EXPLOSIF ! De nouvelles perquisitions et mises en scène contre les yogis à suivre ! Gregorian Bivolaru est en danger !
Ces jours-ci nous assistons à une nouvelle tentative subversive de destruction de l’association MISA et de sa remise en illégalité par des moyens abjects. Une nouvelle vague se prépare de perquisitions aux sièges des personnes juridiques, ainsi qu’aux domiciles des pratiquants de yoga.
Nous avons été informés sur la mise en œuvre d’un plan détaillé de mise en scène d’opérations d’où il doit résulter que les pratiquants de yoga commettraient des faits de nature pénale. Nous allons décrire les motifs ainsi que les modalités qui ont déjà été débutées.
Une des raisons de cette opération est que les autorités roumaines cherchent désespérément à justifier les sommes immenses dépensées à l’effectuation des perquisitions de mars 2004. D’après les informations que nous détenons, à certains niveaux des institutions de l’état se déroule en ce moment une enquête qui remet en question la légalité de la modalité d’allocation et d’utilisation des fonds destinés aux perquisitions de 2004. La question a un caractère d’autant plus aigu que dans les jours à suivre, la Roumanie devrait exécuter l’obligation disposée par la CEDH et acquitter la somme de 291 000 euros aux pratiquants de yoga sauvagement abusés par les autorités roumaines durant les brutales descentes de police de l’année 2004. Par conséquence, en plus des sommes substantielles dépensées du budget pour l’opération app elée « CHRIST », des perquisitions de 2004, maintenant l’Etat doit payer les dommages et intérêts aux victimes de cette opération.
Nous vous communiquons par cette voie qu’a été prise dans les „coulisses du pouvoir” la décision discriminatrice du déclenchement d’une nouvelle vague de descentes de police, de mises en scènes et d’abus aux sièges ou aux domiciles de toute personne qui a des rapports avec MISA, pour bloquer leur activité économique, produire de l’épouvante et les déterminer de renoncer à leurs convictions.
Les mêmes sources, qui gardent leur anonymat, nous ont révélé quelque chose d’encore plus grave, c’est-à-dire que la décision a été prise de mettre en œuvre un attentat à la vie de Gregorian Bivolaru. Etant terriblement dérangés depuis plus de 20 ans par MISA et par Gregorian Bivolaru, les intrigants de l’ombre se donnent du mal par tous les moyens pour détruire cette école spirituelle et son mentor.
L’existence de ces plans est déjà indirectement prouvée par la préparation de l’opinion publique grâce aux mass médias, où des informations bizarres ont commencé à être diffusées.
Nous remarquons en ce qui concerne les nouvelles „actualités” apparues sur Gregorian Bivolaru dans la presse que des informations fausses ont été lancées, comme celle qu’il soufrerait de plusieurs maladies. Il est dit que l’état de sa santé serait précaire. Il faut préciser que c’est un grave mensonge et cela peut être prouvé avec des documents médicaux. Pendant la période de sa détention en France, en conformité aux procédures de ce ays, Gregoran Bivolaru a été soumis à pas moins de 16 contrôles médicaux rigoureux, suite auxquels il a été constaté qu’il était le seul prisonnier parfaitement sain de tout le pénitentiaire de Fresnes, où se trouvaient environ 3000 prisonniers ! Bien sûr, cela démontre une fois de plus la valeur et l’efficacité de la pratique du yoga. Au-delà du mensonge misérable selon lequel il soufrerait de plusieurs maladies, il transparaît clairement l’intention de lui faire „quelque chose” pendant qu’il est emprisonné pour prétendre ensuite qu’il „était malade”. Compte tenu du fait que Gregorian Bivolaru est arrivé parfaitement sain en Roumanie et que son état a été constant pendant toute la durée de sa rétention en France, on peut en déduire que toute aggravation subite de son état de santé ne peut être qu’à la suite d’une intervention criminelle actuelle en Roumanie.
