L’expérience du siècle
de Ştefan I. Mureşan
Le CERN – Centre Européen de Recherche Nucléaire – espère offrir quelques réponses aux nombreuses questions sur notre existence physique, à l’aide de la plus grande expérience de l’histoire.
Les chercheurs du CERN sont ceux qui ont créé dans le passé le langage HTML (Hyper Text Markup Language) et le protocole HTTP (Hyper Text Transfer Protocol), deux éléments essentiels pour la transformation de l’internet en „www” (World Wide Web).
Le 10 septembre 2008, à 9h32 heure locale, ils ont lancé LHC – Large Hadron Collider, et l’opinion publique s’est enflammée.
Nous nous orientons à grands pas vers une grande aventure
Cette aventure pleine d’adrénaline intellectuelle est due à la recherche acharnée des scientifiques sur la particule de base de l’univers. Consciemment ou non, ils l’appellent de façon suggestive “la particule de Dieu”.
Le chercheur britannique Peter Higgs (photo), qui a donné son nom à la particule ultérieurement devenue un vrai Graal de la physique, a prédit que l’accélérateur de hadrons LHC du CERN permettra la détection du „bosson Higgs” (la particule ou les particules qui offrent de la masse aux autres particules).
Le professeur Higgs de l’Université d’Edinbourgh au sine de laquelle, il y a 44 ans, il a crée le postulat du „mécanisme Higgs” révolutionnant ainsi la physique moderne, croît que tout est possible et il est convaincu que l’expérience réussira. Il considère aussi que les événements à venir après cette recherche changeront radicalement la connaissance humaine en ce qui concerne l’univers et sa nature intime.
Le bosson Higgs serait la réponse donnée par la physique pour expliquer l’existence de la gravitation, de la masse et de la matière en général. Cette liaison entre l’énergie et la matière pourrait exister grâce à un champ énergétique comme une sorte de toile d’araignée, dont les vagues représenteraient la matière.
LHC est un projet financé par 20 pays et se déroule dans une zone placée à la frontière entre la France et la Suisse. Le projet essaye de faire lumière en ce qui concerne la formation de l’univers à partir d’une gigantesque explosion primaire. Dans le cadre de cette expérience, des particules sub-atomiques vont se heurter entre elles à des vitesses comparables à celle de la vitesse de la lumière, pour créer des conditions similaires à la fraction de seconde qui a immédiatement suivi l’explosion du Big Bang.
Dans un tunnel circulaire long d’environ 28 km, des protons vont être propulsés et ensuite accélérés jusqu’à une vitesse proche de celle de la lumière. L’expérience est ainsi conçue qu’il y aura deux « convois » de particules, allant dans des directions opposées, chacune effectuant une rotation complète en à peine 11.000-ème partie d’une seconde. Lorsque les protons atteindront une vitesse proche de la vitesse de la lumière, ils se heurteront entre eux, étant ainsi divisés en particules constituantes, y-compris, espèrent les spécialistes, la particule qui est à l’origine de l’univers.
Demeuré presque inaperçu, le grandiose projet du CERN a secoué l’opinion publique seulement au moment où un grand savant, dénommé Otto Rossler, a instament appelé le CERN à arrêter l’expérience. Selon Rossler, les trous noirs qui pourraient résulter de l’explosion pourraient grandir en environ quatre ans et pourraient entraîner la Terre en leur sein. Le chimiste allemand affirme que le CERN a admis la possibilité que le projet conduise à l’apparition des trous noirs, mais pas dangereux. La Cour Internationale des Droits de l’Homme a traité avec la considération requise la requête du savant allemand, en refusant d’ajourner l’expérience.
… et pourtant
Les calculs du savant Otto Rossler, basés sur les données fournies par le CERN, le mènent à l’idée que dans les quatre prochaines années les effets de l’expérience pourraient sérieusement déstabiliser la planète. Cet intervalle de quatre ans nous renvoie aux fameuses prophéties véhiculées pour l’année 2012.
