Linky, le scandale à venir dont personne ne parle : l’ERL (Emetteur Radio Linky)
Les promoteurs des compteurs Linky ne cessent de prétendre que ce système ne fait courir aucun risque sanitaire du fait de l’utilisation de la technologie du CPL (courant porteur en ligne).
Or, non seulement ces belles assurances sont totalement contestables mais, de plus, toutes ces affirmations et les études si « rassurantes » des agences officielles font l’impasse sur le scandale qui, de toute évidence pour tromper la population, est programmé pour un second temps : l’ERL
Une fois que les Linky seront installés (si nous nous laissons faire), Enedis laissera la place aux fournisseurs (EDF, Engie, Enercoop, Directe énergie, etc) qui vont alors démarcher tous les habitants et les inciter à ajouter au Linky le fameux ERL : un émetteur qui va inonder les logements d’ondes électromagnétiques !
D’innombrables personnes vont inévitablement se laisser séduire par les « services » que cet appareil va permettre. En effet, les ondes émises vont activer les objets contenant des puces et les connecter à Internet (on parle d’Internet des objets, ou IOT. Voir par exemple ici , attention pure propagande industrielle !).
Ainsi, même depuis l’autre côté de la Terre, vous pourrez par exemple savoir sur votre smartphone s’il reste des yaourts dans votre frigo : quelle information cruciale !
Le problème est que les gogos qui vont se laisser séduire, mais aussi leurs voisins (car les ondes traversent les murs), seront soumis à des ondes électromagnétiques permanentes, comparables à un super wi-fi. Et le pire sera sans doute atteint dans les logements collectifs (HLM et autres) où des dizaines de Linky vont être alignés.
Donc, contrairement à ce qui est prétendu par Enedis, les Syndicats d’énergie, le gouvernement (dont ce pauvre Nicolas Hulot, écologiste de pacotille), et hélas trop de médias qui se contentent de répéter la parole officielle, les Linky émettront (en continu) de fortes ondes électromagnétiques.
Bien sûr, les études si rassurantes publiées pour tromper la population ne peuvent mettre en évidences ces ondes qui seront émises à l’avenir. Qui plus est, elles viendront s’ajouter à celles émises d’ores et déjà par les fils électriques de votre logement du fait de l’utilisation du CPL : Linky, c’est la double peine !
Les non-dits des complices d’Enedis (UFC-QueChoisir, Médiateur de l’énergie, etc)
Chaque fois que de fortes critiques (fort justifiées) sont émises contre le programme Linky, par exemple par la Cour des comptes , divers acteurs se précipitent pour demander non pas l’arrêt du programme mais son « amélioration ».
En prenant bien garde de ne pas rentrer dans les détails (et pour cause), ces complices d’Enedis demandent en particulier à ce que des fonctionnalités supplémentaires soient apportées aux Linky : ils font référence à l’ERL, mais sans jamais le nommer afin de ne pas alerter la population sur le « bain » d’ondes électromagnétiques qui lui est promis.
C’est ainsi que le Médiateur de l’énergie, qui n’a de médiateur que le nom puisqu’il est totalement acquis aux intérêts de l’industriel Enedis, clame « Linky : les bénéfices pour les consommateurs se font attendre » : c’est, entre les mots, une marque d’impatience dans l’attente de l’arrivée de l’ERL.
Idem avec l’UFC-QueChoisir (dont la compromission avec Enedis a été montrée puis confirmée par la justice) : lorsque l’organisation prétendue de « défense des consommateurs » parle du « bien-fondé du combat mené par l’UFC-Que Choisir pour que Linky permette des suivis de consommation avec un affichage en temps réel » (cf ici ), c’est là aussi de l’ERL qu’il est question… sans jamais le nommer.
Conclusion
Les programmes de compteurs communicants sont faits pour répondre à des ambitions industrielles et commerciales, et certainement pas pour les usagers. Les compteurs actuels fonctionnent parfaitement bien, ils ne menacent ni la santé ni les libertés, on doit donc les garder et ne pas servir de cobayes pour tester sur nous et nos familles la dangerosité des compteurs communicants…
yogaesoteric
18 juin 2018