L’eau, la vie, l’électricité et l’Univers — La similarité entre une mitochondrie et une étoile (2)
par Jack Kruse
Lisez la première partie de cet article
Mon hypothèse sur la similarité entre une mitochondrie et une étoile
Les étoiles sont des masses électriquement chargées qui se forment dans les plasmas galactiques. Elles ne sont pas chauffées par une fusion nucléaire située à l’intérieur de leur noyau, mais plutôt par un flux de plasma, comme le fait une lumière fluorescente. Ces lumières, comme le Soleil, sont alimentées par un rayon cathodique géant. Dans le Soleil, la fréquence de la lumière varie beaucoup, mais dans nos mitochondries, j’ai l’impression que la charge électrique est liée à la puissance enfouie dans les fréquences de la partie visible la plus puissante du spectre UV — 260-400 nm. Toutes les fréquences sont en fait une seule et même chose dans différents états de mouvement. Cela signifie également que la couleur/la fréquence varie selon l’échelle et le mouvement. Cette variance par mouvement est importante dans les plasmas car ils se déplacent plus rapidement que les autres états de la matière.
Les plasmas sont des groupes d’atomes dont les électrons ont été arrachés. Le plasma a été nommé le « quatrième état » de la matière, après les solides, les liquides et les gaz. Aujourd’hui, la physique a trouvé un 4e état de l’eau.
Note du traducteur : hors les trois états déjà connus de l’eau, à savoir solide, liquide et gaz, un étrange 4e état apparaît lorsque le liquide qui donne la vie est soumis à une pression extrême dans de petits espaces ; il peut présenter un étrange quatrième état connu sous le nom de « tunneling » — tunnel. L’eau en question a été trouvée au sein de très petits tunnels à six côtés dans le béryl minéral, qui constitue la base des gemmes aigue-marine et émeraude. L’article (en anglais) utilisé par l’auteur se trouve ici, et l’étude a été publiée dans le Physical Review Letters le 22 avril 2016.
D’après la revue Physics, « Le tunneling est la superpuissance quantique qui permet aux particules de franchir des barrières microscopiques en une seule fois. Une étude de l’eau piégée dans un cristal semblable à l’émeraude révèle un effet de tunnel des molécules d’eau selon de multiples orientations, de sorte que chaque molécule se trouve essentiellement dans six configurations à la fois. Les chercheurs ont montré, par des expériences de diffusion de neutrons, que la formation de tunnels entraîne la répartition des atomes d’hydrogène de l’eau en anneaux. Cette nouvelle forme d’eau est une structure plus symétrique qui devrait avoir un moment dipolaire électrique nul — la propriété qui permet normalement à l’eau de former des liaisons hydrogène et de bien se comporter en tant que solvant. »
Ce sont clairement d’autres états ou plasmas. Je pense que la « zone d’exclusion » et le « H+ » situés à l’intérieur de la matrice des mitochondries sont d’autres types de plasmides qui ont des capacités spécifiques. Dans ses expériences, Pollack a fait valoir que la « zone d’exclusion » est impliquée avec la lumière dans une réaction plasmoïde. Des chimistes et des physiciens ont déjà prouvé que le H+, qui agit comme un métal, est une autre forme de plasmide. Je considère tous les plasmas comme des points quantiques potentiels. Cela signifie qu’on peut leur ajouter de l’énergie et des informations pour les rendre programmables d’une manière ou d’une autre. Ce qui les rend uniques, c’est l’environnement dans lequel ils sont créés.
Note du traducteur : lorsque la concentration d’un composé chimique ou d’un ion est différente d’un côté à l’autre d’une membrane, cela crée un gradient de concentration. Le gradient de concentration est indispensable à la cellule. La cellule utilise beaucoup d’énergie afin de maintenir ce gradient de concentration et ne parvient jamais à atteindre l’équilibre. C’est le passage des ions H+ dans les mitochondries qui va permettre la synthèse d’ATP.
