Émission « DIVULGATION COSMIQUE », l’intégrale. Saison 3, épisode 7/9 : TERRE INTÉRIEURE : LE HALL DES ARCHIVES (2)
Lisez la première partie de cet article
Corey Goode : Elle [la prêtresse] m’a dit : « On communique par télépathie. Par la pensée. On ne parle pas oralement ». Elle m’a dit : « Tous ces gens assis attendent de recevoir des communications d’humains de la surface qui les contactent par l’esprit, ou bien ils contactent des gens ou sont en pleine communication avec des gens de la surface. »
David Wilcock :
Par transmission de pensée. Donc vous parlez de canalisations [de channeling].
CG : Oui.
DW :
Wahou !
CG : Par communication télépathique.
Il y avait une autre zone où des gens étaient assis. Elle a dit qu’ils partageaient une expérience consistant à visionner des informations de la librairie ou du hall des archives dans un genre de téléconférence télépathique. Ils regardaient des infos et en discutaient ensemble, en position inclinée.
DW :
On l’a déjà évoqué rapidement dans l’émission, ceux qui ont lu votre rapport se souviennent qu’après le petit discours de Gonzales à l’alliance de la Terre intérieure, ils se sont levés et lui ont lancé, entre autres choses, qu’ils donneraient de fausses informations aux contacts qu’ils avaient à la surface, par télépathie.
CG : Oui.
DW :
Car vous les gars [du programme spatial secret terrestre] aviez appris la situation que les Gardiens les forçaient à vous révéler dorénavant.
CG : Ils ont dit qu’un tas de leurs contacts s’étaient mis à les questionner et qu’ils allaient prendre des mesures pour communiquer avec ces gens, leur dire qu’ils étaient spéciaux. Et que les autres communiquaient avec des escrocs. Ils étaient fâchés qu’on les ait exposés. Ils pensent que leur programme est essentiel pour aider l’humanité à dépasser un certain embrigadement, et c’est aussi essentiel pour eux, stratégiquement.
DW :
Donc c’est de la sécurité opérationnelle, comme quand la Cabale sème de fausses informations pour tenter de protéger ses secrets.
CG : Oui.
DW :
Wahou ! Tous ceux qui vous suivent en ligne savent que chaque week-end, vous et moi échangeons des e-mails. On ne va pas citer de noms mais chaque semaine, un télépathe fait irruption pour coopter ce qui est dit dans l’émission. Mais il déforme tout et arrange tout ça, et tente de le mêler à son histoire. Ceci se produit chaque semaine. Vous ont-ils dit que ces gens, du moins certains, sont influencés pour fabriquer ces histoires, brouiller les pistes avec de fausses informations ?
CG : Oui. Je ne dis pas que la transmission de pensée [le channeling] est corrompue, mais pour une grande majorité, c’est du parasitage. Ce sont des gens qui se croient spéciaux, qui ont trop confiance en leur force spirituelle et en leurs aptitudes, qui se connectent aux êtres sous-terriens.
DW :
Ce sont aussi…
CG : Les sous-terriens ont pas mal à offrir s’ils communiquent en tant que tels et délivrent des informations spirituelles. Ils ne veulent pas révéler qu’ils sont sous la surface, ils ne veulent pas qu’on descende les chercher.
DW :
Que racontent ces groupes aux gens ? S’ils parlent aux gens de la surface, leurs informations ne sont pas toujours justes.
CG : Ils se font passer pour des dieux, des extraterrestres de divers systèmes stellaires, parfois pour des icônes issues des religions de ces gens, et ils délivrent un message positif. Ils ne leur donnent pas d’informations négatives ou blessantes, ils tentent d’aider les gens à dépasser ce qu’ils trouvent négatif dans nos gènes et nos fonctionnements pour nous rendre meilleurs et nous aider à changer la société, à distance. Une influence distante.
DW :
Sont-ils capables de créer, pour ces gusses, un hologramme ou une image de leur forme ou de la forme de leur choix ?
CG : Ils la créent dans l’esprit de ces gens.
DW :
D’accord. Dans certains livres, des gens disant avoir vu des dieux décrivent ce qui ressemble à des contacts avec des êtres de chair ou des apparitions, donc ils savent le faire.
CG : Oui. Souvent, ça marche dans les deux sens, les gens contribuent à l’expérience. Les gens suggèrent un système stellaire avec lequel communiquer, ils suggèrent une icône religieuse à laquelle parler. La communication est bidirectionnelle. Donc les gens de la surface auxquels ils s’adressent participent à cette illusion.
DW :
Et ces gusses ont l’impression de semer leur spiritualité dans l’humanité.
CG : A distance, oui.
DW :
Et que le bien [dans leur action] est supérieur au mal du fait que tout ça a pour finalité de réduire notre agressivité et d’élever la vibration de la planète.
CG : Oui. Et d’assurer la sécurité opérationnelle, de protéger leurs cultures en nous empêchant d’aller les trouver.
DW :
OK.
CG : Voilà. En gros, j’ai tout raconté sauf le dernier étage, le hall des archives. Ça va résoudre un point très important.
DW :
Super. Dites-nous tout.
CG : On est descendus au dernier étage et on n’a pas pu entrer. C’était très lumineux.
DW :
Vous n’avez pas pu entrer ? Pourquoi ?
