Les réseaux de communication virtuels nuisent particulièrement au sommeil et à la santé psychique des filles
Le 30 juin était la Journée mondiale des médias sociaux.
Dans une enquête menée entre septembre et octobre 2025, 50 % des filles âgées de 13 à 17 ans ont déclaré que les médias sociaux avaient nui à leur sommeil, contre 40 % des garçons du même âge.
Comme le rapporte Anna Fleck de Statista, les adolescentes sont plus susceptibles que les garçons de signaler des effets négatifs des réseaux de communication virtuels sur leur sommeil, leur confiance en elles, leur niveau de productivité et leur santé psychique, selon une étude récente du Pew Research Center.
Un écart similaire existe en matière de santé psychique (25 % des filles, 14 % des garçons).
Cependant, la majorité des personnes interrogées ont déclaré que les réseaux de communication virtuels n’avaient ni un effet positif ni un effet négatif sur leur santé psychique.
Environ une personne sur cinq, tous sexes confondus, a déclaré que les réseaux de communication virtuels avaient un impact négatif sur ses résultats scolaires.
Les adolescents étaient plus positifs lorsqu’il s’agissait de l’amitié.
Au total, 30 % des adolescents ont déclaré que les réseaux de communication virtuels avaient aidé leurs amitiés, soit un peu, soit beaucoup.
Les filles étaient légèrement plus nombreuses à déclarer que les réseaux de communication virtuels nuisaient à leurs amitiés, avec 9 % contre 5 %.
Selon Pew, il n’y avait pas de différences significatives entre les sexes parmi les adolescents qui déclaraient que les réseaux de communication virtuels avaient aidé l’un des aspects mentionnés dans ce graphique.
yogaesoteric
20 juillet 2025