Compréhension structurelle de la Matrice asservissante (9)

 

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Une des excuses avancées pour défendre les épreuves rituelles de l’éducation moderne, c’est qu’elles fournissent la seule façon de s’assurer que les étudiants absorberont l’énorme quantité de faits actuellement disponibles. Il est vrai qu’il faut aujourd’hui des connaissances détaillées et des talents de spécialiste avant même qu’un adulte puise commencer à faire montre, avec confiance, d’esprit inventif. Et puis les cérémonies d’examen empêcheraient la tricherie. En outre, on pourrait prétendre que les étudiants doivent être délibérément soumis à des tensions pour éprouver leur énergie. Les problèmes de la vie adulte provoquent également des tensions, et si un étudiant craque sous la pression des épreuves éducatives, alors c’est probablement qu’il n’était pas équipé pour soutenir les pressions de la vie post-éducative. Si ce sont là des arguments plausibles, les possibilités créatrices ne peuvent qu’être broyées sous la lourde botte des rituels de l’éducation. Comment s’étonner ensuite que parvenus aux commandes, les individus dominants, tout en encourageant de petites inventions sous la forme de variations nouvelles sur de vieux thèmes, résistent cependant invariablement aux grandes inventions qui conduiraient à des thèmes absolument neufs …

La négation pédagogique de la Conscience

L’élément essentiel d’une orthopédagogie, autrement dit d’une science éducative, est le principe de la liberté. Il n’y a en effet pas d’autonomie sans liberté. Or la contrainte qui exige la répétition de techniques imposées ainsi que l’imitation de formes intellectuelles, esthétiques ou pratiques, n’est pas source d’autonomie. L’activité intégrante de la Conscience n’est autonome que si elle construit elle-même les synthèses que nécessitent ses tâches en présence des données culturelles que présente l’adulte à l’enfant et à l’adolescent. La liberté qui implique une discipline personnelle permanente est la condition indispensable à une attention soutenue, n’aboutissant jamais à un individualisme antisocial. C’est la personnalité comprimée et refoulée qui est antisociale, tout comme c’est l’inconscient gonflé d’énergies insatisfaites qui réclame des compensations, qui jalouse, envie, soupçonne et hait. Libre devant sa tâche, l’enfant doit être également libre devant le temps qu’il devra lui consacrer. Devant le temps, il est en face de lui-même et de l’activité consciente dont il le remplira.

Pour la transmission de la culture, il suffit de ce qu’un maître sait. Mais pour aider la Conscience enfantine à manifester sa vision propre, c’est ce que le maître est qui compte. Nul ne peut grandir quant à sa Conscience, c’est-à-dire passer d’un niveau quelconque à un niveau plus élevé, si ce n’est à l’intérieur de l’expérience d’un autre qui vit, lui, de façon permanente à ce niveau.

Et la méthode pédagogique doit alors respecter la liberté essentielle à l’exaltation sensorielle et fournir à l’enfant les objets sur lesquels la Conscience va s’exercer. Pourtant, l’éducation des sentiments a été pratiquement délaissée dans la pédagogie scolaire, ne permettant à la psychologie des émotions de contribuer à l’établissement de la Conscience, à son absolu affectif. En effet, la prise de contact de la Conscience avec le sentiment n’est possible, pour être normale, que dans la liberté. L’adolescent va être sollicité de toutes parts par des expériences affectives multiples et le danger, à cette période qui ne reçoit pas d’éducation, est que l’exercice de la Conscience ne dépasse pas la phase de contact avec l’expérience, sans passer à celle de la réflexion, puis à celle de la maîtrise.

Il en découle que bien peu d’adultes ont dépassé cette étape de simple association avec l’émotion, d’où la multiplicité des dysfonctionnements relationnels et des maladies fonctionnelles dues au traumatisme de ce chaos affectif, pourvoyeur également de maladies sociales. A la merci d’une rencontre susceptible de bouleverser leur condition morale et sociale, ils ne sont protégés partiellement que par leur accaparement professionnel comme le furent les adolescents par leur surmenage intellectuel, mais non par autonomie spirituelle résultant d’une Conscience entraînée …

Technique de programmation pour fabriquer un robot biologique

Les scientifiques états-uniens ont progressivement développé dans le cadre d’un programme nommé Monarch (ou MK-ultra) différents niveaux de programmation mentale permettant de transformer un humain en « robot », qu’ils ont baptisé « Manchu ». Ce nom est lié à l’histoire d’un soldat américain capturé par les Chinois, puis soumis à un lavage de cerveau et conditionné, avant d’être renvoyé aux États-Unis pour tenter d’y assassiner le président, et dont John Frankenheimer s’inspira en 1962 pour réaliser son film The Manchurian Candidate (Un crime dans la tête), via le roman éponyme de Richard Condom publié en 1959. Il va sans dire que cette histoire est considérée comme fantaisiste, même si la technique de programmation usitée dans le programme MK-ultra est avérée.

Elle repose sur la mise en place chez le candidat présélectionné d’un « désordre (ou trouble) identitaire dissociatif » (TDI), anciennement dénommé « trouble de personnalités multiples », qui s’établit en 7 étapes qui sont fonction de l’objectif poursuivi.

Programmation préliminaire

La première étape consiste à provoquer artificiellement des dissociations de personnalité à partir de la naissance et jusqu’à l’âge d’environ six ans. Des électrochocs sont utilisés, même lorsque l’enfant est encore dans l’utérus de la mère. D’autres traumatismes sont induits par le biais de traitements chimiques, d’abus sexuels et de différentes techniques qui ont pour objet de contraindre le mental à se couper par intermittence de la conscience.

