Vous pouvez prendre l’ADN de quelqu’un et créer une arme biologique contre cette personne
Jason Crow, membre du Congrès américain, a déclaré qu’il existe une arme biologique qui utilise l’ADN pour tuer des personnes. Il a lancé un avertissement similaire lors du Forum sur la sécurité à Aspen, dans le Colorado.
Crow a averti les Américains de ne pas être aussi négligents, car leurs échantillons d’ADN pourraient tomber entre les mains de sociétés privées en raison de l’émergence d’un nouveau type d’arme.
« Vous pouvez prendre l’ADN de quelqu’un, saisir son profil médical, puis le cibler avec une arme biologique qui le tuera, le retirera du champ de bataille ou le rendra inopérant », a déclaré M. Crowe.
Le membre du Congrès a déclaré qu’il était préoccupé par le développement de telles armes en raison de la popularité croissante des services de tests ADN, où les gens partagent volontiers leurs cartes génétiques avec des entreprises privées afin d’obtenir des informations sur leur généalogie et leur santé.
« Vous ne pouvez pas discuter de ce sujet sans tenir compte de la protection de la vie privée et des données commerciales, car les attentes en matière de protection de la vie privée ont empiré au cours des 20 dernières années.
Les enquêtes et les données montrent que les jeunes en savent très peu sur la vie privée. Les gens crachent rapidement dans une tasse, l’envoient à 23andMe et obtiennent des données vraiment intéressantes sur leurs antécédents génétiques », explique M. Crow.
23andMe est une société privée américaine de biotechnologie qui fournit à des clients privés des informations sur leur prédisposition aux maladies, sur la base de l’analyse du biomatériau fourni. En juin 2015, ils sont connus pour avoir effectué des analyses ADN sur plus d’un million de personnes.
« Et devinez ce qui se passe ensuite ? Leur ADN est désormais la propriété de cette entreprise privée. Et il peut être vendu avec très peu de protection de la propriété intellectuelle ou de la vie privée, et nous n’avons pas les régimes juridiques et réglementaires pour faire face à cela. »
« Nous devons avoir une discussion ouverte et publique sur ce à quoi ressemble la protection des informations médicales, des informations ADN et de vos données, parce que ces données seront en fait obtenues et collectées par nos adversaires pour développer ces systèmes ! » Voilà ce que résume Crowe.
Crow est un ancien militaire qui a servi en Irak et en Afghanistan, il en sait donc plus qu’assez sur les différents types d’armes. C’est pourquoi sa déclaration semble si alarmante, et s’il parle de la création d’une arme ADN, il est fort probable qu’une telle arme ait déjà été créée et utilisée il y a longtemps.
À cet égard, nous pouvons rappeler une série d’oncologies étranges parmi les chefs de différents pays, qui a été enregistrée il y a plusieurs années. Il s’agissait principalement de dirigeants de pays d’Amérique latine. Les présidents sont tombés malades du cancer en peu de temps et sont morts ou ont été traités pendant une longue période.
En 2018, le président vietnamien Tran Dai Quang est mort d’un cancer, son cancer a été diagnostiqué soudainement et l’a tué en un an, malgré le fait qu’il se soit rendu six fois au Japon pour se faire soigner, où il y a un haut niveau de médecine, y compris en termes d’oncologie.
Les médecins ont finalement déclaré que la forme de cancer trouvée chez Chan Dai Kuang est si rare qu’il n’existe même pas de statistiques scientifiques à son sujet.
Le président vénézuélien Hugo Chavez est mort d’un cancer en 2013, et les scientifiques du pays ont rapidement découvert d’étranges « éléments chimiques » dans ses échantillons de tumeurs, à l’origine de l’oncologie. Immédiatement, des rumeurs ont circulé selon lesquelles Chavez aurait été atteint d’un cancer par les services spéciaux américains.
