Le code biblique peut dévoiler des événements qui ont eu lieu ou qui auront lieu des milliers d’années après que la Bible a été écrite
Par le professeur de yoga Nicolae Catrina
Devise :
« Et toi, Daniel, garde secret tous ces mots Et ensuite scelle ce livre jusqu’à la fin du monde. » – Daniel, 12:4
« La distinction entre le présent, le passé et le futur n’est qu’une illusion pour Dieu, Quoi qu’elle soit persistante pour nous. » – Albert Einstein, 1955
Les recherches des scientifiques ont confirmé, les dernières années, une hypothèse (d’ailleurs plus ancienne, mais pas encore démontrée) qui soutient que dans la Bible est inclus, à côté des informations spirituelles évidentes, un certain code secret qui peut dévoiler des événements qui se sont passés ou qui se passeront des milliers d’années après que la Bible ait été rédigée. Le code biblique a été découvert dans la version originale en hébreux, dans l’Ancien Testament. Celui qui a découvert le code biblique est le Dr. Eliyahu Rips, qui est à l’heure actuelle l’un des plus grands experts du monde dans la théorie des groupes, un domaine au sommet des mathématiques qui est à la base de la physique quantique.
Eliyahu Rips est un homme modeste. Il a presque toujours la tendance d’accorder aux autres le mérite de ses propres réalisations de sorte qu’à première vue, personne ne soupçonnerait qu’en fait, il est un mathématicien de renommée mondiale. La majorité des journalistes qui l’ont interviewé ont été tentés de soutenir que ses découvertes n’ont rien de spécial et donc qu’elles ne devraient pas être prises en considération. Mais la découverte de Rips a été confirmée par des mathématiciens réputés de Harvard, de Yale et de l’Université Hébraïque. Ce code a été aussi vérifié par un célèbre spécialiste en chiffres et en codes du Ministère de la Défense des Etats-Unis, et, ultérieurement, il a passé avec succès encore trois autres expertises qui ont été effectuées par des spécialistes, expertises qui ont été sollicitées par une importante revue de mathématiques des Etats-Unis.
La théorie fascinante qui est liée au code biblique a été portée à la connaissance de tous à travers les médias. Plus tard, elle a été prise plus au sérieux après un événement tragique qui avait été prédit à l’aide du code mais qui, du fait que la prévision en question n’avait pas été considérée par la personne qui était directement visée, s’est malheureusement avérée juste par la suite. Voilà le déroulement des événements : le 1 septembre 1994, le journaliste américain Michael Drosnin est allé à Jérusalem pour donner à Yitzhak Rabin la lettre suivante :
« Un mathématicien israélien a découvert dans la Bible un code secret qui semble dévoiler des détails de certains événements qui ont eu lieu et qui vont avoir lieu des milliers d’années après la rédaction de la Bible . La raison pour laquelle je vous informe de ce fait est que la seule fois que votre nom complet, Yitzhak Rabin, apparaît dans la Bible , il est intersecté par l’expression “ criminel va assassiner ”. Ce fait ne devrait pas être considéré avec indifférence, parce que l’assassinat d’Anwar el Sadat comme les attentats dont John et Robert Kennedy ont été les victimes, sont aussi codés dans la Bible…
Je crois que vous êtes en danger réel, mais ce danger peut être évité ».
Le 4 novembre 1995, a suivi la terrible confirmation de la prédiction dʼEliyahu Rips : Yitzhak Rabin a été tué par un homme qui se croyait investi d’une mission divine. Ce crime a été codé dans la Bible, dans un texte écrit il y a plus de 2000 ans.
