Des nanoparticules magnétiques dans les cellules que l’on peut commander à distance !
par Liliane Held-Khawam
Nous volons de découverte en découverte, avec pour seul fil rouge la stupeur pour ne pas dire l’effroi.
L’article de Science qui nous rapproche toujours plus de la confirmation de l’hypothèse d’un virus Sras-CoV-2 fabriqué en laboratoire aurait dû faire la une des médias officiels.
Aux quelques doléances qui précèdent doivent s’ajouter l’euthanasie bien entendue des personnes âgées, le refus de considérer un tant soit peu le traitement de l’infection par le coronavirus, l’acharnement à ne rien changer au protocole ou aux composants des « vaccins » malgré les chiffres accablants dont nous disposons, mais aussi des conséquences problématiques de ces produits sur des personnes jeunes et en bonne santé.
Nous avons tenté de traiter ces thèmes de la manière la plus neutre et la plus sourcée possible… En revanche, nous avons du mal à répondre à la question du pourquoi !
« Pourquoi s’acharner pareillement sur l’humanité ? Pourquoi s’en prendre aux personnes vulnérables et sans défense ? »
Il est très compliqué de répondre à cette question sans affoler et/ou sans être traités de complotiste. Pourtant, si les autorités sanitaires avaient été loyales envers les populations, elles auraient dû faire une pause dans ce que l’on appelle « vaccination », étudier les effets indésirables nombreux et handicapants, et refuser net de continuer d’administrer ces choses aux populations âgées. C’est une question de bon sens n’est-ce pas? Pourtant, rien n’a été fait. Et pire, face aux résultats catastrophiques de AstraZeneca, on a poursuivi dans la stratégie destructrice de vies et de familles. Dans certains pays, on a poussé le cynisme encore plus loin en réservant ce qui devrait être apparenté à un produit dangereux pour la santé aux plus de 55 ans. Quelles conclusions en tirer?
A ce stade, nous sommes sûrs d’une chose :
« Manifestement, ce que nous observons ne correspond pas aux résultats communiqués par les industriels qui nous parlaient de 95 % d’efficacité n’est-ce pas ? »
En même temps, les résultats des essais ont été présentés par les industriels eux-mêmes et les « scientifiques » et les gouvernants ont accepté leurs chiffres, et les critiques européennes vues précédemment dans les mails hackés ont été mises en sourdine.
Des vidéos de bras aimantés
Tous les jours apportent donc son lot de surprises dans un monde qui semble avoir basculé dans un chaos éthique. Ainsi un jour, je découvre des vaccinés qui arrivent à s’accrocher un aimant là où ils ont reçu l’injection.
Les vaccinés qui testent des aimants sur leur bras ridiculisés dans une émission grand public.
C’est en chœur que les animateurs de l’espace public ont crié à la fake info. A priori les images ne pouvaient convaincre un esprit rationnel. Impossible donc que le corps humain soit aimanté. Mon professeur de biologie du Lycée aurait dit la même chose. Sauf que la science des années 70-80 n’a plus rien à voir avec les défouloirs débridés que sont devenus les labos du 21e siècle. Forte de cette conviction j’ai mené ma petite enquête. J’ai commencé par tomber sur les liens mis en avant par Google tous dénonçant la fausse info. Voici un message pris au hasard:
« Pour cet épisode, Elsa de La Roche Saint André a contacté Julien Bobroff, physicien français spécialiste du magnétisme, qui enseigne à l’Université Paris-Saclay. “ Un vaccin contre le Covid-19 qui puisse contenir des puces, et qui accrocherait des aimants quand on l’injecte, c’est absolument impossible du point de vue de la physique “, assure-t-il.
Alors comment faire croire en vidéo qu’un magnet est attiré par une puce implantée dans le bras par le biais de la vaccination ? L’auteur scientifique anglo-américain Mick West, qui s’est spécialisé dans la vérification des théories du complot, détaille dans une vidéo quelques possibilités, comme le fait que la peau soit grasse ou l’utilisation d’une crème huileuse.
Une dernière hypothèse repérée sur le site de fact-checking “ Fact and Furious “, créé en réaction aux fausses informations circulant depuis le début de la crise sanitaire, serait que certaines des personnes qui tournent ces vidéos soient porteuses d’une prothèse d’épaule. En effet, les prothèses peuvent contenir du cobalt, un métal qui attire les aimants. » Source
Comment fonctionne un aimant ?
Des nanoparticules magnétiques
Eh bien nous avons mené notre propre check. Et figurez-vous que j’ai découvert des paquets d’« inventions » plus qu’édifiantes ! Il existe même un projet tout ce qu’il y a de plus officiel puisque figurant sur le site de l’Union européenne.