Voici le schéma schéma suivant au sein d’une mitochondrie :
Chaîne de transport des électrons mitochondriale
Schéma de principe de la phosphorylation oxydative dans une mitochondrie illustrant les complexes I, II, III et IV ainsi que le cytochrome c.
• Dans ce processus, la chaîne respiratoire est une chaîne de transport d’électrons qui assure l’oxydation des coenzymes réduites, telles que le NADH, issues du catabolisme, par exemple du cycle de Krebs.
• Cette oxydation fournit l’énergie nécessaire au pompage de protons hors de la matrice mitochondriale vers l’espace intermembranaire mitochondrial, ce qui génère un gradient de concentration de protons et un gradient électrochimique à travers la membrane mitochondriale interne.
• Le reflux des protons vers la matrice à travers la membrane interne fournit l’énergie chimiosmotique nécessaire aux ATP synthases pour phosphoryler l’ADP en ATP.
La phosphorylation oxydative, constitue la 5e étape principale parmi les nombreuses très compliquées dans la fabrication de l’ATP dans la mitochondrie :
« […] L’énergie produite par les mitochondries est stockée dans une ” pile ” chimique, une molécule unique nommée adénosine triphosphate (ATP). Quand les électrons descendent la chaîne de transport des électrons, ils provoquent des fluctuations électriques — ou gradients chimiques — entre la membrane intérieure et extérieure de la mitochondrie. Ces gradients chimiques sont les forces motrices qui produisent l’ATP dans ce qu’on appelle la phosphorylation oxydative. Puis, l’ATP est transportée en-dehors de la mitochondrie pour que les cellules puissent l’utiliser dans n’importe quelle réaction chimique, qui se comptent par milliers. » ~ Gabriela Segura, M.D., le dysfonctionnement mitochondrial dans « Une présentation du régime cétogène »
La « zone d’exclusion » est une couche d’eau dans laquelle les micro-sphères de plastique sont repoussées des surfaces hydrophiles. Son existence a été au départ théorisée par Pollack, mais a maintenant été démontrée indépendamment par plusieurs équipes de chercheurs. Une meilleure compréhension des mécanismes qui génèrent les « zones d’exclusion » aiderait à comprendre leur importance possible en biologie et dans les applications d’ingénierie telles que la filtration et la micro-fluidique.
La majeure partie de la matière dans l’Univers se présente sous forme de plasma. Un plasma se forme lorsque, dans un gaz, certains des électrons chargés négativement sont séparés de leurs atomes hôtes, laissant les atomes avec une charge positive. « H+ » est un atome d’hydrogène dépourvu de son électron au sein de la matrice. Les électrons chargés négativement et les atomes chargés positivement — appelés ions positifs — sont alors libres de se déplacer séparément sous l’influence d’une tension appliquée ou d’un champ magnétique. Leur mouvement net constitue un courant électrique. Courant et flux sont synonymes en raison de leur lien avec la loi de Coulomb. Elle peut s’énoncer ainsi : plasma en mouvement = courant électrique. Ainsi, l’une des propriétés les plus importantes d’un plasma est sa capacité à conduire le courant électrique. Tout ce qui génère un courant électrique doit également générer un champ magnétique. Le plasma le fait en formant des filaments de courant qui suivent les lignes du champ magnétique. Les motifs filamentaires sont omniprésents dans le cosmos ET à l’intérieur de nos cellules. Les motifs filamenteux se trouvent dans les acides nucléiques et le collagène et ces filaments sont liés aux distances entre les mitochondries à l’intérieur des cellules, comme je l’ai décrit en détail dans la cinquième partie d’Ubiquitination.
Notre Soleil est enveloppé dans un flux de plasma qui circule en reliant les étoiles, les planètes, les systèmes solaires et les galaxies. La biologie pourrait-elle bientôt découvrir qu’il en est de même au sein de la biologie humaine ? Je pense que oui. L’ont-ils déjà fait ? En fait, oui. Que vous ai-je dit sur la charge électrique dans les mitochondries il y a 5 ans, lors de ma série d’articles sur les mitochondries ? Dans l’un d’entre eux, appelé « La force qui anime la vie et la mort », j’expliquais qu’une mitochondrie a une puissance de 30 millions de volts. 30 millions de volts, c’est la puissance d’un éclair. La foudre est une forme de plasma. 30 millions de volts, c’est à peu près la puissance à l’intérieur d’une étoile. Intéressante coïncidence ou conception fractale naturelle à l’œuvre ?
