Climat : La censure, l’anti-science et la désinformation

par Jacques Henry

Les cas de la censure dont a été victime le Docteur Clauser, prix Nobel de physique, interdit de parole au Fond monétaire international, les campagnes de dénigrement à l’encontre en France du professeur François Gervais, géophysicien, qui claqua la porte de l’IPCC, du docteur Henrik Svensmark qui a osé émettre l’hypothèse d’une influence des rayons cosmiques sur l’évolution du climat et il est inutile de mentionner Valentina Zharkova, mathématicienne à l’Université de Northumbria, qui a analysé les variations de l’activité magnétique du Soleil à l’aide d’équations compliquées, sont bien connus.

Les autorités politiques occidentales ont ouvert une véritable chasse aux sorcières pour réduire définitivement au silence ces blasphémateurs, négationnistes de surcroît ! Le mot négationniste est ici utilisé à dessein car il est politiquement révélateur car il signifie une négation de faits historiques non contestables. Et le terme blasphémateur dénote cet aspect religieux de la mise en scène internationale de la destruction du climat (et par extension de la planète entière) par les consommateurs compulsifs d’énergie fossile carbonée. Il est en effet interdit de troubler la mise en place du « nouvel ordre mondial » décidé en haut lieu. Cette mise en place d’un nouvel ordre mondial est pourtant adossée à un mensonge, une hypothèse non prouvée et pour cause la théorie de l’effet de serre du gaz provenant de cette consommation de combustibles fossiles carbonés ne peut pas être prouvée puisqu’elle contredit les lois fondamentales de la thermodynamique.

Qu’à cela ne tienne les manipulateurs d’opinion ont été investis d’une mission consistant à troubler les esprits encore habités par une once de bon sens. Il s’agit d’une véritable promotion de ces fausses théories exactement calquée sur le mécanisme de promotion d’un paquet de lessive ! Jamais on expliquera ce que contient un paquet de lessive : des détergents difficilement dégradables naturellement et, pire encore, des enzymes produits par des bactéries génétiquement modifiées. Jamais les intervenants sur les plateaux de télévision ne vous expliqueront que la théorie de l’effet de serre du gaz carbonique est une vue de l’esprit. Tony Heller, pseudonyme utilisé par Steven Goddard, un environnementaliste de longue date, publie des articles sur son site et maintenant sur X, ex-Twitter puisqu’il a été victime de censure, France24 reprenant une dépêche de l’AFP titrait en janvier 2023 cette information au sujet de Tony Heller :

Comme je suis un lecteur assidu de Tony Heller je suis donc complice d’un « dénialiste » et « conspirationniste » de surcroit. Je retourne donc l’argument de France24 : qui est conspirationniste dans cette histoire, les fonctionnaires de l’ONU qui promeuvent de fausses théories ou les « dénialistes » qui respectent les lois fondamentales de la physique et ne font pas de « cherry-picking » pour prouver que le climat se réchauffe. Pourquoi ont-ils besoin de censurer les centaines de scientifiques honnêtes qui ont osé clamer leur désaccord dans une démarche pragmatique ? La censure a été utilisée durant l’entre deux-guerre par des régimes totalitaires pour imposer leurs idéologies destructrices de liberté. Nous en sommes au même point aujourd’hui, par conséquent le monde occidental n’a plus que ce choix pour sauver sa peau : sombrer dans le totalitarisme….…

Mais reprenons ici deux graphes mis en ligne par Tony Heller avant que son site ne soit victime de censure. Il s’agit de représentations de la température enregistrée par les stations météo disséminées sur le territoire américain continental. La moyenne du nombre de ces stations dont la température a atteint seuil n’est pas une aberration scientifique contrairement aux moyennes de température, comparées à une autre moyenne de températures considérée à tort comme scientifiques. En effet la température est une mesure instantanée du mouvement brownien et des vibrations des molécules de gaz ou de liquide et de l’émission de photons par les solides et également par les liquides et les gaz. On ne peut donc pas faire de moyennes de cette grandeur dite « vive », c’est tout simplement de la fausse science, de la science de café du commerce que le public n’est pas capable de comprendre. Tony Heller, sur cet aspect, est donc un véritable scientifique respectueux des lois physiques. Heller, accusé de révisionnisme et d’être un imposteur, analyse au contraire avec élégance les résultats des enregistrements des stations météo terrestres éloignées de sources de chaleur parasites comme les environnements urbains, ou les aéroports considérés à tort comme éloignés des îlots artificiels de chaleur, comme par exemple la Place des Vosges à Paris qui, bien qu’arborée, est soumise aux radiations infra-rouges émises par les quelques voitures qui la traverse mais surtout par les immeubles d’habitations majoritairement mal isolés puisqu’il s’agit de constructions classées dans le patrimoine architectural de Paris et construits au début du XVIIe siècle sous le règne de Henry IV. L’IPCC est un spécialiste de la manipulation des températures alors que Heller réalise des statistiques sur le nombre de stations météo procurant des données de température. Les deux représentations graphiques ci-dessous ne diffèrent que par le seuil de températures choisies qui diffèrent l’un de l’autre de seulement 2,8°C :

On remarque tout de suite un premier épisode de températures élevées entre la fin des années 1920 et le début des années 1960 dans le graphique « 35°C », épisode suivi d’une autre période « chaude » moins prononcée et plus courte dominée par un intense phénomène El Nino inhabituel de près de trois ans. Puis on ne peut que constater une chute progressive des températures matérialisée ici par une diminution du nombre de stations météo ayant enregistré une température de 35°C. La courbe rouge est une moyenne glissante sur dix ans de ces nombres de stations météo. L’autre graphique « 32,2°C » montre sans contestation possible une stabilisation de l’évolution de la température, comprenez du nombre de stations météo ayant enregistré une température de 32,2°C au cours des années depuis la fin des années 1940 ! Bien malin celui qui arrivera à comparer une telle courbe avec la fameuse crosse de hockey, fer de lance de la propagande des adeptes du changement, de la perturbation, de la déconstruction et que sais-je encore du climat, le tout d’origine humaine : de qui se moque-t-on ? D’autant plus que l’activité humaine s’est développée de manière exponentielle dès la fin des hostilités de la seconde guerre mondiale. Il reste enfin à noter dans ce graphique « 32,2°C » une totale décorrélation entre l’évolution des relevés des stations météo et l’augmentation de la teneur en CO2 atmosphérique telle que mesurée à l’observation hawaïen de Mona-Loa, bizarre, bizarre, n’ai-je pas dit bizarre…….

 

yogaesoteric
15 octobre 2023

 

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