On ne peut pas dire si cette interprétation est fondée ou pas , si elle est dangereuse ou pas pour la déstabilisation de l’écoulement normal du temps, de la gravitation et de la structure interne de la planète jusqu’à ce que nous n’analysions de plus près certaines synchronicités liées au début de cette expérience, parce que, même sans regarder la situation actuelle en termes apocalyptiques, l’expérience du CERN pose pourtant quelques points d’interrogation.
Nostradamus versus CERN ?
Comme nous l’avons montré au début de cet article, l’opinion publique a eu une réaction véhémente vis-à-vis du lancement de ce projet. Sur les sites qui se prononcent contre l’expérience il y a des références à une des prophéties de Nostradamus qui, semble-t-il, attire l’attention sur un grave phénomène qui pourrait apparaître dans la zone de la ville de Genève:
Migrés, migrés de Genefue trestous,
Saturne d’or en fer se changera,
Le contre Raypoz exterminera tous,
Auant l’aruent le Ciel signes fera.
Les signes au ciel pourraient être interprétés comme “les signes astrologiques” du ciel de Genève à l’heure du début de l’expérience. En étudiant la carte astrologique de ce moment (les coordonnées de la ville de Genève sont 44:24N, 6:09E, et l’heure officielle de début de cette expérience est 08h32 GMT) on peut réaliser toute une série de corrélations extrêmement intéressantes. Le moment est premièrement caractérisé par une série d’agglomérations planétaires, les conjonctions Saturne-Soleil, Mercure-Mars-Vénus (situées à l’ascendant) et Jupiter-Lune.
Dans la tradition alchimique, le Soleil est assimilé à l’or, et Mars au fer. D’autre part, dans la science de la numérologie, le Soleil a comme correspondance le chiffre 1, Saturne le chiffre 8 et Mars le chiffre 9. Donc, la conjonction Saturne-Soleil signifierait du point de vue numérologique, 8+1=9, c’est-à-dire l’énergie de Mars (fer). Celle-ci pourrait être l’explication des versets „Saturne de l’or se transformera en fer” et „il y aura des signes au ciel avant cela”, comme étant la transformation de l’énergie de Saturne par la conjonction donnée avec le Soleil, de l’„or” au “fer” indiqué en plan subtil par l’interprétation numérologique.
En conclusion, ce verset attire l’attention sur le fait que dans la conjonction Saturne-Soleil, l’énergie qui sera dégagée est en résonance avec la planète Mars (le fer alchimique).
Allons voir ce que le verset “…Le rayon contra positif…” pourrait signifier.
Une description simple et directe de ce qui se passe dans le LHC serait la suivante : une sphère minuscule chargée de manière électropositive se déplace en cercle, effectuant une rotation complète en un 11.000-ème de seconde, jusqu’à ce qu’elle atteigne une vitesse incroyable. La façon dont ce processus à lieu est ainsi conçu de manière à ce qu’il existe deux petites sphères qui tournent en sens contraire l’une par rapport à l’autre. En arrivant à une certaine vitesse (calculée au préalable) elles sont ainsi orientées pour se heurter de façon vertigineuse.
Il est bien connu en physique que le proton, en heurtant un autre proton, se désintègre en matière et antimatière. Les deux formes résultées sont la base initiale de l’Univers tout entier.
Nous pouvons considérer le “rayon positif” comme étant la matière et le “rayon négatif” comme étant l’antimatière. Les énergies développées dans le LHC peuvent créer des radiations d’antimatière qui sont particulièrement destructives quand elles sont en contact avec la matière, autrement dit, à la collision entre matière et antimatière, celles-ci s’annihilent réciproquement. Cette annihilation peut créer les soi disants petits “trous noirs” (véhicules de l’énergie du vide, mis en oeuvre par des tachions) qui sont attendus pour apparaître dans cette expérience, mais signalés comme inoffensifs par ceux qui réalisent l’expérience.
