Décryptage de l’égo (5)

 

Lisez la quatrième partie de cet article 

L’origine de l’humain selon l’histoire secrète (1)

Pour les aborigènes qui vivent à proximité du Kata Tjuta National Park, quasiment au centre géographique de l’Australie, et les médiums qui s’y sont rendu, la montagne appelée le Ayers Rock porte les traces et les preuves de l’origine extraterrestre de l’humanité. Ce site contient en effet de mystérieux cryptogrammes liés aux extraterrestres, dont on retrouve d’autres traces à Kariong près de Gosford.

Selon eux, à l’origine, la planète Terre était destinée à devenir le Jardin d’Éden tel que décrit dans la Bible, à savoir un flambeau de Lumière étincelante dans ce coin bien sombre du Cosmos. Le Plan supérieur était d’ensemencer la planète d’êtres nés de l’Amour et de la Compassion, appelés à se reproduire et à servir d’hôtes pour que ceux qui n’avaient jamais connu la Lumière en fassent l’expérience, ce qui leur permettrait d’évoluer.

Mais aux premiers stades du développement de la planète, longtemps avant qu’elle n’ait été fécondée d’êtres physiques faits d’Amour et de Lumière, elle fut envahie par des cultures et espèces de nature reptoïde et dinoïde (dinosaures). Des millions d’années durant, ces races occupèrent la Terre. Il s’ensuivit une compétition féroce entre les Reptoïdes et les Dinoïdes, qui rivalisaient dans l’invention de reptiles les plus gros et les plus violents. Les dinosaures envahirent totalement le Terre. C’est alors que des « Êtres des Étoiles » vinrent à titre d’observateurs, et descendirent dans les océans sous la forme de baleines et de dauphins. Puis, une autre espèce connue comme le peuple Lion (ou Peuple Chat) fut appelée à la rescousse pour transformer l’environnement de la Terre et la débarrasser des dinosaures par le biais de forces cataclysmiques qui mirent fin à leur Âge.

Des millions d’années plus tard, les Reptoïdes, brillants généticiens, utilisèrent tous ces éléments, qui avaient commencé à évoluer, et les croisèrent avec des échantillons cellulaires prélevés sur les cétacés pour mettre au point un mammifère à sang chaud avec des poils, le grand singe bipède. Le rôle de cette nouvelle créature était en premier lieu de servir de nourriture. Plus tard, ces grands singes bipèdes furent également utilisés pour travailler dans les mines d’or, les Reptoïdes ayant découvert que l’ingestion de poudre d’or blanc leur permettait d’effectuer des voyages interdimensionnels. Une partie d’entre eux finirent d’ailleurs par s’installer dans une autre dimension. Les grands singes bipèdes purent se développer par eux-mêmes en une société guerrière à la force brutale. Les Reptoïdes gardaient cependant sur eux un contrôle mental, les utilisant quand ils en avaient besoin.

D’autres naufragés des étoiles restés sur la planète finirent de par leur évolution à créer les fondements de la race humaine, dotée de la Lumière, de l’Amour et de la Compassion. C’est pourquoi ils offrent par leurs attributs une infinité d’opportunités d’incarnations et d’évolution aux « âmes » reptiliennes ainsi qu’aux autres espèces des Mondes des Étoiles.

Pour les aborigènes ce cycle initiatique est presque arrivé à son terme. Il reste peu de temps pour un éveil total. Un Âge d’Or va bientôt voir le jour sur la Terre et ceux qui choisiront de suivre la Lumière et l’Amour entreront dans une Ère de paix et d’harmonie. Quant à ceux qui ne feront pas ce choix–là, ils seront incapables de survivre dans la nouvelle et subtile vibration et s’incarneront dans un autre endroit, peut-être semblable à la Terre, où ils poursuivront leur voyage d’évolution vers l’Amour. Ils finiront, eux aussi, par réussir car le pouvoir de l’Amour conquiert tout sur son passage.

L’origine de l’humain selon l’histoire secrète (2)

Le spécialiste franco-allemand de l’étude de la civilisation mésopotamienne (civilisations sumérienne, babylonienne, assyrienne et hittite) Anton Parks établit une origine de l’humain par des entités extra-dimensionnelles telle que rapportée par les tablettes en argile étudiées. Il en découle qu’il y a eu plusieurs versions de l’humain, comme il existe plusieurs versions du singe… Le tout premier est le Namlú’u, créé par les planificateurs Kadištu (les Elohim) qui ont ensemencé la Terre avant l’invasion des Anunna (ou Anunnaki), race reptilienne involutive et agressive. Ils étaient des êtres qui englobaient des capacités hors du commun. Ce spécimen est nommé, par exemple, dans le manuscrit gnostique de Nag-Hammadi (« Livre Secret de Jean », Codex NH2 – 1, 28) où il apparaît sous la forme de « l’Homme primordial parfait » créé par les différents créateurs selon leurs différentes puissances et qualités. Comme l’expriment plusieurs textes gnostiques, ils étaient les gardiens de la Terre avant l’arrivée des « mauvais dieux », les Anunna. Ils ont disparu de cette dimension lors de l’avènement de ces derniers. Le mot Namlú’u est un terme générique utilisé pour nommer en Mésopotamie l’humanité primordiale, et employé plus tard pour désigner les Sumériens qui étaient considérés au Proche-Orient ancien comme la première humanité qui fut mise au service des « dieux ».