CG : On ne pouvait pas. C’était un grand dôme qui descendait jusqu’au fond. Rien de plat. C’était juste un dôme, on voyait l’intérieur par une fenêtre sans vitre. Il y avait un champ quelconque.
DW :
Le socle du dôme était plus bas que vous ?
CG : Non. On a marché jusqu’au dôme, au dernier étage, mais on n’a pas pu entrer car il y fait une chaleur extrême, comme dans une chambre stérile, l’accès est réglementé. Les gens n’y circulent pas librement. A l’intérieur se trouvait un unique cristal, comme celui de la caverne en cristal.
DW :
Où vous êtes allé à l’âge de 11 ans ?
CG : Oui.
DW :
Wahou !
CG : Ils l’ont conditionné ainsi pour tenter de le faire pousser.
DW :
Pousser ?
CG : Oui.
DW :
Wahou !
CG : Et le cristal contient des informations auxquelles les gens se connectent par télépathie depuis l’étage supérieur.
DW :
Ça ce n’est pas banal. A-t-elle dit ce qu’ils en retiraient ? Vous a-t-elle dit quelles informations contient le cristal ?
CG : Non. Elle me l’a montré et m’a dit qu’il était en processus de croissance dans cette chambre, qu’ils en extrayaient des informations. J’ai alors compris pourquoi mon expérience était si importante pour eux. Cette expérience va être partagée par tous ces gens.
DW :
C’est très intéressant, ce raptor est l’archétype du dragon qui garde la vierge et le trésor. Le raptor, cet affreux oiseau reptilien est comme le dragon, et le trésor est comme le cristal.
Vous êtes entré et avez vu le trésor, c’est ce qu’ils veulent. Ils vous ont dit que c’était la seule chose que nous pouvions leur offrir, votre expérience de communication avec ce cristal auquel ils n’ont pas accès à cause des raptors qui le gardent.
CG : Gonzales m’a dit que ce n’était pas vrai, qu’ils ne nous auraient pas approchés à moins d’avoir besoin de nous.
DW :
S’ils ne peuvent pas parler aux Gardiens eux-mêmes, ils ont besoin d’aide.
CG : La suite est facile à résumer. Elle a dit que les autres revenaient de leurs différents royaumes, qu’on devait se rendre à la cérémonie de purification. Encore. [David rit.] Cette fois, c’était beaucoup plus gênant.
DW :
Plus gênant ? [rire]
CG : Beaucoup plus. Cette fois, il y avait des gens dans l’eau pour nous laver.
DW :
Vraiment ?
CG : Oui. On entrait dans l’eau et ils nous lavaient.
DW :
C’est un peu comme voler en première [référence aux contrôles des passagers dans les aéroports américains où, avant d’embarquer, les passagers doivent se mettre à moitié nus et sont fouillés de façon très poussée]. [David rit]
CG : Donc j’étais…
DW :
Mais sans vêtements.
CG : Oui. J’ai ôté ma robe, je suis allé dans l’eau, on m’a lavé, je suis ressorti, je me suis séché.
DW :
Tout était codifié, comme un rituel ?
CG : Oui.
DW :
OK. J’imagine.
CG : J’ai remis mes vêtements et je suis retourné dans la salle où était la prêtresse. Elle m’a accompagné à moins de dix mètres du centre de la pièce. On s’est dit au revoir et je me suis placé au centre. Flash. J’étais de retour dans mon salon.
DW :
Wahou !
CG : Il y a eu un effet de dilatation temporelle dans cette situation [Corey veut dire que du point de vue des mesures temporelles et du temps des horloges ici à la surface, il ne s’est écoulé pour Corey que quelques secondes entre les deux flashs de départ et de retour ; or il a passé de longues heures dans la Terre intérieure…].
DW :
Donc vous êtes parti et êtes revenu tout mêlé.
CG : Oui. Or je suis parti très longtemps.
DW :
Où croyez-vous que ceci mènera ? Avez-vous eu d’autres contacts, télépathiques ou non, avec la prêtresse ou d’autres personnes de la Terre intérieure ?
CG : J’ai passé beaucoup de temps à ressasser ces informations. J’ai fait plein de recherches sur le net pour vérifier en particulier les histoires sumériennes de Zecharia Sitchin. Il y a peu de choses sur internet qu’on puisse vérifier mais j’ai vérifié ce que j’ai pu. Et pour le reste, je tourne autour et j’y réfléchis énormément, ça m’a bouleversé, ça m’a transformé. Cette expérience a chamboulé ma vie.
DW :
Vous avez dit aussi, hors ou face caméra, je ne sais plus, que vous marchiez plus à l’intuition depuis cet événement.
CG : Oui. Presque tous ceux que j’ai côtoyés, je ressens leurs émotions, leurs pensées, leurs sentiments. C’est très fort. J’ignore si c’est quelque chose qui s’est développé lors de ma connexion, cette fusion mentale avec la prêtresse et si ça passera avec le temps ou si ce sera permanent.
DW :
Ouf !! Quelle histoire !
CG : Oui.
DW :
On a encore beaucoup à dire. J’ai repris toutes les choses qui ont été discutées ici, et il reste de quoi faire dans « Divulgation Cosmique ». Je suis David Wilcock, merci d’avoir regardé.
yogaesoteric
3 février 2020