Le dispositif à ARNm anti-covid n’est PAS un « vaccin », ni même un médicament, un traitement ou une thérapie — Alors, c’est quoi ?

par Makia Freeman — The Freedom Articles

La substance anti-covid à ARNm préparée en laboratoire et désormais déployée par des militaires dans de nombreux pays du monde, n’est pas un « vaccin ». Je le répète : ce n’est pas un « vaccin ». On peut certes le qualifier de beaucoup de choses, mais certainement pas de « vaccin ». Nous devons prendre conscience du fait que la fraudémique du covid a rapidement accéléré les aspects technocratiques et transhumanistes du Nouvel Ordre mondial au point que des milliers de personnes font aveuglément la queue pour se faire injecter un « traitement » qui est aussi [et avant tout ? – NdT] un dispositif chimique, un système d’exploitation, un agent pathogène synthétique et un dispositif de production d’agents pathogènes chimiques. Cette nouvelle « concoction bizarre » anti-Covid constitue un tout nouveau type de technologie, potentiellement encore plus dangereux que le toxique vaccin moyen. Dans cet article, nous allons explorer plus en profondeur ce qu’est cette « concoction » à ARNm.

Note du traducteur : Le choix a été fait de parler de « vaccin » uniquement pour définir que dans le cas de l’ARNm ce n’en est pas un, et pour parler de ce qu’il est dans son sens usuel. Dans tous les autres cas, le mot « vaccin » utilisé par l’auteur a été remplacé par d’autres mots ou expressions.

Les docteurs David Martin et Judy Mikovits expliquent que la « substance » anti-covid n’est pas un « vaccin »

Voici le court extrait d’un échange entre les docteurs David Martin et Judy Mikovits (qui ont tous deux jusqu’à présent été très éloquents pour mettre en lumière les éléments relatifs à la soi-disant-pandémie de covid) qui s’entretiennent avec Robert Kennedy Jr. et l’avocat Rocco Galati, lequel représente un groupe canadien de défense de la liberté qui poursuit en justice le gouvernement quant à la vaste escroquerie que constitue le covid. David Martin fait valoir des points extrêmement importants sur le fait que nous ne pouvons pas étiqueter avec précision le dispositif que Moderna et Pfizer/BioNTech présentent de manière coercitive comme un « vaccin », puisque tant sur le plan médical que juridique, ça n’en est pas un :
« Il ne s’agit pas d’un vaccin […] le terme vaccin est utilisé pour rendre cette substance subrepticement acceptable en vertu d’une autorisation d’utilisation d’urgence dans le cadre de la santé publique […] Il s’agit d’un ARNm encapsulé dans une enveloppe de graisse qui doit pénétrer une cellule. C’est un dispositif [soi-disant – NdT] médical conçu pour stimuler la cellule humaine de manière à ce qu’elle puisse produire elle-même des agents pathogènes. Ce n’est pas un vaccin ! Le vaccin en tant que tel est en fait un terme défini de manière légale […] en vertu de la loi sur la santé publique […] et en vertu des normes du CDC et de la FDA, un vaccin doit spécifiquement stimuler à la fois l’immunité de la personne qui le reçoit, mais il doit également perturber la transmission […] Ils se sont montré très clairs en disant que le brin d’ARNm qui entre dans la cellule n’est pas conçu pour arrêter la transmission [de la maladie]. Il s’agit d’un traitement. Mais si on en parlait comme d’un traitement, il ne recevrait pas l’oreille compatissante des autorités de santé publique, car les gens diraient alors : Existe-t-il d’autres traitements ?

L’utilisation du terme ” vaccin ” est inadmissible […] car il s’agit en fait d’un argument massue qui vise à pouvoir en parler comme s’il en était un […] Moderna a été créée en tant que société de chimiothérapie pour le cancer, et non en tant que fabricant de vaccins contre le Sras […] si nous disions que nous allons administrer aux gens une chimiothérapie prophylactique pour un cancer qu’ils n’ont pas, on vous rirait au nez, car c’est une idée stupide. C’est exactement la même chose ! Il s’agit d’un dispositif mécanique, sous la forme d’un très petit concentré de technologie, qui est inséré dans le système humain pour stimuler la cellule [cible] afin qu’elle produise elle-même des agents pathogènes.