Le même journaliste – Michael Drosnin – a cherché aussi à avertir le chef du Quartier Général du Service de Contre-informations d’Israël sur l’imminence de la guerre du Golfe et sur l’intention de l’Irak de lancer des raquettes sur Tel Aviv. Rips avait montré au journaliste une séquence du code biblique où les mots « Hussein », « Scud » et « raquette russe » apparaissaient codés ensemble. De même, dans la même séquence apparaissait aussi l’expression « Hussein a choisi un jour ». En approfondissant ses recherches, Rips a trouvé dans le code l’expression « feu en 3 Chevat » – date du calendrier hébraïque qui correspondait au jour de 18 janvier 1991. Ceci a été le jour où l’Irak a lancé la première raquette Scud contre Israël, confirmant les dates qui sont présentées par le code. A la question de Drosnin : « Qui peut savoir 3000 ans avant qu’il y aura une guerre du Golfe, pour ne plus parler du lancement d’une raquette contre Israël le 18 janvier ? », Rips a répondu de manière très tranchante : « Seulement Dieu ! ».
Après tous ces événements qui ont été prédits par le code de la Bible et une fois qu’ils se sont avérés justes, Michael Drosnin a déclaré ceci : « Il est aussi clair que possible que le code de la Bible n’est pas comme les prophéties de Nostradamus, ce n’est pas quelque chose du genre : “ Une étoile va se montrer au ciel de l’Est et un grand roi va tomber ”, des mots ambiguës qui peuvent être ultérieurement interprétés de sorte qu’ils correspondent à tout événement qui se passe en réalité. Non, ici il s’agit de détails étonnants qui sont aussi précis que ceux des nouvelles transmises par CNN, tout ceci est bien sûr découvert avant que l’événement en cause ait lieu ».
La théorie de Rips sur le code biblique considère la Bible comme étant une grille immense de mots croisés. Pour trouver le code, Rips a éliminé tous les espaces entre les mots et a transformé toute la Bible, sa version originale, en un fil continu de lettres contenant 304.805 caractères. Les informations résultées sont obtenues en sélectionnant chaque N-e lettre, où N a une valeur précise et choisie de façon correspondante – par exemple : 4, 5, 12, 18 etc. Voici un exemple très simple : nous avons la proposition « Comment obtenir des données …», que nous compactons et elle devient « commentobtenirdesdonnées », d’où nous allons sélectionner à partir de la première lettre, chaque septième lettre : «CommentObtenirDesdonnEes » et il résulte ainsi le mot „ code ”.
Dans cette matrice formée par le texte biblique dans la forme décrite plus haut sont recherchés à l’aide d’un ordinateur des mots et des phrases cachées. Pour cela, on commence par la première lettre de la Bible et on cherche pour chaque séquence d’intervalles possibles les mots que nous sollicitons, qui sont déchiffrés avec des intervalles de une, deux, trois lettre et ainsi de suite, jusqu’à quelques milliers. Ensuite on répète la même opération de recherche à partir de la deuxième lettre et on continue ainsi jusqu’à la dernière lettre de la Bible. Après avoir trouvé le mot clef, l’ordinateur commence à chercher des informations associées. Ainsi par exemple y avait-t-il également d’autres données où a été trouvé le nom de Rabin : Amir (celui qui s’est avéré ultérieurement être le nom de l’assassin), Tel Aviv, l’année hébraïque 5756 qui commençait en septembre 1995, toutes ces informations réelles étant codées dans le même passage.
Le premier indice moderne du codage de la Bible a été trouvé il y a plus 50 ans par H.M.D. Weissmandel, un rabbi de Prague. Celui-ci avait observé que s’il sautait 50 lettres et ensuite encore 50 et ensuite encore 50, il trouvait le mot « Tora », inscrit au début de la Genèse. De même, il avait observé que la même séquence d’intervalles orthographiait à nouveau le mot « Tora » aussi dans d’autres chapitres de l’Ancien Testament : l’Exode, les Nombres et le Deutéronome. Weissmandel n’a jamais rendu publique cette découverte. Ses disciples ont publié ultérieurement (en 1958) un livre au tirage limité, Torat Hemed, où est fait brièvement référence aux recherches effectuées par le rabbi Weissmandel en liaison avec le code dans la période qui a précédé la Deuxième Guerre Mondiale. L’un de ces disciples, le rabbi Azriel Tauber, a relaté que les années qui ont précédé l’apparition des ordinateurs, Weissmandel avait transcrit tout le texte de la Tora sur des feuilles comprenant 100 lettres, disposées sur 10 lignes de 10 lettres et ensuite avait cherché les mots orthographiés avec des lettres se trouvant à des intervalles équidistantes.
