L’Univers électrique « hérétique » — Un nouveau paradigme (1)
Dans cet article novateur, Wallace Thornhill présente une nouvelle théorie du tout : l’Univers électrique. Mettez de côté tout ce que vous croyez savoir sur toutes les choses, grandes et petites, car les idées présentées ici bouleversent la donne. Y a-t-il eu un big bang ? Peu probable. La relativité d’Einstein ? Ne tient pas la route. Le Soleil est-il un réacteur à fusion thermonucléaire qui finira par manquer de combustible et par brûler ? Non. Y a-t-il des trous noirs ? Rien de tel. Qu’en est-il de la matière noire et de l’énergie noire ? Oubliez ces absurdités et commencez à vous intéresser à la science du 21e siècle.
« […] l’Univers électrique est la seule cosmologie cohérente ayant correctement prédit et expliqué les découvertes de l’ère spatiale. »
Par exemple, Thornhill a spécifiquement prédit les résultats inattendus de la mission Deep Impact pour la comète Tempel 1 en octobre 2001, presque quatre ans avant l’événement. Il a été le seul à réussir à prédire ce qui serait observé sous les nuages de Titan, la lune de Saturne.
Amas massif de galaxies composé de filaments cosmiques électriques les reliant entre elles.
L’Univers électrique « hérétique » — Un nouveau paradigme
par Wallace Thornhill — The Watchers
L’expérimentation du Soleil électrique
En 1972, un article paru dans une obscure revue scientifique a attiré mon attention. Il avait été écrit par l’ingénieur Ralph Juergens de Flagstaff, en Arizona :
« Je ne trouve aucun moyen d’affirmer cela de manière diplomatique, alors laissez-moi être franc : le concept moderne d’astrophysique qui attribue l’énergie du Soleil à des réactions thermonucléaires au plus profond de ses entrailles est contredit par presque tous les aspects observables du Soleil » [1].
En s’intéressant à toutes les caractéristiques les plus évidentes du Soleil, à savoir les granules photosphériques, les spicules, les taches solaires, la chromosphère et la couronne, Juergens a produit un modèle d’ingénieur détaillé d’un Soleil alimenté de façon électrique qui semblait rendre compte de tous les phénomènes de manière logique et simple. La croyance bien ancrée selon laquelle les étoiles sont des corps isolés dans l’espace, nécessitant une énergie thermonucléaire interne pour les alimenter pendant des milliards d’années, a entraîné un gaspillage incalculable dans les domaines de l’astrophysique et de l’énergie nucléaire.
En 2012, l’ingénieur canadien expérimenté Montgomery Childs a proposé de réaliser une expérience indépendante pour tester le modèle du Soleil électrique de Juergens. Il a déclaré qu’il ne pouvait « trouver aucune disparité » dans le modèle, ce qui est inhabituel. En regardant le ciel nocturne, le processus devait être simple et bien contrôlé. Sinon, le ciel ressemblerait au 4 juillet [en référence à la fête nationale des États-Unis – NdT]. C’est ainsi qu’est né le projet SAFIRE — Stellar Atmospheric Function in Regulation Experiment [Fonction atmosphérique stellaire dans l’expérience de régulation – NdT]. Comme son nom l’indique, il a été conçu pour imiter les caractéristiques essentielles du Soleil et de son environnement plasmatique de manière continue et facilement contrôlable. En attendant, le modèle thermonucléaire du Soleil reste théorique et imprévisible. Les tentatives de produire sur Terre de l’énergie de fusion similaire à celle que produirait le Soleil n’ont abouti à rien. Le domaine de l’énergie de fusion est chroniquement instable et improductif.
En 2019, lors de la conférence « Electric Universe » à l’université de Bath en Grande-Bretagne, l’expérience SAFIRE fut annoncée comme un succès. L’équipe de SAFIRE a réalisé un certain nombre d’expériences à haute énergie telles que la transmutation des éléments et des niveaux d’énergie extrêmement élevés qui ont confirmé les prévisions, mais elle a également montré le potentiel de remédiation des déchets radioactifs. L’énergie du Soleil est produite sous nos yeux par l’énergie électrique de la galaxie qui produit une énergie nucléaire bénigne dans l’atmosphère du Soleil. Les taches solaires sont sombres simplement parce que le corps du Soleil est plus froid sous la photosphère ! Et comme le suggère un sens peu commun, toutes les étoiles brillantes produisent continuellement des éléments lourds, bien que dans leur atmosphère ! La récente découverte d’atomes de fer hautement ionisés dans le vent solaire effectuée par la mission Cluster de l’ESA n’est donc pas une surprise [2].
Le soleil SAFIRE confirme l’hypothèse de l’Univers électrique selon laquelle le Soleil — et toutes les étoiles d’ailleurs — est fondamentalement électrique par nature et ne ressort finalement pas d’un phénomène thermonucléaire. En s’appuyant sur des recherches de pointe, l’équipe SAFIRE développe un nouveau réacteur à plasma nucléaire à énergie propre, qui pourra non seulement produire de l’énergie propre, mais devrait aussi être capable de nettoyer les déchets nucléaires.