Il y a eu bel et bien un mélange entre le Namlú’u et les différents types d’ouvriers façonnés pour l’intérêt du dieu asservissant Yahvé, dérivé des races reptiliennes agressives Kingu (les Anunna et Gina’abul par exemple). Ils sont l’Homo Neanderthalensis et ensuite l’Homo Erectus qui donna l’homme moderne, c’est-à-dire l’Homo Sapiens puis le Sapiens sapiens. Cette branche Homo est la famille « animale », utilisée par la famille reptilienne involutive qui s’est imposée pour contrôler et dominer sur la Terre. Autrement dit, il s’agit du Caïn biblique, génétiquement coupé du divin, dont seuls 3 à 5% de l’ADN moderne s’exprimeraient en protéines et seraient utiles, le reste étant le Junk DNA, l’ADN poubelle pour les scientifiques dévoyés du système asservissant…

A l’origine de l’humanité dans l’histoire secrète (3)

Svante Pääbo

En 2006, des études sur le séquençage de l’ADN de l’homme de Neandertal, menée par le biologiste suédois Svante Pääbo et son équipe de l’Institut Max Planck, ont démontré que l’homme de Neandertal possédait des chromosomes Y (mâles) très différents de l’homme appelé moderne (Homo Sapiens) et également du chimpanzé. Le volume cérébral de l’Homo Neanderthalensis oscillait entre 1.200 et 1.750 cm3. Comme l’évolution de Darwin ne peut expliquer un tel écart, la science moderne pense que les boîtes crâniennes volumineuses de l’Homo Neanderthalensis étaient celles des hommes et les plus petites, celle des femmes (sic). Toutefois, la taille moyenne du Neandertal oscillant entre 1,55 m et 1,65 m, on ne peut expliquer ses différents volumes crâniens par rapport à sa masse corporelle. La partie postérieure (occipitale) du crâne du Neandertal est légèrement allongée.

Pour Svante Pääbo, la thèse d’un cerveau en cours de grossissement est un mythe : sa taille est stable depuis l’apparition de l’homme « moderne ». Les scientifiques expliquent ce fait qui contredit Darwin en s’accordant à dire que « l’évolution biologique de l’homme n’est tout simplement plus à l’œuvre, l’homme s’étant soustrait par ses techniques et ses cultures à la sélection naturelle et à son corollaire, la pression environnementale » (sic). C’est le magazine Science et Vie de décembre 2005 qui l’annonce… En fait, l’hominidé connu sous le nom d’Homo Sapiens apparut soudainement entre 200.000 et 300.000 ans avant J.-C. par ses maîtres généticiens concepteurs, suite à l’échec du Neandertalien, que l’on retrouve comme l’« Abel » biblique. La capacité de la boite crânienne de l’Homo Sapiens, le « Caïn » biblique, est pratiquement 50% plus élevée que celle de son prédécesseur l’Homo Erectus, « le singe » évolué qu’on ne cesse de déterrer régulièrement et que la science officielle assimile aux ancêtres de l’Homme. Depuis cette époque, le cerveau humain n’a pas bougé d’un iota. Personne n’explique cette différence morphologique, encore moins les darwiniens, car de toute évidence l’apparition de cet être doué de raison se fît brusquement. Il faut aussi préciser que c’est un cas totalement unique dans toute l’histoire de l’évolution des espèces de notre planète. Pourquoi l’ancêtre de l’Homme développa-t-il aussi rapidement l’intelligence alors que le singe s’avère avoir passé près de six millions d’années dans une inertie évolutive la plus totale ? Tout ceci est une véritable farce. L’être humain ne descend tout simplement pas du singe de façon naturelle, les différentes traditions et certains passages des tablettes ainsi que les insuffisances archéologiques en témoignant de manière explicite.