Note du traducteur : Voici le passage dont il est question dans le paragraphe précédent :
« Les bactéries produisent de l’énergie à travers leurs membranes extérieures. Leurs productions d’énergie est donc limitée par la géométrie. Leur production d’énergie diminue en raison de la baisse du rapport surface/volume. Les cellules animales, en ayant ” absorbé ” la centrale électrique, ont maintenant compris comment internaliser la production d’énergie et étendre la surface des membranes internes avec un pliage massif comme nous le voyons à la surface du cerveau. On pense que ces changements évolutifs ne se sont produits qu’une seule fois dans l’histoire de notre planète. L’endosymbiose est rare chez les bactéries. Peter Mitchell a d’abord été ridiculisé pour ses théories sur la bioénergie des mitochondries. Il a montré l’efficacité de cette manœuvre évolutionniste. Il a montré que ce changement provoquait un gradient de pH ainsi qu’une charge électrique d’environ 150 millivolts à travers la membrane interne. Cela peut sembler être une petite quantité de charge électrique, mais tenez compte de ce fait : la membrane interne n’a que 4 à 5 nanomètres d’épaisseur, ce qui fait que la tension à travers cette membrane est d’environ 30 millions de volts par mètre ! À titre de comparaison, cela équivaut à l’énergie d’un éclair. Cet éclair qui se produit dans une mitochondrie a la puissance nécessaire pour produire l’énergie de 1 500 maisons de 280 mètres carrés. Chaque cellule contient des centaines, voire des milliers de ces maisons électriques. C’est la surtension qui a alimenté l’évolution et les formes de vie complexes. » ~ Jack Kruse, « La force qui anime la vie et de la mort »
Dans cet article, Jack Kruse rappelle que les mitochondries sont les parties de nos cellules qui produisent de l’énergie et examine comment les centrales électriques de notre corps produisent cette énergie et pourquoi elle est essentielle pour nous en terme de santé et de maladie.
Peter Mitchell a reçu le prix Nobel de chimie de 1978 pour sa contribution à la compréhension du transfert d’énergie biologique par la formulation de la théorie chimiosmotique. Il est un des rares scientifiques à avoir crée son laboratoire sur ses propres fonds. La théorie qu’il y développa rencontra d’abord le scepticisme général mais, en moins de dix ans et grâce aux arguments théoriques et expérimentaux apportés par l’auteur, la théorie a réussi à convaincre toute la communauté scientifique. Elle postule que l’« intermédiaire de haute énergie dans les processus cellulaires de transduction énergétique — respiration cellulaire et photosynthèse — est un gradient de concentration de protons établi à travers la membrane interne de l’organite concerné, mitochondrie ou chloroplaste, ou à travers la membrane plasmique chez les bactéries. »
Les microstructures océaniques ressemblent beaucoup au plasma. Nous considérons l’océan comme un fluide, mais un fluide n’est pas un plasma. L’océan est-il donc un plasma de surface au service de notre écosystème cellulaire ? Je pense que oui.
Où circule le plasma dans nos cellules alors ???? Considérez la « mer au sein de vos cellules ». Cette mer est structurée, d’abord par les électrons ajoutés au système de tenségrité, puis par les protéines et les lipides de nos cellules. Cette mer d’eau structurée — « zone d’exclusion » — s’agrandit ensuite lorsqu’elle est frappée par la lumière infrarouge ou la chaleur. La batterie enfouie dans cette mer devient plus forte et plus grande lorsqu’elle est encore plus exposée par la lumière UV qui se manifeste plus tard dans la journée, après le lever du Soleil. Cette mer est une eau cellulaire qui forme une « zone d’exclusion ». Avec cette nouvelle perspective, qu’est donc — de façon intrinsèque — cette eau à l’intérieur de nos cellules ?
