L’ère du Covid — Décryptage des techniques de manipulation mentale … (2)
… dignes des régimes totalitaires servies par une technologie diaboliquement efficace
par M.K. Scarlett
Lisez le première partie de cet l’article
Continuons maintenant avec les informations complémentaires annoncées dans la première partie de l’article. La culpabilisation, le conditionnement et le mensonge propres à l’ère covid atteignent des niveaux sans doute jamais atteints et participent d’un certain nombre de mécanismes, notamment celui utilisé par les médias.
La propagande et le langage dans les médias
Le langage pauvre, abêtissant et mensonger du journalisme moderne agit sur nous comme un vrai sortilège : sa force est celle d’une répétition hypnotique et assurée. Et l’on finit par croire que ce que nous entendons dépeint la réalité, que les opinions que nous émettons sont bien les nôtres.
En conclusion de son passionnant ouvrage, La langue des médias — Destruction du langage et fabrication du consentement, Ingrid Riocreux écrit ceci :
« La classe dominante considère qu’il est plus facile de garder sous contrôle une société d’idiots que de gouverner un peuple intelligent. Mauvais calcul. Car les masses abêties, illettrées et incultes ne restent pourtant pas amorphes. Quand on les a privées des lots et de la maîtrise du langage, il ne leur reste rien comme moyen d’expression — pire, comme mode de pensée — que la violence. L’erreur de nos oligarques réside dans le fait de croire qu’une société d’abrutis est un troupeau bêlant, docile et calme, alors que c’est une meute d’individus féroces, en guerre perpétuelle les uns contre les autres […] L’illettrisme entraîne la violence, et l’insécurité appelle la tyrannie. Le système qui, par son œuvre éducatrice (scolaire et médiatique), se targuait d’engendrer des personnes libres et responsables, pétries des idéaux les plus nobles, s’écroulera donc sous les coups de ce qu’il a lui-même produit, en réalité : un gibier de dictature. »
Agrégée de lettres et Maître de conférences à l’université, Ingrid Riocreux a jeté avec cet essai passionnant un pavé dans la mare médiatique. Selon elle, les médias décryptent, analysent et orientent l’actualité selon un canevas idéologique. Le propos d’Ingrid Riocreux est dense, corrosif et brillant. L’auteur nous explique plus en détails en quoi les enjeux manichéens voulus par une certaine partie de la presse ouvre un débat profond sur la démocratie et le libre arbitre. C’était déjà très vrai lors de la parution de son livre en 2016, ça l’est encore plus aujourd’hui, à l’ère du covid.
On pourra préciser que la classe dirigeante tire aussi profit de la violence, même si celle-ci est difficilement contrôlable : n’est-elle pas le prétexte parfait à une utilisation accrue de cette même violence, et cette fois-ci à l’égard de tous ? L’intelligence du peuple est bien plus dangereuse : elle seule permet de remettre en cause fondamentalement la légitimité du pouvoir acquis et exercé par une minorité, au détriment de la majorité.
Ingrid Riocreux évoque aussi la manière dont est présentée l’information ; toutes les médias mainstream utilisent le même discours dans un mimétisme devenu maladie infectieuse qui se révèle, à cause d’une information contaminée, un réel handicap pour l’ensemble de la société :
« De même que l’homme de la rue répète les commentaires du match comme s’ils émanaient de sa propre analyse, de même il répétera les formules creuses sur le vivre-ensemble, le danger de l’extrême-droite, l’islam-religion de paix, les bienfaits de l’Europe, etc. Il n’en sait rien, mais on le dit, donc il le dit. Et si c’était là le discours dominant dans les médias, il reprendrait avec tout autant de conviction des slogans sur le complot juif, le danger de l’islam, l’infériorité de la race noire, etc.