En revenant à la conjoncture astrologique du moment du lancement de l’expérience LHC, attachons-nous cette fois-ci à la conjonction entre Vénus, Mars et Mercure. Il est bien connu que Mars représente l’énergie masculin-YANG, et que Vénus est l’énergie féminine-YIN. D’autre part, le proton est YANG, masculin, et l’antiproton est YIN-féminin. La conjonction entre les deux planètes Vénus-Mars (antimatière-matière/YIN-YANG) peut conduire à un état de vide, qui à son tour peut être orientée en haut ou en bas. Autrement dit, l’énergie monte ou descend, produisant des phénomènes de matérialisation ou de dématérialisation.
Comme il est postulé dans la physique quantique, une singularité du vide peut n’importe quand devenir une double particule physique (le tandem matière et antimatière) et inversement.
Que se cache-t-il derrière le “rideau”?
Les deux planètes, Vénus et Mars, se trouvent à leur tour en conjonction avec la planète Mercure. Dans le panthéon grec, la planète Mercure est assimilée à Hermès, celui qui réalise la liaison entre le monde des dieux et les gens, les dieux se trouvant bien sûr dans le plan astral. La conjonction de deux énergies contraires qui deviennent un “vide”, peut “aider” la planète Mercure qui fait le transfert d’informations entre notre monde et un autre monde, physique ou d’une autre nature.
D’après certains spécialistes en physique théorique, un monde parallèle peut s’ouvrir s’il existait une brèche dans le continuum espace-temps dont la dimension soit inférieure à 1 mm. Le plus grand accélérateur connu jusqu’à présent, Fermilab aux USA, parvenait à créer une brèche de minimum 1 mm. Dans le cadre de l’expérience LHC il serait possible de sonder le continuum espace-temps jusqu’à 1/1000° mm, donc suffisamment pour avoir accès à d’autres dimensions parallèles physiques, astrales, à d’autres fréquences temporelles etc. Par conséquent, l’énergie qui s’accumule dans le LHC peut ouvrir un vortex qui soit soutenu énergétiquement par d’autres dimensions.
Ces théories sont soutenues principalement par les continuateurs des idées d’Einstein. Les scientifiques ont construit une structure hypothétique de l’univers, une sorte de matrice formée des soi disantes cordes énergétiques en vibration (string – corde). Le réseau énergétique soutient les ondes et les vagues gravitationnelles, électromagnétiques etc. Ces cordes permettent alors l’apparition et la disparition des particules matérielles. Il est considéré que les strings peuvent être ouverts ou fermés en participant à la formation de l’univers, ou bien ils peuvent être eux-mêmes des univers séparés, des sortes d’îles énergétiques de forme sphérique. Même s’ils sont, théoriquement, extrêmement petits, ils sont des portes ouvertes vers d’autres univers qui peuvent prendre naissance sur la base des mêmes strings qui ont construits notre univers.
L’hypothèse d’un savant d’origine italienne, Bedri C. Cetin, vient pour soutenir ces idées et, encore plus, il considère que la nature même de la conscience est véhiculée par ces petites cordes qui peuvent construire et modeler l’énergie et implicitement la matière. En conformité avec la théorie des strings, la longueur d’onde la plus petite possible dans cet univers est égale à la longueur de Plank. Ces petites briques énergétiques sont la base de toutes les énergies qui peuvent se propager dans toute la masse de l’univers matériel.
Bedri Cetin formule l’hypothèse selon laquelle il existe une multitude d’univers parallèles qui coexistent en simultanéité et qui se trouvent en liaison les uns avec les autres par des portes, des sortes de rupture dans la structure de l’univers qui peuvent arriver à la dimension d’1 mm.
Son idée s’approche de celle des chercheurs qui adoptent la vision quantique du monde. Par les nouvelles découvertes de la physique quantique on considère que même les particules matérielles peuvent être en fait des petites sphères énergétiques provenant des concentrations de ces cordes énergétiques fermées. Elles flottent le long des strings ouverts de l’univers et se manifestent comme des corps matériels, bien qu’ils soient toujours des ondes d’énergie, mais concentrées, offrant ainsi la sensation de dureté.