L’Univers électrique
L’Univers électrique revient à la méthode scientifique classique éprouvée qui était celle en vigueur au XIXe siècle. Elle adhère aux principes de la physique et vise à la simplification, à la différence de l’explosion de particules imaginaires et de forces inexpliquées en vogue au siècle dernier. Par exemple, une seule force opère dans l’Univers, la force électrique. Le magnétisme, la gravité et la force nucléaire sont des effets divers produits par des protons et des électrons chargés et structurés orbitalement en réponse à une force électrique appliquée. Toute la matière de l’Univers est reliée par la force électrique. Et comme la force électrique peut être soit attractive soit répulsive, il existe un équilibre possible entre la force de cohésion et la force qui maintient les choses séparées. L’Univers est en équilibre. La force électrique est instantanée, ce qui est essentiel pour la cohérence et la stabilité des systèmes orbitaux à toutes les échelles. Le temps est universel. Cette connectivité en temps réel de l’Univers électrique nous permet de mieux nous comprendre et de comprendre notre place dans l’Univers. Nous ne sommes pas isolés et seuls dans cet Univers « conscient » dont l’âge et l’étendue sont inconnus. Nous sommes tous subtilement connectés les uns aux autres, à la Terre et à l’Univers électrique.
La cosmologie de l’Univers électrique est à la fois simple et élégante. Elle pourrait commencer à être enseignée à l’école primaire. Son histoire est exaltante. Entre le milieu des années 1800 et le début des années 1900, Kristian Birkeland réalisait ses expériences électriques sur la « petite Terre », ou Terrella, en Norvège, et Gauss et Weber découvraient la structure électrique de la matière. Weber a prédit la structure orbitale de l’atome, en se basant sur sa loi électrodynamique généralisée, environ quarante ans avant que J. J. Thomson ne découvre l’électron et ne produise son modèle d’atome en « plum pudding ». Plus tard, Ernest Rutherford découvrit son noyau lourd et Neils Bohr produisit une structure orbitale. Plus d’un siècle plus tard, les physiciens n’ont toujours pas compris la leçon et ont créé un modèle de « plum pudding » sans structure de particules subatomiques, rempli de quarks fantaisistes qui « disparaissent aussi vite qu’ils apparaissent » !
Aujourd’hui, les physiciens travaillent à partir d’idées fausses quant à la nature de la matière et aux concepts d’espace et de temps, à la relation entre la matière, la masse et la gravité, à la nature réelle des étoiles et des galaxies, ainsi qu’à la taille et à l’âge de l’Univers. Ainsi, lorsque les astrophysiciens se tournent vers les physiciens des particules pour résoudre leurs problèmes insolubles et que ces derniers s’en servent comme excuse pour gaspiller des milliards de dollars dans des expériences absurdes sur les particules, rares sont ceux qui admettent que ces deux domaines sont en crise. C’est vraiment l’aveugle qui mène l’aveugle. Ils fabriquent eux-mêmes leurs mystérieux problèmes.
Comment cette situation est-elle apparue ? Au XXe siècle, les technologues ont perfectionné la communication sans fil et les ordinateurs, et ont envoyé l’homme dans l’espace pendant que la science fondamentale s’enfonçait dans son propre trou noir de complication, d’illogisme et de pseudo-science. La cause principale en est, depuis Einstein, l’usurpation de la philosophie et de la physique naturelles par les mathématiciens. Einstein, et c’est peut-être tout à son honneur, est resté sceptique quant à sa contribution [3]. Pendant ce temps, consacrer son travail et traiter la dissidence comme un blasphème servait l’ego de ses disciples. Les futurs historiens de la science jugeront sévèrement le siècle dernier. Les écoliers de demain connaîtront la réponse à la question fondamentale Quelle est la principale force de l’Univers ?, aussi sûrement qu’ils connaissent actuellement la réponse à la question Quelle est la forme de la Terre ?. Ils vous diront que la gravité elle-même est une sorte de force électrique. C’est un Univers électrique.
La vidéo ci-dessous présente une merveilleuse introduction aux concepts présentés dans cet article :
(à suivre)
Notes :
1. Ralph Juergens, Reconciling Celestial Mechanics and Velikovskian Catastrophism, Pensée, Fall 1972, p. 9.
2. Phys.org. Iron is everywhere in Earth’s vicinity.
3. Dans une lettre personnelle au professeur Solovine, datée du 28 mars 1949 : « Vous pouvez imaginer que je repense à l’œuvre de ma vie avec une calme satisfaction. Mais à proximité, cela semble assez différent. Il n’y a pas un seul concept dont je suis convaincu qu’il restera ferme et je ne sais pas si je suis en général sur la bonne voie. » Cité dans B. Hoffman, Albert Einstein – Creator and Rebel (N.Y . : Viking Press, 1972).
yogaesoteric
27 novembre 2020