Sans plus de réflexion, au nom d’un plaisir au demeurant tout à fait compréhensible, celui que procure l’harmonie de l’uniformité. Délice de se fondre dans la perfection extatique d’un chœur à l’unisson, assorti de cette étrange certitude que la voix de la majorité est nécessairement celle de la raison […] Il faut ajouter ici que le mouvement actuel de discrédit des médias de masse ne change rien à l’affaire : par rejet de la parole journalistique, beaucoup se mettent à penser systématiquement le contraire de ce que dit le Journaliste, et cette pensée anti-médias est tout aussi homogène et irréfléchie que le pré-pensé médiatique. C’est encore un effet de l’uniformité du discours des journalistes. »
Edward Bernays et la propagande moderne
Puisque les médias s’expriment « dans la perfection extatique d’un chœur à l’unisson », il est légitime de s’interroger sur la provenance de cette « harmonie de l’uniformité » qui est la leur. Romaric Thomas écrivait dans un article que nous avons publié en 2014 ce qui suit :
« Edward Bernays reconnaissait la qualité de faiseur d’opinion à toute personne investie d’une autorité politique, économique ou sociale. Il lui paraissait évident que ” si l’on entreprenait de dresser la liste des hommes et des femmes qui, par leur position “, sont ce qu’il faut bien appeler des ‟ faiseurs d’opinion “, on se retrouverait vite devant la longue kyrielle des noms recensés dans le Who’s Who. ».
Mais il avait tendance à voir dans ces autorités officielles les relais, conscients ou non, d’« hommes de l’ombre » dont « le pouvoir est parfois flagrant […] Généralement, on ne réalise pas à quel point les déclarations et les actions de ceux qui occupent le devant de la scène leur sont dictées par d’habiles personnages agissant en coulisse. »
L’image est l’outil privilégié des médias parce qu’elle se passe de la médiation du cerveau pour opérer directement sur les tripes. Or l’image, destinée aux masses, peut être sujette à toutes les manipulations.
Au XXème siècle, « progrès » oblige, les techniques de désinformation se sont perfectionnées. Notons d’ailleurs qu’elles sont nées en démocratie avec le petit ouvrage d’Edward Bernays Propaganda et son sous-titre, Comment manipulerl’opinion en démocratie. La création par ce monsieur du « conseil en relation publique », en fait la langue de bois et sa fonction double :
1. Amplifier le pouvoir idéologique, et
2. Permettre de participer momentanément au pouvoir et montrer qu’on est digne d’y participer davantage.
Dans sa Petite histoire de la désinformation, Vladimir Volkoff précise ce qui suit :
« la langue de bois ne signifie rien. Pour ceux qui en comprennent le sens codé, elle signalise ; pour ceux qui essaient de la prendre à la lettre, elle mystifie. »
Durant le même siècle, la doctrine du RAP (Renseignement, Action, Protection) a été élaborée. L’idée — très orwellienne — est de pénétrer la pensée de l’adversaire, de réussir à penser à la place de l’opinion publique, notamment en provoquant une psychose et ainsi favorisant l’auto-désinformation. La puissance de ce procédé augmente d’autant plus qu’il se prolonge dans le temps. Une nouvelle réalité est construite par les ingénieurs sociaux et se pérennise.
D’après Volkoff, la puissance d’impact du sensationnel vient de son manichéisme et de l’ancrage dans l’inconscient du spectateur qu’elle entraîne, amplifiée par la répétition et la quasi-impossibilité à corriger une information fausse. Il suffit qu’à la source de l’information se trouve un groupe d’influence ayant intérêt à désinformer. Nous nageons dès lors en pleine ingénierie des perceptions :
« en psychocratie, la vérité ne compte pas, à la limite elle n’existe pas, n’existe que ce que l’on fait croire aux gens ou, mieux encore, ce qu’on leur fait croire qu’ils croient. »
Les techniques de manipulation détaillées dont il est question dans cet article sont d’ailleurs les mêmes que celles utilisées par une secte, voir notre infographie ci-dessous :
Steven Hassan, adapté par Helenofdestroy et traduit en français par Sott.net
Comment les sectes exercent leur influence – [Cliquer pour agrandir]
La désinformation s’inscrit cependant dans un registre plus large, la guerre de l’information. Cette guerre comprend trois aspects :
– Savoir soi-même ;
– Empêcher l’autre de savoir ;
– Lui faire tenir un savoir corrompu (désinformation et influence).