Sir Isaac Newton, considéré à vrai dire comme étant le premier savant moderne, celui qui a compris la mécanique de notre système solaire et qui a découvert la force de la gravitation, lui aussi était convaincu par le fait que dans la Bible, il existe un code secret qui nous dévoile le futur. Newton a appris l’hébreu et a essayé presque la moitié de sa vie à découvrir ce code. Isaac Newton considérait ce code comme étant beaucoup plus important que la loi de l’attraction universelle.
J.M. Keynes, le biographe de Newton, soutenait que ce code biblique a été une obsession pour le grand savant. Lorsque Keynes a vu les documents de Newton, il a eu un choc : la plupart des ouvrages de Newton ne se référaient pas, comment il s’attendait, aux mathématiques ou à l’astronomie, mais à la théologie ésotérique. Ces écritures dévoilent le fait que le grand physicien était convaincu que la Bible recelait d’une prophétie sur l’histoire de l’humanité. Newton avait la certitude que la Bible d’une part et d’autre part l’Univers entier, sont un complexe cryptogramme composé par Dieu, et qu’il voulait absolument déchiffrer.
Mais Newton n’a pas réussi à découvrir ce code. Son travail n’a porté aucun fruit, quelles que soient les formules mathématiques qu’il a appliquées. La découverte qui avait échappé à Newton a été faite quelques siècles plus tard par Eliyahu Rips, parce que le mathématicien israélien disposait d’un instrument essentiel que Newton n’avait pas : un ordinateur. Il paraît que le texte caché de la Bible a été codé à l’aide d’une soi-disant « serrure » temporisée qui n’a pas pu être ouverte avant la découverte de l’ordinateur. Avec tout le scepticisme de quelques grands mathématiciens, personne n’a pu trouver d’erreur dans sa démonstration mathématique. Personne n’a pu infirmer avec des arguments solides le fait étonnant que la Bible fût codée et qu’elle révélait des événements qui se sont passés ultérieurement, même longtemps après sa rédaction.
Certains scientifiques, plus conventionnels et sceptiques, n’ont pas accepté le code. Ainsi, Avraham Hasofer a contesté le code biblique avant que Rips ait publié sa démonstration mathématique. Hasofer a argumenté qu’il est possible que certains types de configurations existent dans tout grand ensemble de données. A l’attaque de Hasofer, Rips a répliqué qu’il est possible, par exemple, de trouver dans un ensemble de données suffisamment grand le nom de Saddam Hussein, mais qu’il est presque impossible de trouver les termes « scud » et « missile russe », ainsi que la date du déclenchement de la guerre, qui existent au même endroit et qui sont révélées de manière anticipée.