Sous le titre « Comment faire croître les neurones avec des aimants et des nanoparticules », nous découvrons des trésors. La chose est présentée sous le prétexte acceptable de venir en aide aux malades de Parkinson, les réformes des lois sur la bioéthique feront le reste. On nous dit notamment que :
« Le projet MAGNEURON vise à développer une nouvelle technologie d’actionnement magnétique des fonctions cellulaires pour traiter la maladie de Parkinson. Le concept innovant de notre technologie est de contrôler à distance le comportement des cellules à l’aide de nanoparticules magnétiques bio-fonctionnalisées. Les nanoparticules sont de très petits objets, de l’ordre du nanomètre, généralement connus pour être nocifs, mais ils peuvent également être utilisés de manière positive. En attachant à leur surface des biomolécules spécifiques, il est possible d’interagir avec les molécules cellulaires pour donner des signaux spécifiques aux cellules. En utilisant des nanoparticules magnétiques, il est possible d’utiliser des dispositifs magnétiques pour agir sur elles à distance afin de déclencher des réponses cellulaires.
Pour relever le défi de la télécommande des neurones à distance, nous proposons l’utilisation de nanoparticules magnétiques bio-fonctionnalisées conçues pour fonctionner comme des ” points chauds ” intracellulaires qui indiqueront à la machinerie cellulaire ce qu’il faut faire. Une fois délivrées dans le cytoplasme des neurones, ces nanoparticules magnétiques activeront des réactions biochimiques spécifiques à l’intérieur des cellules en réponse à des champs magnétiques externes de sorte que les nanoparticules favoriseront et orienteront la croissance des bras des neurones. » Source
Le principe de cette technologie qui révolutionne la biologie et la médecine est expliquée ci-dessous par un schéma. Dans ce cas, il est question de reprogrammation cellulaire dans un but fort louable puisque le patient est atteint d’une maladie grave. Qu’est-ce qui empêcherait de l’utiliser dans d’autres circonstances ? A relever que lesdites cellules augmentées sont contrôlables à distance (encore appelé « remote control »).
Vous constaterez aussi qu’il est question d’un outil magnétique communiquant avec les nanoparticules aimantées. Est-ce que dans notre environnement cet outil peut être représenté par les antennes 5G, ce qui nous introduirait brusquement et brutalement dans le monde de l’Internet des Humains?
Les scientifiques de l’université de Washington espèrent que l’avenir permettra d’améliorer considérablement cette technologie du « Brain to brain communication » pour envoyer des informations plus complexes d’une personne à une autre.
Andrea Stoco souligne : « Internet est un moyen pour connecter les ordinateurs, et maintenant il peut être un moyen des connecter des cerveaux. »
Qu’est-ce que le sigle iPSCs qui figure sur le dessin de Magneuron ?
N’étant pas biologiste, mais simplement capable de suivre les flèches de ce processus, j’ai été intriguée par le iPSCs qui semble tenir un rôle central. Et voici ce que j’ai trouvé sur une plateforme dédiée à la communauté des sciences de la vie à Zurich. On nous dit :
« Depuis la découverte par Yamanaka et Takahashi des cellules souches pluripotentes induites (iPSC), cette technologie a ouvert des possibilités sans précédent pour étudier pratiquement tous les types de cellules d’intérêt in vitro et pour modéliser les maladies humaines “ dans une boîte “. La communauté des sciences de la vie de Zurich profite activement de ces nouvelles possibilités.
L’objectif de cette plateforme est de favoriser les interactions, les collaborations et l’éducation sur cette technologie parmi les chercheurs travaillant sur les iPSC dans la région de Zurich . Les groupes affiliés à toutes les institutions académiques sont invités à présenter leurs recherches liées à l’iPSC, y compris l’université de Zurich, l’ETH Zurich et les hôpitaux universitaires (USZ, Kinderspital, PUK, Balgrist, Zentrum für Zahnmedizin). Tous les sujets de recherche peuvent être inclus, allant des questions de recherche fondamentale sur la pluripotence des cellules souches à la modélisation des maladies ou à la médecine régénérative. Les troubles affectant tout système organique peuvent être inclus (système nerveux central, cœur, rein, muscles, système immunitaire, yeux ou maladies métaboliques). » Source
Et qui est M. Yamanaka qui semble occuper une place centrale dans cette médecine d’un nouveau genre ?
« Shinya Yamanaka (山中 伸弥 : Yamanaka Shinya) est né à Higashiosaka au Japon. Médecin japonais, il est chercheur sur l’induction des cellules souches pluripotentes et la reprogrammation des cellules somatiques ».