Selon un article du magazine New Scientist, publié en novembre 2000, Farooq Azam, un océanographe microbien de la Scripps Institution of Oceanography à La Jolla, en Californie, a déclaré :
« Cette structure de gel (dans les mers) est une chose que l’océanographie n’a en général pas pris en compte. Elle ne figure ni dans les manuels ni dans les explications classiques. L’existence de ce gel change fondamentalement notre conception du microcosme dans lequel vivent les organismes marins. »
Note du traducteur : Il ne s’agit pas d’une gelée très épaisse, et certainement pas assez pour qu’on la remarque quand on nage dedans. Mais pour les plus petites créatures du monde marin — le minuscule plancton et les microbes qui constituent la majeure partie de ses habitants — l’eau n’est pas un fluide uniforme, mais un enchevêtrement de chaînes de molécules de sucre qui emprisonnent l’eau dans leur maillage pour former un gel. Alice Alldredge, océanographe biologique à l’Institut de recherche sur les océans de l’Université de Californie, à Santa Barbara explique que « À cette échelle minuscule, l’océan devient une sorte de toile d’araignée. Il est rempli de microscopiques brins et particules de gel. »
On sait depuis longtemps qu’à la plus petite échelle, l’eau de mer est un maillage de molécules de polysaccharides à longue chaîne interconnectées qui peuvent maintenir les plus petites molécules, et même les organismes, dans une sorte de suspension ; ces polysaccharides sont hydrophiles et chargés d’électrons. Les travaux de Pollack nous ont montré que ce type de protéine est capable de former une « zone d’exclusion » pour charger l’eau séparée en une charge positive et négative. Cette suspension de molécules hydrophiles ressemble beaucoup à un gel, ce qui limite leurs mouvements et les aligne en réseaux complexes. Les recherches du Scripps Institute ont montré que ces molécules fournissent une structure qui fait de l’eau de mer une matrice de régions isolées à l’échelle du millilitre. Les bactéries et le plancton utilisent cette structure comme des écologies uniques, de la même manière qu’une forêt fournit des niches pour différents types de vie.
La plupart des sucres sont des molécules polaires, c’est-à-dire qu’ils sont également chargés électriquement. Le squelette de l’ADN est constituée de sucres. Cette symétrie est intéressante, compte tenu de ce que j’ai dit plus haut sur la façon dont les choses sont organisées dans la Nature. Dans la mer, les liaisons de valence entre les atomes d’oxygène et d’hydrogène donnent à l’oxygène une charge légèrement négative et à l’hydrogène une charge légèrement positive. À leur tour, les molécules d’eau polarisées attirent les zones négatives et positives sur les sucres, ce qui les fait se dissoudre dans l’eau, là où les molécules non polaires ne le feront pas. Considérez l’huile, par exemple, comme dans une vinaigrette, pour prendre un exemple des plus courant.
Note du traducteur : Une molécule d’ADN se compose de deux polynucléotides, i.e. deux polymères constitués de nucléotides, qui s’enroulent l’un autour de l’autre pour former une double hélice. Chaque nucléotide est composé d’une base azotée reliée à un sucre (un pentose, le 2-désoxyribose), lui-même relié à un groupement phosphate. Le « squelette » de chaque brin est une succession de sucres alternant avec des phosphates. Les bases azotées sont projetées à l’intérieur, mais restent accessibles par les petits et grands sillons de la double hélice. Notons par ailleurs que ce sucre qui compose l’ADN pourrait, selon un article de fin 2018 publié dans le Pnas, être « fabriqué » dans l’espace, ribose et désoxyribose ayant été découverts dans des météorites, « qui contiennent également un certain nombre de composés organiques, y compris des composants de protéines et d’acides nucléiques. Les sucres sont des molécules essentielles pour l’ensemble du biote terrestre, qui interviennent dans de nombreux processus biologiques. Le ribose est particulièrement essentiel en tant qu’élément constitutif de l’ARN, qui pourrait avoir à la fois stocké des informations et catalysé des réactions dans la vie primitive sur Terre. Les météorites contiennent un certain nombre de composés organiques, dont les principaux éléments constitutifs de la vie, c’est-à-dire les acides aminés, les nucléobases et le phosphate. »
Ceci constitue un argument supplémentaire en faveur de la panspermie, et selon le CNRS, en faveur de la théorie « des comètes comme source de molécules organiques qui ont rendu la vie possible sur Terre… et peut-être ailleurs dans l’Univers ».
