Les « vaccins » à ARNm, producteurs de protéines spikes : faisons-nous face à une catastrophe mondiale sans précédent ? (2)

par Jean-Pierre G. — FranceSoir

Lisez la première partie de cet article

Les auteurs de cette étude démontrent que la portion S1 de la protéine spike radio-iodé (I-S1) injectée par voie intraveineuse traverse facilement la barrière hémato-encéphalique chez les souris mâles, est absorbée par les régions du cerveau et pénètre dans l’espace cérébral parenchymateux. Les résultats montrent qu’à 30 min, plus de 50 % d’I-S1 a traversé complètement la paroi capillaire. On retrouve S1 dans le bulbe olfactif et l’hypothalamus de façon élevée mais aussi dans le cortex frontal, le cervelet, le mésencéphale et la moelle épinière. « I-S1 a également été absorbé par les poumons, la rate, les reins (et surtout) le foie. »

L’I-S1, administrée par voie intranasale (au niveau de la plaque cribriforme où le nerf olfactif émerge de la voûte crânienne), a également pénétré dans le cerveau, bien qu’à des niveaux environ dix fois inférieurs à ceux après administration intraveineuse.

À noter que le récepteur ACE2 est impliquée dans l’absorption de S1 dans les poumons et probablement dans le cerveau, mais pas dans l’absorption d’I-S1 dans la rate, le foie ou les reins. L’étude de Danish Idrees et Vijay Kumar publiée le 24 mai 2021 : « Interactions entre les protéines de pointe du SRAS-CoV-2 et les protéines amyloïdogènes : indices potentiels de la neurodégénérescence » montre que les peptides β-amyloïdes (Note 3), alpha synucléine (Note 4), protéine tau (Note 5), protéine prion et TDP-43 RRM (Note 6) se lient à la protéine spike du virus du covid… Cela ressemble sacrément à une maladie à prions (Note 7), maladie qui se caractérise comme s’exprimant de longues années plus tard.

Note 3 :
Dans la maladie d’Alzheimer, avant même l’apparition des premiers symptômes, les neurones sont affectés par deux types de lésions : les plaques amyloïdes = plaques séniles (oligomères solubles de peptides β-amyloïdes = Aβo) que l’on retrouve entre les neurones dans la substance grise du cortex cérébral + la dégénérescence neurofibrillaire (la protéine à l’origine de ce dysfonctionnement est appelée « protéine Tau » (Note 5), que l’on retrouve à l’intérieur des neurones. Ces deux lésions correspondent à des amas de protéines qui se forment lors du processus normal du vieillissement. Cependant, dans les maladies de type Alzheimer, ces protéines s’accumulent en beaucoup plus grande quantité.

Note 4 :
En pathologie humaine, on sait que les protéines d’alpha-synucléine mal repliées sont convertis en oligomères pathologiques puis en agrégats de fibrilles qui s’accumulent à leur tour dans les corps de Lewy (Lee VM, Trojanowski JQ. ; 2006). Ces dépôts interrompent les messages transmis par les neurones. Les corps de Lewy sont donc des inclusions neuronales, habituellement sphériques, des structures amyloïdes, principalement constitués de filaments neuronaux + la protéine prion-like appelée alpha-synucléine, protéine présynaptique qui aurait en conditions normales un rôle dans l’apprentissage.

Chez les patients atteints de la maladie de Parkinson, les corps de Lewy se trouvent dans les cellules localisées dans le tronc cérébral (à la base du cerveau) au niveau de la « substance noire » qui joue un rôle dans le contrôle des mouvements. Dans la maladie à corps de Lewy, aussi appelée « démence à corps de Lewy (DCL) », une démence cliniquement proche de la maladie d’Alzheimer, les corps de Lewy sont présents dans la couche externe du cerveau appelée cortex qui est responsable des grandes fonctions mentales.

