Une étude importante révèle que les enfants « transgenres » souffrent en réalité d’autres troubles mentaux

Alors que la National Association of Intercollegiate Athletics vient d’annoncer qu’elle n’autoriserait pas les hommes transgenres à participer aux épreuves sportives féminines dans l’une des 239 petites écoles privées qu’elle regroupe, une étude importante a été publiée mardi, 9 avril, qui bat en brèche l’avertissement hystérique selon lequel les adolescents souffrant de dysphorie de genre se suicideraient s’ils ne recevaient pas de « soins d’affirmation du genre ».

La nouvelle étude du Dr Hilary Cass, pédiatre britannique, confirme ce que nous avons toujours su : Les enfants qui présentent une dysphorie de genre soudaine souffrent en fait d’autres diagnostics de santé mentale, et non d’une véritable dysphorie de genre. Ses recherches réfutent les arguments fréquemment avancés par les idéologues du genre, à savoir que l’imposition de « soins d’affirmation du genre » à des enfants souffrant de troubles mentaux n’est pas seulement nécessaire, mais qu’elle leur sauve la vie.

Les recherches de Cass révèlent au contraire que les enfants qui pensent être transgenres ont, de manière disproportionnée, des problèmes de santé mentale résultant d’une situation familiale difficile ou de violences domestiques. Ils sont également plus susceptibles d’être neurodiverses et de souffrir d’un trouble du spectre autistique comorbide.

Cass révèle que les interventions médicales « d‘affirmation du genre » ne remédient à aucun de ces problèmes psychologiques. L’utilisation efficace de ces interventions reviendrait à fermer les yeux sur la véritable détresse psychologique sous-jacente avec laquelle les enfants victimes de confusion sexuelle sont souvent aux prises.

Le rapport novateur de Cass révèle que la thérapie de santé mentale est la meilleure approche pour les enfants souffrant de dysphorie de genre, plutôt que de se précipiter pour les mettre sous hormones ou bloquer la puberté, ou de pratiquer des interventions chirurgicales mutilantes et irréversibles.

Son rapport avertit également que si les enfants sont autorisés à faire des choix pour se conformer physiquement et socialement au sexe de leur choix, plutôt que de recevoir le traitement nécessaire pour leurs problèmes de santé mentale sous-jacents, ils subiront d’importantes répercussions psychologiques négatives.

Oui, vous avez bien lu. L’obtention de soins médicaux « d’affirmation du genre » entraîne les répercussions psychologiques négatives contre lesquelles les identitaires de genre nous mettent en garde. Et le fait de ne pas en bénéficier n’en crée pas.

L’histoire de la dysphorie de genre chez les adolescents commence enfin à s’effondrer.

Les conservateurs et les critiques du genre ont longtemps mis en garde contre la précipitation à castrer chimiquement et à mutiler les enfants souffrant de confusion de genre, préconisant plutôt l’approche européenne de « l’attente vigilante » et du conseil en santé mentale. Il semble qu’ils aient eu raison depuis le début.

Le rapport de Cass sur la dysphorie de genre est la deuxième étude accablante publiée en dix jours. Il a été publié peu après une autre étude qui a ouvert une brèche dans le barrage apparemment impénétrable de l’identité de genre érigé par la Maison Blanche, les élites culturelles, les célébrités et les groupes médicaux politisés.

Une étude néerlandaise portant sur 2.700 enfants a révélé qu’une grande majorité des enfants qui se sentent désorientés par rapport à leur sexe se débarrassent de ce sentiment avant d’atteindre l’âge adulte. Cette recherche récemment publiée a suivi des adolescents pendant plus de 15 ans et a révélé que la confusion de genre chez les enfants diminuait considérablement avec le temps, soutenant l’argument selon lequel lorsque les enfants croient qu’ils sont transgenres, il ne s’agit souvent que d’une sensation passagère – et non d’un fait indiscutable.

L’étude de Cass et la récente étude néerlandaise s’opposent toutes deux à la transition des enfants qui font état d’une dysphorie de genre. Ensemble, elles préconisent un traitement holistique de ces adolescents, un traitement qui s’attaque aux raisons psychologiques complexes pour lesquelles un enfant peut penser qu’il est né dans le mauvais corps.

On a menti aux enfants souffrant de confusion sexuelle, et les adultes qui leur ont menti doivent être tenus pour responsables. Le flot de litiges mettant en cause ces pratiques pernicieuses ne fait que commencer.

 

yogaesoteric
20 mai 2024

 

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