Comme l’indique l’article du New Scientist, certains phénomènes courants constituent des manifestations de cette substance gélatineuse de l’océan. Le nord de la mer Adriatique se transforme en gelée tous les deux ou trois ans lors de la prolifération des algues. Cependant, les forces microscopiques impliquées dans ce phénomène ne sont pas facilement comprises, tout comme la façon dont la gelée se forme, en général. Gerald Pollack a écrit un autre livre sur les gels et leur création, et sans surprise pour mes lecteurs, cette capacité est liée à la création d’une « zone d’exclusion » dans l’eau. Ce qui relie la floraison des algues à la lumière du Soleil. Cette « zone d’exclusion » n’a besoin que d’une substance hydrophile adjacente pour créer grâce à la lumière solaire une séparation de charge dans l’eau. Une fois cette séparation effectuée, la lumière peut être capturée dans l’eau et la « zone d’exclusion » se développe massivement. C’est de cette manière qu’un plasma est créé dans l’eau en se formant initialement à partir de la lumière.
Un millilitre d’eau de mer contient un nombre colossal de molécules de polysaccharides qui, si « …démêlées et alignées bout à bout, s’étendraient sur 5.600 kilomètres ». Un litre d’eau de mer contient également 10.000.000 de virus, chargés d’ADN et d’ARN. Il existe aussi des chaînes d’ADN, des protéines et d’autres substances organiques qui fournissent un environnement riche en nutriments pour les organismes vivant dans l’océan. Repensez maintenant à ce que j’ai développé dans cet article. La lumière UV et l’eau de mer produisent plus de particules virales dans l’océan qu’il n’y a d’étoiles dans l’Univers connu. Ce qui à un moment donné aurait créé un grand nombre de particules virales et de bactéries dans un gel d’eau de mer. Serait-ce là les conditions requises pour qu’une endosymbiose se produise ?
Note du traducteur : Acceptez le paradoxe selon lequel ce qui à première vue ressemble à une maladie… à savoir une infection virale, pourrait aussi être une méthode de communication essentielle. Selon Jack Kruse, il s’agit de la version humaine d’UPS ou du service postal des gènes. Voir aussi notre Focus « Les preuves irréfutables de l’origine humaine du Sras-Cov-2 » et particulièrement la partie La véritable nature des virus dont voici un court extrait :
« Pour établir une analogie, les virus qui infusent de nouvelles informations dans notre code génétique s’apparentent à une mise à jour de logiciel. De ce point de vue, les maladies causées par des virus exogènes sont la manifestation physique des luttes du porteur pour s’adapter à cette ” mise à jour “. Dans de rares cas, la mort s’ensuit — l’ordinateur est trop vieux, n’est pas prêt pour le changement, ou est incapable de phagocyter la mise à jour. Mais comme le dit le proverbe chinois, ” un arbre qui tombe fait plus de bruit qu’une forêt qui pousse “. Dans la plupart des cas, la mise à jour est réussie et totalement asymptomatique. […] les virus semblent plus fondamentaux que la vie elle-même ; ils sont les supports d’information — codes génétiques — dont découle la vie biologique. Les virus sont plus que la vie : ils sont la source même de la vie ; ils sont les précurseurs de l’information, les initiateurs des formes de vie. ».