Note 5 :
La protéine Tau s’accumule également sous forme anormale et est incriminée dans de nombreuses démences, dont la maladie Alzheimer (note 3). La protéine Tau, par le biais de l’insuline, joue un rôle dans la plasticité cérébrale.

Note 6 :
Un quart des cas diagnostiqués « Alzheimer » seraient en fait dus à une nouvelle maladie, baptisée LATE (encéphalopathie à prédominance limbique). En cause TDP-43 (Transactive Response DNA-binding Protein 43), une protéine indispensable à l’activité de nos cellules, qui se révèle aussi une vraie tueuse de neurones sous une forme anormalement phosphorylée.

La sclérose latérale amyotrophique ou SLA est une maladie des motoneurones hautement débilitante. La caractéristique pathologique de la SLA est la présence d’inclusions dans le cytoplasme des neurones moteurs spinaux survivants. Là encore TDP-43 (encore nommée TAR DNA-binding protein-43) est la protéine majeure trouvée dans ces inclusions cérébrales post-mortem de patients atteints de SLA. Les RRM sont deux motifs de reconnaissance à l’ARN. L’altération pathologique (repliement anormal puis agrégation) de TDP-43 est considérée comme une caractéristique des maladies neurodégénératives de la sclérose latérale amyotrophique (et de la dégénérescence lobaire fronto-temporale).

Note 7 :
Un prion est un agent pathogène constitué d’une protéine dont la conformation ou le repliement est anormal. Le prion dérive d’une protéine qui existe à l’état naturel chez tous les mammifères et chez l’homme. Cette protéine ne provoque aucune réaction de type immunitaire de la part de l’organisme, et en particulier pas de formation d’anticorps. L’hypothèse serait que cette protéine changerait de forme pour une cause inconnue, et qu’elle deviendrait alors pathologique de proche en proche. Un prion serait donc un agent pathogène constitué d’une protéine dont la conformation ou le repliement est anormal. L’accumulation de la protéine se présente sous formes de plaques amyloïdes caractéristiques et plus ou moins importantes selon les pathologies.

La maladie de Creutzfeldt-Jakob, l’insomnie fatale familiale (IFF), l’insomnie fatale sporadique, le syndrome de Gerstmann-Sträussler-Scheinker (SGSS), le Kuru (disparu) sont des maladies à prions chez l’homme. La tremblante (gratte ou scrapie) du mouton, l’encéphalopathie spongiforme bovine (ESB), l’encéphalopathie spongiforme féline, l’encéphalopathie spongiforme du vison, le dépérissement chronique du cervidé (CWD) existent et chez l’animal et rarement (encéphalopathie spongiforme bovine = maladie de la vache folle) chez l’homme.

À noter, même si ici il ne s’agit pas de protéine spike mais du virus entier : « Le Sras-CoV-2 provoque une inflammation du cerveau et induit la formation de corps de Lewy chez les macaques » Ingrid HCHM Philippens et al., le 05 mai 2021 :
« Quatre rhésus macaques (Macaca mulatta) et quatre Cynomolgus macaques (Macaca fascicularis) ont été infectés par voies nasale et intratrachéale. Chez ces primates, la symptomatologie du covid est modérée durant 10 jours. Ensuite, on note une activité augmentée au niveau de la glande pituitaire (hypophyse, qui porte des récepteurs ACE2) pendant un mois chez deux macaques sur huit. Après 5-6 semaines post-infection, les macaques ont été sacrifiés et autopsiés, l’un des macaques (1/8) avait de l’ARN viral dans différentes aires du cerveau… L’ARN peut donc bien le pénétrer. Et tous les macaques avaient une inflammation cérébrale multifocale, avec infiltrations de lymphocytes T et activation de la microglie. De plus, tous les rhésus macaques et deux cynomolgus macaques (en fait trois mais un âgé) présentaient des corps de Lewy (Note 4), structures amyloïdes riches en dépôt de alpha-synucléine (Note 4) qui est une protéine prion-like caractéristique de la maladie de Parkinson et de la démence à corps de Lewy. »

Cette étude sur des modèles simiens démontre qu’après une infection respiratoire pauci-symptomatique voire asymptomatique, limitée à une dizaine de jours succède quasi systématiquement, chez l’animal, une maladie neurologique liée aux capacités neuro invasives du virus avec initiation de processus neurodégénératifs par dépôt de structures amyloïdes caractéristiques des maladies à prions.