La pénétration dans ces petites cordes fermées est particulièrement difficile parce qu’il faut un apport d’énergie considérablement grand afin de franchir l’immense barrière de potentiel spécifique à la transition masse – énergie. Ces quantités très grandes d’énergie se dégagent dans le cadre des collisions entre deux particules sub-atomiques lourdes, les protons, les neutrons etc. Jusqu’à présent les recherches ont été réalisées en observant les collisions d’électrons ou de protons relativement lents. Mais avec la mise en fonction de LHC il existe l’espoir que le flux de protons pourra être accéléré jusqu’à des vitesses considérables, voisines de 99% par rapport à la vitesse de la lumière.
Avec cet avancée technologique nous pouvons dire qu’il existe au moins la premisse de pouvoir pénétrer dans l’intimité de l’univers. Mais le problème majeur des physiciens est qu’on ignore encore si à l’intérieur de ces petites sphères énergétiques, les dimensions de base de l’univers que nous connaissons sont maintenues ou non. Certains considèrent que d’autres règles de manifestation pourraient exister, dans d’autres dimensions et peut être plus de variables. Il est certain que les chercheurs considèrent unanimement qu’ils peuvent s’attendre à de grandes surprises scientifiques.
Ainsi ouvrir des portes vers un autre monde pourrait être assez risqué, parce qu’il est possible, qu’il existe parmi des règles du nouveau monde dans lequel on va entrer « de force », des résonateurs énergétiques qui amplifient les ondes d’énergie émises par la porte, ou par le tunnel de passage entre les univers. Un tel fait n’est pourtant pas souhaitable, parce qu’il est possible que l’équipe de recherche du LHC au CERN vienne à perdre le contrôle sur l’expérience. Dans un tel cas, la fermeture du tunnel de liaison est une démarche difficile et tout à la fois dangereuse.
Un surplus d’énergie dans le cœur du LHC pourrait déstabiliser suffisamment l’expérience pour conduire à l’apparition des mini-trous noirs indésirables, peu contrôlables, qui se développeraient ultérieurement dans un milieu propice. Il ne s’agit pas ici du danger que la planète soit absorbée à l’intérieur d’un d’entre-eux, comme l’affirment les discussions non-académiques des journaux ou des télévisions. Mais il suffit que l’apparition des mini-trous noirs perturbe le bilan énergétique des collisions du LHC, et existerait alors le risque de modifier la stabilité structurelle de l’espace et du temps.
Un précédent dans ce sens pourrait être l’expérience connue (non officiellement) dite “Philadelphia” qui a eu un tel résultat. Il s’agit de l’expérience où un navire de la marine des USA, le destroyer USS-Eldrige, a purement et simplement disparu de la vue des responsables de l’US NAVY, pour réapparaître après une certaine période de temps. Cette expérience, qui s’est déroulée dans le port de Philadelphie, en 1943, a été gardée secrète pendant environ 40 ans, l’existence du projet étant niée avec véhémence dans certains cercles. Les marins qui ont survécu à l’expérience relataient qu’on leur avait annoncé la réalisation des tests d’“invisibilité”, pour que les radars allemands ne puissent pas repérer les navires des alliés.
Au début de l’expérience, le navire a été entouré par un brouillard dense, de couleur blanc verdâtre, qui est vite devenu comme du lait, même matériellement parlant. En peu de temps, aussi bien sur les écrans radar que dans le port, le navire a disparu du champ visuel; dans l’eau on pouvait voir seulement le contour du navire. Le navire a été vu pour un certain intervalle dans le port de New York, à 500 km de distance, disparaissant dans le temps…
Un petit navire, l’USS Cyclops, qui observait l’expérience, a fait à plusieurs reprises le tour de la forme de laquelle ont supposait que se situait le navire disparu, mais, selon les récits des marins, il était impossible de s’en approcher; comme s’ils se heurtaient à un mur infranchissable. Le navire est réapparu après un certain temps.