Il semble donc que la lumière et l’eau seules peuvent créer de la matière à partir d’autres formes de matière. Mais cela ne répond pas à la question de savoir comment se forme cette fameuse « toile de gel ». Les travaux de Pollack ont ces réponses. On pense que le gel existe parce que les excrétions de sucre des bactéries et des algues se combinent en une soupe collante, mais cette explication laisse encore de nombreuses autres questions sans réponses.
Dans l’eau de mer, les polysaccharides chargés négativement sont très probablement en interaction avec les ions chargés positivement comme le calcium, le magnésium et le sodium. Cette électrochimie aligne les « particules d’exopolymère » en une « colle biologique », liant les bactéries, les protéines et les feuilles de phytoplancton aux brins de gel qui donnent à l’eau de mer sa microstructure. Cette disposition est susceptible d’entraîner des défauts à la surface du gel dont la vie pourrait tirer parti. Comment ? La physique a déjà montré par expérience que les défauts de surface peuvent donner naissance à des isolants topologiques. Les défauts topologiques peuvent alors, à leur tour, conduire à la création de monopoles magnétiques. Des expériences de physique ont également montré l’existence de monopoles artificiels. Les monopoles magnétiques peuvent « créer du temps » en contrôlant les flux d’énergie dans un réseau atomique par le biais d’un stockage ; en tant que tels, ils peuvent, au sein d’un réseau, permettre de constituer d’énormes réserves de mémoire.
Les bactéries et les molécules de protéines sont également des entités électriques. Certaines bactéries peuvent vivre à partir d’électrons, seuls, synthétisant tout ce dont elles ont besoin à partir du flux de charge. Elles n’ont même pas besoin d’un accepteur d’électrons terminal pour faire fonctionner la respiration. Les bactéries peuvent également manger du fer, et faire fonctionner leurs flagelles avec des moteurs électriques. Les ions métalliques ou les électrons libres peuvent agir pour les êtres vivants comme des points quantiques. La lumière et les métaux peuvent interagir de manière photoélectrique. Cela signifie que presque tous les atomes peuvent être considérés comme des points quantiques. Dans un point quantique, il y a à la fois des particules chargées négativement et des particules chargées positivement auxquelles il manque des électrons. L’attraction entre l’électron et le trou crée un état quantique avec une très forte interaction lumière-matière et une libération rapide de la lumière. Les collisions avec la lumière semblent programmer ces points en altérant les électrons des atomes d’une manière inédite. J’ai mentionné ces « points » dans mon article « Comment est construit le temps ». Associer ces idées aux recherches menées par Gerald Pollack, Nick Lane, Martin Chaplin, Mae Wan Ho relatives aux « zones d’exclusion » dans l’eau pourrait apporter des réponses aux questions relatives à l’eau, à l’électricité et à l’environnement qui soutient la vie. L’organisation de l’eau légère et du magnétisme est une question fondamentale pour nous tous. Lorsque nous essayons de trouver une chose en tant que telle, elle s’avère connectée à tout ce qui existe dans l’Univers.
« L’eau est le moyen par lequel nous déchiffrons les signaux environnementaux. L’eau n’est pas un fluide homogène, c’est un plasma ionique qui imprime des informations et des énergies. »
Eh bien, nous devons de toutes les manières possibles participer à faire émerger la vérité. Nous devons éclairer ceux qui aspirent à sortir de leur béatitude ignorante.
Une fois sortis de la caverne, peu importe les efforts qu’ils déploient, ils ne peuvent plus y retourner ! La connaissance s’accroît de jour en jour, car chaque jour de nouvelles données nous montrent comment la Nature fonctionne réellement. Les quelques personnes qui contrôlent la situation, « pour ainsi dire », sont de plus en plus terrifiées par les vérités que la science nous dévoile !
Note du traducteur : De par son activité principal de neurochirurgien, Jack Kruse entre dans la tête et la colonne vertébrale de ses patients, et par le biais de sa seconde activité et de son blog jackkruse.com, il ouvre de nouveaux horizons aux cerveaux de ses lecteurs grâce à sa connaissance encyclopédique du fonctionnement du corps humain, des rythmes circadiens et de la biologie quantique.
yogaesoteric
5 octobre 2020