C3) Des chercheurs étudiant les tissus cérébraux de 13 cas mortels de covid-19 ont trouvé des pseudovirions (protéines de pointe (Spike), d’enveloppe et de membrane sans ARN viral) présents dans l’endothélium des micro-vaisseaux des 13 cerveaux. Ils ont conclu que les dommages endothéliaux (via le récepteur ACE2 de la protéine de pointe) sont une partie centrale de la pathologie du Sras-CoV-2 et peuvent être induits par la protéine de pointe (Spike) seule.

Voir l’étude en question : « Les dommages aux cellules endothéliales sont la partie centrale de covid-19 et un modèle murin induit par l’injection de la sous-unité S1 de la protéine de pointe »

La sous-unité S1 seule, lorsqu’elle est injectée à des souris provoque une endothélialopathie systémique.

L’injection de la sous-unité de la protéine Spike S1 pleine longueur dans la veine de la queue de souris, dans le cadre de la même étude, a conduit à des signes neurologiques (soif accrue, comportement stressé).

La sous-unité S1 provoque la dégénérescence des cellules endothéliales et des motoneurones en culture cellulaire :
« Les dommages aux cellules endothéliales ACE2+ sont la principale caractéristique du covid-19 humain et du modèle murin de la maladie. »

C4 — Atteintes cardiaques :
Dans une revue de la littérature portant sur 26 études incluant 11.685 patients infectés, la prévalence des atteintes cardiaques en cas de covid est de 20 % (Bavishi C., Bonow R.O. et al.) Des cas avaient été décrits lors de l’épidémie de Sras en Asie et de l’épidémie de Mers au Moyen-Orient. Le mode de présentation d’une myocardite est multiple, allant d’une douleur thoracique mimant ou non celle d’un infarctus du myocarde au choc cardiogénique (= chute de la pression artérielle avec tachycardie et vasoconstriction) en passant par des signes d’insuffisance cardiaque et des troubles du rythme.
« Je soupçonne que la péri- et la myocardite seront associées à une microcoagulopathie dans les vaisseaux cardiaques en raison des effets de la protéine de pointe (Spike). » ~ Robert W Malone.

Le Dr Malone est le découvreur de la transfection d’ARN in vitro et in vivo et l’inventeur des « vaccins » à ARNm, alors qu’il était à l’Institut Salk en 1988.

Steven G. Negron, Chase W. Kessinger et al. ont testé l’hypothèse selon laquelle la protéine spike du CoV-2-S endommage le cœur en activant les réponses immunitaires innées des cardiomyocytes (CM = cellules musculaires du cœur auto-excitables. Elles portent des récepteurs ACE2 et sont incapables de renouvellement chez l’adulte.)

La protéine spike interagit avec le récepteur Toll-like 4 (TLR4), un récepteur crucial de reconnaissance de formes responsable de la détection des agents pathogènes et de l’initiation des réponses immunitaires innées, devenant ainsi toxiques pour les cardiomyocytes et induisant un dysfonctionnement cardiaque, une hypertrophie cardiaque et une inflammation cardiaque chez la souris.
Plus de 300 cas de myocardites (et de péricardites) ont été examinés et présentés à des experts indépendants (convoqués par les Centres américains de lutte et de prévention des maladies = CDC) le 23 juin 2021. Ces inflammations sont survenues après l’injection des « vaccins » à ARNm (Moderna & Pfizer-BioNTech) contre le covid-19. Selon ces experts, il existerait un lien « probable » entre les vaccins à ARN (Pfizer et Moderna) et les cas de myocardites signalés.

