Le « zom » – la conscience de la forme
Une application pratique de la géométrie sacrée dans l’architecture
Les formes sont des véritables foyers d’énergie et dans cette perspective elles ont une grande puissance de transformation sur la conscience et sur le comportement humain. Nous sommes tous sensibles aux formes, que nous en soyons conscients ou non.
Les zoms sont des constructions basées sur les lois de la bio-dynamique de l’harmonie universelle, et ont été révélées à l’attention générale par le français Yann Lipnick, menuisier et chercheur dans le domaine de la géométrie sacrée. Ces formes génèrent des ondes tranquillisantes et favorisent l’ouverture spirituelle.
Depuis l’antiquité, les initiés ont expérimenté les applications symboliques de la géométrie sacrée. Ils ont eu l’intuition qu’ils disposaient d’une modalité puissante de s’accorder aux rythmes de l’univers visible et invisible.
A travers les époques, les différentes écoles de chercheurs et de constructeurs ont perpétué cette science des formes et des symboles, ainsi que la connaissance de la relation subtile qui existe entre les formes de la géométrie et les êtres vivants.
Si l’étude de la géométrie sacrée et son importance dans les phénomènes de la conscience est une étape fascinante, la mise en pratique de ses principes divins se révèle être d’une importance particulière. Il s’agit d’intégrer à présent cette connaissance dans des objets et des constructions accessibles à tout le monde, pour réponde à une nécessité croissante de spiritualité.
rombiZOnaédre + doM = ZOM
Nous vivons une époque de révélations où la fréquence de résonance de la Terre (la fréquence Schumann) est en continuelle croissance. Du à ce fait, nous assistons à la croissance de l’intérêt pour tout ce qui est en corrélation avec la géobiologie et spécialement avec la science millénaire chinoise Feng-Shui, destinée à nous harmoniser avec le monde subtil des énergies.
Parmi les nombreux facteurs d’harmonisation on compte les formes spéciales qui sont en relation avec les mouvements et les rythmes de la nature. Les zoms appartiennent à une famille de formes géométriques qui caractérisent le monde vivant. Ce sont des volumes géométriques composés de losanges (voir explication plus loin dans le texte) unis selon une double spirale, fait qui génère la résonance avec le monde vivant. Nous pouvons les dénommés des “formes bio-dynamiques” parce qu’ils reflètent les forces de la vie en action, antagonistes et complémentaires, se trouvant à l’origine de l’équilibre vital.
Ces formes, très peu connues au début du XX-e siècle, ont été décrites mathématiquement par l’ingénieur américain Steve Baer, pendant la 6-e décennie du siècle passé. Il les a ainsi dénommé en prenant la syllabe ZO de losangeonaédre (le nom géométrique de cette forme) et la terminaison M de du mot dom. En 1975, les zoms sont apparus en France grâce au professeur et architecte Jean Sourn, qui les a utilisés pour créer de nouveaux prototypes d’habitat.
Le zom modifie l’ambiance énergétique de l’endroit
En 1987 Yann Lipnick redécouvre ces structures, il a l’intuition de leur importance dans l’harmonisation du monde de ce qui est vivant et dans la transformation de la conscience humaine et commence à construire des prototypes expérimentaux, étant convaincu que les zoms ont le pouvoir de manifester les forces de la vie avec une grande intensité. Il a utilisé toutes les données des anciens constructeurs (le nombre d’or, le symbolisme, etc.) dans une recherche artistique et spirituelle, pour comprendre ces formes d’une manière nouvelle, au-delà des normes de l’architecture. Ensuite il a construit des prototypes en bois où apparaissait clairement la modification du champ énergétique local, ressentie comme une concentration et une amplification des forces de la vie, une énergie très proche de celle que nous pouvons ressentir auprès de certains endroits sacrés.
Durant un voyage à Québec, Lipnick a eu l’idée de construire un petit zom en verre (avec un diamètre de 50 cm). Et la surprise a été que celui-ci irradiait une énergie sur un rayon de quelques mètres. En rentrant en France, Lipnick a commencé à fabriquer à grande échelle des zoms en verre en miniature. Progressivement, témoigne-t-il, il a découvert leurs propriétés d’une profondeur insondable, qui lui ont révélé un univers symbolique et pluridimensionnel.
La double spirale de la vie
Nous pourrons comparer le principe actif du zom à celui d’un temple ou d’une église. Dans tous les édifices sacrés, le principe est le même: les courants telluriques sont réunis grâce aux diverses cryptes, fondements et bases de colonnes, et les énergies célestes (cosmiques) sont captées par les différents sommets, clochers ou tours. La rencontre de ces deux courants a lieu à l’intérieur de l’édifice au niveau des chapiteaux et des voûtes unis en conformité avec les proportions harmoniques. La forme et l’emplacement de l’édifice sur un endroit de résurgence magnétique terrestre sont aussi un vecteur d’amplification de cette rencontre des deux courants énergétiques.