Les appareils qui ont réalisés l’expérience Philadelphia ont été construits d’après les inventions de Nikola Tesla. Tesla a breveté un appareil “résonateur” qui était capable de faire monter la tension d’un champ électromagnétique jusqu’à des millions de volts et à des fréquences incroyables. Les observations réalisées par des témoins crédibles ont montré l’existence d’une construction inédite au bord du vaisseau, qui ressemblait à des bobines immenses et des aimants de grande force. Les bobines réalisaient un champ magnétique de hautes fréquences pendant qu’un mécanisme tournant produisait un champ magnétique statique stable. Ces deux champs magnétiques généraient, comme bon nombre de savants le soutiennent, une distorsion de champ suffisamment grande pour produire un saut dans le temps. Cette idée est confirmée même par les calculs d’Einstein sur “la grande unification des forces”.
Un regard d’ensemble sur l’inducteur du navire de Philadelphia, en comparaison avec l’aimant gigantesque du cœur de l’expérience du LHC du CERN, nous dévoile une similarité qui est troublante.
De même, une vérification attentive de la façon d’organiser et de financer l’expérience du CERN, met en évidence le fait que les principaux financeurs proviennent des USA. La plupart des chercheurs sont payés par le gouvernement des USA, même s’ils sont des chercheurs européens. La curiosité des USA est-elle si grande pour deux petites particules qui se heurtent et cela seulement pour vérifier l’idée d’un chercheur britannique ?
Un des plus grands génies de l’humanité, Albert Einstein, a caché son œuvre quant à l’existence de la cinquième force, qui contrôle l’énergie du vide,dans les archives du Vatican en espérant que le monde sera protégé de l’ineptie de certains êtres avides de pouvoir. Décryptés ou pas, l’existence d’une telle formule a attiré la curiosité des forces armées qui ont réalisé leurs études pour découvrir le secret caché. Si cette force est la base de l’univers, cela veut dire qu’en l’utilisant, il sera possible de coordonner des phénomènes et de modifier des événements temporels et spatiaux, en favorisant ainsi les intérêts obscurs de l’élite se trouvant au pouvoir.
L’énergie du vide soutient l’apparition des mini-trous noirs, elle soutient le transit des particules à une vitesse supérieure à la vitesse de la lumière – les tachions – et peut aussi créer des perturbations de base de l’univers, rendant ainsi possible l’ouverture des portes vers d’autres dimensions physiques ou subtiles. Certains scientifiques considèrent que l’univers actuel est une fluctuation des strings de base de la structure cosmique et que l’hypothétique Big-Bang n’est en fait qu’une rupture dimensionnelle de cette structure.
Ce qui est moins connu est que, en arrivant sur le « territoire » de l’énergie du vide, il sera possible de modifier non seulement le plan physique, mais aussi le plan astral et le plan mental.
Dans l’astrologie il existe une correspondance des planètes avec les différents plans. Ainsi, la planète Mars est celle qui nous offre des indices quant au plan physique, Vénus correspond au plan émotionnel et affectif, pendant que Mercure est associé au plan mental. Les transits de ces planètes envoient des influx énergétiques qui influencent les événements correspondants à ces plans.
Si on regarde par curiosité la carte astrologique du moment de début de l’expérience, nous observerons une « coïncidence » étrange. L’événement cosmique de conjonction de ces trois planètes s’arrange de façon “calme” et “gracieux” sur l’ascendant du moment du début de l’expérience. Un tel emplacement est une question de minutes ; autrement dit, il suffit que tout se déroule 5 minutes plus tôt ou plus tard qu’à 8h32 GMT, heure du début de l’expérience, pour que cette supra-position ne soit plus aussi exacte.
S’il fallait apprécier tout ce qui s’était passé jusqu’au moment “0”, nous observerions que chaque personne qui a entendu parler de cette expérience a fait un effort pour renvoyer de l’énergie mentale par l’attention accordée à l’événement dans les journaux, à la télévision, dans les différentes controverses et intrigues, de l’énergie émotionnelle, de la peur, de la tension, de la préoccupation et du souci. L’énergie physique a été générée à l’aide des inducteurs de l’appareil du CERN.
