Linus Pauling & Vitamine C : remède oublié contre le cancer (1)

 

Pourquoi une molécule naturelle peut-elle réussir là où les antibiotiques les plus sophistiqués, les plus chers, échouent. Comment est-ce possible de rester sans réponse face à ces découvertes ?

Ce silence n’est pas nouveau. Linus Pauling double prix Nobel (de chimie et de la paix) consacre 40 ans de sa vie à l’étude de la vitamine C.

Il n’a cessé de fustiger les autorités qui refusaient déjà de considérer cette vitamine à sa juste valeur. Les autorités préféraient profiter des avantages multiples liés au développement industriel des traitements antibiotiques.

Plus on avance dans les recherches et plus cette certitude s’affirme. On découvre une communauté composée de scientifiques et de médecins du monde entier qui utilisent avec succès la vitamine C depuis des décennies. Linus Pauling, fer de lance de cette communauté, lui a donné un nom : la médecine orthomoléculaire.

La médecine orthomoléculaire soigne l’individu au moyen de molécules naturelles c’est-à-dire connus de l’organisme, par opposition aux molécules non connues par l’organisme produites par l’industrie pharmaceutique.

Les succès de cette communauté de médecins et scientifiques sont spectaculaires.

La BBC publie le 9 février 2014 un article  sur une équipe de chercheurs américains ayant obtenus des résultats surprenants sur des cas de cancer en administrant des doses massives de vitamine C par voie intraveineuse.

Au Japon, après la catastrophe de Fukushima le professeur Atsuo Yanagisawa soigne avec succès des soldats japonais irradiés selon la même méthode.

Plus incroyable encore, en Algérie, le docteur Ilyes Baghli valide avec le gouvernement ce protocole d’injection de vitamine C contre le virus Ebola.

Pourquoi alors ne pas pousser les recherches et rendre publiques les résultats obtenus autour de la vitamine C ? Le silence autour d’un sujet aussi important ne cache-t-il pas en réalité autre chose ? Des intérêts particuliers ne seraient-ils pas directement menacés par cette molécule ?

A la lumière de ces dernières découvertes, la vitamine C se glisserait au centre d’un enjeu universel : la manière globale de soigner.

Selon certaines études, la plupart de malades souffrant de cancer ou de toute autre maladie dégénérative chronique ont une déficience en vitamine C.

La vitamine C guérit le cancer et sauve des vies

Saviez-vous qu’un certain Linus Pauling, deux fois prix Nobel, a réussi à soigner, grâce à ses recherches qui s’échelonnent sur des dizaines d’années, des CENTAINES DE CAS de cancer EN PHASE TERMINALE avec des injections de vitamine C ? Saviez-vous que quand il est allé voir les labos et les instances de santé pour leur remettre les résultats spectaculaires de ses recherches, il a tout simplement été rabroué, rejeté et ridiculisé ? Ce n’était tout simplement pas ce qu’ils recherchaient !

Qui est Linus Pauling ?

Linus Pauling (1901, 1994) était un chimiste et physicien américain. Il fut l’un des premiers chimistes quantiques, et reçut le prix Nobel de chimie en 1954 pour ses travaux décrivant la nature de la liaison chimique. Il publie en 1939 un ouvrage majeur La Nature de la liaison chimique (The Nature of the Chemical Bond) dans lequel il développe le concept d’hybridation des orbitales atomiques. Ses travaux sur les substituts de plasma sanguin (avec Harvey Itano) durant la Seconde Guerre mondiale, ainsi que ses recherches concernant l’anémie falciforme (ou drépanocytose qu’il qualifie du terme révolutionnaire de « maladie moléculaire ») ont grandement influencé la recherche en biologie pour la seconde moitié du XXe siècle.

Il découvrira notamment la structure de l’hélice alpha (motif d’enroulement secondaire des protéines) et manquera de peu la découverte de la structure en double hélice de l’acide désoxyribonucléique (ADN). Il proposera en effet une structure en hélice triple, structure dont l’amélioration d’après l’étude de l’ADN parradiocristallographie aurait vraisemblablement pu l’amener à l’élaboration du modèle en double hélice proposé par James Dewey Watson et Francis Crick en 1953.

Il est l’un des fondateurs de la médecine orthomoléculaire et a popularisé l’utilisation de la vitamine C.