Personne ne peut encore comprendre la façon dont le code a été créé. Tous les scientifiques qui ont constaté la réalité du code biblique s’accordent à dire que même les ordinateurs les plus rapides dont on dispose à présent, et d’ailleurs même si tous les ordinateurs sur terre travaillaient ensemble, ils ne pourraient pas coder la Bible telle qu’elle a été codée il y a 3000 ans. Rips a déclaré que ceci montre qu’ « il s’agit d’un esprit mystérieux qui dépasse de loin toute imagination. L’information inclue dans le code est peut-être infinie. »
Personne ne sait si chacun de nous, les êtres humains, avec tout notre passé et notre futur, nous ne figurons pas dans un code de niveau supérieur et encore inconnu de la Bible et si celle-ci n’est pas en effet un « livre de la vie ». Tous les grands dirigeants du monde pendant la Deuxième Guerre Mondiale – Roosevelt, Churchill, Staline, Hitler – sont mentionnés dans le code. « Amérique », « révolution » et l’année 1776 apparaissent ensemble, Napoléon est codé à côté de France, mais aussi Waterloo et Elbe. « Lorsque j’ai utilisé un ordinateur, je me suis rendu compte que j’ai gagné la cagnotte », raconte Rips. Il raconte qu’il a trouvé ainsi plus de mots codés que prévu par la statistique en vertu des « lois du hasard », et ceci a été le plus heureux moment de sa vie. Rips a élaboré par la suite un modèle mathématique complexe qui, lorsqu’il a été implémenté dans un programme d’ordinateur, a confirmé le fait que l’Ancien Testament est en effet codé. Rips s’est investi dans la voie vers la « victoire finale », qui devait être une méthode simple et élégante de prouver la réalité du codage de la Bible. Pour réussir, il a été aidé par le physicien israélien Doron Witzum, qui a complété le modèle mathématique. Sur la page d’ouverture du résumé de l’exposé de leur expérience initiale intitulée « Séquences de lettres se trouvant à des distances équidistantes dans la Genèse », il est mentionné : « L’analyse indique le fait que dans le texte de la “ Genèse ”, sont intercalées des informations gardée cachées sous forme de séquences de lettres se trouvant à des intervalles égales. Le résultat est significatif dans la proportion de 99,998% ».
Rips et ses collègues ont cherché les noms de 32 sages et érudits qui ont vécu dans des périodes différentes, de l’époque biblique aux temps modernes, pour déterminer si les noms et les dates du calendrier de leur naissance et de leur mort étaient codés dans le premier livre de la Bible. D’autre part, ils ont cherché les mêmes noms et dates dans la traduction hébraïque du roman « Guerre et Paix » de Léon Tolstoi, ainsi que dans deux autres textes originaux en hébreux. Dans la Bible, les noms et les dates étaient codés ensemble, alors que dans « Guerre et paix » et les autres deux textes, non. La probabilité que les informations codées apparaissent par des coïncidences accidentelles s’est prouvée être finalement de 1 à 10 millions. Dans le cadre de son expérience finale, Rips a pris les 32 noms et 64 dates et les a mêlé dans 10 millions de combinaisons différentes de sorte que 9.999.999 d’entre elles ne correspondent pas à la réalité et seulement une combinaison soit correcte. Ensuite il a effectué une vérification sur ordinateur pour voir laquelle des 10 millions de combinaisons offrait le meilleur résultat et il a constaté que les noms et les dates étaient correctes et apparaissaient ensemble seulement dans la Bible. « Aucune des combinaison aléatoires n’était correcte. » De telles expériences comme celle décrite plus haut ont été réalisées en utilisant d’autres œuvres littéraires comme « Crime et Châtiment », par Dostoïevski, un texte qui est composé de 304.805 lettres, étant donc comparable au fil de lettres de la Bible. Ici le nom Yitzhak Rabin n’apparaissait pas du tout, en aucune séquence d’intervalles. D’autres noms qui sont codés dans la Bible, comme Shakespeare ou Kennedy, apparaissaient ici aussi. Cependant, pendant que dans la Bible les mots qui apparaissaient après le nom Kennedy étaient « mourra », et la ville de Dallas était codée dans la même passage, dans le roman Crime et Châtiment il n’y avait aucune logique. De même, « Shakespeare » apparaissait une seule fois dans le roman de Dostoïevski, mais il n’était pas du tout associé aux noms de ses œuvres, comme dans la Bible.