La seconde étape de la programmation préliminaire consiste à intégrer à la conscience des commandes ou des messages. Ce résultat est obtenu par l’utilisation de la technologie dite « des casques », en liaison avec des générateurs émettant des ondes sonores inaudibles ou harmoniques ayant une incidence sur l’ARN (molécule biologique présente chez pratiquement tous les êtres vivants, très proche chimiquement de l’ADN. L’ARN peut remplir de nombreuses fonctions, en particulier intervenir dans des réactions chimiques du métabolisme cellulaire). Des dispositifs optiques Virtual Reality incluant des projections subliminales de trains d’ondes pulsées leur sont associés.

Programmation Alpha (α)

Elle constitue la base du contrôle, permettant de compartimenter la personnalité de l’individu sous forme d’alter par voie de stimulation des neurones et de manipulations du cerveau, qui provoquent alternativement des dysfonctionnements au niveau de l’hémisphère gauche, puis de l’hémisphère droit. Elle se traduit, entre autres, par une augmentation substantielle des forces physiques et de l’acuité visuelle au moment choisi par le « contrôleur ».

Programmation Beta (β)

Cette programmation est un programme sexuel destiné à éliminer tous les acquis moraux et à stimuler l’instinct sexuel primitif, en détruisant les inhibitions.

Programmation Gamma (γ)

Complémentaire à la programmation Bêta, elle est fondée sur la « démonologie », nécessitant le recours à des rituels de magie noire. Elle permet de rendre le sujet réceptif à la désinformation et apte à l’utiliser lui-même en tant qu’arme psychologique.

Programmation Delta (δ)

Cette programmation, connue sous le nom de « programme du tueur », fut à l’origine développée pour la formation des soldats d’élite des forces spéciales (Delta Force, First Earth Battalion, Mossad, etc.) dans les opérations clandestines. Elle a pour finalité de déclencher une production d’adrénaline optimale au moment de la mission et de contrôler le processus de l’agression. Le sujet est dépourvu de peur dans l’exercice de sa mission. L’auto-destruction ou le suicide en cas d’échec font parties des instructions potentiellement associées à ce niveau.

Programmation Theta (θ)

Elle est utilisée sur les « Bloodliners » (lignées de sang), soit les individus dont les familles comptent plusieurs générations de « satanistes » (pratique de sacrifices humains). Ils ont en effet une plus grande propension que les autres à avoir des capacités télépathiques, ce qui permet d’utiliser sur eux diverses formes sophistiquées de contrôle électronique du mental, notamment grâce à l’utilisation de nano-dispositifs de télémétrie (implants cérébraux indétectables).

Programmation Omega (ω)

Connue sous le nom de « Green Code » (feu vert), cette programmation permet de déclencher par l’individu lui-même l’auto-destruction de sa propre programmation, sans en laisser subsister la moindre trace. Elle s’exprime souvent par un suicide, et peut être activée dès que le soldat subit une thérapie ou un interrogatoire au cours duquel trop de mémoire compromettante risque d’être récupérée par l’adversaire.

Il existe également plusieurs « sous-programmes » dérivés, dont l’objectif est de transformer progressivement l’immense majorité des habitants de la planète en « candidats manchus » : CHI, EPSILON, HYPNOTIC INDUCTIONS, JANUS-ALEX CALL BACKS, TINKERBELLE, SOLEMETRIC MILITARY, SONGS, SAMPLE ALTER SYSTEM CODES, CATHOLIC, (programme spécifique pour les catholiques), HAND SIGNALS, SITE CODES (utilisé pour les esclaves modèles et mannequins), etc.

Psychopathie élitaire

Si en règle générale les historiens comprennent mal les événements, c’est parce qu’ils n’incluent pas l’environnement et la psychopathologie. Ils ne prennent en compte que leurs propres illusions, celles d’une vision linéaire et technique de l’histoire. Les groupes, sociétés et nations ne sont pas perçus comme des « systèmes vivants », qui naissent, vivent, tombent malade et meurent. Ils placent trop d’importance sur des individus au détriment du contexte, individus dont les démocraties comme les systèmes totalitaires se servent pour maintenir leur pouvoir.

Or les humains ne naissent pas égaux à cause des recombinaisons de l’ADN. Des parents ayant tous deux une conscience développée peuvent donner naissance à un individu sans conscience, à cause des recombinaisons possibles. Aussi il n’y a pas de gène de la psychopathie, qui est plutôt le résultat de recombinaisons.

Le modèle pyramidal patriarcal, modèle du psychopathe élitaire

Certains cherchent leur propre survie au dépend de celle des autres, ou ont besoin de la souffrance d’autres pour leur satisfaction personnelle. Cette absence de conscience est expliquée par la psychopathie. De tels individus grimpent les échelons du pouvoir. Derrière les apparences de façade, ils sont dominés par leurs impulsions animales et n’ont que les émotions les plus primitives, ce qui fait que l’on ne peut pas diagnostiquer la psychopathie sur la base du comportement visible.

Contrairement aux idées reçues, les psychopathes grandissent souvent dans des milieux stables et aisés. Leur comportement destructeur n’est jamais visible publiquement. Ils ne vont jamais contre la loi, mais détruisent les personnes de leur entourage, émotionnellement et psychologiquement. Le psychopathe le plus dangereux est éduqué, riche et doué en société.


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yogaesoteric
15 juin 2019

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