A l’heure d’Internet et de la cybernétique, Volkoff (dans son livre publié en 1999) juge le potentiel technique de désinformation — en particulier par l’image — illimité. Les deux cibles privilégiées sont les jeunes et les femmes. Les moyens techniques utilisés sont donc prioritairement les magazines, débats, interviews, spots. Comme modèle anthropologique, les maîtres désinformateurs cherchent aujourd’hui à imposer l’égalitarisme sous couvert de tolérance. Pour Volkoff, le droit-de-l’hommisme œuvre dans ce sens. Il repose sur deux notions abstraites :
1. Le droit, qui ne prend sens que dans une collectivité donnée, et
2. La notion d’homme, qui implique plus des devoirs que des droits.
En généralisant, le droit-de-l’hommisme dénature. Et pour rappel, la généralisation est un procédé de désinformation. Dès lors, que faire ? Volkoff incite à la cohésion de groupe et au tri méticuleux de l’information. Ce qui reste limité… Mais comme chez Laurent Mucchielli — sociologue français qui a orienté ses travaux vers la sociologie de la délinquance et des politiques de sécurité — la lecture de l’ouvrage de Volkoff, ancien agent de renseignement, donne les clés du décodage de diverses techniques de manipulation par exposé des mécanismes de la désinformation. Deux citations de Volkoff :
« Il faut garder bien présent à l’esprit que la désinformation ne s’adresse qu’en surface à l’intelligence du public qu’elle prétend induire en erreur ; en profondeur, elle s’adresse à sa sensibilité à tous les niveaux : au cœur, aux tripes, au bas-ventre, les passions étant toujours plus fortes en l’homme que les convictions. »
« Le cerveau se méfie par nature ; par nature, le cœur et les tripes s’émeuvent, et il est vrai que la charge émotionnelle d’une image, surtout en couleurs, surtout animée, est plus forte que l’expression verbale correspondante. […] l’image, davantage que le mot, s’adresse aux masses : elle est facile à percevoir, facile à reproduire, et elle devient aussitôt un sujet de conversation. L’article doit être lu, ce qui va prendre au moins quelques minutes ; l’affiche ou l’image télévisuelle sont instantanées ; l’article que vous lisez n’est donc pas tout à fait celui que je lis, tandis que la même image est imposée simultanément à des téléspectateurs innombrables et contribue immédiatement à leur massification, ce qui les prive aussitôt de leurs défenses naturelles contre l’illusion. »
Neuro-Esclaves et Conscience
Sur les explications relatives aux processus chimiques à l’œuvre dans le cerveau, le rôle du système limbique, des neurones-miroirs, etc. afin de décrypter comment la manipulation procède sur les opérateurs cognitifs des sujets, je renvoie aux très complètes explications des Italiens Marco Della Luna et Paolo Cioni dans leur livre passionnant Neuro-esclaves – Techniques et psychopathologies de la manipulation politique, économique et religieuse.
À propos de ce livre, quelques précisions concernant cerveau et manipulation :
« Les personnes qui développent et réussissent à maintenir l’efficacité des réseaux neuronaux d’auto-contrôle et d’auto-domination concentrée dans les lobes frontaux, sont moins vulnérables aux actions de conditionnement et de manipulation, parce que plus consciente et moins réactive, mieux stabilisée dans la lucidité. Les personnes moins développées dans ce sens sont par contre plus pénétrables car moins capable d’espacer les stimulations.