Un rapport publié par le ministère de la Santé israélien au début du mois de juin a conclu que des centaines de cas d’inflammation du muscle cardiaque (myocardite) ont probablement été causés par le « vaccin » Sras-Cov-2 développé par Pfizer et BioNTech, administré dans le cadre de la campagne de vaccination de masse. La plupart des cas ont été signalés chez des hommes (90 %) âgés de 16 à 30 ans, la proportion la plus élevée étant observée chez les adolescents de sexe masculin âgés de 16 à 19 ans.

En France, le délai de survenu des myocardites observées a été de 10 jours pour la première dose et de 3 jours pour la seconde.

IV — Possible intégration de l’ARN dans le noyau

De l’ARN ne peut donner que de l’ADN et non l’inverse (années 1950). Sauf que ce n’est pas vrai. Comme le montrent des études récentes avec diverses polymérases pouvant jouer le rôle de transcriptases inverses… Voir la publication du 11 juin 2021 dans la revue Science Advances de Gurushankar Chandramouly et Richard Pomerantz et al. de l’Université Thomas Jefferson de Philadelphie. Ils ont démontré qu’une enzyme humaine, la polymérase thêta, pouvait convertir des séquences d’ARN en ADN. La revue a présenté cela comme une première, puis s’est excusée. Il en existe d’autres…

Nous possédons d’ailleurs une foule de transcriptases inverses (et de ligases) émanant de gènes multiples LINE (plusieurs centaines de milliers de copies de ces LINEs), HERV (80 familles contenant une centaine d’éléments qui représentent ensemble environ 8 % du génome humain, soit quatre fois plus d’ADN que ce qui est consacré aux gènes codant pour les protéines).

Ne pas oublier les transcriptases inverses liées aux télomérases ou amenées en cas de co-infection par des rétrovirus, des lentivirus, des spumavirus, des virus à ADN comme celui de l’hépatite B… L’intégration nucléaire sous forme d’épisomes ou dans l’ADN est possible et observée pour d’autres virus (comme le herpès-virus strictement humain de type 6 = HHV-6 responsable d’une infection infantile appelée la roséole infantile = « exanthème subit du nourrisson » = « sixième maladie » à ADN et s’intégrant dans le génome de 0,2 à 1 % de la population générale, pouvant être transmis à notre descendance + le virus d’Epstein-Barr = EBV = herpès-virus de type 4, cause de la mononucléose infectieuse et également à ADN qui, lui, peut s’installer dans le noyau sous forme d’épisomes + le virus adéno-associé (ou AAV, pour adeno associated virus en anglais), petit virus à ADN qui est capable de s’intégrer sous forme d’épisome ou directement dans l’ADN dans environ 5 % des cas). J’arrête là… Mais nous l’espérons tous, cette intégration liée à la vaccination restera rare, engendrant pour un petit nombre des perturbations de gènes oncogènes, antioncogènes, réparateurs d’ADN, des maladies auto-immunes et des cancers.

Un nombre respectable de personnes sont testées positives au covid par PCR longtemps après la disparition de l’infection. Ils continuent en fait à produire de l’ARN viral après la guérison. Une explication fortement plausible est que l’ARN du virus est devenu ADN et s’est intégré dans leur génome, persistant à transcrire.

J’ajoute que la pré-publication « ARN Sras-CoV-2 transcrit et intégré dans le génome humain » de Liguo Zhang, Alexsia Richards et al. a été un peu vite enterrée…

« Nous décrivons des preuves que les ARN du Sras-CoV-2 peuvent être rétrotranscrits dans les cellules humaines par la transcriptase inverse (RT) à partir des éléments LINE-1 ou par le VIH-1 RT, et que de ces ADN, les séquences peuvent être intégrées dans le génome cellulaire et ensuite être transcrites. »

V — Faire taire ceux qui n’entrent pas dans le discours de ceux qui financent…

« La protéine Spike est elle-même toxique et dangereuse pour l’homme » déclare le professeur Byram Bridle (Note 8), un canadien spécialiste en immunologie virale et jusque-là richement financé dans ses recherches…