Le zom reprend les mêmes principes de base: les bords pointus pour les énergies célestes, le fondement polygonal à plusieurs niveaux pour les courants telluriques. Entre ces deux éléments, une clef de voûte constitue l’union des losanges, dont l’unité dépend de plusieurs facteurs. Rappelons-nous que le losange est l’ensemble de deux triangles qui symbolisent les “contacts et les échanges entre ciel et terre”. Le premier et le plus important entre ces facteurs de l’unité est la double structure spiralée qui forme l’assemblage de ces losanges.
En effet, cette structure se retrouve dans tous les règnes (minéral, végétal, animal et humain). De l’électron aux molécules avec structure hélicoïdale (ADN, protéines), en passant par la disposition hélicoïdale des feuilles des plantes, nous arrivons, par des sauts successifs, aux nébuleuses spiralées. Les énergies de la spirale double participent à la structure des supports vibratoires du niveau microcosmique jusqu’au niveau macrocosmique. Il s’agit d’une forme provenant des archétypes du monde vivant, avec lequel le zom est en parfaite résonance. Archétype dont le symbolisme évoque l’évolution d’une forme, la spirale est en liaison avec le symbolisme de la fertilité et la dynamique de la vie.
La double spirale est le trajet de la ligne médiane Yin-Yang: cette figure représente le rythme alternatif du mouvement qui met en jeu des forces antagonistes et complémentaires. Le double enroulement des serpents autour du caducée, le double mouvement des nadis autour du canal médian central Sushumna exprime le même principe de la polarité et de l’équilibre entre deux courants cosmiques contraires.
Comme tout espace puissamment imprégné par la géométrie, les zoms sont des volumes à travers lesquels s’exprime le symbolisme des nombres et des figures. Mais ils ne se limitent pas à une forme unique et immuable. Le choix qui peut être fait en considérant plusieurs paramètres, ouvre des possibilités d’utilisation et permet la recherche de certains effets particuliers. Ce sont des formes centrées et le centre, symbole de l’UNIQUE, assure la liaison entre ses différentes parties et caractérise ces volumes comme des espaces ordonnés, intégrés et totaux. D’autant plus, l’utilisation du nombre d’or dans leur construction renforce la cohésion intrinsèque de la nature de cette forme.
Cette application de la connaissance des relations formelles et symboliques permet aux forces de la vie de se manifester avec une telle intensité que le zom en verre entre en résonance avec de multiples plans de la conscience. Cela se traduit par une élévation du niveau de vibration à l’intérieur et à l’extérieur du zom, fait constaté par toutes les personnes sensibles aux énergies subtiles et qui peuvent mesurer cela.
Nous précisons que le niveau de vibration peut être mesuré à l’aide d’un biomètre conçu par Bovis et Simonton, un physicien et ingénieur. Il s’agit d’un lignomètre sur lequel un indicateur montre un nombre associé à l’intensité vibratoire de l’endroit. Un endroit neutre – sans perturbation ou apport énergétique – vibre autour la valeur de 6 500 unités. Ce nombre peut tendre vers zéro dans les endroits puissamment perturbés énergétiquement et peut dépasser 18 000 unités dans les endroits sacrés.
Les effets de la résonance
Les données les plus récentes de la physique et de la biologie moléculaire confirment et expliquent ce que la tradition ésotérique affirme depuis temps anciens: l’influence des formes sur le milieu ambiant.
Tel que Etienne Guillé l’affirme dans son livre “L’Alchimie de la vie” (Editions du Rocher): “L’énergie vibratoire des formes naturelles ou artificielles, avec les directions, les fréquences et ses amplitudes est transmises par résonance aux objets et aux structures vivantes qui pénètrent dans leur champ de forme. Ces formes spécifiques peuvent être rencontrées tant dans le cas des phénomènes naturels (galaxies, tornades, cristaux) que dans le cas de ceux générés par les gens (spirales, pyramides, doms) ”.
Il paraît que le siège de ces phénomènes de résonance est l’ADN, grâce à sa qualité de pouvoir échanger de l’information à distance, et à sa perméabilité aux variations du milieu extérieur. Les recherches de Joël Sternheimer (publiées dans la revue Science Frontière N°7) sur les connexions invisibles qui dirigent la matière démontrent l’interaction des fréquences extérieures avec l’ADN et la synthèse des protéines.
Autrement dit, les fréquences qui font en sorte que le milieu environnant vibre agissent sur notre évolution et sur notre équilibre, à travers l’ADN.