En 2012, le président argentin Néstor Kirchner, un ami de Chávez, est mort d’un cancer de l’intestin. Et en 2013, Cristina Fernandez de Kirchner, la veuve du président, qui l’a remplacé à ce poste, a été diagnostiquée avec un carcinome de la thyroïde.
Le président brésilien Lula da Silva a été diagnostiqué d’un cancer de la gorge à l’âge de 66 ans, et sa successeure Dilma Rousseff, qui a succédé à Silva en 2011, a été diagnostiquée d’un cancer du sein deux ans après son investiture.
En 2013, on a diagnostiqué un lymphome chez le président paraguayen Fernando Lugo, un cancer nasal chez le président bolivien Evo Morales et un cancer de la prostate chez le président colombien Juan Manuel Santos Calderon. À propos, Fidel Castro est également décédé d’un cancer, après avoir survécu à des centaines de tentatives d’assassinat « traditionnelles » organisées par la CIA.
Quant à 23andMe, elle a déclaré à plusieurs reprises par le passé qu’elle ne vendait pas les informations personnelles de ses clients. Cependant, il existe de nombreuses entreprises privées de ce type aux États-Unis, et des politiciens aussi anxieux que Crow.
La sénatrice américaine Joni Ernst de l’Iowa, membre de la commission des forces armées du Sénat, s’est rangée à l’avis de Crow lors du même forum à Aspen et a déclaré que les rivaux des États-Unis pourraient utiliser des armes biologiques avec de l’ADN pour détruire massivement les réserves alimentaires.
Mme Ernst a averti que les armes biologiques pourraient être utilisées spécifiquement pour tuer des animaux précis dont dépendent les citoyens, les troupes ou les villes, ce qui entraînerait des pénuries alimentaires et l’insécurité et affaiblirait les populations.
Le Washington Examiner a écrit un article basé sur les discours de M. Crow sur la facilité avec laquelle il serait possible d’utiliser des bases de données privées d’ADN pour développer des armes biologiques comme celle que M. Crow a effrayée.
La publication explique que l’ADN appartenant à la cible visée, ou même pas à la cible, mais à un proche parent, peut être volé et utilisé pour créer une arme biologique efficace uniquement contre cette personne.
Cette technologie pourrait conduire à la création de programmes d’assassinats ciblés, tout en rendant beaucoup plus difficile la traque des instigateurs directs de l’assassinat. Une technologie similaire pourrait être appliquée à l’agriculture américaine en développant des armes qui ne visent qu’une race spécifique d’animaux de ferme ou de cultures.
On estime que cela pourrait plonger le pays dans la famine et mettre les États-Unis à genoux face à une action militaire de leurs rivaux, comme la Russie ou la Chine.
L’année dernière, le sénateur américain Marco Rubio a tiré la sonnette d’alarme sur le fait que des laboratoires russes et chinois traitaient des tests ADN américains par le biais de Medicare et Medicaid.
« Il est ridicule que notre politique actuelle permette au Parti communiste chinois d’accéder aux données génomiques des Américains », a déclaré Rubio dans un communiqué.
« Il n’y a absolument aucune raison pour que Pékin, qui cherche régulièrement à saper la sécurité nationale américaine, reçoive les données génomiques des citoyens américains. »
Pour tenter de faire face à une telle « menace cachée », dès 2018, les entreprises travaillant avec l’ADN américain, telles qu’Ancestry, 23andMe, Habit, Helix et MyHeritage, ont signé une politique élaborée avec l’aide du Future of Privacy Forum, un organisme à but non lucratif, afin de soutenir « la promotion de pratiques responsables de traitement des données à l’appui des nouvelles technologies ».
Les nouvelles règles volontaires exigent un consentement séparé des utilisateurs avant de partager des « informations de niveau individuel » avec d’autres entreprises, et une plus grande transparence sur le nombre de demandes de données reçues et exécutées par les forces de l’ordre.
Si toutes les entreprises ont déclaré être d’accord avec ces normes de pratique, aucune loi ne permet de les faire appliquer.
yogaesoteric
11 octobre 2022