Les demandes de liberté d’accès à l’information visent la surveillance financière de l’administration Biden
Les demandes de liberté d’accès à l’information visent le Trésor, le FBI et le ministère de la sécurité intérieure au sujet de la surveillance financière présumée des conservateurs et de la coordination avec des organisations privées.
Alliance Defending Freedom (ADF) a déposé un certain nombre de demandes au titre de la loi sur la liberté d’accès à l’information (FOIA) auprès du département du Trésor, du FBI et du département de la sécurité intérieure (DHS).
L’objectif est de recevoir des informations pertinentes concernant l’armement du gouvernement et la censure présumés de l’administration Biden.
Il s’agit d’une nouvelle tentative de faire la lumière sur la manière dont des groupes et des organisations tiers ont été utilisés pour contourner un certain nombre d’interdictions constitutionnelles.
Cette fois-ci, l’ADF se concentre sur la politique de l’administration précédente qui a utilisé la question de l’extrémisme national pour, en fait, affecter négativement ses opposants politiques – dans les cas soulevés dans ces demandes de FOIA, via l’accès aux dossiers financiers des conservateurs américains.
Cette itération de la collusion entre les grands gouvernements et les grandes entreprises technologiques, qui a fait l’objet d’une enquête du Congrès, concerne les grands gouvernements et les grandes banques soupçonnés d’avoir travaillé ensemble pour atteindre des objectifs politiques. Mais pas toujours en collaborant directement – et c’est l’un des aspects que l’ADF souhaite mieux comprendre.
Il s’agit de l’implication d’organisations et d’entreprises privées engagées (« externalisées ») d’une manière ou d’une autre pour aider les banques à identifier ce qui a été désigné comme des pourvoyeurs de désinformation et d’extrémisme national.
Les demandes d’accès à l’information visent également à révéler le rôle du Financial Crimes Enforcement Network (FinCEN) du département du Trésor dans l’identification des transactions dites « codées conservatrices » (les mots clés seraient « Trump », « MAGA », etc.).
Les clients abonnés à des médias « extrémistes » ou achetant des textes religieux auraient également été signalés par leurs banques, sur ordre du FinCEN.
Contrairement à la répression exercée par les médias sociaux sous la forme d’une censure de la parole, l’objectif était ici de soumettre les transactions signalées à une enquête (gouvernementale).
L’ADF estime que cela pourrait équivaloir à des cas de surveillance sans mandat des données financières des Américains.
Les demandes de liberté d’information adressées au FBI concernent le Southern Poverty Law Center, qui, en collaboration avec l’Institute for Strategic Dialogue, a dressé des listes noires de « groupes haineux » et « encouragé les banques et les organisations financières à cibler leurs clients sur la base de ces listes », a déclaré Mercer Martin, conseiller juridique de l’ADF.
Une autre FOIA adressée au FBI demande l’accès à toutes les communications avec Google, Instagram, Facebook et d’autres qui comprennent ces mots-clés : « désinformation », « intégrité des élections », « ingérence électorale », « discours de haine » et « fuite en laboratoire ».
yogaesoteric
28 mars 2025