« Jusqu’à récemment, nous n’avions jamais pensé que les protéines spikes pouvaient être toxiques ! Les vaccins ARNm qui ont été testés pour la première fois sur des animaux et dont les études n’ont jamais été rendues publiques, montrent que les nanoparticules d’ARNm ne restent pas localement au site de ponction dans le tissu musculaire, comme supposé et revendiqué par les fabricants, mais vont dans les organes à des concentrations parfois dramatiques, où ils sont transférés de cellules en cellules et absorbés en continu.
[…] Nous avons fait une erreur » ; [elle peut] « même être transmise par le lait maternel aux enfants allaités […] Nous ne voulons pas de transfert de ces protéines de pointe pathogènes à des patients fragiles qui sont transfusés avec ce sang. »

Depuis (curieusement ?) des journalistes aux ordres, avec leur pauvre niveau en sciences, ont tenté de discréditer, par une campagne de dénonciation vicieuse, ce spécialiste reconnu alors que la grande majorité de ses collègues le soutiennent… Et qui a créé un faux site Byram Bridle pour lui nuire ?

En France aussi la presse tente de faire taire nos chercheurs qui contredisent la parole des firmes, avec les mêmes noms de journaleux qui reviennent, et leurs attaques contre : Dr Nicole Delépine, oncologue pédiatrique qui pendant plus de 30 ans a soigné des enfants cancéreux à Garches (11 mars) + Alexandra Henrion-Caude, généticienne et ancienne directrice de recherche à l’Inserm (24 décembre, 26 janvier, 30 mars) et l’infectiologue chaleureux Christian Perronne, une sommité, chef de service à l’hôpital Raymond-Poincaré de Garches spécialisé dans les pathologies tropicales et les maladies infectieuses émergentes (18 décembre) ainsi que la médecin et députée Martine Wonner (12 octobre, 12 février). Tout ceci ne pourra rester sans suite.

La doxa télévisuelle et ses toubibs ayatollahs, néphrologues, rhumatologues et autres, qui n’ont pas lu un article concernant les vaccinations depuis leurs lointaines études, qui parlent des OGM comme s’il s’agissait de vaccins d’antan… Et ceux qui traitent les non vaccinés comme des pestiférés, des « brebis galeuses » qu’il faut aller chercher « avec les dents », « entre deux gendarmes », à qui il faut « pourrir la vie », aller les « chercher sur les plages »… La patience a-t-elle vraiment ses limites ? On a très peur… Soit vous êtes terriblement ignorants, soit sachant, vous mentez en vous gavant. 460 euros la matinée sans même vous inquiéter de savoir si vous injecter l’horreur. Pas un ne pourrait expliciter le contenu d’un vaccin, pas un !

Un vacciné ne serait-il pas protégé des non-vaccinés ? En fait, il n’y croient pas eux-mêmes…

Alors pourquoi, paranoïaque que vous êtes, si peureux quand il s’agit d’expliciter pourquoi les antibiotiques antiviraux ont été interdits dans les Ehpad, laissant place au Rivotril tueur… Pourquoi les comparses arrosés par les firmes ont falsifié, caviardé (Lancet, Fiolet, autres) des études afin de nier tous traitements au profit de leurs maîtres ? Combien de morts ? Pourquoi tentez-vous d’imposer une vaccination délétère à nos petits, qui sans comorbidités, ne risquent absolument rien ? Retour au pétainisme. Nous vous trouverons devant les tribunaux.

Comment Emma D. ignorante et servile, peut-elle donner son avis sur le sujet des vaccinations, alors qu’elle n’a aucune formation en ce domaine ? Comment peut-elle mentir avec effronterie en prétendant que la vaccination protège du variant Delta ? Bobards et boniments. Payée, comme l’accusent ses propres collègues ?