« Dans un article paru dans Science en février 2008, Yamanaka affirme que la méthode de transformation génétique des cellules à l’aide d’un virus n’entraîne pas de problème de tumeurs, ce qui pourrait ouvrir la voie vers un usage thérapeutique pour la régénération de tissu. » (Wikipédia)
Cette assertion est à la fois énorme pour le monde de la médecine, mais en même temps effrayante dans le contexte actuelle. Et comme Wikipédia n’a pas donné de références sur l’article de Science, il a bien fallu aller dénicher ce qui pourrait être une perle dans l’énigme vaccinale covidienne. Voici le résumé d’une publication dont le titre est « mRNA-Based Genetic Reprogramming », écrite cette fois en 2018 :
« La découverte que les cellules cutanées ordinaires peuvent être transformées en cellules souches pluripotentes par l’expression forcée de facteurs définis a fait naître l’espoir que des traitements régénératifs personnalisés basés sur du matériel immunologiquement compatible dérivé des propres cellules d’un patient pourraient être réalisés dans un avenir pas trop lointain. Un obstacle majeur à l’utilisation clinique des cellules souches pluripotentes induites (iPSC) a été initialement présenté par la nécessité d’utiliser des vecteurs viraux d’intégration pour exprimer les facteurs qui induisent un profil d’expression génique embryonnaire, ce qui entraîne une altération potentiellement oncogène du génome normal. Plusieurs systèmes de reprogrammation ” non intégrateurs ” ont été développés au cours de la dernière décennie pour résoudre ce problème. Parmi ces techniques, la reprogrammation de l’ARNm est sans ambiguïté la plus ” sans empreinte “, la plus productive, et peut-être la mieux adaptée à la production clinique de cellules souches. Ici, nous discutons des origines du système de reprogrammation à base d’ARNm, de ses avantages et inconvénients, des améliorations techniques récentes qui simplifient son application et de l’état des efforts actuels pour industrialiser cette approche pour produire en masse des cellules souches humaines pour la clinique. » Sources
Magneuron, projet porté par les gouvernants !
Retour au projet Magneuron. Dans un silence consternant, on découvre que ce genre de projet est porté par les gouvernants qui ne jugent pas utiles d’informer les sans-dents de ce qu’ils leur ont réservé pour un avenir immédiat ! Voici ce que présente le Portail français du programme européen pour la recherche et l’innovation. Dans la liste des témoignages des lauréats, nous trouvons une référence à Magneuron:
Détournement des voies de signalisation cellulaire avec des nanoactionneurs magnétiques pour les thérapies télécommandées par cellules souches des troubles neurodégénératifs.
Tout aussi intéressant que ce projet Magneuron est celui de Luminous
Ce projet est décrit en termes de vision de la manière suivante. Plutôt très inquiétant…
Vision à long terme – « Notre vision est que les informations théoriques joueront un rôle central dans la compréhension de la conscience, que la conscience sera un jour de plus en plus mesurée, quantifiée et modifiée en toute sécurité grâce à l’interaction électromagnétique »
Percée scientifique et objectif technologique – « La première percée proposée est la création d’une nouvelle classe motrice de la conscience sensorielle, qui minimise la création d’une nouvelle classe de conscience motrice ou de dépassement de la conscience ».
« La deuxième percée ciblée ici est l’altération électrique de la conscience ».
Nouveauté « travail pionnier en science fondamentale, y compris les concepts de théorie de l’information, et la physiologie expérimentale, les applications cliniques et la technologie »
Voilà donc que l’insertion de nanoparticules magnétiques n’est pas une vue de l’esprit de complotistes. Ces individus qui squattent les laboratoires d’un nouveau genre et qui bénéficient de l’argent pléthorique de Planète finance sont en train de reléguer Frankenstein dans un coin de l’histoire, avec bonnet d’âne en prime.
Nous avons affaire à de très grands chercheurs de diverses disciplines qui se sont retrouvés autour de projets communs. La synergie qui s’en dégage semble libérer une puissance dont le potentiel maléfique n’est pas difficile à imaginer.
Alors ami lecteur, je vous ai apporté ces quelques infos dans le but de nous aider à décoder l’image finale très probablement monstrueuse que des esprits malades ont dessinés pour l’humanité.
Tout silence de tout individu habitant cette Terre face à ces données publiques financées avec nos impôts aura un coût humain inimaginable à ce stade.
Complément d’info
« Le projet MAGNEURON Future and Emerging Technologies (FET) a pour objectif de déterminer comment contrôler les neurones nouvellement implantés dans le cerveau, afin qu’ils puissent se développer, se recâbler et fonctionner correctement. Ceci est particulièrement important pour les maladies neurodégénératives comme la maladie de Parkinson. »
Projet MAGNEURON – Schéma du fonctionnement du projet MAGNEURON
Le projet FET-Open MAGNEURON vise à développer une nouvelle technologie d’actionnement magnétique des fonctions cellulaires pour traiter la maladie de Parkinson. Le concept innovant de leur technologie est de contrôler à distance le comportement des cellules à l’aide de nanoparticules magnétiques bio-fonctionnalisées. MAGNEURON est dirigé par le Dr Mathieu Coppey, de l’Institut Curie, en France. Le projet comprend 6 partenaires de France, d’Allemagne et du Royaume-Uni, couvrant les domaines de la physique-chimie, de la biochimie, de la biophysique, des nanosciences, des neurosciences et de la médecine régénérative.
yogaesoteric
24 novembre 2021