Les tests réalisés pour vérifier s’il existe divers codages dans d’autres écrits aussi ont aidé Rips à soutenir sa théorie et conclure : « Bien sûr, si on trouve suffisamment d’exemples dans un autre livre, on pourrait trouver certains mots associés de façon logique ou apparaissant ensemble. Mais seulement dans la Bible apparaissent beaucoup d’informations qui sont associées constamment et de façon cohérente. Personne n’a découvert rien de comparable en aucun livre, en aucune traduction et en aucun autre texte hébraïque original, à l’exception de la Bible. »
Un cryptographe vétéran de la National Security Agency des Etats Unis, Harold Gans, était sûr qu’il pouvait démontrer la fausseté de la démonstration de Rips pour le code biblique. Gans a réalisé son programme d’ordinateur et a refait les recherches faites par Rips dans le code biblique, en liaison avec les 32 personnalités qui apparaissaient comme étant codées dans la Bible. A sa grande surprise, les informations existaient : les dates de naissance et de mort de ces personnalités étaient toutes codées dans la Bible en même temps que leurs noms. Gans avait du mal à le croire, mais il était encore convaincu qu’il n’existait aucun code dans la Bible.
Ainsi, il a décidé de trouver aussi d’autres informations en liaison avec les 32 personnalités qui apparaissaient codées dans la Bible dans l’espoir qu’il trouvera quelque chose qui prouve le faux de l’expérience de Rips, et même le charlatanisme du mathématicien israélien. Gans est parti de l’hypothèse que, s’il existe vraiment un code, alors il doit contenir des données exactes sur les localités de naissance des 32 personnes codées. Après environ 400 heures de recherches, Gans a vérifié la concordance entre les 32 noms et leurs localités d’origine. En plus, Gans a réalisé encore une recherche semblable pour 34 autres personnalités connues, pour vérifier la concordance nom – lieu de naissance, et le résultat a à chaque fois été précis. La conclusion naturelle de Gans a été que dans la Bible sont codées des informations sur le passé et le futur d’une façon énigmatique qui exclut, du point de vue mathématique, toute coïncidence, et ce genre d’informations ne se trouve en aucun autre texte. D’après Gans, les expériences qu’il a réalisées en liaison avec le code de la Bible l’ont transformé en peu de temps d’un athée acerbe en une personne profondément religieuse.
Rips et Wiztum ont envoyé leur article à l’une des plus importantes revues américaines de mathématiques, Statistical Science. Plusieurs mathématiciens qui travaillaient pour cette revue avaient vérifié la démonstration mathématique qui soutient l’existence du code. La théorie du code de la Bible a passé avec succès tous les tests, pour être enfin acceptée par la revue Statistical Science.
Nous vous présentons par la suite quelques exemples de personnalités de marque qui apparaissent codées dans la Bible, ainsi que les mentions sur celles-ci offertes par le code. Homère apparaît codé comme «poète grec »; Shakespeare apparaît codé comme étant « représenté sur scène », à côté de quelques-uns de ses œuvres codées : Hamlet et Macbeth. Beethoven et Bach aussi apparaissent codés dans la Bible, pour chacun apparaissant la mention « compositeur allemand ». Mozart apparaît lui aussi codé à côté des mots « compositeur » et « musique » et Rembrandt est codé comme « peintre hollandais ». Chaque progrès de la technologie moderne a aussi été enregistré dans le code biblique. Les frères Wright apparaissent codés à côté du mot « avion », Edison est codé ensemble avec « électricité » et « ampoule électrique » et Marconi est codé avec « radio ». Newton apparaît codé avec « gravitation ». Tout comme nous l’avons mentionné antérieurement, Newton avait l’intuition d’un code caché de la Bible qu’il n’a pas appris pourtant ; mais le code « connaissait » Newton, parce que dans le code biblique, à côté de l’expression « code biblique » apparaît aussi le nom de Newton. Einstein apparaît codé dans la Bible une seule fois. La phrase « a été prédit par une personne avec un esprit vif » apparaît au même endroit. Le mot « science », sur lequel se superpose l’expression « une nouvelle et excellente compréhension » croise le nom du savant. Et à même sur le mot « Einstein », le texte caché mentionné « il a renversé ainsi la réalité présente ». La théorie de la relativité, la principale découverte d’Einstein, est aussi codée dans la Bible. Dans la matrice où figure la seule mention de son nom, avec le nom d’Einstein et la théorie de la relativité, le code offre l’indice « ajoutez une cinquième partie », aspect essentiel suivi aussi par Einstein dans ses études sur « la cinquième force ».