On pourrait dire que c’était une coïncidence ; dans ce cas, il serait bien de se poser la question suivante : pourquoi tant de bruit pour SEULEMENT une aussi „petite” expérience de vérification des appareils ? D’autres vérifications de ce genre ont déjà eu lieu, mais la presse n’avait alors réalisé aucun commentaire; pourquoi les journaux ont ouvert ce sujet relatif à cette expérience ?
Soit les événements astraux indiquent à ce point que cette coïncidence cosmique a eu lieu et alors la science moderne pourrait croire à l’astrologie, ou alors… il existe des « théoriciens » qui SAVENT EXACTEMENT CE QU’ILS ENVISAGENT par cette expérience.
Sommes-nous des spectateurs ou des participants?
L’ouverture d’une porte vers d’autres dimensions a besoin d’énergie ; les gens offrent cela GRATUITEMENT par l’activité émotionnelle et mentale dispensée a propos de cette expérience. À nouveau, comme à chaque fois qu’il est nécessaire, les journaux, les télévisions et les chercheurs „bienveillants” attirent l’attention sur un phénomène d’intérêt „mondial”.
Une coïncidence plus qu’étrange est la date très proche de cette expérience du CERN, d’une autre expérience, celle du 11 septembre, date du spectacle grandiose offert par le gouvernement des USA quant à la soi disante attaque terroriste d’une nation « libre ». Une nouvelle coïncidence qui nous montre que le jour choisi est à merveille positionné dans un contexte des énergies du temps, parce qu’en ce qui concerne un tel événement majeur il y a de grandes accumulations d’énergie temporelle qui peuvent avoir un impact immense sur le subconscient collectif.
Une étude scientifique réalisée à l’Université de Princeton, Le Projet de la Conscience Globale, nous montre que l’énergie mentale et émotionnelle de tous les gens du globe influence de façon majeure les événements de la planète. Par un procédé inédit, les chercheurs de Princeton, aidés par des appareils disposés dans le monde entier, peuvent mesurer l’influence du mental et des émotions des gens sur les événements et sur le milieu environnant. Les études sont basées sur des connaissances de physique quantique et dépassent de loin les recherches psychologiques actuelles. Les graphiques qui ressortent de cette étude, représentent la façon dont les probabilités d’apparition d’un phénomène dans un contexte bien précis, sont analysés par des chercheurs et peuvent fournir la possibilité de caractériser un événement comme étant « probable » ou « certain » selon le pouvoir du mental collectif.
L’étude des graphiques de la période du 2 au 11 septembre 2001 (précurseur à la supposée attaque du WTC) montre qu’autour cette date il existait déjà des tensions subtiles, comme si le subconscient collectif percevait que quelque chose se passe, ou… il existait un certain champ d’énergie du temps qui se propageait dans le passé. L’analyse des données expérimentales nous montre que dans la période précédant le 2 septembre il existait déjà des tensions. Nous pouvons observer que ces valeurs se propagent tous les deux jours, entre le 2, le 4, le 6, et le 8 septembre et se retrouvent aussi le 10 septembre, lorsque le graphique a soudainement monté avant le déclenchement des événements.
Il est certain que les événements ont dépassé la capacité des chercheurs à mesurer et les scientifiques ont alors modifié l’échelle de mesure d’un facteur 10 afin de pouvoir assimiler toutes les données. Un tel phénomène mesure le champ émotionnel planétaire et nous pouvons nous rendre compte combien d’énergie peut être engrenée pendant des moments de terreur.
Les modifications dans le plan de la conscience planétaire sont évidentes ; il existe une force subtile qui peut être mise en évidence à présent par la science moderne. Nous pouvons comprendre que chaque individu de cette planète participe à la conscience collective globale, et la peur, la furie, la tension, représentent des modalités faciles de fournir de l’énergie GRATUITE pour les expériences de certains scientifiques qui affrontent trop le libre arbitre humain.
Les résultats mis en évidence par les recherches du projet de Princeton peuvent faire apparaître des points d’interrogation réels quant aux grandes „nouvelles” diffusées à travers les journaux et les télévisions du monde.