La seule raison pour laquelle ce terme [vaccin] est utilisé est d’exploiter [et de s’appuyer sur] l’affaire Jacobson de 1905 qui a été déformée dès son origine. L’honnêteté nous oblige à nommer cette ” substance ” en fonction de ce qu’elle est vraiment : un dispositif chimique pathogène destiné en fait à déclencher un processus qui oblige la cellule à produire elle-même un pathogène chimique. Il s’agit d’un dispositif [soi-disant – NdT] ” médical “, pas d’un médicament, pour la bonne et simple raison qu’il répond à la définition de dispositif conformément au CDRH [Center for Devices and Radiological Health].

Notes du traducteur : Selon Wikipedia, l’affaire « Jacobson versus Massachusetts », est allé jusqu’à la Cour suprême des États-Unis, une affaire dans laquelle cette dernière a confirmé l’autorité des États à appliquer les lois sur la vaccination obligatoire. La décision de la Cour a exprimé l’opinion selon laquelle la liberté individuelle n’est pas absolue et qu’elle est soumise au pouvoir de police de l’État. Cette affaire a également constitué un précédent permettant au gouvernement fédéral de justifier le port du masque obligatoire et les mesures de confinement qui ont cours depuis début 2020 dans le cadre du Covid.

Le CDRH [Centre des dispositifs radiologiques dédiées à la santé] est une branche de la FDA responsable de l’approbation préalable à la mise sur le marché de tous les dispositifs médicaux, ainsi que de la supervision de la fabrication, des performances et de la sécurité de ces dispositifs.

Il est fait pour vous rendre malade […] 80 % des personnes qui sont exposées au prétendu virus [Sras-Cov-2] n’ont aucun symptôme […] 80 % des personnes qui se font injecter cette [substance] développent un effet indésirable clinique. On vous injecte une substance chimique pour vous rendre malade, et non pour provoquer une réponse immuno-transmissive. En d’autres termes, rien de tout cela ne vous empêchera de transmettre quoi que ce soit. Il s’agit de vous rendre malade, et que ce soit vos propres cellules qui le fassent toutes seules. »

Note du traducteur : Ce qui constitue évidemment un summum dans la perversité de ce qui est présenté de manière coercitive comme étant un « vaccin »…

Judy Mikovits ajoute :
« Il s’agit d’un pathogène synthétique. Ils ont littéralement injecté cette partie pathogène du virus dans chaque cellule du corps […] il peut en fait directement entraîner une sclérose en plaques, la maladie de Lou Gehrig, la maladie d’Alzheimer […] il peut provoquer un cancer accéléré […] c’est ce que l’expression de ce morceau de virus […] fait et on le sait depuis des décennies. »

Selon Moderna, leur « soi-disant-vaccin » Covid est un système d’exploitation

Le « logiciel de la vie » du système d’exploitation du vaccin à ARNm

Le « soi-disant-vaccin » Covid à ARNm est un système d’exploitation qui peut programmer votre ADN — et donc vous programmer — au niveau le plus fondamental de ce qui constitue votre profil génétique. Est-ce une exagération ? Non, ce n’est pas exagéré. Moderna déclare sur son site Web que sa plateforme technologique à ARNm est un « logiciel de vie » et « fonctionne comme un système d’exploitation sur un ordinateur ». Ce qui suit provient directement de leur site Web :
« Il est conçu de manière à pouvoir de manière interchangeable se brancher sur et utiliser différents programmes. Dans notre cas, le “programme” ou “app” correspond à notre médicament à ARNm — la séquence unique d’ARNm qui code pour une protéine »

Note du traducteur : Ce sujet est particulièrement développé dans l’article « Covid-19 — Le fer de lance pour la mise en place d’une « nouvelle ère » de VACCINS à haut risque, génétiquement MODIFIÉS »:
Les approches ARNm semblent attirer les scientifiques pourvus d’une vision très mécaniste de l’être humain. L’une de ces personnes fait l’éloge de l’ARNm pour son « inhérente capacité de programmation », en déclarant : « Tout comme un ordinateur [système d’exploitation], la thérapie par ARNm peut reprogrammer [un] corps pour qu’il produise ses propres thérapies ». Les approches ARNm — qui utilisent des brins d’ARNm « sur mesure » pour « transformer les cellules du corps en usines à médicaments ad hoc » — sont comparés par le PDG de Moderna à « un logiciel : il suffit de tourner la manivelle et de mettre au point toute une kyrielle de produits ». De même, la revue Nature — qui commente la technologie de l’ARNm « d’un point de vue biotechnologique et industriel » — s’enthousiasme du fait que cette approche « permet un peaufinage rapide avec des combinaisons dérivées presque illimitées ».

