire la machine electroencéphalographique la plus sophistiquée qui aurait la capacité de calcul intégral apte à l’analyse et, dans le meilleur des cas, donnerait un sens aux ondes cérébrales qu’il a enregistrées. En d’autres termes, le professeur a proposé de faire une machine qui pourrait dire à la CIA ce qu’une personne était en train de penser et qui pourrait dire également que cette personne désire ou ne désire pas révéler l’information en question.
La CIA a approuvé le projet en 1960, en y ajoutant un peu de recherche de bibliothèque avec cinq objectifs. Le cinquième objectif de la recherche était, « les Techniques pour Activer l’Organisme Humain par les Moyens Électroniques fonctionnant à distance ». L’attribution tout entière était connue à partir de ce moment-là sous l’appellation « Sous-projet 119 MKULTRA », MKULTRA étant le scandaleux programme de contrôle mental de la CIA. Il était basé sur la notion erronée que les Soviétiques ont déjà été en possession des moyens de contrôler le cerveau et que les Etats-Unis devaient atteindre le niveau des Soviétiques aussi rapidement que possible.
Les documents qui appartiennent au Sous-projet 119 MKULTRA sont conservés, à l’heure actuelle, dans les Fichiers de la Sécurité Nationale (une organisation non gouvernementale) à l’Université George Washington à Washington, DC. John Marks, auteur de « A la Recherche du Candidat Manchu la CIA et le Contrôle mental », (Times Books, New York, 1979) a fait donation des documents MKULTRA ; son livre a été republié par W.W. Norton & Company, Inc, New York, 1991 et il est encore disponible.
Le « Projet Bizarre » a succédé au Sous-projet 119 MKULTRA en 1965. Le but de Bizarre est d’enregistrer et d’analyser la complexité du « signal micro-ondes » qui aurait été projeté sur l’ambassade américaine à Moscou par les Soviétiques, à partir d’un bâtiment de la rue d’en face. Ce qu’il y avait d’intéressant à propos du Projet Bizarre c’est que, quand bien même les États-Unis auraient nié jusqu’à ce jour les éventuels effets néfastes sur la santé des radiations à micro-ondes, ils n’ont pas attendu une seconde pour soupçonner « le signal de Moscou » d’avoir eu un grand nombre d’effets sur la santé du personnel de l’ambassade, en particulier les ambassadeurs successifs dont le bureau avait été irradié par le signal. Au moment même où le Département d’État procédait auprès du personnel de l’ambassade à un test pour vérifier une éventuelle rupture d’ADN provoquée par le signal de Moscou, les Américains se sont vus contraints à ne pas se plaindre, parce que la puissance du signal soviétique était une infime fraction inférieure à la puissance du niveau d’exposition autorisée pour l’homme. Le journaliste Barton Reppert est celui qui a écrit le document qui fasse autorité sur les signaux de Moscou. (Les ruptures d’ADN dues à l’exposition aux téléphones mobiles ont été confirmées par les recherches en laboratoire.)
Conversion du son en micro-ondes
En 1973, Joseph C. Sharp, psychologue expérimental au « Walter Reed Army Institute of Research » a effectué une expérience qui a été cruciale pour le développement de la torture utilisée en Iraq. James Lin a mis en place l’équipement dans son laboratoire et il a converti des formes d’ondes sonores en micro-ondes, ce qui lui a permis de s’entendre lui-même prononcer des nombres de un à dix dans sa tête, en passant par ses propres oreilles. Cette expérience n’a pas été publiée mais est mentionnée dans le livre de Lin, Microwave Auditory Effects and Applications, publié en 1978.
L’expérience a été confirmée sur le site de US Patent 6 587 729, « Apparatus for Audibly Communicating Speech Using the Radio Frequency Hearing Effect » (« Appareillage pour Communiquer Discours de Communication Audible utilisant l’Effet Auditif de Radio Fréquences »). Ce brevet est une version améliorée de l’appareil utilisé dans l’expérience de laboratoire de 1973, publié le 1er Juillet 2003 et communiqué au secrétariat des Forces Aériennes. Il prouve scientifiquement qu’il est possible d’entendre des voix dans la tête, sans souffrir de schizophrénie paranoïde.
