Coïncidence ? Les deux principaux États vaccinés contre le ROR sont en tête du classement des cas de rougeole en 2025

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Le Texas et le Nouveau-Mexique ont connu la plus forte augmentation de la vaccination contre la rougeole (ROR) jusqu’à présent en 2025 – ils ont également enregistré le plus grand nombre de cas de rougeole.

Cela soulève de sérieuses questions sur les causes réelles de ces épidémies et sur le fait de savoir si la « solution » traditionnelle ne fait qu’aggraver le problème.

Augmentation des vaccinations

Texas : Du 1er janvier au 16 mars 2025, le Texas a administré au moins 173.000 doses de vaccin contre la rougeole, contre 158.000 au cours de la même période en 2024 – une augmentation d’environ 9,5%.
Nouveau Mexique : Selon le ministère de la Santé du Nouveau-Mexique, entre le 1er février et le 31 mars 2025, 14.757 doses du vaccin ROR (rougeole, oreillons, rubéole) ont été administrées au Nouveau-Mexique, contre 8.162 au cours de la même période en 2024 – soit une augmentation de 80,8 %.

Augmentation du nombre de cas

Le Texas est l’épicentre incontestable, avec 709 casdéclarés au début du mois de mai, dépassant de loin tous les autres États.
Le Nouveau-Mexique a signalé 71 cas de rougeole confirmés par le ministère de la santé du Nouveau-Mexique au début du mois de mai 2025.

Virus vivant, risque vivant : les infections apparaissant après les campagnes de vaccination ROR sonnent l’alarme

JonFleetwood.com tient exclusivement à jour une liste de tendances troublantes reliant les infections par la rougeole aux récentes campagnes de vaccination ROR menées par les pouvoirs publics en Amérique du Nord :

Le vaccin ROR contient un virus vivant de la rougeole, selon le fabricant.
Le virus vivant de la rougeole contenu dans le vaccin ROR est le produit d’expériences de laboratoire sur le gain de fonction, ce qui signifie qu’il est délibérément modifié pour améliorer sa capacité à infecter davantage de cellules humaines que le virus de la rougeole de type sauvage et qu’il peut conserver des caractéristiques permettant la transmission et la réplication chez les vaccinés comme chez les non-vaccinés.
Le virus vivant contenu dans le vaccin peut être excrété pendant des semaines par les personnes vaccinées, infectant ainsi potentiellement les personnes non vaccinées. Une étude réalisée par les CDC en 1995 a révélé que 83 % des enfants vaccinés avaient excrété le virus de la rougeole dans leurs urines. Une publication d’avril 2012 dans la revue à comité de lecture Paediatrics & Child Health a signalé qu’un enfant faisait l’objet d’une enquête après avoir développé une éruption cutanée de type rougeole nouvellement apparue après avoir été vacciné contre la rougeole, ce qui signifie que la piqûre peut provoquer une maladie chez les personnes vaccinées. Un test d’acide nucléique a confirmé qu’un « virus de la rougeole de type vaccinal était excrété dans l’urine [de l’enfant] ». Une étude publiée en 2014 dans Clinical Infectious Diseases confirme que les personnes vaccinées peuvent transmettre la rougeole à plusieurs contacts.
Aucune étude évaluée par des pairs ne confirme que le virus contenu dans le vaccin contre la rougeole est moins infectieux ou se réplique moins chez l’homme que le virus de type sauvage présent dans la nature, ce qui signifie que les autorités sanitaires ne disposent d’aucune base scientifique pour affirmer que la souche vaccinale présente un risque de transmission moindre pour les personnes non vaccinées.

L’affirmation selon laquelle nombre de ces cas de rougeole sont dus à des virus de type sauvage et non au virus vivant contenu dans le vaccin est mise à mal par le fait que le test PCR utilisé comme preuve d’une infection de type sauvage n’est fiable que dans moins de 3 % des cas. Une étude publiée dans Access Microbiology montre que les tests PCR standard ne permettent pas de distinguer efficacement les souches vaccinales des souches de type sauvage. Les CDC ont confirmé que les tests PCR interprètent souvent à tort une infection par le virus du vaccin contre la rougeole comme une infection par le virus de type sauvage : « L’incapacité de ces panels de tests à différencier le virus de la rougeole responsable de la maladie et la détection accidentelle de l’ARN du virus du vaccin contre la rougeole peut avoir des conséquences importantes en matière de notification et de réponse de santé publique, pouvant conduire à un diagnostic erroné de l’infection par le virus de la rougeole », écrivent les CDC.

Des épidémies de rougeole ont éclaté à la suite de campagnes de vaccination menées par les pouvoirs publics au Texas, au Canada et à Hawaï, suscitant des inquiétudes quant aux infections causées par les vaccins.
Dans le Michigan, une fillette de 12 mois récemment infectée par la rougeole avait reçu le vaccin ROR.
Doña Ana, le comté le plus peuplé et le plus vacciné du sud du Nouveau-Mexique, a récemment signalé sa première infection par la rougeole après que l’État eut presque doublé son taux de vaccination contre la rougeole par rapport à l’année dernière.
En Virginie, le premier cas de rougeole confirmé en 2025 est survenu chez un enfant après que les autorités sanitaires locales et de l’État eurent diffusé de nombreuses annonces de santé publique invitant les habitants à se faire vacciner contre le ROR.
Quelques semaines après que le département de la santé publique de l’Illinois (IDPH) a mis en place un « tableau de bord de simulation de la rougeole » destiné à inciter les étudiants et les habitants à se faire vacciner contre le ROR, l’Illinois a signalé son premier cas confirmé de rougeole en 2025.
Le département de la santé publique et de l’environnement du Colorado a récemment confirmé un cinquième cas de rougeole au Colorado cette année chez un adulte résidant dans le comté de Denver et dont le carnet de vaccination contre la rougeole (ROR) a été vérifié.

yogaesoteric
23 mai 2025