Concernant ce variant Delta, pour lequel le ministre Véran et le premier ministre Castex menacent de nous confiner : la létalité (c’est-à-dire le nombre de décès par rapport à l’ensemble des patients) est de 0,1 % pour le Delta = indien (1,9 pour l’Alpha = anglais soit 19 fois plus et 1,4 pour le Béta = sud-africain soit 14 fois plus et… de 0 à 1,6 pour le Gamma = brésilien. Tous âges confondus (voir page 8 du rapport ci-dessous). Nécessité de vacciner ?

Voir le rapport qui fait mention de ces chiffres.

Concernant ce variant Delta, du 1 février au 21 juin 2021 en Grande Bretagne :
• 92.029 porteurs, tous âges confondus, avec 117 morts dont 44 non vaccinés covid ;
• 9.571 porteurs chez les plus de 50 ans avec 109 morts dont 38 non vaccinés covid.

Les vaccinés sont majoritaires chez les morts mais 1.123 des plus de 50 ans ont un statut vaccinal non connu, 3.546 atteints ont reçu 2 doses (50 morts) et 976 (38 morts) sont non vaccinés, soit de l’ordre de 25 % des vaccinés… Comment Le Monde peut-il prétendre qu’une personne non vaccinée âgée de 50 ans a en réalité presque 20 fois plus de « chances » (c’est le terme du journaliste) de décéder du variant Delta qu’une personne qui est protégée par un vaccin anti-covid-19 ? Le Monde semble également considérer comme normal que, chez les plus de 50 ans : 50 personnes vaccinées avec deux doses parmi les 3.546 infectées (+ 17 personnes 21 jours après la première dose) soient décédées… Je croyais que la vaccination protégeait des covids graves ! Combien de cas graves s’il y a 50 morts parmi les 3.456 vaccinés ?

Conclusion : Quelques phrases, critiques, du Vidal

Voir le texte en question

1 — « Une efficacité contre les formes sévères seulement suggérée : L’évaluation de l’efficacité du vaccin BNT162b contre les formes graves de covid-19 est rendue délicate par le faible nombre de formes sévères observées ».
2 — Pour les plus de 75 ans : « Ce dernier résultat n’est que suggestif du fait du faible effectif et du faible nombre de cas (0 dans le groupe vacciné, 5 dans le groupe placebo) ».
3 — Selon le Vidal : « De nombreuses questions sur cette efficacité demeurent sans réponse :
• la persistance de la protection obtenue dans le temps ;
• l’efficacité parmi les populations vulnérables aux formes graves (en particulier les insuffisants rénaux et les personnes immunodéprimées) ;
• l’efficacité chez les personnes ayant des antécédents de covid-19 (même si l’analyse post hoc semble suggérer une efficacité dans ce groupe, celui-ci est trop petit pour conclure) ;
• l’efficacité chez les enfants et les moins de 16 ans… [Note de l’auteur de l’article : ultérieurement la firme dit 100 %… mais comment comparer alors que les enfants ne sont en général pas symptomatiques ?]
• l’efficacité contre les formes asymptomatiques du covid-19 ;
• l’efficacité contre les formes graves et l’effet sur la mortalité ;
• l’efficacité contre les effets à long terme des infections acquises malgré le vaccin ;
• l’efficacité sur la transmission du virus en cas de contamination d’une personne malgré le vaccin ;
• le futur de cette efficacité si la pandémie venait à évoluer (mutations de Sras-CoV-2 par exemple). »
4 — « De plus, et c’est une question essentielle pour le contrôle de la pandémie, nous ne savons rien sur la transmission du virus par des personnes vaccinées et néanmoins atteintes de formes asymptomatiques. En l’absence de données sur cette question, le respect des gestes barrières devra persister en dépit de la vaccination, tant que la pandémie ne sera pas contrôlée. Enfin, la question d’une éventuelle toxicité à long terme se pose toujours, ainsi que celle des effets indésirables graves et rares qui pourraient survenir. »

Chut… Fallait pas le dire… Vidal complotiste ?

yogaesoteric
3 novembre 2021

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