Cette dynamique se retrouve dans les zoms et implique des phénomènes de résonance capables d’améliorer la qualité des vibrations du milieu. Ces champs de forme facilitent la connexion avec notre nature profonde et accélèrent les processus évolutifs.
Les zoms ont la propriété de mettre en résonance harmonique le milieu environnant. Ils agissent sur le milieu et interfèrent avec notre état vibratoire. Il serait difficile de classifier ou de quantifier les effets qui apparaissent sur des multiples plans; pourtant, les expériences effectuées ont conduit à leur utilisation de diverses manières, spécialement dans le but d’harmoniser un endroit ou des êtres qui s’y trouvent, par l’élévation du niveau de vibration.
Le témoignage d’un physicien
Depuis plus de 14 ans, Yann Lipnick étudie, construit et expérimente des zoms dans divers domaines. Il a rencontré de nombreux chercheurs capables de comprendre et de confirmer la réalité de ces phénomènes.
La plupart des témoignages mettent en évidence le sentiment d’unité ressenti en présence de ces formes, unité simultanément intérieure et extérieure, avec les forces de la nature.
Le physicien Pierre Piccaluga confirme ce processus: “Nous devons comprendre que la verticalité nous conduit à la transformation et l’horizontalité à l’amplification. J’explique cela ainsi: la verticalité génère la résonance sur les différents niveaux de la réalité, nous projetant dans la réalité des mondes multidimensionnels.
A ce moment nous vivons une élévation de la fréquence vibratoire et nous entrons en résonance avec la fréquence du zom. Il s’agit purement et simplement de nous relaxer.
L’horizontalité est plutôt liée à l’amplification des aspects qui nous empêchent de nous relaxer. Le zom a le rôle de révélateur de ce que nous sommes et peut nous aider à devenir conscients des limites que nous avons.
La double spirale qui caractérise le zom est la combinaison entre horizontalité et verticalité. Elle nous aide à atteindre le niveau de relaxation qui nous permet d’accéder à l’unité.
C’est la manière d’intégration de la conscience individuelle dans la conscience divine. La conscience de l’unité peut apparaître au moment où nous ne nous basons plus seulement sur la logique discursive.
En conclusion, nous pourrons dire que le zom représente une unité où la conscience s’intègre parfaitement, en transcendant le mental”.
Différents types de zoms
Ces 14 ans de recherche ont permis à Yann Lipnick de mettre au point plusieurs méthodes de zoms.
Les zoms en bois (avec une surface de 10 jusqu’à 100 m²) sont souvent utilisés pour compléter l’habitat principal. Ce sont des espaces privilégiés que vous pouvez placer dans le jardin de toute maison ou sur tout terrain dont vous disposez, pour avoir ainsi un endroit avec une haute qualité vibratoire, en endroit pour une régénération intérieure et la méditation. Leur capacité de faciliter le centrage en soi a fait ainsi qu’ils soient utilisé comme dojo, salle de yoga, cabinet de thérapies naturistes, etc.
La luminosité des zoms est propice à leur utilisation en tant qu’ateliers de création et les qualités acoustiques les rendent propices pour le travail en groupe, pour chanter et pour l’utilisation des instruments harmoniques.
Des tentes de toile en forme de zoms, placées sur un squelette métallique (avec une surface jusqu’à 30 m² au sol) ont été construites. Celles-ci peuvent être rapidement montées et génèrent un niveau vibratoire perceptible par la plupart de nous.
D’autres zoms sont réalisés en bois, selon la technique du vitrail, et mesurent jusqu’à 1 m de diamètre. Ils peuvent être placés dans la maison ou dans le jardin et ont plusieurs fonctions, comme la dynamisation et l’harmonisation de l’espace où nous vivons (Feng Shui).
Alliance subtile entre le cristal de roche et la géométrie sacrée, lez zoms en quartz (transparent, rose, améthyste) ont les dimensions d’un bibelot et pèsent seulement quelques dizaines de grammes. Véritables bijoux vibratoires, ils deviennent des amis précieux qui peuvent nous accompagner durant les voyages.
Au-delà des nombreuses utilisations qui ont fait l’objet des recherches de Yann Lipnick, les zoms sont des formes d’une beauté fascinante d’où émanent la profondeur et le mystère d’un autre monde. Leur conception inspirée des relations symboliques leur confère le statut mandalas tridimensionnels, qui constituent un support pour la réflexion spirituelle. Particulièrement agréables à regarder, pareils à des sculptures en verre qui montent vers le ciel, ils nous invitent à l’élévation de la pensée et nous approfondissent dans un sentiment de l’harmonie universelle.
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