Pourquoi ce brevet a-t-il été révélé au grand jour par cette publication, à un moment où le gouvernement des États-Unis pratique un degré de confidentialité pouvant rivaliser avec le Kremlin de Staline ? Il n’y a pas de réponse satisfaisante, sauf d’avancer que l’appareil dans le brevet a déjà été remplacé par un matériel qui permet d’atteindre le même effet, par des moyens beaucoup plus sophistiqués. Il bloque les processus normaux de la mémoire et de la pensée à distance par des moyens électroniques, tout en fournissant des souvenirs faux, déformés et/ou mauvais et des suggestions, par le biais d’un processus appelé « télépathie synthétique ». Le matériel qui produit la télépathie synthèse est parfois dénommée « technologie d’influence ».
Tandis que les voix et les visions, les rêves et les cauchemars sont les manifestations les plus étonnantes de ce système d’arme, il est aussi capable de mutiler un sujet humain en limitant ses mouvements normaux, en causant des douleurs aiguës équivalentes à de très graves défaillances d’organes pouvant aller jusqu’à la mort, et en interférant avec le fonctionnement normal de n’importe quel sens humain. En d’autres termes, n’importe quelle torture dont les trois mots « Baie de Guantanamo » sont devenus synonymes, peut être exécutée par des moyens électroniques déclenchés à distance.
Les instruments de torture
« La technologie d’influence » est aussi capable de convaincre les sujets que leur esprit est en cours de lecture et que la propriété intellectuelle est pillée. Elle peut même inciter au suicide ou à l’assassinat d’un membre de la famille, d’un ami ou de collègues de travail. Au cours de l’année de la soi-disant « guerre contre la drogue » (qui a précédé la « guerre contre le terrorisme »), des lettres que les sujets humains involontaires avaient écrites ou étaient sur le point de recevoir, disparaissaient régulièrement du courrier, comme si le gouvernement était engagé dans une énorme opération secrète avec les bureaux de poste, partout dans le pays. Lorsque George Herbert Walker Bush devint président en 1989, les assassinats d’employés au sein des bureaux de poste étaient devenus si fréquents que l’expression « Going postal » avait commencé à remplacer l’expression courante « going crazy ». Le meurtre de collègues dans d’autres lieux de travail a commencé à attirer l’attention des médias.
On estime que le coût de l’emprisonnement d’un être humain dans son propre corps et de l’application d’interminables tortures va de 5.000.000 à 10.000.000 $ par an.
Par « interminable torture » on veut dire exactement que l’absence de signes apparents laissés par ce nouvel équipement de torture des sujets humains (tels que les dommages causés à la peau) est la porte ouverte aux tortures de sujets involontaires 24 heures sur 24, 365 jours par an. Cela se pratique, même le jour de Noël et à Pâques. On est arrivé à une estimation du prix des expériences et/ou de l’utilisation d’armes électromagnétiques chez un sujet humain, lors d’une visite d’une chaîne de télévision par câble qui se spécialise dans la vente télévisée de biens 24 heures sur 24. On s’est informé du nombre de personnel technique requis, de leurs heures de travail et de l’échelle de leurs salaires ; également du nombre d’employés de réserve requis pour préparer la programmation des émissions. On ne s’est pas enquis du coût du matériel électronique ni du calendrier de l’usure. On estime que le montant de cette usure est inclus dans le coût annuel de la torture d’un sujet humain non-consentant.
La torture est une affaire qui fait appel à beaucoup de main-d’œuvre. Quel objectif justifierait cet investissement ? Pourrait-on être à ce point malsain pour gouverner le monde en réduisant à l’esclavage les gouvernements démocratiques des pays les plus peuplés ? Cet objectif a certainement à voir avec le dédain et l’hostilité des États-Unis envers les Nations Unies, envers les conventions et les accords internationaux qui ont été ratifiés dans le droit international passé.