L’être humain de type Homo est originellement noir. Ce vocable dans les tablettes sumériennes – SAĞ – est généralement traduit par les experts en « têtes noires », parce que, selon eux, les Sumériens (l’humanité au service des « dieux ») possédaient des cheveux noirs. En fait, le monosyllabe SAĞ évoque certes une « tête », mais aussi « un serviteur », « un esclave » et « un homme ». En conséquence, le choix du terme « tête » est pleinement arbitraire. Il serait logique de traduire Sağ’ğiga en « les hommes (ou esclaves) noirs »…

Ainsi, après avoir fait l’expérience de la « Chute », soit la séparation avec l’UN, La Source, les entités reptiliennes désireuses d’évolution – tout particulièrement la lignée matriarcale – ont transféré à l’humain une partie de leurs programmes génétiques – l’ADN – contenant notamment les codes de prédation. Il s’agissait de permettre à leurs âmes, à travers les cycles de l’incarnation humaine, de sortir définitivement de l’ère reptilienne bloquée dans la 4ème dimension, et de « remonter vers la divinité » pour découvrir l’Unité de l’Être. C’était la seule façon d’accélérer la libération de leurs âmes des mondes de dualité et de prédation interminables. Au moyen de ce plan ingénieux, les Âmes les plus évoluées pourraient ainsi sous leur forme humaine faire l’expérience de l’Ascension de conscience dans de nouveaux plans. Et, par le principe Christique propre à l’ouverture de conscience qui rééquilibre les polarités « du mal et du bien », elles pourraient bénéficier de la « longue Vie », autrement-dit la Conscience Éternelle. Cette Connaissance est inaccessible aux entités du corpus prédateur patriarcal involutif, à cause de la résistance de leur forme primaire égotique et de leur agressivité. Par effet de miroir, on en retrouve l’application dans la réalité de la 3ème dimension.

Pour l’humain, le commencement de l’ère reptilienne a coïncidé avec la création d’une « configuration primitive de l’égo », qui s’est « perfectionnée » au fil de l’évolution de l’Homo-Sapiens grâce au développement de l’intelligence mentale, pour correspondre chez l’humain moderne aux fonctions égotiques enrichies de l’émotionnel. De ce fait, les fonctionnalités primaires de « l’égo reptilien » à prédominance patriarcale s’expriment encore dans le comportement de l’humain contemporain par son identification à la densité et l’attachement à la matérialité (richesses, un territoire, notoriété, des femelles…). Elles sont caractéristiques du caractère dual de la 3ème densité de réalité, en mode « Service de Soi », et ne peuvent reposer sur une dimension de conscience autre, le mode « Service d’Autrui » propre à l’Âme.

Le siège nourricier de la peur

Chez certains humains, les fonctions de prédateur provenant du cerveau reptilien manipulé génétiquement par l’amputation des brins de l’ADN sont encore très développées par rapport à d’autres. De ce fait, chez ces individus, les fonctions du cerveau limbique ou émotionnel n’ont pas beaucoup évolué. La raison se trouve dans le ratio/pourcentage de gènes provenant de certaines lignées reptiliennes prédatrices encore opérant dans leur ADN. De ce fait, certains gènes porteurs des programmes–mémoires reptiliens/mammaliens n’ont pas encore muté, les expériences de vie de l’individu ne lui ayant pas (encore) permis d’accéder à la conscience de leur caractère nocif pour parvenir par lui–même à s’en libérer.

Cela entend également que ces individus « prédateurs » sont immergés dans un cycle karmique, leur âme étant encore immature. De ce fait, certains programmes-mémoires reptiliens qui révèlent spécifiquement la prédation/domination restent encore chez beaucoup à conscientiser et à résoudre. On peut alors en déduire que l’égo-personnalité découle des caractéristiques propres à certaines lignées galactiques spécifiquement reptiliennes par lesquelles a transité l’âme d’un individu au comportement prédateur.

Là réside l’explication de la peur ressentie de l’archétype reptilien par beaucoup d’individus, à l’image du serpent, exploitée tout particulièrement par les religions. Cette peur primaire est liée à la fonction de survie, consignée dans cette partie du cerveau. Elle est aussi intrinsèquement liée à la peur d’être découvert, débusqué ou démasqué. Dans la vie courante, cette peur primaire suscite chez de nombreuses personnes de l’auto-jugement se traduisant par des sentiments de honte, de dévalorisation, d’humiliation, de dépréciation, de rejet… Cet auto-sabotage psychique constamment alimenté par l’égo est issu de cette partie du cerveau reptilien.

En conséquence, la plupart des individus sont angoissés à l’idée que l’on puisse découvrir leurs failles égotiques, parce qu’ils sont tout simplement effrayés par l’idée que l’on puisse percevoir leurs fonctionnements « reptiliens » inconscients, c’est à dire leurs bas-instincts primaires.

La race reptilienne est depuis les origines inscrite en la génétique humaine, puisque les entités de 4ème dimension (Archontes ou Anunnaki) ont utilisé leurs propres gènes à cette fin. D’ailleurs les serpents, lézards, crocodiles ainsi que la multitude de symboles « dragonesques » qu’ils inspirent, ne laissent aucun humain indifférent. Pour beaucoup, l’animal reptilien provoque des phobies à en perdre connaissance, ou alimente un élan passionnel, voire obsessionnel chez certains.


Lisez la sixieme partie de cet erticle

 

yogaesoteric
27 mars 2019

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