En juillet 1994, le monde entier a assisté à la plus grande explosion observée dans notre système solaire. Une comète a soumis la planète Jupiter à un bombardement équivalent à plus d’un milliard de mégatonnes d’explosifs, générant des globes incandescents de la dimension de la Terre. La collision de la comète avec Jupiter est codée deux fois dans laBible, une fois dans la Genèse et une fois dans Isaïe. La comète « Shoemaker Levy » apparaît deux fois avec le nom complet – les noms des astronautes qui l’ont découvert en 1993, et l’impact avec Jupiter est codé presque comme une représentation graphique. Dans le code de la Bible, le nom de la comète et le nom de la planète Jupiter se croisent deux fois et la date de l’impact est mentionnée de manière anticipée – en juillet. Ainsi, l’événement que les astronomes ont été en mesure de prédire seulement deux mois avant qu’il ne se produise a été clairement prédit par le code de la Bible plus de 3000 ans avant.
Sur l’occupation du Tibet par les chinois, le code biblique dit « Et les a emprisonné », expression qui croise le monde « Tibet ».
La grande crise économique traversée par les Etats-Unis en 1929 est codée avec la chute du marché en bourse. « Collapse économique » et « crise » apparaissent ensemble dans la Bible à côté du mot « actions ». L’année du déclenchement de la crise, 1929 – c’est-à-dire en l’an 5690 dans le calendrier hébraïque – est codé dans le même passage. Un autre événement bouleversant qui s’est passé sur la scène politique des Etats-Unis, la chute de Richard Nixon, suite à l’affaire Watergate, est aussi codé dans la Bible. « Watergate » apparaît ensemble avec « Nixon » et l’année où celui-ci a été obligé de démissionner – 1974. Dans le passage où a été codé « Watergate », le texte codé de la Bible formule une question : « Qui est-il ? Le président, mais il a été chassé. »
De même, six mois avant les élections présidentielles des Etats-Unis, le code a dévoilé l’élection de Clinton. A côté de « Clinton » apparaissait son futur titre : « président ».
L’atterrissage du premier navire terrestre est aussi codé dans la Bible. « Humain sur la Lune » apparaît dans le code avec « navire spatial » et « Apollo 11 ». Même la date où Neil Armstrong a fait le premier par sur la Lune – 20 juillet 1969 – se retrouve dans la Bible. Les mots d’Armstrong : « Un petit pas pour l’homme, un saut immense pour l’humanité » trouvent aussi leurs écho dans le code biblique : dans le passage où est inscrite la date de l’atterrissage. La « Lune » est croisée par l’expression « Réalisé par l’humanité, réalisé par l’homme ».
Ce genre d’exemples pourrait continuer, mais tous ceux qui sont déjà offerts sont – c’est ce que nous considérons – suffisants pour démontrer la réalité du code. Il serait pourtant intéressant d’apprendre les résultats de certaines recherches dans le code de la Bible qui a eu pour but de trouver plusieurs informations sur la Roumanie. Ainsi ont été trouvées des informations impressionnantes sur notre pays, même si le programme de recherche n’a pas été très performant. Les textes bibliques que nous avons eus à disposition pour la recherche sont les suivants :
• le texte original en hébreux de la Genèse, tel qu’il apparaît dans la version la plus connue de la Bible – la Bible de Jérusalem ;
• une traduction en grec du Nouveau Testament, reconnue comme étant de grande valeur ;
• la plus ancienne et importante traduction en anglais du texte le Nouveau Testament, qui appartient à la version connue sous le nom King James Version, publiée en 1611.
Fragment de l’ouvrage « Quelques aspects tout à fait extraordinaires et profondément significatifs concernant l’impact et l’influence divine, bienfaisante, des prières collectives qui ont été réalisées (à partir de 2010) et continuent être réalisées périodiquement dans le cadre de notre école de yoga », par le professeur de yoga Nicolae Catrina, Roumanie
yogaesoteric
24 mai 2017
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