Il reçut aussi le prix Nobel de la paix en 1962, pour sa campagne contre les essais nucléaires, devenant ainsi l’une des deux seules personnes à avoir reçu un prix Nobel dans deux catégories (l’autre étant Marie Curie).

Le brevet du Professeur Linus Pauling

Le Pr Pauling et son collègue le Dr Matthias Rath, ont reçu un brevet en 1994 pour une méthode pour enlever les plaques de lipoprotéines qui obstruent le système cardiovasculaire, sans chirurgie. Vous pouvez voir et imprimer ce brevet ici (en Anglais) : 5278189 – Rath/Pauling Lipoprotein Removal patent on the USPTO server  et voir l’original en PDF : ici.

Cette méthode est très simple, et a été utilisée par des millions de personnes depuis ce brevet. Ces millions de personnes sont surtout des Américains parmi les dizaines de millions qui ont acheté les livres du Dr Matthias Rath.

C’est donc à la portée de tout le monde, et ça arrête immédiatement le processus de bouchage des veines et artères, qui est en fait un colmatage initié par le corps pour combler les fissures des parois des veines et artères. Ces fissures apparaissent à cause du manque de vitamine C que le corps utilise normalement pour fortifier ces parois des vaisseaux sanguins.

Le Pr Pauling explique que cet affaiblissement des parois artérielles est la forme chronique (à long terme) du scorbut. La dose recommandée par l’OMS de 60 mg de vitamine C par jour permet d’empêcher la forme aiguë (urgente) du scorbut, mais pas la forme chronique, qui est à l’origine du délabrement progressif de tout le corps, les veines étant fragilisées et bouchées au fil des ans.

La dose correcte de vitamine C par jour est de 1 gr par tranche de 12 kg de poids corporel, soit 5 grammes pour une personne de 60 kg en bonne santé. C’est ce que produisent naturellement tous les mammifères, à l’exception de l’homme, des singes et du cochon d’Inde. Lors d’une maladie les animaux produisent plus de vitamine C, et les humains doivent en faire de même. Pour un rhume il faut parfois jusqu’à 20-30 grammes dans la journée, mais le soir même le rhume a disparu (on parle ici d’une expérience habituelle).

La prise de mégadoses de vitamine C arrête immédiatement ce processus de colmatage des artères, et le renverse, et progressivement les veines et artères vont se dégager des lipoprotéines qui les bouchent. Si la plus bouchée de vos artères l’est à moins de 90%, alors cela fonctionnera parfaitement pour vous. Au-dessus de 90% vous devrez généralement subir une intervention chirurgicale, et ensuite la prise de quelques grammes de vitamine C chaque jour remettra votre circuit cardiovasculaire en bonne forme, et vous n’aurez plus jamais à subir une opération tant que vous prendrez suffisamment de vitamine C.

Si vous avez déjà eu un ou plusieurs AVC, les mégadoses de vitamine C vous aiderons à récupérer beaucoup plus vite, et vous protégerons contre toute rechute future. L’ajout de Lysine au régime de megadoses de vitamine C accélère grandement le processus de décolmattage, la lysine s’attachant aux lipoprotéines pour les évacuer dans les selles.

Vous verrez la différence dès la ou les premières semaines de ce régime ! Une solution miracle de plus ! Et avec la vitamine C Lyposomique l’effet sera encore plus spectaculaire !

Le dosage recommandé est de 4 à 6 grammes de lysine à prendre avec 4 à 6 grammes de vitamine C par jour.

Avertissement : Utilisez de la vitamine C sous forme d’acide ascorbique uniquement, c’est la forme la plus courante et la moins chère, comme celle utilisée pour la vitamine C Liposomique (aussi dite Liposomale ou Lyposphérique).

MAIS N’UTILISEZ PAS de la vitamine C dite « sans acide », à base de calcium ascorbique, car elle contient 30% de calcium, et en prendre plusieurs grammes par jour vous créera une surdose de calcium qui vous donnera des crampes musculaires. Comme par hasard on trouve de plus en plus de vitamine C « sans acide » dans le commerce, la seule qu’on ne peut pas utiliser pour le régime de Pauling !!

Pour éviter les flatulences créées par de grosses doses d’acide ascorbique, utilisez la vitamine C Liposomique qui ne créé aucun problème, ou alors des comprimés de vitamine C dits « à diffusion lente », à base d’acide ascorbique uniquement.