L’homme est d’une part le divisé semi-inconscient, la marionnette des circonstances et des suggestions que nous avons examinées dans le chapitre précédent, et d’autre part, il est capable de sortir de cette condition car il peut modifier, développer son cerveau et ses propres compétences. Une réalisation qui n’est possible qu’au prix d’application et d’efforts. Évidemment, l’homme est aussi susceptible de perdre ses facultés, de les atrophier, de rétrograder. Il peut aussi introduire cette potentialisation, cette dégradation, chez autrui. Une école qui n’oblige pas ses élèves aux efforts de l’attention, de la mémorisation, de l’autocontrôle, de la répétition, etc. n’est pas une bonne école, compréhensive, démocratique, qui intègre, mais plutôt une école qui atrophie le potentiel de l’être humain. »
Ainsi, avec un entraînement adéquat, il devient possible d’améliorer sa propre condition. Se rendre plus conscient, des mensonges, de la désinformation. Mais on aura aussi réalisé que la vigilance constante reste de mise, car la régression est possible, et même probable, si l’on ne reste pas « à l’affût », sachant que les manipulations, quelles qu’elles soient, mutent et deviennent toujours plus subtiles. Impossible de s’endormir, donc…
Les auteurs poursuivent un peu plus loin :
« Le propagandiste ne doit pas se limiter à modifier les croyances et les valeurs des personnes, il doit les inciter à participer irrationnellement à une action dont elles ne connaissaient ni le contrôle, ni les véritables objectifs, dans une atmosphère non pas de réalité mais d’adhésion à un mythe, une adhésion non pensante ou en tout cas non pensante de manière autonome. Dans la société moderne, celui qui agit n’est pas celui qui pense.
Selon Ellul, c’est l’action qui crée l’idéologie et non pas le contraire. Toute affirmation doit être péremptoire et simple. En particulier, l’enracinement du mythe et le déclenchement de réflexes conditionnés peuvent être accompagnés d’un travail de préparation psychologique sur les groupes activistes de la part du propagandiste afin que l’action de masse s’opère au moment venu. Par mythe, nous entendons une vision partagée, identifiante, exaltante et holistique (explicative du monde et de l’homme, et en même temps théologique) — comme il en a été des visions léninistes, maoïste, national-socialiste et fanatico-religieuse. Étant donné que l’homme est en réalité un « divisé », qu’il a une structure semi-assemblée, subsistante comme un ensemble de contradictions, de tels mythes peuvent être enracinés efficacement chez une personne, même en présence de valeurs contraires. »
Et l’on comprend que les comportements pathologiques puissent infecter, « s’attraper », se répandre comme un virus, alors même que l’on s’en croyait protégé.
On réalise aussi que notre passivité, « aussi bien informée qu’elle puisse être », ne nous protège pas des forces, très actives elles, qui n’œuvrent manifestement pas pour le bien de l’humanité ; on réalise que nous sommes également responsables des mensonges, de la force avec laquelle ils atteignent nos consciences et s’y répandent, à l’échelle individuelle, à l’échelle d’une nation, à l’échelle du monde entier.
Dans son livre L’histoire secrète du Monde, Laura Knight-Jadczyk écrit ceci :
« Notre univers paraît être composé de matière/énergie et de conscience. La matière/énergie telle quelle ” préfère “, semble-t-il, l’état chaotique. La matière/énergie telle quelle n’a pas même un concept de ” création ” ou ” d’organisation “. C’est la conscience qui donne vie à ces concepts et par son interaction avec la matière, elle pousse l’univers soit vers le chaos et la dégénérescence, soit vers l’ordre et la création.
Ce phénomène peut être mis sous forme de modèle mathématique et simulé sur un ordinateur utilisant la Théorie Quantique des Evénements. Est-ce que la Théorie Quantique des Événements donne un modèle fidèle de l’interaction de la conscience avec la matière? Nous ne le savons pas. Mais il y a des chances pour que ce soit le cas, parce qu’elle semble décrire les phénomènes plus correctement que la mécanique quantique orthodoxe ou ses théories rivales (Mécanique Böhmienne, GRW, etc.).