Le 1er mars 2001, l’Infanterie de Marine a annoncé une nouvelle arme non létale, « Active Denial Technology » (la Technologie de Dénégation Active) qui, apparemment, produit d’immenses douleurs, par l’ébullition des molécules d’eau dans la peau humaine, sans endommager la peau elle-même. Selon la description publiée dans un article du New Scientist, on emploie la radiation électromagnétique pulsée dans une fréquence de 95 GHz avec une portée d’à peu près 600 mètres. Il y a eu quelques nouveaux rapports dans la revue en 2005, y compris un publié en juillet, décrivant les volontaires qui participent aux expériences, pour déterminer jusqu’à quel point « l’Active Denial System » (ADS) ne présenterait aucun danger s’il devait être utilisé pour le contrôle de la foule. Il a été rapporté que les radiations des armes ADS causent des douleurs en 2 à 3 secondes et deviennent « intolérables en moins de 5 secondes ».
La technologie ADS est la pierre angulaire du système employé pour torturer 2000 personnes dans l’intimité de leur propre foyer, pas seulement aux États-Unis, mais dans le monde entier, partout où des nations ont signé des Accords de Statut de Force (« Status of Forces Agreements ») avec les États-Unis. Les accusations de torture ont été reçues d’abord des pays avec lesquels les États-Unis ont une relation spéciale de partage de l’intelligence, c’est-à-dire le Royaume-Uni, le Canada, l’Australie et la Nouvelle-Zélande. C’est ainsi que les rapports ont commencé à arriver des « pays conquis », où les États-Unis continuent à installer un grand nombre de troupes, à savoir l’Allemagne et le Japon. Lorsque la France a réintégré le bras militaire de l’OTAN à la fin des années 90, on a commencé à recevoir des accusations de torture en France. Après cela, commencèrent à arriver les accusations de torture de l’Inde, où les entreprises américaines se sont mises à sous-traiter non seulement les services d’assistance en ligne, mais aussi les programmations informatiques.
Et puis vient le cas de la Russie, où des expériences de torture involontaire semblent être à la fois nombreuses et bien organisées. On a appris, de sources dignes de foi, que tout scientifique russe qui savait parler anglais avait trouvé un foyer dans un laboratoire d’une université américaine ou un logement du gouvernement américain. C’est plausible, compte tenu de cette préoccupation américaine fréquemment propagée par la rumeur, selon laquelle les experts soviétiques en armement nucléaire et biologique pouvaient trouver un emploi en Iran. Il a été démontré qu’à la fin de la Deuxième Guerre Mondiale, l’Armée américaine s’est déployée à travers toute l’Allemagne dans une opération nommée « Project Paperclip », pour recruter en particulier des scientifiques nazis et des experts en fusée, en médecine, en aérospatiale. D’autres chercheurs ont été recrutés, tout simplement pour priver l’Union Soviétique de cette ressource. Et qu’en était-il des scientifiques soviétiques qui ne savaient pas parler anglais ? Nous le saurons, en temps et en heure, c’est certain, mais pour l’instant c’est plus qu’une simple conjecture qu’au moins certains d’entre eux ont été utilisés pour étudier le système de valeurs russe et les processus de prise de décision, en torturant d’autres Russes avec la « technologie d’influence » américaine.
Deux articles intéressants et importants sur les armes bioélectromagnétiques ont été publiés dans le New Scientist : La douleur maximale est l’objectif des nouvelles armes américaines et La Police joue avec les armes moins létales, tous les deux écrits par David Hambling. Voir aussi « US Patent 6536440 » du 25 mars 2003.
L’attention est portée aussi sur le déploiement par les Israéliens d’un dispositif appelé « The Scream » (le Cri), qui envoie des explosions de sons audibles mais pas forts, à des intervalles d’à peu près 10 secondes. Un photographe, témoin d’une manifestation, déclara qu’il continuait à entendre le son dans sa tête, même après avoir couvert ses oreilles. Cela fait penser que l’agent actif est électromagnétique, plutôt qu’acoustique. En d’autres termes, les Israéliens sont parvenus à avoir un dispositif qui est beaucoup plus intelligent que « Active Denial Sytem » (ADS). Ce dispositif décourage non seulement d’éventuels agitateurs, mais signale aussi de manière audible qu’il a été allumé. Le dispositif américain ne le fait pas. Il appartient entièrement aux soldats de troupe (qui déclenchent le dispositif) de déterminer l’intensité des douleurs causées par les brûlures reçues par leurs adversaires. La marge d’erreur avec le dispositif américain est démesurée. Ce dispositif peut également avoir le qualificatif « arme létale », parce que, dans la pratique, il le sera très fréquemment.
yogaesoteric
10 décembre 2017
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