Un tel moment a été bien mis en scène pour le jour du 10 septembre 2008, lorsque la conjoncture astrale a minutieusement été calculée pour mettre en mouvement un mécanisme d’ouverture d’une porte vers d’autres dimensions parallèles, temporelles ou spatiales. La façon d’orienter cette énergie revient à ceux qui ont décidé par leur intention de l’expérience et du mode d’ouverture des « portes ».
Même s’ils sont responsables des démarches réalisées, il faut admettre que nous ne sommes pas des observateurs passifs de ce qui se passe avec notre vie et notre planète, mais des participants directement impliqués à ce projet généré au CERN.
Ce qu’ ils ne savent peut être pas, c’est que certains d’entre-nous savent.
De possibles conséquences de cet événement ?
En conformité avec les recherches quant à l’énergie du vide, à l’apparition de celui-ci il existe de grandes modifications dans la marche ordinaire du temps, dans la structure de la matière etc. Les événements du milieu environnant ne respectent plus le « programme », il y a des déstabilisations du climat, du magnétisme terrestre, de la gravitation, des modifications dans le psychisme humain etc. Jetons un coup d’œil sur quelques phénomènes de ce genre des jours suivants cet l’événement.
Les prédictions météo en Europe pour la période du 9 au 10 septembre, ont été renversées par la façon dont on annonçait le jour du 10 septembre sur ProTv (chaîne roumaine de télévision), „la nature se précipite” et certains événements ont lieu plus vite que ce qui était initialement prévu. Ce moment « initial » était pourtant une soirée avant…
Le jour du 10 septembre 2008, à 16h30, heure du Bucarest (6 heures après le début de l’expérience du CERN) la télévision par satellite UPC, en format digital, présente des problèmes sans raison apparemment réelle. Leur explication est une „désynchronisations du signal satellite”, ce problème a demandé le changement du mode de décryptage du signal.
À Chişinău, le 12 septembre, a été enregistré un phénomène optique très rarement rencontré, selon le directeur adjoint du Service Hydro-météo d’État, Ilie Boian. Autour du Soleil est apparu un demi cercle d’anneaux de couleurs brillantes, qui ressemblaient à un arc-en-ciel visible à l’œil nu.
Pas du tout au hasard, les prédictions météo pour la semaine suivante, du 15 au 21 septembre ont été changées en produisant des surprises surtout dans la zone de la Suisse. La masse d’air froid et les pluies sont abondantes dans cette zone.
Est-ce que ce sont tous des effets de l’expérience ?
Quelques détails pas du tout au hasard
Selon la loi de l’analogie et de la similitude, il existe certaines règles par lesquels les phénomènes qui ont lieu autour de nous ont une certaine correspondance dans le for intérieur de notre être. Toujours ainsi on peut dire que les niveaux macro et micro travaillent ensemble pour respecter le système holographique de la formation de l’univers.
Ayant en vue qu’au CERN on parle de récréer le moment du début de l’univers, on peut dire qu’il existe une certaine force subtile mystérieuse qui redéfinit dans cette zone la structure physique, émotionnelle et mentale.
Les coïncidences s’enchaînent et il est possible qu’il ne s’agisse pas de simples „coïncidences”
Pas du tout au hasard, le CERN est situé EXACTEMENT à la frontière entre la France et la Suisse. Les zones de frontière sont des passages entre deux structures et chaque passage se réalise par un moment de zéro, de vide. La frontière entre deux États est idéale pour ce genre d’actions.
Un regard d’ensemble sur les couleurs spécifiques des deux nations attire notre attention sur une autre „coïncidence”. La France est une couleur qui agrée la couleur bleue, l’emblème et le costume traditionnel de l’armée française sont bleus. L’emblème et le costume de l’armée traditionnelle suisse sont rouges. Selon la correspondance YIN-YANG, le YIN est représenté par la couleur bleue, et le YANG est représenté par la couleur rouge. Le CERN est situé à la frontière entre le bleu et le rouge, là où il y a une harmonisation des énergies YIN et YANG, un équilibre.
