Une « obligation vaccinale » est illégale si elle n’est pas « proportionnée au but de santé »
Le 13 octobre, le projet de loi sur la vaccination obligatoire contre le SRAS-CoV-2 a été rejeté par le Sénat. Il n’y aurait pas de souci à se faire, déjà parce qu’à la différence des « onze vaccins » rendus obligatoires ces médicaments géniques proposés contre la C-19 n’ont que des autorisations provisoires. Et donc tant qu’ils ne seront pas dûment avalisés (d’ici au moins deux ans) il s’avère que même si une « loi » de circonstance était votée au Parlement celle-ci serait légalement invalidée, du moins si le Conseil Constitutionnel et le Conseil d’État restent des juridictions autonomes.
Ensuite, quand bien même par la suite ces médicaments seraient labellisés, il s’avère que la nécessité du consentement reste cruciale, du moins toujours en « État de Droit », tant et si bien d’ailleurs qu’une décharge est actuellement signée par chaque participant à l’expérimentation grandeur nature actuelle, d’où l’impossibilité d’obliger à s’y soumettre (article 36 du Code de santé publique).Certes, des « médias » font état de l’existence d’une telle obligation pour certains médicaments (les « onze vaccins »). Il s’avère cependant que cela reste lié au caractère très létal des maladies concernées, ce qui implique l’importance de la notion de « proportionnalité » qu’ils sont obligés d’admettre.
Pour ce faire, il faudrait juridiquement qu’« ils » (les membres de la Secte hygiéniste-affairiste) arrivent à démontrer qu’une maladie aussi peu létale que celle de C-19 (du moins en dessous de 84 ans) bénéficie d’un statut égal à celui des maladies qui sont à l’inverse très mortelles. Et ceci d’autant plus que nous avons des médicaments qui marchent, et ce de mieux en mieux. D’où, d’ailleurs, le refus de l’admettre (et le fait de les écarter), car autrement cela mettrait bien sûr à bas cette idée fixe de vouloir à tout prix imposer un médicament expérimental pour une maladie somme toute très contrôlable (du moins selon les vrais spécialistes capables de prouver ce qu’ils disent sur la base de vraies études).
Il faut donc plutôt et en effet s’attendre à l’inverse : le fait que des actions en justice soient déclenchées à l’encontre de tous ceux qui ont empêché sciemment les médecins de prescrire, et ont bloqué des médicaments qui marchent (au nom d’effets secondaires supposés, pendant que ceux — pourtant innombrables — qui proviennent de leurs médicaments expérimentaux sont toujours balayés d’un revers de main). Sans parler des chantages et autres intimidations. C’est plutôt dans ce sens que le balancier doit aller.
Sinon c’est la goutte d’eau de trop : l’explosion.
yogaesoteric
30 octobre 2021