<i>Linus Pauling et la Vitamine C (Silvano Trotta)</i>

Le Pr Linus Pauling et les vitamines

Médecine et vitamines

En 1941, Pauling, âgé alors de 40 ans, découvre qu’il est atteint d’une forme grave de la maladie de Bright, une maladie des reins potentiellement mortelle que les médecins considèrent à l’époque comme incurable. Avec l’aide du Dr. Thomas Addis de Stanford, il parvient à contrôler l’évolution de la maladie en suivant un régime faible en protéines et sans sel, inhabituel pour l’époque. Comme tous les patients d’Addis, il se voit également prescrire des vitamines et des sels minéraux.

À la fin des années 1950, Pauling travaille sur l’action des enzymes sur les fonctions cérébrales. Il pense que les maladies mentales pourraient être en partie causées par des dysfonctionnements enzymatiques. Lorsqu’il lit la publication de Abram Hoffer de 1965, Utilisation de la vitamine B3 en psychiatrie, il se rend compte que les vitamines pourraient avoir des effets biochimiques importants en plus de ceux liés à la prévention des maladies liées à leurs carences. En 1968, il publie dans Science sa publication la plus importante dans ce domaine : « Psychiatrie orthomoléculaire […] » (PMID 5641253), dans laquelle il invente le mot orthomoléculaire pour décrire le concept de contrôle de la concentration des composés présent dans le corps humain pour prévenir et guérir les maladies.

Vitamine C, rhume et cancer

Les recherches effectuées par Pauling au cours des années suivantes sur la vitamine C génèrent des controverses. Lorsqu’il découvre le concept de cures de vitamine C à hautes doses développé par le biochimiste Irwin Stone en 1966, il commence à en prendre plusieurs grammes par jour en plusieurs prises en prévention des rhumes. Enthousiasmé par les résultats, il s’intéresse à la littérature du domaine et publie Vitamin C and the Common Cold en 1970 (La vitamine C et le rhume).

En 1971, il débute une longue collaboration avec le cancérologue britannique Ewan Cameron au sujet de l’utilisation de la vitamine C en injection intraveineuse ou par voie orale pour le soin de malades du cancer en phase terminale. Cameron et Pauling écrivent de nombreuses publications ainsi qu’un livre de vulgarisation Vitamine C et cancer qui décrivent leurs observations. Malgré des résultats qui semblent favorables, la campagne de publicités négatives menée à son encontre sape la crédibilité de Pauling et de ses travaux sur la vitamine C pour de nombreuses années.

Toujours sur la corde raide depuis sa campagne de lutte contre les essais nucléaires en surface des années 1950 menée sur la base de la biologie moléculaire, Pauling se retrouve en 1985 privé de ses sources de financements institutionnelles et du soutien de ses pairs. Il collabore tout de même ensuite avec le physicien canadien Abram Hoffer sur un régime incluant de la vitamine C à haute dose comme traitement d’appoint du cancer.

De fait, Pauling est le promoteur de l’idée selon laquelle des doses élevées et étalées dans le temps de vitamine C seraient efficaces contre les rhumes et autres maladies, ce qui est encore controversé de nos jours (QuackWatch, Plos, WebMD). Les injections de vitamine C par voie intraveineuse pourraient avoir un effet positif pour le traitement de certaines formes de cancer.

En 1973, Pauling et deux de ses collègues fondent un institut de médecine orthomoléculaire à Menlo Park en Californie, rapidement rebaptisé Institut de sciences et de médecine Linus Pauling. Il y dirige des recherches sur la vitamine C, mais poursuit également ses travaux théoriques en chimie et physique jusqu’à sa mort en 1994. Au cours de ses dernières années, il s’intéresse particulièrement au rôle de la vitamine C dans la prévention de l’artériosclérose, et publie trois rapports sur l’utilisation de la vitamine C et de la lysine pour soulager l’angine de poitrine.

En 1996, deux ans après sa mort, l’Institut Linus Pauling déménage pour Corvallis (Oregon) où il fait maintenant partie de l’Université d’État de l’Oregon.

La dernière interview de Linus Pauling, recueillie en avril 1994 par le journaliste scientifique Thierry Souccar est parue en septembre 1994 dans le numéro 571 de Sciences et Avenir (pages 100-103) sous le titre Un génie s’en va.


Lisez la deuxième partie de cet article

 

yogaesoteric
16 octobre 2019

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