L’objectif planifié : faire de chaque humain une unité numérique sur la grille de contrôle

Nous entrons rapidement dans le monde de la transhumanisation, où nos corps biologiquement naturels sont infiltrés et piratés par des éléments synthétiques, et en tout premier lieu au niveau des nanoparticules. Les agents à la manette du Nouvel Ordre mondial ont pour objectif de télécharger une sorte de système ou de logiciel Microsoft Office dans notre corps et notre cerveau, et de nous connecter au Cloud JEDI et/ou à celui d’Amazon-CIA, afin de pouvoir accéder directement à notre cerveau. Ensuite, pour régulièrement nous mettre à jour, tout comme les logiciels informatiques sont périodiquement mis à jour, ils pourront déployer des « soi-disant-vaccins » qui n’en sont pas. Les virus, réels ou non, et les vaccins, réels ou non, ne sont que des vecteurs pour atteindre cet objectif.

Transformer les êtres humains en marchandises grâce au système « monétaire » du crédit social

Alison McDowell résume ci-dessous ce qui constitue la voie la plus probable actuellement empruntée par le Nouvel Ordre mondial pour favoriser le transhumanisme, laquelle implique de manière à induire une conformité à l’échelle de la planète le crédit social, la 5G, le réseau intelligent et l’intelligence artificielle :

« Au sein du système tech-no-logique, un engagement strict sera exigé. Adopter un comportement conforme devient une monnaie d’échange, symbolisée par des jetons [ou des coins, les deux étant propres au système de crypto-monnaie – NdT] dans une blockchain [ou chaîne de blocs – NdT] et surveillée par des capteurs et une intelligence artificielle. Ils nous préparent à un avenir où nous serons en compétition les uns avec les autres et ce sera à qui adoptera le meilleur comportement et sera le plus docile. Pour survivre, il faudra se conformer aux termes véhéments des modalités financières imposées par les psychopathes. Pour obtenir les données nécessaires à la vérification des affirmations contenues dans les combines tordues de « rémunération selon la performance », notre mère, la Terre, doit être transformée en une prison numérique géo-délimitée grâce à la 5G et aux constellations de satellites. Toutes vos données seront ajoutées à votre « dossier permanent » afin d’évaluer la valeur de votre capital humain pour les portefeuilles des investisseurs. Les milliardaires envisagent un avenir où la liberté serait un privilège strictement limité à leurs personnes, à leurs fonctionnaires et aux robots qu’ils contrôlent. Soyez assuré que l’intelligence artificielle veille déjà au grain et que l’enregistrement des scores associés au crédit social est en cours. »

Note du traducteur : Plus d’informations avec cet article « Le Covid-19 sert de prétexte pour établir une surveillance de masse et un traçage numérique de tous impossibles sans la 5G »
« L’aggravation effrayante de l’emprise des Technologies de l’information et de la communication (TIC) sur nos vies et son corollaire constitué par les projets de traçage électronique des populations au nom de la nécessité de limiter la contagion du Covid-19, constituent deux évolutions caractérisées par une accélération des Pouvoirs en place dans l’usage massif des technologies. Dès lors, la bascule de nos sociétés vers un nouveau régime social doublé d’un totalitarisme mortifère n’a plus rien d’une science-fiction. Notre unique fenêtre sur le monde s’ouvrira-t-elle sur nos seuls écrans, froids et inhumains ? »

C’est un avenir sombre, mais il n’est pas gravé dans le marbre. Je suis absolument d’accord avec McDowell pour dire qu’il est possible de ne PAS l’accepter comme une fatalité ni même vivre une période aussi douloureuse, SI et SEULEMENT SI nous pouvons nous réveiller rapidement et en modifier l’issue. Nous devons toutefois et en tout premier lieu accepter le fait que nous sommes probablement engagés sur cette voie. Que cela nous plaise ou pas, c’est la trajectoire actuelle. Comment pouvons-nous la modifier ? Tout d’abord en regardant à l’intérieur de nous-mêmes. Pour nous changer nous-mêmes, nous devons changer notre monde intérieur et changer notre perception, et donc changer notre réalité :