Ce que nous apprenons de la Théorie Quantique des Événements peut être dit simplement comme suit : Appelons notre univers matériel ” le système “. Le système est caractérisé par un certain ” état “. Il est utile de représenter l’état du système par un point dans un disque. Le point au centre du disque, son origine, est l’état de chaos. Nous pourrions aussi le décrire comme ” Potentiel Infini “. Les points sur le bord représentent les ” purs états ” d’être, c’est-à-dire des états de ” connaissance pure, non floue “. Entre les deux il y a des états mitigés. Plus l’état se rapproche du bord, plus pur et plus ” organisé ” il est.
Un ” observateur “, une ” unité de conscience “, extérieur, se fait une idée – peut-être exacte, peut-être fausse, peut-être entre les deux – de l’état réel du système, et observe le système avec cette ” conviction ” au sujet de son état. L’observation, si elle se prolonge, a pour résultat que l’état du système ” saute “. C’est dans ce sens qu’on crée sa propre réalité ; mais comme toujours, le diable est dans le détail. Les détails sont que l’état résultant de l’observation du système peut être plus pur ou plus chaotique, cela dépend de la ” direction ” du saut. La direction du saut dépend de l’objectivité de l’observation : dans quelle mesure l’observation est proche de la réalité de l’état.
D’après la Théorie Quantique des Événements, si les attentes de l’observateur sont proches de l’état réel du système, le système saute, le plus souvent, vers un état plus organisé, moins chaotique. Si d’autre part les attentes de l’observateur sont proches de la négation de l’état réel (c’est-à-dire quand les convictions de l’observateur sont plus proches du faux que du vrai par rapport à l’état REEL – la réalité objective) alors l’état du système va sauter vers un état plus chaotique, moins organisé. En outre, ce saut prendra, selon la règle, beaucoup plus de temps.
Autrement dit, si la connaissance de l’observateur à propos de l’état réel est proche de la vérité, alors l’acte d’observation et de vérification en lui-même provoque promptement un saut et l’état résultant est plus organisé. Si la connaissance de l’observateur à propos de l’état réel est fausse, alors cela prend en général très longtemps pour provoquer un changement dans l’état du système, et l’état résultant est plus chaotique. Ce que cela signifie c’est que de l’ordre peut être tiré du chaos grâce à l’observation de ce chaos tel qu’il EST et non pas en prétendant qu’il en est autrement. En résumé, celui qui ” croit ” en la possibilité de ” créer une réalité ” différente de ce qu’elle EST, augmente le chaos et l’entropie.
Si vos convictions sont perpendiculaires à la vérité, même si elles sont inébranlables vous êtes fondamentalement en conflit avec la vision que l’univers a de lui-même, et je peux vous assurer que ce n’est pas vous qui allez gagner. Vous attirerez la destruction sur vous-même et sur tous ceux qui se livreront avec vous à ce genre d’exercice de « bras de fer » avec l’univers. D’autre part, si vous êtes capable de voir l’univers comme il se voit lui-même, objectivement, sans cligner des yeux et en l’acceptant, vous vous alignez alors sur l’énergie créatrice de l’univers et votre propre conscience devient un transducteur d’ordre. Votre énergie d’observation, accordée de manière inconditionnelle, peut apporter l’ordre dans le chaos, peut créer à partir d’un potentiel infini. »
De façon plus pragmatique, appliqué aux évènements actuels qui secouent notre pays, une question vient à l’esprit : dans quelle direction « l’état du système » va-t-il sauter, ici, en France ? Ce qui arrive, ce qu’il en est dit, montré, interprété, à grand renforts « désinformatifs », à l’échelle d’une population entière, tout cela nous permet-il d’avoir une connaissance du réel plus vraie ou plus fausse ? Où cela pourra t-il nous mener, de ne pas avoir su déchiffrer les signes, pourtant révélateurs, du mensonge et de la manipulation ?
Rappelons également l’origine de cette manipulation. Quel type d’individu bénéficie du mensonge ? Quel genre de personne est-elle prête à mentir encore et encore, sans en ressentir la moindre culpabilité ? Qui orchestre ce type de désinformation ?
Une seule réponse : les psychopathes.
yogaesoteric
27 janvier 2021