Pendant l’expérience du 10 septembre des protons ont été lancés qui, symboliquement sont désignés par des billes rouges avec le signe “+” au centre. Peut-on faire remarquer la similitude de cette représentation ressemble avec le drapeau de la Suisse ?
Est-il vraiment si important qu’il existe une conjonction entre Mars (YANG) et Vénus (YIN) sur l’ascendant de l’endroit et du moment de temps, dans le signe de la Balance, signe de l’équilibre des énergies contraires, à environ 15 degré dans ce signe, c’est-à-dire au MILIEU du signe ?
Ou bien, est-il plus significatif que si on réalise l’adition numérologique de Mars (9) et Vénus (6), on obtient 15, le même nombre – 15 – degrés où se réalise la conjonction sur l’ascendant à l’heure du début de l’expérience?
Est-ce seulement une coïncidence si le Milieu du Ciel, les Nœuds Lunaires, le Soleil, Saturne etc, sont situés à ce moment là près du milieu des signes où ils se étaient à cette date ?
Ces données sont trop nombreuses pour qu’il soit question de simples coïncidences.
Un autre aspect, peut être moins spectaculaire, mais digne de considération, est que le LHC est construit pour que se produise la collision de deux protons ou d’un proton et d’un antiproton pour donner des indications aux appareils qui mesurent et analysent le processus. Pour que cela se passe, les deux particules (ou faisceaux) sont accélérées dans le LHC, en tournant en sens contraire. Logiquement, un faisceau sera coloré en bleu (celui des antiprotons) et l’autre en rouge (celui des protons). Les deux mouvements sont contraires et créent un double vortex énergétique qui éveille l’énergie du vide. Autrement dit, si nous avons deux mouvements de rotation de sens contraire, de la même force, intensité et énergie, réunies ensemble elles font “zéro”. Mais pas n’importe quel “zéro”, c’est-à-dire “rien”, mais un “zéro” qui signale l’apparition de l’énergie du vide. Dans la physique quantique cela veut dire la formation de mini-trous noirs par lesquels les particules tachioniques peuvent se déplacer, modifiant ainsi la matière et les propriétés intrinsèques du milieu. On regarde à nouveau avec curiosité l’affirmation des chercheurs: „il existe la possibilité d’apparition des mini-trous noirs, mais ils ne sont pas dangereux pour la planète”. Possible, mais quand même, pourquoi tant de synchronicités ?
En guise de conclusion…
De plus en plus de signes nous indiquent qu’il existe une étroite liaison avec le contexte espace-temps du moment spécial du 10 septembre, à Genève, en Suisse, à 8h32 GMT. Même si nous ne nous y connaissons pas beaucoup en physique, nous pouvons observer que les synchronicités abondent avec une certaine fréquence d’apparition qui ne peut pas être négligée.
Vérité ou non, nous le verrons dans le futur. On se pose pourtant la question de savoir si, suite à l’expérience, nous serons à même de déchiffrer les informations récoltées. À première vue, il existe une armée de scientifiques qui savent avec précision ce qu’ils ont à faire et nous pouvons respirer soulagés parce qu’ils ne sont pas tellement désorientés de mettre en œuvre une expérience qui serait fatale pour l’humanité. Même s’il existait des apparitions de mini-trous noirs, il ressort des calculs mathématiques qu’ils vont se refermer en quelques fractions de seconde. Le pouvoir d’un tel trou noir ne peut pas créer de grands dangers.
Mais alors pourquoi tant d’effort pour démarrer l’expérience le 10 septembre alors que la date officielle pour démarrer le LHC était le 21 octobre 2008 ?
Comme nous le savons, le moment du début d’une action est très important pour le déroulement de l’action tout entière. Cette expérience est-elle aussi importante pour nécessiter l’ « aide » des astres, du champ mental planétaire, des énergies immenses déroulées dans un appareil gigantesque, d’environ 10 milliards de dollars, des mass média et d’un nombre impressionnant de scientifiques ?
Que se cache-t-il en fait derrière cette expérience ?
yogaesoteric
2009
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