« Cet avenir planifié n’est cependant PAS prédestiné. Le transhumanisme totalitaire n’est pas une fatalité. Le remède de Trudell ? Changer notre perception de la réalité par une non-coopération active. Manifester dans nos cœurs, nos esprits et nos actions le monde que nous désirons. Là où ils se déconnectent, les RECONNECTEZ avec intention ; non seulement les uns avec les autres, mais avec TOUTES nos relations, et la Terre, et les êtres spirituels qui existent au-delà de nos sens. Nous devons nous synchroniser pour changer la réalité vibratoire, et ce pouvoir existe en nous en tant qu’enfants de la Terre. »

Il ne s’agit pas d’un discours farfelu, mais plutôt d’une prise de conscience de notre coopération [même inconsciente – NdT] à la co-création d’un monde cauchemardesque, par le simple fait d’autoriser [même inconsciemment, voire justement parce que c’est inconscient – NdT] que notre perception soit programmée pour permettre au Nouvel Ordre mondial d’émerger. Pour y parvenir, ils utilisent notre énergie ! Si nous voulons récupérer notre souveraineté, nous devons nous réapproprier notre perception en déconstruisant la programmation qui nous a été implantée.

Note du traducteur : Changer sa perception intérieure ne peut se faire qu’en parallèle d’un changement de perception que l’on se fait du monde extérieur tel qu’il est, à savoir une pseudo-réalité. Sans elle, les psychopathes mentionnés par l’auteur n’ont aucun pouvoir sur les masses. Pour nous changer nous-même, il faut donc être capable de voir que ce qui nous est présenté comme une réalité n’en est pas une et que le seul moyen d’en modifier l’issue est en tout premier lieu de reconnaître l’existence de cette pseudo-réalité psychopathique pour ce qu’elle est :
« Quelle pourrait donc être la réponse à cet imbroglio périlleux et permanent ? Heureusement, la première étape s’avère — pour le moins — très simple. Elle consiste tout simplement à en prendre conscience : apprendre à reconnaître la pseudo-réalité artificielle pour ce qu’elle est — une simulation de la réalité forgée de toutes pièces et inadaptée aux sociétés humaines — et entreprendre de rejeter sans aucune ambiguïté tout appel à y participer. Autrement dit, il faut refuser l’analyse de la paralogie — en discernant ses contradictions — et s’opposer à la paramoralité qui entretient le mensonge — en reconnaissant son caprice, sa malveillance et son caractère néfaste.

[…]Avoir en mémoire le fait que la pseudo-réalité n’est pas réelle, que sa paralogie n’est pas logique et que sa paramoralité n’est pas morale permet de trouver le courage nécessaire de résister. » La psychopathie et les origines du totalitarisme

Nous ne saurions trop recommander la lecture de l’article ici mentionné, tant il nous apparaît comme fondamental et de la plus haute importance dans la compréhension des événements que nous vivons aujourd’hui.

Dernières réflexions — L’outil technocratique et transhumaniste

Il est essentiel de savoir, et de dire aux autres, que l’actuel produit à ARNm anti-Covid n’est pas un « vaccin ». Ce n’est pas seulement important pour toutes les raisons énumérées ci-dessus mais aussi parce que Big Pharma s’est assuré d’une immunité juridique contre les dommages que ce dispositif engendre par le simple fait de l’appeler « vaccin ». Ces dispositifs sont conçus pour vous reprogrammer au niveau le plus fondamental. Ce ne sont pas des « vaccins », ce ne sont pas des médicaments, et à mon avis, ce ne sont même pas des traitements ou des thérapies. Je ne me contenterai pas de les qualifier de dispositifs chimiques, systèmes d’exploitation, agents pathogènes synthétiques et dispositifs de production d’agents pathogènes chimiques, qui sont déjà des termes en soi révélateurs et assez horribles. Je les qualifierais d’outils technocratiques et transhumanistes destinés à modifier en permanence notre génétique et à nous transformer en un humain synthétique. Ils sont le symbole de la rapidité avec laquelle le programme du Nouvel Ordre mondial se manifeste dans notre réalité physique [grâce à leur pseudo-réalité – NdT] et, espérons-le, un appel à tous pour que chacun s’efforce davantage de mettre fin à ce sombre et infâme programme tant qu’il est encore temps.

 

yogaesoteric
1 décembre 2021

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