D’autre part, la mise en scène d’une nouvelle vague d’abus et de descentes de police aux sièges de MISA a été préparée dans la presse par quelques informations trompeuses. Il a été affirmé que „les structures du ministère de l’Intérieur roumain ont déclenché une enquête de proportion en Roumanie”, les „adeptes” de Gregorian Bivolaru étant recherchés. Un fumigène a été lancé sur le fait qu’il aurait affirmé pendant les interrogatoires en France qu’il a différents „adeptes” en Roumanie qui occuperaient des „fonctions publiques, de haute dignité”. On note aussi la propagation de l’information alarmiste sur le déclenchement d’enquêtes pour établir „si quelqu’un a aidé Gregorian Bivolaru à s’enfuir du pays, et si oui, qui sont ces personnes”.
Le caractère manipulateur et instigateur de ces affirmations peut être facilement constaté. L’histoire avec les adeptes est une pure invention, nous connaissons très bien les dossiers et les déclarations données par Grégorian Bivolaru au cours du procès de Paris et nous pouvons affirmer avec certitude qu’il n’a jamais mentionné une telle chose. Aussi, l’idée d’une „enquête” qui apporterait une clarification si quelqu’un a aidé Gregorian Bivolaru à s’enfuir du pays est une immense ineptie si on a en vue que l’accusation de „passage frauduleux de la frontière“ a déjà deux fois été jugées par trois instances. Nous rappelons qu’en final, la Haute Cour de Cassation et de Justice, en 2013, est arrivée à l’arrêt final de cesser le procès pénal avec le chef d’accusation, en établissant que Gregorian Bivolaru est innocent. Donc si „l’auteur“ d’un supposé fait n’est pas déclaré coupable par les instances de jugement, alors comment peut-on s’imaginer que les supposées personnes qui ont aidé celui qui a été déclaré innocent pourraient être, elles, déclarées „coupables” ?
Dans ces conditions, il devient évident que toutes les rumeurs agitatrices lancées ces jours-ci sur MISA et Gregorian Bivolaru par les mass médias ont le rôle de préparer et de justifier un nouveau déchaînement d’actes discriminatifs pour ostraciser et marginaliser les personnes qui pratiquent le yoga dans le cadre de l’école de yoga MISA.
Nous pouvons observer qu’est inoculée à l’opinion publique l’idée qu’il existe des personnes qui, dirait-on, ont „apporté leur support” à Gregorian Bivolaru et c’est pourquoi elles doivent être poursuivies pour en supporter les conséquences inquisitoriales. Voilà donc l’absurde de la situation transmise par les médias de masse ! Nous constatons qu’en raison de cette manipulation constamment exercée pendant des années sur l’opinion publique, une série de prétextes extrêmement superficiels sont fabriqués maintenant, mais qui sont « gobés » par le public.
Un autre élément très suspect que nous remarquons en ce qui concerne la façon dont Gregorian Bivolaru est traité par les autorités romaines est celui qu’il exécute à présent la peine injuste pour laquelle il a été illégalement condamné dans un Centre d’arrêt préventif. Compte tenu des normes de droit d’exécution pénale, ainsi que du fait que les autorités roumaines avaient sollicité la remise de Gregorian Bivolaru de France pour l’exécution du mandat européen d’arrestation, il est très étrange qu’il soit détenu dans un endroit destiné aux arrestations préventives et non pas dans un pénitentiaire destiné à l’exécution d’une condamnation définitive, avec tous les droits et les obligations qui en découlent ! La seule explication est qu’en réalité, de nouvelles accusations fausses sont en train d’être construites à l’adresse de Gregorian Bivolaru, en gardant la stratégie perverse instrumentalisée depuis 45 ans de le maintenir en l’hypostase de l’accusé, en dépit du fait que dans son cas il n’a existé et il n’existe pas de victime ni de faute.
Nous avertissons par cette voie les pratiquants de l’école de yoga MISA de Roumanie, l’opinion publique et les journalistes de bonne foi (qui existent encore, espérons-nous) sur ces plans odieux qui sont préparés. Nous avons la conviction qu’un minimum d’attention et de lucidité de la part de plus en plus de roumains pourra démasquer facilement cet exercice de manipulation qui est opéré dans le cas de MISA et pourra arrêter ce fil d’injustices flagrantes qui semblent sans fin.
yogaesoteric
2016